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moi,les putains chinoises et maman

Chapitre 1

Inceste
"Maman, ce soir je ne mange pas à la maison,je vais à Paris.Je dînerais dans une brasserie sur place et ensuite direction Belleville.Je vais aux Chinoises ce soir;aux putes Chinoises."
C’est ce que j’annonçais à ma douce maman ce samedi matin de juin.Le soleil brillait déjà,l’air était doux et la journée se promettait d’être belle.A cette époque j’étais encore puceau,je venais de fêter quelques semaines plus tôt mes dix-neuf printemps et je ne pensais qu’à baiser.J’étais depuis déjà longtemps obsédé par les femmes asiatiques.Je ne parvenais pas à me l’expliquer,c’était ainsi.Ces filles d’extrème- orient me plaisaient,j’aimais le mystère de leurs yeux bridés et puis j’avais lu qu’elles étaient étroites du vagin,plus serrées que les autres,et depuis je n’arrêtais plus de fantasmer sur le trou exigu qu’elles cachaient entre leurs cuisses.
Je passais quasiment tout mon temps libre sur le net à mater des films porno mettant en scène des femmes asiatiques.Je matais des photos porno de femmes extrème-orientales et finalement j’avais découvert un site dédié à la prostitution dont un des forums était consacré aux "marcheuses chinoises" qui officiaient sur la capitale.Il m’arrivait fréquemment de me masturber en lisant les aventures sexuelles avec les putains Chinoises des hommes qui postaient sur ce site.Je n’en pouvait plus, j’avais à mes 18 ans, passé mon permis de conduire,l’avait obtenu et je m’étais acheté une petite voiture d’occasion.Ainsi équipé j’avais enfin pris la décision d’aller visiter ces braves travailleuses Chinoises qui oeuvraient 24/24h et 7/7j. au rapprochement et à l’amitié Franco-Chinoise, d’ou l’annonce à ma chère maman ce beau matin d’été.Celle-ci se figea et en resta sans voix.La pauvre,elle n’en revenait pas son fils adoré,son petit chéri,voilà qu’il lui annonçait tout benoîtement qu’il allait aux putes.
-"Mais,ce n’est pas possible,voyons Lucas tu es encore puceau"-"Exact maman,lui répondis-je,et c’est bien pour cette raison que je vais aux putes ce soir.J’en ai assez d’être puceau, ce soir je le perds,mon pucelage bien sur,et avec une Chinoise de plus".
Je regardais ma mère pendant que je lui assénait cette nouvelle.Elle était belle.Elle avait de longs cheveux d’un noir de jais et des yeux d’un bleu très purs.Ce matin là,elle portait une jupe noir qui moulait admirablement ses petites fesses charnues.Juchée sur des chaussures à talons hauts,ses longues jambes gaînées par la soie noire d’une paire de bas,elle se mit à arpenter nerveusement le salon.Je ne pus m’empêcher de loucher sur ses formes,le galbe de ses hanches,ses jambes fuselées,son adorable petit cul bien rond.Elle ne paraîssait pas ses 42 ans.
Je dois avouer que ma mère fut la première femme sur laquelle je fantasmais.Plus d’une fois j’avais reniflé ses petites culottes sales et j’avais juté très fort dessus les souillants encore un peu plus de mon sperme poisseux.
-"Lucas, ce n’est tout simplement pas possible.Tu ne peux quand même pas découvrir l’amour entre les bras d’une putain.L’amour c’est quelque chose de beau,de tendre,de délicat.Ces filles là, pardonne moi l’expression,ne sont que des vide-couilles.Il n’y a aucune tendresse possible avec elles.Elles ne sont interessées que par l’argent et puis elles sont sales.N’importe qui peut aller coincer son zob dans leurs trous moyennant rémunération.Tu ne voudrais tout de même pas attraper une maladie?"
Ma mère s’emportait et tout en s’énervant son langage se faisait obscène.
-"Non, je ne peux y croire,pas mon petit, pas mon fils avec une putain,une putain de rue.Mon dieu ce n’est pas possible, je suis en plein cauchemar."
-"Voyons maman, je ne vais tout de même pas rester puceau toute ma vie.Je n’ai pas vocation à finir curé et à faire voeu de chasteté.Les putains Chinoises de Belleville ce sont les moins chères; pour 50€, en négociant peut être 40 ou même 30 il est possible de se faire piper et de la baiser en missionnaire avant de se finir en levrette."
-Non, cela suffit Lucas,je ne veux plus entendre ces insanités sous mon toit.Je t’interdit d’aller voir ces filles de mauvaise vie.Elles sont vieilles,laides,sales et repoussantes.Je le sais, je suis déjà passé par Belleville au cours d’une promenades avec mes amies et je les ai vues ces fameuses péripatéticiennes,ces hétaïres venues de Chine.Je peux donc t’affirmer qu’elles sont affreuses."

-C’est bien possible maman,mais elles sont serrées.Tout le monde sait que les femmes asiatiques sont plus étroites que les autres au niveau de leur vagin."
-Serrées,serrées,mais il n’y a donc que cela qui compte pour toi?L’étroitesse du trou dans lequel tu vas tremper ton biscuit?.Qui plus est ce ne sont que des légendes, je peux t’assurer moi que des femmes blanches sont aussi,si ce n’est plus exigues,que les Chinoises.Sans aller plus loin moi-même je suis extrèmement serrée de la moule."
-Ah,tiens,c’est une information intéressante.Je suis très heureux d’apprendre que ma maman,belle comme un coeur,possède une petite chatte bien étroite."
-"Oui cela te fait fantasmer que ta maman te parle salement et te donne des renseignements sur son anatomie mais pourtant tu préfères aller te payer une pute chinoise."-"Cela dépend,si tu me proposes une partie de jambes en l’air cela mérite réflexion.Baiser ma maman c’est tout de même une idée terriblement excitante."
-"Petit salopard,dégueulasse, tu es prêt à me sauter, moi ta maman, c’est de l’inceste,cela ne doît pas se faire,tu es sorti de ce trou que tu convoites désormais."-"Justement, c’est ce qui est excitant, baiser le trou qui m’a donné la vie.Si tu es d’accord maman, alors là moi je dis oui.Et puis avec toi je suis sur de n’attaper aucune maladie et encore plus je fais des économies car,n’étant pas putain maman,tu ne te feras pas payer.Je trouve moi,qui plus est,que c’est tout à fait normal qu’une maman dépucèle son fils et qu’elle lui apprenne l’amour.Tu feras alors une bonne action.Il n’y a, je pense,rien de plus beau au monde que l’amour entre une mère et son fils.Alors maman,aimons nous."
-"Mon dieu,mon chéri,je ne sais plus quoi penser,quoi dire.Faire l’amour avec toi,avec mon fils...Si nous le faisons,si je te laisse me sauter,tu es sur,tu me promets que tu n’ira jamais voir les putains?"
-"Je te le jure maman,je n’aurai plus besoin d’aller aux putains puisque ma putain ce sera toi."
Disant cela, je m’approchai de ma maman et je collais ma bouche contre la sienne en un baîser langoureux.Nos langues se mêlérent,nos salives se mélangèrent et je profitais de ce moment de tendresse pour peloter les seins et le cul de ma génitrice.Je bandais comme un âne.Ma bite enserrée dans mon pantalon me faisait mal,j’avais l’impression qu’elle allait faire exploser ma braguette.Soudain, je sentis la main de ma mère qui me branlait à travers mon froc.Je gémis sous la caresse.N’y tenant plus, je culbutais ma mère sur le divan qui avait eu le bon goût de se trouver juste derrière elle.Je lui dégageais sa poitrine opulente et me mis à têter ses gros nichons qui m’avaient nourris étant bébé.Je lui troussais sa jupe et otais sa petite culotte.Je ne pus m’empêcher de porter le délicat sous-vêtement féminin à mes narines et d’en humer les agréables fragrances qui en émanaient.Ce n’était pas,comme je l’ai déjà dit, la première fois que je reniflais les slips de ma mère et les culottes de ma maman avaient été sources de bien des branlettes dans mes fantasmes d’adolescent.Je la doigtais délicatement et j’eus alors la confirmation qu’elle était réellement très étroite.J’avais hâte de coincer ma queue dans sa petite cramouille toute brulante.Après lui avoir bouffé son clitoris,enfoncé ma langue bien pronfondément dans sa moule, l’avoir bien faît mouiller et gémir.Je frottais mon zob à l’entrée de sa petite fente et poussant délicatement je la pénétrais.Je laissais échapper un cri.Enfin, je venais de prendre ma mère,c’était chaud,c’était doux et humide.M’accrochant au cul de ma mère je commençais à la limer.Ma maman avait elle aussi criée lorsque j’étais entré en elle.L’excitation,le plaisir,l’interdit de se faire piner par son fils avait été trop fort.Ma pine allait et venait dans la chatte de celle qui m’avait mis au monde.Je ne pouvais m’empêcher de penser que j’allais jouir dans son ventre,dans ce ventre ou j’avais séjourné neuf mois durant.Ma mère se tordait de plaisir sous les coups de boutoir de mon zob dans sa moule.
-"Pine moi chéri,pine moi fort." me sussura t’elle entre deux gémissements.
Je lui obéis et accélérait mes coups de queue en elle.Je lui ramonais bien à fond la cheminée.
-"ah, mon chéri ce que c’est bon,elle est grosse ta pine,tellement épaisse.Elle est plus longue et plus épaisse que celle de ton père.Est ce que je te serre bien mon amour?Tu aimes baiser ta mère? C’est bon,hein? Je suis quand même meilleure que les putains de belleville.Dis moi, mon amour que tu ne regrettes pas de ne pas avoir été aux Chinoises."
-"Oh maman,non je ne regrette pas.C’est toi maman que je voulais défoncer,c’est en toi que je veux jouir.Tu la meilleure de toutes les baiseuses au monde."
-"Je te serre bien mon chéri?"
-Oh oui maman.C’est tellement bon.Oh maman, je vais jouir,je sens que je vais jouir,je sais que je vais jouir.Oh maman,je ne peux plus me tenir.Maman, je me laisse aller.Maman,Maman,je crie,je jouis."
-"Oh oui,mon amour,mon tout petit,jouis,jouis fort dans le ventre de ta maman qui t’aimes tant.Oh mon chéri,oui,arroses moi.Oh,c’est bon,ton sperme en moi,c’est chaud,c’est chaud dans mon sexe.Je jouis mon chéri,je jouis moi aussi.Tu fais jouir ta maman mon ange."
Je m’effondrai sur le corps de ma mère,épuisé par la séance de baise intense que je venais de vivre.Les couilles vidées, j’étais heureux.Ma mère me couvrait de petits baisers,me caressant les cheveux d’un geste tendre et me murmurant à l’oreille des mots d’amour, sa chatte dégoulinante de cyprine et de mon foutre mêlés.J’avais ma putain,une putain à domicile,une putain qui aimait baiser,une putain qui aimait baiser avec la grosse pine de son fils :ma mère.De coups de bite elle n’allait plus en manquer désormais,mes prochains objectifs étant de me faire sucer par elle et qu’elle avale mon jus,qu’elle se nourrisse du foutre de son fils puis de l’enculer.J’allais faire de ma douce et jolie maman une grosse putain encore plus salope que les putains de rues.Les Chinoises ce seraient pour plus tard.
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