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Moi, Mia

Chapitre 2

Plaisirs buccaux

Hétéro
Attention : Il est conseillé de lire les chapitres de cette histoire dans l’ordre. Vous êtes ici au chapitre 2. Bonne lecture !

Je me réveille tôt, toujours collée à Robin, qui respire paisiblement derrière moi. On est vendredi, je dois donc être en cours à 8 heures. Je me dis que je vais avoir beaucoup à raconter à Charles, mon meilleur ami qui est dans ma classe.
Je récupère mon manteau qui était toujours au sol, l’enfile, et prie pour ne croiser personne que je connais sur le chemin du retour. Fort heureusement, les rues sont encore désertes à cette heure-là et j’ai le temps de repasser par chez moi avant d’aller en cours. Je prends une bonne douche et m’habille, chaudement cette fois. Une jupe mi-cuisse avec des gros collants et un pull large.
Je m’installe à ma place habituelle dans la salle de maths. Nous avons 4 heures d’affilé ce matin, je sens que ça va être dur pour moi de rester concentrée pendant toute la durée du cours, surtout que je suis assise à côté de Charles. Je lui raconte ce que j’ai fait la nuit précédente, il n’en croit pas ses oreilles.
“Attends, tu es allée chez lui pour qu’il te saute alors que c’était ta première fois et que tu ne lui avais jamais parlé ?”
“Oui, mais j’en avais trop envie, et puis c’était super bon, donc je ne regrette pas du tout !”
“Quand même, je ne te voyais pas comme ça, toi qui étais toute innocente jusque là”
“Tu avais raison Charles, une fois qu’on y a goûté on ne peut plus s’en passer. J’ai déjà à nouveau envie de sexe…”
Charles a connu ses premières expériences sexuelles jeune, et depuis il n’arrête pas d’essayer de me convaincre de sauter le pas, et je comprends maintenant ce qu’il a voulu dire depuis tout ce temps. Au moment où je lui fais part de mon envie qui revient, je remarque une étrange lueur lubrique passer dans ses yeux.
C’est mon meilleur ami, on se connaît depuis bientôt 10 ans, et je ne l’ai jamais vu comme un partenaire sexuel potentiel. Je suis donc un peu troublée quand je pense à ce qu’il doit s’imaginer à ce moment-là. Mais le rythme du cours ne nous laisse plus le temps de papoter et la discussion prend donc fin comme ceci…

L’après-midi, je n’ai pas cours et vais donc, encore une fois, à la bibliothèque pour préparer le devoir de physique du lendemain matin (et oui, en prépa on a des devoirs le samedi !). Sans grande surprise, pas de trace de Robin dans les parages. J’aime savoir que je peux le voir si j’en ai envie, vu que je connais son adresse, mais que lui n’ait d’autre moyen de me contacter que de venir à la bibliothèque et prier pour que je sois là.
Ce plan marche parfaitement, puisque je le vois arriver aux environ de 18 heures. Il s’installe à la même table que moi, mais sans me saluer ni même me regarder. Il faut dire qu’il y a pas mal de monde autour, et j’imagine qu’il ne sait pas trop comment se comporter vis-à-vis de moi. Malgré tout, il arbore un large sourire, ce qui me laisse à penser qu’il doit être content que je sois là.

Vers 19h30, conséquence direct du fait que nous sommes vendredi, la bibliothèque s’est presque entièrement vidée. Les gens rentrent chez eux, pressés d’attaquer le week-end. Nous nous retrouvons seuls à notre table avec Robin. Il ne me regarde toujours pas. Il reste une demie-heure avant que la bibliothèque ne ferme. J’ai encore plus envie de sexe que ce matin lorsque j’en ai parlé à Charles. Je sens ma petite chatte qui devient humide rien qu’en regardant Robin du coin de l’oeil et en me rappelant de ce qu’il m’a fait cette nuit, comment il m’a bien fait jouir avec sa langue puis avec sa queue.
J’étends ma jambe vers la sienne et caresse son mollet recouvert par un jean avec le bout de mon pied. Je le sens qui se tend lorsque je remonte jusqu’à son genou. Brisant le contact, je ramène ma jambe à moi et retire mes chaussures. Mon pied nu retourne rapidement contre sa jambe, mais cette fois, je remonte le long de sa cuisse. La plante de mon pied vient alors caresser son sexe au travers de son pantalon. Cette situation m’excite énormément, et je sens que lui aussi, car je sens une grosse bosse sous mon pied nu. Je l’examine en la touchant de partout et en appuyant dessus délicatement. Il ferme les yeux et soupire, s’avachit sur sa chaise pendant que je lui fais du bien avec mon pied nu.
N’y tenant plus, je vérifie que personne ne nous regarde et je me glisse sous la table. A quatre pattes, je me rapproche de Robin. Je m’agenouille devant lui et fais glisser mes mains de ses genoux à la bosse faite par son sexe sous son pantalon. Je suis tellement excitée que j’ai une envie folle qu’il me baise, là tout de suite, mais je sais que ce n’est pas possible. Je déboutonne son pantalon et commence à lui masser la bite à travers son boxer. Elle est grosse, chaude et bien dure. Je ressens une vague de désir me pressant de me l’enfoncer directement dans la chatte, ma main gauche descend me caresser le clitoris avec frénésie.
Je sors sa queue de son enveloppe de tissu, elle jaillit avec une vigueur encore supérieure à hier soir. Je l’observe et la masse tout en continuant à me caresser. Elle est vraiment grosse et longue. Son gland est gonflé de désir, et je vois une goutte de liquide séminal perler au bout tellement il a envie que je lui fasse du bien.
J’approche mes lèvres de ce membre de chair dure et je le lèche sur toute la longueur du bout de la langue. Je fais ainsi plusieurs allers-retours le long de cette queue gorgée de sang. Puis je m’enhardis et ma langue se plaque bien sur la longueur, je la sors à fond et finis par aller titiller le gland en tournant autour et en léchant la base. Je sens Robin qui se contracte tellement il est excité et je l’entends soupirer et gémir aussi discrètement que possible.
Je prends ensuite ses couilles dans ma bouche, l’une après l’autre, tout en le branlant de ma main droite, celle qui n’est pas en train de s’introduire dans ma chatte trempée. Je l’astique sur un rythme d’abord lent, puis de plus en plus rapide, en continuant de lui bouffer les burnes comme si j’étais affamée. Je me fais l’effet d’une vraie salope qui ne peut déjà plus se passer de sexe et qui est prête à tout pour avoir sa dose.
Soudain, il passe sa main dans mes cheveux, en attrape une bonne poignée et m’amène la bouche devant son gland boursouflé dont perle maintenant une quantité importante de liquide séminal. Je lèche ce fluide et le ramène dans ma bouche pour le goûter. Plusieurs fois, ma langue vient s’abreuver de son désir pour ma petite bouche.
Puis toujours sa main dans mes cheveux, il me place la bouche sur son gland et pousse sa queue entre mes lèvres, que j’ouvre grand pour ne pas le blesser avec mes dents. Bien qu’il n’appuie pas fort derrière ma tête je lui pompe goulument le gland. Ma main gauche est toujours sous ma jupe et trois doigts sont dans ma chatte comme pour simuler que la bite qui se trouve sur ma langue est en train de me baiser. De ma main droite je tiens la base du sexe et je caresse les couilles pleines de bon jus dont je veux me repaître.
Je le suce bien, ma bouche s’empale sur son membre et je sens tous les détails de sa forme sur ma langue et contre mes parois buccales. Il me donne des coups de rein qui font que son sexe s’enfonce plus profondément. La main qui tient l’arrière de ma tête se fait plus rigide et il commence à me baiser la bouche. Je dois dire que j’adore ça, mes doigts me besognent le minou, et je sens mon orgasme monter.
Ma chatte est grande ouverte, mes doigts y entrent et en sortent frénétiquement, et cette grosse bite qui me baise la bouche et me fait saliver m’excite terriblement. Tout mon corps est pris de spasmes et je jouis bruyamment, le pieu dans ma bouche faisant office de baillon. Des jets de cyprine viennent inonder le sol tellement mon orgasme est intense. Je gémis, et les vibrations font encore grossir le gland qui occupe ma bouche.
J’accélère encore mes va-et-vients autour du membre de Robin dur comme du bois. Il continue de m’envahir à grands coups de reins. Je sens que sa semence commence à remonter le long de cette longue tige qui m’occupe. Soudainement, il se fige au fond de ma bouche et jouit dans un long râle de plaisir.
Un liquide chaud et visqueux vient s’écraser sur mon palais, ma langue et au fond de ma gorge. Je le pompe comme une grosse salope pour extraire tout son jus. Il m’ordonne d’avaler, je ne veux pas discuter cette instruction. Tout en gardant sa queue en moi, je déglutis plusieurs gorgées jusqu’à avoir avalé tout son sperme. Je nettoie tout de même son gland avec ma langue tout en le gardant en bouche avec un mouvement lent pour accompagner la fin de son orgasme.
La sonnerie retentit, il se libère alors de ma fellation, remet son boxer et son pantalon, plie rapidement ses affaires et s’en va, avant même que j’aie eu le temps de ressortir de sous la table. Je remets à mon tour mes chaussures et quitte le bâtiment, mais il est déjà loin et n’arrive pas à le trouver du regard.
J’hésite alors entre rentrer chez moi ou bien aller jusqu’à chez lui pour qu’il me saute comme la petite salope avide de sexe que je suis devenue en à peine 24 heures…
Dites-moi si vous voulez connaître la suite ;)
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