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Moi, Mia

Chapitre 1

Ma première fois

Hétéro
Je m’appelle Mia, et je suis ici pour vous raconter mon histoire. Je le fais sur ce site parce que je sais que vous qui me lisez ne jugez pas.
Je suis née le 28 avril 1995, j’ai donc 22 ans à l’heure où j’écris ces lignes. Mais mon histoire commence peu après mes 18 ans. Je viens alors d’entrer en prépa scientifique à Lyon, ma ville natale, après un baccalauréat obtenu avec brio. Je n’ai encore aucune expérience sexuelle, car je préférais jusque là me concentrer sur ma réussite scolaire. Et puis jusqu’à présent je vivais chez mes parents en banlieue, mais ils ont enfin accepté de me payer un studio dans le centre ville, ça sera peut-être l’occasion !
Un mardi soir de décembre, je vais comme d’habitude travailler à la bibliothèque universitaire après les cours. Je m’installe à une grande table à laquelle je suis toute seule. Une demie-heure après mon arrivée, un gars s’installe juste en face de moi. Il est brun, assez banal bien que physiquement agréable. Je n’y prête pas plus attention, et très vite la sonnerie de 20 heures qui annonce la fermeture de la BU retentit. Ayant étalé mes affaires de partout, je suis la dernière à sortir, et au moment de quitter ma place j’aperçois un papier à l’endroit où était assis le gars.
Je le saisis pour le mettre à la poubelle (j’ai horreur des détritus qui traînent et je ne vois pas pourquoi d’autres devraient nettoyer nos saletés en échange d’un salaire de misère). Mais en jetant un coup d’oeil sur la feuille mon regard est attiré par le texte qui y est griffonné.
“Bonjour Mademoiselle, Je n’arrive pas à travailler tellement vous me subjuguez. Si nous nous recroisons j’aimerais beaucoup vous inviter à boire un verre. En espérant que vous trouverez ce mot, Robin”
Je n’y crois pas… J’ai souvent droit à des remarques sur mes longs cheveux blonds, mes yeux gris-vert assez inhabituels ou sur ma silhouette finement taillée, mais c’est bien la première fois qu’un garçon m’aborde de cette façon ! Je ne sais pas trop quoi en penser, je trouve ça à la fois mignon et un petit peu vexant qu’il ne semble s’intéresser à moi que pour mon physique !
Je rentre chez moi à pied, et sur le trajet j’en parle au téléphone à mon meilleur ami Charles. Je vous reparlerai de lui à l’occasion, il est adorable et me fait trop rire. En entendant mon histoire, il est tout enjoué et me dit qu’il trouve ça trop romantique et que je devrais laisser une chance au fameux Robin et lui répondre de la même façon quand je le reverrai. Un peu comme un pari, j’accepte sa suggestion.

Le surlendemain, jeudi, je suis à nouveau à la BU pour travailler. J’ai choisi une place qui me permet d’avoir une bonne vue de l’entrée pour être sûre de ne pas louper Robin s’il se pointe. J’ai prévu mon petit mot qui accepte l’invitation à aller boire un verre, mais sans préciser où et quand, ni lui donner mon numéro. J’ai mon petit plan en tête.
J’attends qu’il s’installe en me cachant pour qu’il ne vienne pas à côté de moi, puis je plie mes affaires et passe ostensiblement devant lui en posant le mot sur son bouquin de maths. Il est bientôt 20 heures, la bibliothèque ne va pas tarder à fermer et je suppose donc qu’il est venu uniquement dans le but de me voir.
Une fois dehors, je passe le coin de la rue et j’attends qu’il sorte. Je veux le suivre pour savoir où il habite, sans me faire repérer. Il ne tarde pas à quitter la bibliothèque à son tour. Il semble me chercher du regard, mais je suis bien dissimulée dans la nuit hivernale. Je remarque alors que, contrairement à ce qu’il m’avait semblé la première fois, il est vraiment très séduisant, musclé juste comme il faut et je distingue un beau petit cul sous son jean Levi’s assez moulant. Je prie pour qu’il n’habite pas loin et que je puisse donc le suivre à pied.
A mon grand soulagement, il habite effectivement dans un petit immeuble à quelques centaines de mètres. Je le vois taper le code : 8572. Une lumière s’allume au 3ème étage peu après son entrée. Au risque de passer pour une psychopathe, je rentre dans l’immeuble et découvre sur la boîte aux lettres qu’il s’appelle Gaumier. Robin Gaumier.

Il est 2h du matin. Je suis chez moi, sous la couette, et ce qui s’est passé tout à l’heure m’empêche de dormir. Je pense à Robin. Mon corps n’est pas insensible à ses charmes, et il l’exprime clairement. Sous ma nuisette, je sens que mes tétons deviennent durs et que mon minou s’humidifie. Allongée sur le dos, je repousse la couette à mes pieds et écarte les jambes. Mes mains viennent titiller mes seins. Ils sont de taille moyenne et fermes, mais j’aime tout de même sentir qu’ils s’écrasent sur mon thorax sous leur propre poids. Je les malaxe, puis ma main droite descend d’elle-même vers mon intimité. Je caresse toute la zone de mon pubis, que j’aime à maintenir parfaitement glabre et douce.

Ma chatte est déjà toute mouillée d’envie, j’imagine déjà la grosse bite de Robin en train de me pénétrer. J’ai toujours aimé me caresser, mais ce soir c’est meilleur que d’habitude. J’introduis un doigt dans ma fente trempée puis remonte me caresser le clitoris gorgé de sang. J’écarte encore un peu plus les jambes et avance mon bassin pour mieux satisfaire mon désir. Mes doigts ne me suffisent pas, mon corps réclame plus.
Sans réfléchir, la chatte trempée et les tétons durs comme du verre, je me lève et attrape mon gros manteau d’hiver. Je l’enfile, je ne porte toujours que ma nuisette sans rien d’autre en dessous. Tout en me demandant si ce que je fais est une bonne idée, je parcours rapidement le trajet qui me sépare de chez mon futur amant. 8572, escaliers, Gaumier. Je frappe. Rien. J’insiste. J’entends du bruit à l’intérieur, et mon coeur se met à battre la chamade quand je réalise soudain ce que je suis en train de faire.
Il ouvre. Il a l’air dans les vapes et ne porte qu’un boxer. Je remarque qu’il est effectivement très sexy, comme je l’avais imaginé. Sans lui demander son avis et sans me démonter, je rentre dans son appartement. Tout est éteint, mais je reconnais un petit studio d’étudiant. Un matelas deux places positionné dans un coin fait office de lit. Je laisse tomber mon manteau à terre et m’allonge dessus, les jambes écartées, comme la dernière des trainées. Il m’a reconnu et ferme la porte en hâte.
Naturellement, il vient se positionner au-dessus de moi, et dépose un baiser sur mes lèvres. Bien que ce ne soit pas ce que je suis venue chercher, ce smack m’électrise et je sens ma chatte mouiller et s’ouvrir un peu plus. J’attire sa tête dans mon cou et lui murmure à l’oreille : “Fais moi jouir avec ta langue”.
Sans se formaliser, il descend et commence à faire courir ses lèvres sur l’intérieur de mes cuisses, tout en évitant soigneusement ma petite chatte bien épilée. Ca me rend folle, j’ai juste envie qu’il me dévore ! Mon bassin se soulève tout seul pour lui montrer que je veux sa langue. Finalement, il répond à mon désir. Il m’écarte les grandes lèvres délicatement tout en les mordillant légèrement. Je sens sa bouche qui épouse mon con, sa salive qui se mélange à ma cyprine. Je n’ai jamais eu autant envie de jouir de ma vie.
Sa langue trouve mon bouton d’amour et se met à le travailler. Je ne contrôle plus mon corps, je m’entends lui dire dans un râle :
“Oh ouiii, vas y lèche-moi bien la chatte ! Elle est toute à toi, et elle veut ta langue, fais moi jouir, ouiiiii, je suis ta chienne !”
Il s’applique, sa langue fait des va-et-vients frénétiques entre ma fente et mon clitoris, et très vite je sens l’orgasme monter en moi. J’attrape sa tête avec mes deux mais pour coller ses lèvres à ma petite chatte, et je jouis dans une série de spasmes qui me terrassent. Il se relève, et avisant la bosse dans son boxer, je lui dis :
“Baise-moi Robin, sois ma première fois, j’en ai trop envie.”
Joignant le geste à la parole, je m’assoie sur le matelas et caresse son membre à travers son caleçon. Je le sens bien dur. En une seconde, je le déshabille complètement et reprends la pose lascive que j’avais juste avant. Je remonte ma nuisette pour lui dévoiler mes seins, et écarte à nouveau les jambes comme une invitation.
Il ne se fait pas prier, et vient se positionner sur moi, sa verge bien bandée à l’entrée de mon intimité. Je la caresse de la main droite, puis la saisis pour le branler un peu et le placer juste devant ma chatte qui n’attend que de se faire pénétrer à nouveau, mais par une grosse bite cette fois.
Il s’introduit en moi et je sens comme une décharge électrique me parcourir le corps. Je n’ai pas mal du tout, au contraire, c’est chaud et bon. Je lui fais savoir qu’il me fait du bien.
“C’est bon, Robin, prends-moi bien.”
“Tu sens que je suis bien dur pour toi ? Tu as vu comme tu m’excites ?” me répond-il.
“Oh oui, je sens bien ta grosse queue dans ma petite chatte, j’aime quand tu me prends bien”
“Mets-toi à quatre pattes alors”
Je m’exécute, lui offrant une vision parfaite de mon petit cul qui plaît tant aux hommes. Il me pénètre sans ménagements, ma chatte est de plus en plus mouillée et j’ai envie que ce gros chibre me défonce pendant des heures. Je sens un deuxième orgasme qui arrive grâce à ses coups de boutoir réguliers bien au fond de mon vagin.
“Continue, ne t’arrête surtout pas, tu vas me faire jouir à nouveau !”
Encouragé par mes cris, il accélère encore la cadence et ses coups se font de plus en plus brutaux. Je sens que je vais jouir, je me cambre encore plus pour que sa bite me comble pleinement.
“Ouiiiiiiii Robin je jouis sur ta queue ! Ooooh ouiiii !!”
“Je vais jouir aussi !!”
“Attends, je prends pas la pilule, je veux que tu me jouisses sur le visage, souille moi !”
Il se retire de ma chatte et je me tourne face à lui. Je me mets à genoux, je vois sa queue en gros plan. Comme je l’ai vu dans certains films pornos (il m’arrive d‘en regarder), j’ouvre grand la bouche, tire la langue et place la tête en arrière. Je le regarde se branler frénétiquement au dessus de mon visage. Je ne sais pas ce qui me prends, je ressens une irrésistible envie de sentir son sperme s’écraser sur mon visage et sur ma langue.
Je lui saisis les couilles pour l’exciter encore plus, et très vite je vois qu’il est sur le point de jouir. Je gémis de plaisir quand je sens la première giclée me recouvrir du menton jusqu’aux cheveux. D’autres suivent rapidement, et je finis souillée, humiliée mais heureuse. Je récupère tout le sperme qui recouvre mon visage avec mes doigts et avale tout méthodiquement, sous le regard médusé de Robin. Puis je remets ma nuisette comme il faut, et lui demande :
“Je peux dormir ici ?”
“Fais comme chez toi, mais je veux savoir ton nom.”
Il s’allonge derrière moi, et avant de sombrer dans un sommeil de plomb au creux de ses bras, je lui murmure : “Mia.”
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