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Moi, Fifille mes débuts de lopette - 1ère Partie

Chapitre 3

SM / Fétichisme
III  –  Moi, Fifille  - la chute continue
Patrick et Fabienne ont pris une douche ensemble, je les ai entendu chuchoter et rire, moi je suis passé en dernier. Nous nous retrouvons ensemble autour de la petite table d’apéritif.  Je suis toujours nu à la demande de mon Maitre et à genoux.Fabienne, comme Patrick s’est rhabillée, elle a retrouvé tous ses esprits et sa prestance. Mais son regard est fuyant, aurait-elle un peu honte d’elle même ?
Mon Maître m’annonce que la nuit prochaine, il la passera avec Fabienne chez elle. J’apprends par la même occasion qu’elle a été mariée mais que son ex-mari, médecin lui aussi, la trompait régulièrement avec sa secrétaire médicale, une certaine Sandrine. Elle a divorcé illico et depuis elle est seule. Elle vit dans un petit T3, pas très loin, à Hyères -  Un cœur à prendre ….
Patrick veut me voir demain dmanche, chez Fabienne ; Fifille est chargée de leur apporter des croissants tout frais pour 10H00 tapante – ils en auront besoin pour reprendre des forces me dit-il.
Ils sont partis, Patrick a refermé la porte derrière eux, entraînant Fabienne, la main posée sur ses fesses. Je me retrouve seul, nu. Je vais à la fenêtre, je les vois s’éloigner tous les deux bras dessus bras dessous sur le trottoir, en face. Ils vont faire l’amour cette nuit, je revois l’image du corps de Fabienne, je me caresse sans y penser, ma queue est molle mais excitée , mon ventre se serre,  et mes testicules sont pris soudain d’un violant spasme, j’éjacule brutalement quelques gouttes de sperme très liquide, juste un petit jet, pas très puissant, tombe sur le carrelage en dessous de la fenêtre. Je dois nettoyer.
J’ai passé une bonne nuit, le repos du guerrier …. enfin c’est de l’ironie. Un petit déj. très vite avalé, une douche  mais le temps s’écoule lentement, mon esprit est occupé, je pense à ce qui m’arrive, ma soumission à Patrick, la confirmation de ma bisexualité, mes retrouvailles avec Fabienne sous un angle que je n’aurais imaginé, je suis bientôt prête, je sors, trouve une boulangerie, demande 6 beaux croissants, pour mon Maître et ma Fabienne, et je file à Hyères.
10h00 - je suis ponctuelle. Je sonne, « C’est Philippe » , la porte s’ouvre au bout de quelques secondes, ascenseur, me voilà à la porte de l’appartement de mon amie. Elle est entrouverte, je frappe, j’entends Patrick qui crie : « Entre et ferme derrière toi, Fifille !»  et je reconnais le rire franc de Fabienne.  Je m’approche de la chambre mon sachet de croissants à la main. Tous les deux sont encore sous les draps ; Patrick m’indique qu’ils n’en ont pas fini, mais en attendant de me mettre à poil et de passer l’aspirateur dans la cuisine, de préparer le petit déjeuner pour eux deux et surtout de refermer la porte à cause du bruit.  Ce que je fais. Je passe l’aspirateur depuis un petit moment, après avoir dressé la table, j’ai trouvé 2 bols sur une étagère, du thé et du beurre,  puis je m’essaye dans la cuisine en attendant… parfois j’entends de petits gémissement et de petits cris venir de la chambre au fond, surtout Fabienne qui semble prendre beaucoup de plaisir. Je suis content pour elle.
Enfin la porte du fond s‘ouvre Patrick en sort le premier suivi de Fabienne. Patrick a revêtu un boxer court qui sculpte bien ses formes, Fabienne une long tee-shirt qui lui va à ravir.« Allons un peu voir ce que nous a apporté Fifille à déjeuner ; j’ai une faim de loup » …Tous deux s’asseyent face à face dans la cuisine ; Patrick m’indique de m’agenouiller et de passer sous la table en attendant qu’ils aient fini. Ils discutent de tout et de rien, sans moi, affamés des longs efforts fournis durant cette nuit. La main de Patrick passe sous la table, il sort sa verge à nouveau en érection, et m’attrapant par les cheveux m’attire vers elle. Un seul mot pour moi :« Suce ! ». Je m’exécute, en fait j’en avais envie et n’aurait jamais osé le lui demander. C’est presque frénétiquement que j’avale son beau membre. Je commence en avoir l’habitude.
Ils ont interrompu leur conversation. Fabienne est venue sur le coté de la table, agenouillée ; elle s’est penchée et depuis quelques secondes me regarde en action en train de pomper mon Maître. « Il est mignon ! »dit elle en parlant de moi« ELLE est mignonne ! « précise Patrick
Patrick s’est enfin levé de table. « On a des choses à se dire ! »Il s’est installé dans l’unique fauteuil du salon. Il m’a demandé de rester à ses pieds ; il a demandé la même chose à Fabienne qui lui est bien soumise apparemment aussi ; elle est nue, tout comme moi. On est comme 2 chiots.

« Voilà ! », nous dit-il, «  Je vais vous laisser tous les deux, je reprends ma route tout à l’heure. j’ai pris un bon moment de plaisir à vous retrouver, et comment dire, la situation est un peu plus claire. Vous êtes des soumis tous les deux, pour Fifille c’est plutôt inattendu, pour Fab je savais. Fifille c’est même plus que cela, c’est une chienne. Alors je vais vous laisser tous les deux mais avec des consignes.
Le travail de Fab lui prend beaucoup de temps, et il lui en reste très peu pour les tâches ménagères. Elle me la dit.
Fifille tu t’occuperas de son ménage désormais que tu feras régulièrement. Fabienne doit pouvoir compter sur toi.  Tu lui seras soumise et tu seras sa chienne. Tu lui obéiras au doigt et à l’oeil à partir de maintenant ; elle fera de toi ce qu’elle veut.Fabienne tu me rendras compte régulièrement. Je te veux aux pieds lorsque je repasserai par ici dans quelques mois.  C’est compris vous deux ? »— « oui Maitre » c’est notre réponse simultanément.
Patrick est parti. Nous l’avons embrassé tous les deux, Fabienne sur les lèvres, moi sur la queue. A tous les deux il a mis une tape en retour sur les fesses. Fabienne est triste, cela se sent, moi aussi mais moi j’ai Fabienne pour moi tout seul désormais.
Je reste silencieux debout à côté d’elle.
Elle me dit «  Bon, je vais m’occuper de toi à présent , j’espère être à la hauteur, mais j’ai mes petites idées». Comme en a parlé Patrick, tous les samedi matin vers 9h00 tu viendras faire le ménage et la propreté, je compte sur toi. Je suis seule en ce moment donc ne t’inquiéte pas de trouver du monde chez moi. Tu auras ton trousseau de clefs. Je suis là ou je ne suis pas là, peu importe - tu entres, tu te déshabilles complètement dans le hall et tu me rejoints. Tu passes ensuite l’aspirateur – tu as vu là où il est. Tu continues par le ménage à fond, et tu ranges la vaisselle, si elles en ont besoin, tu fais aussi les vitres.Quand tu veux me parler tu me demandes la permission et quand tu t’adresses à moi tu commences par « Madame ». Ne me touche pas, jamais ! c’est ok ? »— « oui Madame ! »« tu commences dès samedi prochain, si je suis satisfaite de toi je te récompenserai. Tu sais je ne suis pas une dominatrice naturellement  comme tu as du t’en rendre compte – c’est même l’inverse – mais je le fais car j’ai besoin de toi, tu me rends service, et parce que Patrick me l’a ordonné et à toi aussi. Je ne te cache pas que cette situation m’arrange.Tu resteras « Fifille » puisque cela semble te convenir, je n’aurais jamais imaginé t’appeler un jour comme cela mais compte tenu de ce que je t’ai vu faire avec Patrick, et que tu es une lopette, ce surnom te va à ravir.Bon Fifille, c’est pas tout, mais j’ai affaire au Cabinet  et régler quelques autres affaires persos ! Tu peux rentrer chez toi je compte sur toi samedi sans faute ; allez file ! »
Elle accompagne ces dernières paroles d’une claque sur mes fesses, bien sentie, pour bien me faire voir que désormais c’est d’elle dont je dépends. Je me rhabille vite, et c’est la queue entre les jambes, un peu vidée, que je rentre dans mon appartement, après ces 2 journées bien remplies où ma vie à pris un nouveau tournant.
Autant dire que j’ai hâte d’être une semaine plus tard et combien le temps semble long quand on est dans cet état de soumission et de dépendance. C’est samedi et le devoir m’appelle, avec beaucoup d’envie mêlée à pas mal d’appréhension j’avoue. Je me gare sur le petit parking résidentiel de Fabienne. Je sonne. C’est elle qui répond, qui m’ouvre ; « Monte et fais comme on a dit ! ».Arrivé sur le palier, je pousse la porte, la clef est engagée dans la serrure, je ferme derrière moi. Je me déshabille, je plie mes vêtements que je range sur une chaise posée juste à l’entrée, à côté de ma sacoche et mes papiers et je pars retrouver Fabienne – elle est dans le salon, assise dans le fauteuil à m’attendre. De l’index elle m’indique ou m’assoir : Dans un coussin posé à ses pieds. « A genoux !» m’ordonne t’elle. Ce sont les premiers ordres que je reçois directement de Fabienne.
« J’ai beaucoup réfléchi à nous cette semaine, je te remercie d’avoir accepté ce que t‘a demandé de faire pour moi Patrick ; tu n’étais pas obligé d’accepter, d’ailleurs de mon point de vu tu as toujours le choix. Réfléchis encore bien et dis-moi si tu souhaites réellement travailler pour moi  en étant cette Fifille dont t’a affublé Patrick ?« Oui Madame, je le désire, Vraiment ! »« C’est bien je m’attendais un peu à cette réponse, même si j’avais espéré que tu te révoltes un peu, et que tu sois, auprès de moi, un peu plus un homme ! J’ai dit que je te récompenserai pour tes efforts – comme j’ai vu que tu appréciais me lécher les pieds, tu auras le privilège de le faire à chacune de tes venues, car moi aussi j’ai pris beaucoup de plaisir à te voir faire. Tu prendras soin de mes pieds en plus de mon appartement. Allez Fifille au travail  et soit efficace !
Efficace je l’ai été pendant un peu plus de 2 heures – le temps pour qu’un appartement de 3 pièces brille. Fabienne est passée de temps en temps regarder, sans rien dire, juste un sourire un peu moqueur de sa part sur les lèvres.  J’ai honte, mais j’aime cela.  Quand j’ai eu fini elle m’a en effet offert ses jolis pieds à lécher. Pendant vingt bonnes minutes j’ai pris un plaisir fou à le faire et elle s’en est rendu compte. Je n’ai pas osé porter mon regard plus haut que ses mollets malgré sa robe plutôt courte. Puis elle m’a dit simplement « arrête ». Elle s’est levée et est passée dans mon dos puis à saisi mon sexe et mes testicules à pleines mains,  avant de tirer l’ensemble vers l’arrière ; elle m’a saisie et secoué me disant que tout cela lui appartenait et qu’elle en ferait ce qu’elle veut.  Elle s’est alors baissée et a embrassé mes testicules furtivement puis m’a dit que je pouvais rentrer.
Je suis sous le charme …. je devrais être plus vigilante sur la route.....
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