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Mon beau-père, étalon couleur ébène !

Chapitre 2

Hétéro
Vous savez donc comment a débuté ma relation avec Charles. Cela fait maintenant presque un an que lui et moi entretenons une relation secrète, alors que Charles est le compagnon de ma mère depuis trois ans. Bon nombre d’entre vous doivent être en train de me juger, car je me tape le mec de ma mère. Mais laissez moi vous expliquer certaines choses.
Enfant, j’ai toujours été plus proche de mon père, ma mère, elle n’était pas très intéressée par moi. En effet, elle a rencontré mon père à l’âge de vingt-ans alors que lui en avait déjà trente-sept, il voulait un enfant, elle, l’argent, c’est donc tout naturellement qu’elle lui donna ce qu’il souhaitait.Alors que j’avais environ treize ans, mon père se rendit compte qu’elle le trompait et demanda le divorce. Pour se venger de mon père, elle réussit à obtenir ma garde, en plus d’une pension alimentaire au montant très alléchant, elle en profita pour partir à l’autre bout de la France.
Voilà qui est dit, j’espère que cela saura vous convaincre que je ne suis pas une mauvaise personne.Au début de notre relation, Charles m’impressionnait beaucoup, tout autant que la première fois que je l’ai rencontré, il y a de ça deux et demi, alors que j’avais quinze ans. Il était si viril, si grand, si beau, alors qu’en parallèle, j’étais une jeune adolescente, mon corps en émoi se développait encore. Son emploi lui permettait de travailler régulièrement à la maison, ce qui facilitait nos rapports.
Je me souviens de ce jour de décembre où je rentrais plutôt du lycée, mon professeur d’Art étant absent. Charles, lui, était au téléphone avec un client très important. Comme à notre habitude quand nous sommes seuls, je m’empressai de le rejoindre dans son bureau, alors que je m’approchais de lui, il me fit signe de patienter. D’humeur coquine, tandis que lui se déplaçait avec sa chaise pour chercher un papier, je me faufilai sous son bureau, ce que mon beau-père ne remarqua pas, trop absorbé par sa conversation. Alors qu’il revint à sa place, ma main se mit à caresser doucement son entrejambe. Il se recula pour constater ma présence, tout en me souriant avant se remettre au même endroit, comme si de rien était. Excitée par la situation, ma main se fit plus pressante. Très vite, elle arrêta de caresser pour ouvrir la fermeture de son jean et ma bouche vint accompagner ma main. Ce traitement semblait lui plaire parce qu’il était désormais très dur. Mais alors qu’il était sur le point de raccrocher et que je m’imaginais déjà les choses devenir sérieuses, ma mère fit irruption au sein du bureau. Elle rentrait plus tôt, elle aussi. N’ayant pas eu d’intimité avec Charles depuis presque deux mois, ce qui correspondait au début de notre liaison, elle lui proposait de profiter de mon absence pour se « remémorer de bons moments ». Tandis que Charles tentait de la faire sortir, je reprenais la fellation que j’avais commencée quelques minutes auparavant.
« - Je suis désolée, Rosa, mais je suis en plein boulot. Je dois organiser une réunion avec des investisseurs.     - Oui, mais tu pourrais mettre ça à plus tard, non ? J’ai très envie de toi, maintenant, je suis exprès sortie du boulot plus tôt.    - Non désolé, c’est impératif, lui dit-il alors qu’il avait de plus en plus de mal à se concentrer.     - Bon si c’est comme ça, je vais prendre un bain, n’hésite pas à me rejoindre si l’envie t’en prend.     - D’accord, je n’y manquerais pas ! »
Ma mère étant sortie du bureau, Charles se recula.
« - Et bien, c’était moins une ! Me dit-il en me souriant.     - Oui, mais je crois que ça t’a plu, petit coquin! »
Il se mit alors à rire et m’attira contre lui pour m’embrasser avec fougue.
« - Tu sais, ta mère reste toujours des heures dans son bain, on pourrait reprendre ce que tu avais si bien commencé. Me proposa-t-il
    - Mmmm, je ne vois pas du tout de quoi tu parles ! »
Il m’a alors saisi pour m’installer sur son bureau, face à lui. Il posa alors sa grande main sur mon ventre afin de me forcer à m’allonger. Il en profita pour m’ôter mon jean, avant de m’écarter les cuisses. Il commença alors à embrasser mon intimité à travers ma simple «culotte petit bateau » rayée. Déjà très excitée, je commençai très vite à gémir.
« - Ça te plait mon cœur ? Tu as envie de moi ? Me demanda t-il    - Oui ! Répondis-je avec un signe de tête affirmatif »
Charles s’est alors levé après avoir ôté ma culotte. Il a présenté son sexe à l’entrée de mon vagin puis si est enfoncé. Il me prenait ainsi, en tenant mes jambes levées, pendant que je me contentais de gémir, de lui en demander toujours plus. Après un bon moment de ce traitement, il me fit me lever, en profita pour me m’embrasser, avant de me pencher, le ventre contre le bureau, une jambe repliée sur ce dernier. Il enfonçait à nouveau son sexe en moi, de plus en plus rapidement, avant de sortir son sexe tendu pour le présenter contre mon anus qui était déjà entrain de s’ouvrir pour lui. D’une main, il caressait mon dos, en tirant de temps en temps mes cheveux, pendant que l’autre s’activait sur mon clitoris. Alors qu’il sentit nos orgasmes arriver, il me fit me remettre dans la position initiale avant de retourner dans mes fesses. Au bout de quelques instants, je commençais à me convulser, alors qu’il sortait son sexe pour éjaculer à grandes giclées sur mon ventre. Après que chacun ait repris son souffle, il s’empara d’un mouchoir pour m’essuyer avec délicatesse.
« - Tu as aimé princesse ?     - Oui, c’était tellement bon ! Dis-je en me blottissant contre lui    - Tu es une très vilaine fille, à te faire prendre ainsi alors que ta maman est en train de prendre un bain juste à côté.    - Oui, je sais, je suis irrécupérable ! Répondis-je en me frottant contre lui.    - Tu en as jamais assez toi, on dirait ! »
Je fis non de la tête en souriant. Par la suite, nous restâmes là, à discuter de tout et de rien et à se câliner, pendant un bon moment, avant que je finisse par me rhabiller, pour le laisser travailler.
Le soir même, il vient me rejoindre dans ma chambre, alors que j’étais endormie. Il me réveilla en me caressant les cheveux.
« - Mais que fais-tu ? Lui demandais-je, encore à moitié endormie.    - Je suis désolée de te réveiller, Princesse, j’avais juste envie d’être un peu avec toi, rendors-toi ! Me dit-il en me serrant contre lui    - Bah maintenant que tu es là, j’ai envie de profiter de ta présence »
Très vite, il était aussi nu que moi, qui dors toujours nue. J’étais alors à quatre pattes à sa gauche, entrain de le sucer, tandis qu’il caressait mes cheveux. Une fois sa sexe très dure, je m’étais mise sur le côté, pendant que lui, dans mon dos, s’enfonçait en moi, tout en me caressant. Ensuite, je me retrouvais sur le dos, les mains attachées aux barreaux de mon lit, il baisait alors sauvagement mes fesses, tout en me caressant.
« - T’aime ça, hein . Me demanda-t-il alors en prenant de plus en plus rapidement.     - Oh oui, encore, encore, j’aime quand tu me baises ! »
Très vite chacun explosa, moi en criant, lui en visant les seins, avant de finir dans ma bouche.
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