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Mon bel étalon

Chapitre 3

Zoophilie
Je remarque Farouk à côté du lit, sa bite est complètement sortie, il pose sa truffe sur le pubis de Céline.

–Doux mon chien, tu veux encore un petit cul.

Je me lève et vais me mettre à quatre pattes sur le tapis. Farouk m’hésite pas une seconde, me monte dessus et me plante son dard d’un seul coup dans la rondelle, la faisant exploser. Je ressens comme un éclair dans le cul, mais j’aime ça, à tel point que ma bite reprend des formes. Farouk se déchaine dans mon cul, je pose ma tête par terre et vois ses jambes entre les miennes. Je le vois s’activer sur moi, ça m’excite encore plus.
Soudain Céline glisse sa tête sous mon ventre, elle me regarde en souriant se tourne vers ma bite devenue raide et me la gobe. Sa langue s’active sur mon gland, elle me l’aspire, le faisant gonfler dans sa bouche. Une bouche qui me gobe la bite, la queue de Farouk dans mon fion, je suis au bord de l’explosion quand je sens Farouk me verrouiller et se vider en moi. Je ne me retiens plus et rempli la bouche de Céline de mon sperme, qu’elle avale prestement. Je n’en peux plus et me laisse tomber sur le tapis. La bite de Farouk se libère dans un bruit de ventouse, la tête de Céline suit ma bite, elle finit de boire les dernières gouttes. Elle se redresse.

–J’adore le sperme, qu’il vienne d’un homme ou d’un animal, j’adore.

Elle se penche et m’aide à me lever.

–Il faut dormir maintenant, demain, je te présenterais à Sirroco, je crois que tu lui plairas.
–Ok, je vais dans ma chambre.
–Non, reste ici si ça ne te dérange pas, j’aimerais bien passer la nuit avec un homme dans mon lit, même s’il ne se passe rien.
–Ok, de toute manière, je suis trop crevé pour faire quoi que ce soit.

Je m’allonge sur le lit en me tournant sur le côté droit. Céline sort Farouk de la chambre et vient s’allonger derrière moi. Elle se colle à moi, je sens ses cuisses contre les miennes, ses seins s’écraser sur mes omoplates. Ce n’est pas particulièrement agréable pour moi, mais je ne m’y oppose pas, et ce n’est en définitive pas si désagréable que ça. Nous nous endormons rapidement.
Le lendemain matin, je me réveille vers dix heures après quelques heures d’un sommeil réparateur. Je suis en pleine forme, la bite raide et dressée vers le ciel. Céline est toujours contre moi, mais une de ses mains est posée sur mon sexe et le caresse négligemment, ce qui n’est pas désagréable.

–Tu as bien dormi ?
–Oui, très bien, je me sens en forme.
–Tu sais que j’adore ta bite.
–Tu sais très bien que je n’aime pas faire l’amour avec des femmes, je suis gay, et c’est pas parce que je t’ai enculé hier que je vais le faire tous les jours.
–Ok, je sais, mais j’ai trop aimé ta bite, c’est la première fois que j’ai un tel morceau humain dans le fion comme tu dis, tu m’en redonneras une petite ressucette avant qu’on ne retourne à Toulouse ?
–Pourquoi pas ?
–Ok, debout, j’ai déjà préparé quelque chose pour le petit dej.

Nous nous levons, nous sommes nus, il fait assez chaud et il n’y a absolument aucun vis-à-vis, j’ai toujours la bite dressée. Farouk vient me dire bonjour, il me renifle l’arrière train, je pense qu’il est intéressé, il a dû apprécier les séances d’hier. Nous déjeunons, et après une rapide douche, Céline vient me rejoindre.

–Je ne vais pas t’expliquer ce qu’on va faire maintenant, tu t’en doute.
–Bien sûr.
–Alors, il faut se préparer.

Il y a un bidet avec un flexible terminé par une sorte de gode percé de plusieurs trous. Elle enjambe le bidet, prend l’engin, fait couler l’eau qui sort en plusieurs jets et se le plante dans le fion. Quand l’eau est parfaitement claire, elle me tend le gode.

–A toi maintenant, prépare-toi.

Elle sort de la pièce pendant que je me fais le lavement. Une fois fait, je vais dans ma chambre, j’enfile un short et un tee-shirt et vais dans la salle principale. Céline arrive en robe grise en lin qui lui arrive assez haut sur les cuisses. Elle est visiblement nue dessous. Nous enfilons des bottes et elle m’entraine vers les écuries. Nous arrivons devant les boxes des chevaux. Ils semblent nous attendre. Céline entre dans un des boxes s’empare d’une brosse et commence à brosser Tonnerre.

–Prend l’autre brosse et fait comme moi, ne t’en fait pas, tu ne risques absolument rien, il est très doux et docile.

Après avoir un peu observé Céline, je rentre dans le box et commence à brosser Sirroco. De temps en temps, il tourne la tête vers moi. Nous les brossons pendant une bonne demi-heure, tout y est passé, le dos, les flancs, le ventre, la croupe, le cou. Je remarque que, comme hier, Sirroco a son sexe sorti qui pend sous son ventre. Je regarde Tonnerre, rien de semblable.

–C’est normal que sa queue pende comme ça sous son ventre ?
–Oui, c’est lui mon baiseur, Tonnerre est trop brusque.
–Comment tu le sais.
–Je les ai observés quand ils saillaient des juments, Sirroco était beaucoup moins violent, c’est pour ça que je l’ai choisi. Maintenant quand un humain s’approche de lui, il fait voir qu’il est prêt.
–Même avec ton père ?
–Même avec lui et ma mère, il s’occupe aussi de ma mère, c’est elle qui m’a initiée à la zoophilie il y a sept ans, je l’avais surprise avec le père de Farouk. Nous sommes passées aux équidés un an après. Mon père est au courant, mais il n’a jamais essayé, je crois qu’il serait bien tenté, mais il a peur d’avoir très mal je pense, à moins qu’il veuille garder l’emprise qu’il a sur eux.
–Ce n’est pas dangereux de se prendre un tel engin dans le vagin, il est gigantesque.
–Je ne me fait que sodomiser par Sirroco, il y a plus de place et, en plus, je préfère me faire sodomiser que baiser. Il ne m’a jamais baisé, par contre il baise et encule ma mère, et ça se passe très bien.
–Ok
–Tu peux lui caresser la bite, il adore ça.

Je passe ma main sous son ventre et vais toucher sa bite. Je lui caresse du bout des doigts, sa peau est beaucoup moins douce que je ne pensais. Je referme mes deux mains dessus et le masturbe sur presque toute la longueur de sa bite. D’un seul coup, elle se raidi et vient se coller quelques secondes sous son ventre pour rependre à nouveau.

–Je peux te dire qu’il aime.

Je le masturbe un peu plus, Céline vient me rejoindre, elle s’accroupie à côté de Sirroco et prend sa bite dans les mains, elle l’approche de sa bouche pour la lécher. Quelques gouttes sortent de sa bite qu’elle s’empresse d’avaler. Elle se redresse, fait passer sa robe par-dessus sa tête, la jette par terre et vient se mettre debout devant Sirroco les mains appuyées sur le mur, les jambes légèrement écartées. Sirroco n’hésite pas une seconde, il se dresse et pose ses pattes de chaque côté des mains de Céline, sa bite se dresse mais elle flotte dans tous les sens et rate sa cible.

–Aides le s’il te plait.

Je me saisis de sa bite et la guide entre les fesses de Céline. Un grand coup de rein et elle explose sa rondelle et s’enfonce sur quasi toute sa longueur.

–Oui, oui, vas-y mon chéri, vas-y, défonce maman.

C’est décidément une manie chez elle, est-ce que toutes les femmes qui se font défoncer par un animal veulent toujours se faire passer pour leur mère ? Ceci étant, Sirroco donne des coups de rein, mais pas comme Farouk, il fait une pause après chaque coup en donnant un petit coup pour bien s’enfoncer, et à chaque fois, je vois son ventre toucher ses fesses. Il se retire de la moitié de la longueur de sa bite pour lui replanter de nouveau. J’imagine à peine ce qu’elle doit ressentir, se faire sodomiser par un tel engin, surtout que son extrémité n’est pas arrondi comme un gland, mais plate et très large. Au bout de quatre coups, il s’immobilise, sa bite sort du cul de Céline, je vois du sperme couler entre ses fesses et descendre le long de ses cuisses. Sirroco descend, sa bite pend sous lui, mais très vite, elle se redresse et il se repositionne derrière elle comme tout à l’heure. Cette fois, je n’ai pas besoin de l’aider, il trouve le chemin tout seul et transperce Céline avec son glaive de chair. J’ai l’impression qu’il s’enfonce encore plus que tout à l’heure. Il donne là aussi trois ou quatre coups de rein espacés de quelques secondes, s’immobilise et redescend. De plus en plus de sperme s’écoule du cul de Céline. Sirroco recommence le manège encore deux fois. Céline n’a pas bougé, elle reste les mains contre le mur du box et attend. Après la quatrième saillie, elle se retourne et vient vers moi, sa démarche n’est pas très assurée. Je la prends par la taille et l’amène sur la mangeoire de Sirroco pour l’assoir.

–Laisse lui quelques minutes et il sera prêt pour un deuxième round avec toi.
–Ok.

Elle s’assoie sur le bout des fesses en écartant les jambes, le liquide coule sur la paille qui recouvre le sol du box. Je vois Farouk derrière la porte du box, il est excité, sa bite sort complètement de son fourreau. Je sors, il vient vers moi et pose sa truffe sur mes fesses. Je me déshabille rapidement et me mets à quatre pattes, il me saute dessus et m’empale au premier coup de rein. Je ressens une vive douleur, je suis sec et sa bite est à peine humide. Mais les coups de rein de Farouk me font vite oublier ça et je me concentre sur cette bite qui me laboure la rondelle. Mon sphincter se détend, la bite de Farouk glisse de plus en plus librement et me procure encore plus de plaisir. Il finit par s’immobiliser et se vider dans mes entrailles. Je sens les jets de sperme me remplir le fondement. Je n’ai pas joui, mais mon sphincter est maintenant prêt à recevoir un plus gros calibre. Céline se lève et va vers Sirroco.

–Il est prêt, tu peux venir maintenant.
–Ok

Je me dégage de Farouk et viens me positionner comme Céline tout à l’heure. Elle amène Sirroco derrière moi, il semble hésiter, il se retourne vers Céline.

–C’est la première fois qu’il va se faire un homme, il ne comprend pas bien ce qu’on attend de lui.
–Badigeonne moi le cul de ta cyprine.

Une main vient m’enduire les fesses et la raie d’un liquide visqueux, deux doigts s’enfoncent un peu dans ma rondelle.

–Ça va, tu es assez souple, Farouk t’a bien préparé.

Sirroco s’excite un peu, Céline l’encourage et elle le positionne pour qu’il se dresse derrière moi. Je sens son énorme bite taper sur ma cuisse gauche. Céline s’en empare et la guide entre mes fesses. D’un seul coup, mon sphincter est explosé par un gigantesque braquemart qui s’enfonce sur pratiquement toute sa longueur. C’est à ce moment que je réalise qu’une bite de cheval est légèrement conique, sa base est plus grosse que le bout. J’ai le souffle coupé, je ne peux plus respirer, un deuxième coup enfonce encore plus la bite, je sens son ventre contre mes fesses. Comme pour Céline, elle se retire, d’une vingtaine de centimètres et s’enfonce à nouveau sur la même longueur. J’ai l’impression que mon cul va exploser, je le sens aux limites de ses possibilité d’extension, mais j’aime ça. Jamais je n’ai ressenti un tel sentiment, j’ai l’impression qu’un pieu s’est enfoncé en moi et va me faire décoller pour m’exhiber au public comme les têtes de la révolution, montré au peuple empalé par le cul. Le suis aux anges, je savoure cet instant unique. Sirroco donne trois autres coups de rein, son ventre cogne contre mes fesses. Il s’immobilise, d’un seul coup, je sens un liquide me remplir. Son sexe se ramolli et glisse hors de mon cul. Le sperme coule le long de mes cuisses.

–Ne bouges pas.

…/…
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