Le samedi suivant, je n’en peux plus, il faut que j’y retourne. Je descends discrètement et entre dans la pièce. Rien que de me souvenir, je mouille déjà. Cette fois-ci, je prends un gode plus gros et vibrant ainsi qu’un plug anal. Je me mets en lingerie et je commence à me masturber. Un doigt dans la chatte puis deux puis trois. Mais je les remplace vite par le gode, il a un peu de peine à rentrer mais je finis par le mettre jusqu’au fond. Les vibrations m’excitent encore plus. Juste avant l’orgasme, je l’enlève, je mouille mes doigts avec ma cyprine et j’en mets un dans mon anus, je le fouille dans tous les sens. Une fois qu’il est un peu élargi, je pose le plug sur le lit et je m’assois doucement dessus. Je remonte et redescends de plus en plus vite, puis je remets le gode vibrant au fond de mon vagin. Je fais des allers retours rapides avec les deux jouets en même temps. Je m’arrête après trois violents orgasmes et un lit tellement mouillé qu’il a changé de couleur.Je remonte et fais comme si rien ne c’était passé.La semaine d’après, je suis descendu plusieurs fois, j’ai essayé plein de nouveaux jouets et eu de puissants orgasmes. J’ai envie d’y emmener ma meilleure amie pour lui faire connaître le plaisir des sex-toys et de l’amour entre filles. On est mercredi après-midi, je propose à ma copine Émilie de venir jouer chez moi. Elle est assez belle, elle fait 1m60 comme moi et pèse 50 kg. Elle a une poitrine plus grosse que moi et un magnifique cul. Mes parents ne sont pas là. Je lui propose de boire quelque chose puis je lui dis que j’ai un super truc à lui montrer. Nous allons à la cave et je la fais entrer. Sans qu’elle puisse réagir, je la pousse sur le lit et je lui attache les mains aux barreaux. Elle est encore vierge et hétéro mais je compte bien la convertir. Elle me demande ce que je fais un peu paniquée, je lui dis de ne pas s’inquiéter et qu’on va passer un bon moment toutes les deux. Je lui enlève doucement son chemisier, elle essaye de se débattre un peu mais elle finit vite par comprendre que c’est inutile. Elle sait que je suis lesbienne mais elle ne s’attendait pas à ce que je me jette sur elle. Je lui dégrafe son soutien-gorge et commence à lui malaxer les seins. Je sens sa petite culotte qui commence à mouiller. Je lui lèche les seins puis les tétons. Je les mordille, les massent, les tourne... Et sans prévenir, je l’embrasse. D’abord, elle sert les dents puis finit par me laisser passer. Je l’embrasse à plein bouche, j’ai trop envie d’elle depuis des mois. Après l’avoir embrassé et lui avoir bien massé les seins, j’entreprends de descendre vers son minou. Je lui retire sa jupe et son string bien humide et je les jette parterre. Je caresse sa toison puis descends vers ses cuisses. Je remonte sur son sexe et commence à lui caresser les lèvres puis je mets un doigt. Il rentre tout seul. Je fais quelques allers retours puis je lui suce la chatte. J’enfile ma langue dedans et je la fouille, elle a l’air d’apprécier. Ces gémissements sont de plus en plus rapide, elle jouit et me remercie. Je la rassure que ce n’est pas encore terminé. Comme elle est encore vierge, je prends un gode de petite taille pour commencer. Elle appréhende la pénétration mais je lui assure qu’elle est tellement mouillée que ça ne fera pas mal. Je fais le tour de son trou avec le gode avant de le lui enfoncer. Elle pousse un petit gémissement mais le plaisir prend vite le dessus. Pendant que je la pénètre, je lui branle le clitoris. Je la sens partir dans un long orgasme. Une série de spasmes traversent son corps, elle ne retient pas ses cris de jouissance. Maintenant que son vagin est bien dilaté, je choisis un dildo plus gros. Sans lui laisser le temps de reprendre son souffle, je lui enfonce le nouveau jouet au fond du vagin, elle avance le bassin pour mieux l’accueillir. D’un coup, il se met à vibrer. Elle sursaute mais apprécie cette nouvelle sensation. Elle ne tarde pas à jouir, j’avale le plus de cyprine possible et lui lèche toute la chatte. Maintenant, je lui propose la sodomie, elle n’accepte pas mais je ne lui laisse pas le choix. Je sais qu’elle ne va pas le regretter. Je reprends le gode et l’humidifie dans sa chatte puis je le pose sur sa rondelle. Je la pénètre tout gentiment en le ressortant souvent jusqu’à être au fond de son anus. Là, je la sodomise en changeant l’angle et la vitesse. Elle jouit dans un jet de cyprine pendant de longues minutes. Je décide de la faire souffrir, je lui attache les pieds au lit pour qu’elle bouge moins, je lui mets le gode dans le cul et le vibromasseur dans la chatte puis je l’enclenche. Je reprends son string et le lui remets par-dessus les jouets puis je me mets à l’écart pour me masturber avec un vibromasseur en la regardant jouir et me supplier d’arrêter. Après une bonne dizaine d’orgasmes d’affilée, je décide d’arrêter ses souffrances. Je la détache puis lui propose de faire ce qu’elle veut de moi, elle est bien décidée à me rendre la pareille.Comme je suis déjà bien mouillée, elle décide de sauter les préliminaires. Elle m’attache au lit et cherche dans la commode, elle en ressort un gros sexe d’au moins 30 cm. Elle me le fait lécher jusqu’à la base puis le pose sur ma chatte et d’un coup elle l’enfonce tout au fond. Je gémis et pousse un râle de plaisir. Je ne pensais pas que ma chatte était aussi profonde. Elle le fait aller dans tous les sens, si bien que j’ai un violent orgasme et une série de spasmes en quelques minutes. Mais elle ne compte pas s’arrêter, elle le laisse au fond et prends un vibromasseur qu’elle me pose sur mon bouton d’amour, mon point sensible. Elle joue du gode tout en faisant bouger le vibro sur mon sexe. Un second orgasme me traverse et j’inonde le lit. Je n’en peux plus mais elle continue, elle prend un gode ondulé et me le met un coup dans la chatte pour le mouiller puis me pénètre violemment le cul avec. Elle fouille à la fois mon anus et mon vagin, en plus elle me suce le clitoris ce qui me donne d’énormes sensations. Après plusieurs orgasmes à la suite, elle me détache enfin. Nous nous rhabillons et buvons quelque chose pour nous redonner de l’énergie après nos ébats. Nous décidons de nous revoir le plus souvent possible pour remettre ça.
