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Moi et ma douce cousine

Chapitre 1

Inceste
J’ai toujours aimé aller chez elle. Penser que nos parents discutent pendant que je m’apprivoise son corps ...Ma cousine est une petite minette en découverte du sexe et j’attends toujours nos rencontres avec beaucoup d’envie, pouvoir la prendre dans mes bras, lui caresser les fesses, passer mes doigts froids dans sa culotte... de petits actes dont beaucoup de fantasmes. Pourtant, la dernière fois que l’on s’est vus, nous avons franchi un cap...
Ma cousine est blonde, petits seins, des lunettes, je dirai 1m60 et, en raison de son âge encore juvénile, a un petit minou sans poil aucun et très doux. Quand nous sommes arrivés chez elle, le protocole habituel s’est déroulé comme d’habitude (apéro, repas ...), puis son frère, un peu plus âgé qu’elle, m’a invité à jouer aux jeux videos, chose que j’accepte, conviant ma cousine à venir sur mes genoux.Nous jouons, jeu de guerre oblige, la manette vibre au rythme des armes, j’en profite pour la faire glisser sur les jambes de ma cousine, je lui écarte doucement. Elle met sa main en protection et veut les refermer, je laisse donc tomber pour le coup et finis ma partie. Je m’en vais aux toilettes et remarque que je suis déjà excité. J’entreprends la montée vers sa chambre. J’arrive, elle joue à la console portable, sur son lit, assise en fakir. Je m’installe à côté d’elle, lui caressant le dos, elle reste fixée sur sa console. Elle sait ce que j’ai dans la tête, elle se laisse manipuler mais je sens qu’elle est hésitante. Je ferme sa porte à clef et je me réinstalle sur son lit, jambes écartées, elle venant se blottir entre mes jambes, scotchée à son jeu. J’en profite pour entamer des caresses plongeantes qui couvrent ses cuisses jusqu’à son intimité. Elle porte un collant en laine, et après avoir quelque peu décontracté ses jambes, je balade mes doigts sur son minou, couvert d’un collant et d’une culotte. Aucune réaction de sa part, sauf un léger soupir de béatitude lorsqu’une de mes mains écarte son collant pour se loger sur sa culotte ; je sens mon sexe dans mon jean et je le frotte à son dos et sens un immense plaisir monter en moi. Je prends sa tête et l’embrasse amoureusement, mais elle n’a pas encore l’habitude de faire ça ; c’est tout seul que je roule ma langue dans sa bouche pendant que ma main prend ses autres lèvres. J’ai la vague impression qu’elle ressent du plaisir, pour la première fois depuis que je m’empare de son corps.Je la déplace ensuite pour me relever et remettre discrètement mon sexe en place ; je m’attends à voir une fille au regard vide, continuant de jouer, mais elle n’a pas bougé de place, elle regarde le plafond. Je m’approche d’elle, lui demande si ça va, "oui"; d’accord. Je prends sa main, m’allonge à côté d’elle, je ne veux pas la brusquer, je lui demande si elle veut toucher mon zizi, un hochement de tête me fait comprendre qu’elle ne veut pas. Je pose alors délicatement sa main sur mon boxer, mon sexe faisant une bosse plus que remarquable ; elle la laisse 10 secondes avant de la retirer d’un geste brusque. Je lui retire son collant, sans grande résistance de sa part, une petite culotte blanche, je bande d’avantage. Je voulais me masturber quand elle me dit "pffiou il fait chaud ici", tout en levant son t-shirt. J’avais compris le message, des petits seins, de vrais petits seins de fillette qui pointaient. Elle prit un porte-clefs et joua avec, au dessus de sa tête, comme pour détourner mon regard. J’écartais sa culotte et j’admirais pour la première fois cette petite pêche avec qui j’avais tant joué. Je lui dis "surtout, tu ne dis rien à personne", elle hocha la tête. J’embrassai donc pendant un long instant son petit minou en y faisant passer ma langue, elle eut un petit spasme et son corps entier se contracta, elle gémit très discrètement et un petit filet d’urine me passa dans la bouche. Elle eut une larme et me dit "pardon, j’ai pas fait exprès".
Je savais très bien qu’elle ne voudrait rien faire avec mon sexe, mais je devais jouir sur elle, je ne pouvais la quitter sans ça. Je lui ai bandé les yeux, et, allongée par terre, elle resta immobile et silencieuse. Je l’ai mise à 4 pattes, écartant ses fesses, fantasmant sur son trou du cul. Je crachai sur mon sexe et dans sa fente, et j’entamai des frottements entre ses fesses ; j’haletais, je prenais mon pied sans pénétration. Après plusieurs minutes à me frotter sur différentes positions, je me mis à califourchon sur elle ; elle était sur le dos, je rapprochai mon sexe de sa poitrine et éjaculai sur elle, ce petit bout de femme à la poitrine souillée et couverte de ma semence. Elle était au bord des larmes, je léchai sa poitrine avant de la rhabiller. Je la réconfortai après en la prenant sur mes jambes, tout en caressant sa petite culotte avec passion. Je lui dis de ne surtout rien dire, que c’était notre petit secret, avant d’enfouir une dernière fois ma langue dans sa bouche.
Nous continuâmes de nous voir, nos parents ne savent toujours rien, et j’apprécie toujours autant le contact d’une petite chatte juvénile entre mes doigts.
Prochaine histoire : mon aventure avec une amie de mes parents, merci d’avoir lu ce récit, n’hésitez pas à commenter et posez vos questions !ons !
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