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Mon bel étalon

Chapitre 4

Zoophilie
Je reste immobile, j’ai vu ce qu’il a fait à Céline tout à l’heure, il va remettre ça. Je n’attends pas longtemps, de nouveau sa bite vient se glisser entre mes fesses et s’enfonce en moi. Mais cette fois-ci, le plaisir est total, aucune douleur, mon sphincter est détendu, que le plaisir de sentir cet énorme bite s’enfoncer entre mes fesses en m’écartelant l’anus. Je me suis sodomisé avec des godes de plus de sept centimètres de diamètre, mais une bite bien vivante, même si elle est moins grosse, et encore pas de beaucoup, c’est incomparable, on la sent palpiter, bouger, trembler, vivre. Comme pour la première fois, Sirroco donne trois ou quatre autres coups de rein et se vide en moi en débandant.

Il recommence le cycle deux fois de plus, je ne sens plus mon anus, il reste ouvert entre chaque prise, son sexe entre maintenant sans aucun effort et se promène dans mon fondement sur pratiquement toute sa longueur. C’est son sperme qui coule de plus en plus qui sert de lubrifiant. Sa bite glisse en moi, comme une caresse, mon sphincter est super dilaté et je ne ressens que le plaisir de sentir cet énorme manche se promener en toute liberté dans mes entrailles. A mon grand désespoir, Sirroco finit par redescendre, se détourner et aller dans un coin du box, sa bite pendant toujours sous lui en se rétractant. J’étais prêt à rester plusieurs heures à me faire défoncer tellement c’était bon, bien que je n’aie pas joui. Je reste dans la même position, je sens encore la présence de son sexe dans mon anus. Céline vient vers moi.

–Laisse toi faire, j’ai envie de m’occuper de toi.
–Je suis à toi.

Je commence à comprendre ce qu’elle veut faire, je sens mon anus toujours grand ouvert. Des doigts en pointe se glissent entre mes fesses, s’enfonce dans ma rondelle et entrent sans aucun effort, la main s’enfonce jusqu’au poignet. Céline me fiste. Elle fait des va et vient de plus en plus rapides, je sens une boule se former dans mon ventre, je vais jouir. Elle réussit à glisser sa tête entre le mur et mon ventre pour me gober la bite et m’aspirer le gland. Sa main dans le cul, sa bouche sur ma bite, je me lâche et me vide en de longs jets de sperme. Mon corps est secoué de spasmes, je jouis longuement. Quand Céline sent que je me suis entièrement vidé dans sa bouche, elle se redresse et sort délicatement sa main de mon anus. Ma rondelle est toujours ouverte, Farouk vient derrière moi et me lèche jusqu’à ce qu’elle se referme complètement. Je suis un peu dans les vaps, je viens de vivre un moment inoubliable, je vais m’assoir sur la mangeoire de Sirroco. Je regarde Tonnerre, il est juste à côté, son sexe est sorti, il me semble plus gros que celui de Sirroco.

–Il n’est pas plus gros ?
–Oui, il est aussi plus grand.
–J’avais remarqué, et tu n’as pas envie d’essayer avec lui ?
–Je dois dire que ça me tente, mais il est très nerveux, j’ai peur que ce soit dangereux.
–Tu as peut-être raison.
–Viens, nous allons leur donner à manger, après, on s’occupera des poules et des lapins.


Nous avons donné à manger et à boire aux chevaux, aux poules et aux lapins, toujours nus, la ferme est isolée et personne ne vient le week-end. Au début, je n’étais pas très à l’aise, mais ce sentiment de liberté m’a vite plu. Je dois dire que j’ai pris un immense plaisir à me promener nu en bottes. Je dois aussi dire que je prends de plus en plus de plaisir à regarder Céline se promener nue devant moi. Je suis ému par son corps, elle est superbement faite, très beaux seins hauts et fermes avec ses tétons qui pointent constamment, belles fesses bien rondes, jambe d’enfer et pubis glabre. Nous arrivons à la maison vers midi, nous installons sur la terrasse pour boire un rafraîchissement, il commence à faire très chaud. Farouk se partage entre Céline et moi, il pose sa tête sur ses cuisses le museau pratiquement sur son pubis. Sa bite est sortie. Il y a presque une heure que je n’ai plus rien dans le cul, et ça commence à me manquer, je me surprends à être constamment excité, toujours prête à recevoir quelque chose dans le fion. Je regarde fixement Farouk.

–Tu aimerais bien qu’il s’occupe de toi hein ?
–Je dois dire que mon cul s’ennuie tout seul.
–Tu sais que le mien aussi.
–D’accord, mais il ne peut pas s’occuper de nous deux en même temps, comment on fait ?
–Ne t’en fait pas, et laisse-toi faire.

Elle se lève et vient vers moi, s’agenouille à côté de mon transat et se saisi de ma bite. Je commençais à bander, mais en moins de deux, je bande comme un âne.
–Lève-toi.
Je me lève, elle passe sa main sur sa vulve, me fait retourner et m’enduit l’anus de sa cyprine. Elle va sur l’herbe et se met à quatre pattes, Farouk vient vers elle.

–Non Farouk, Michel, vient me prendre, Farouk s’occupera de toi.

Je me positionne à quatre pattes derrière Céline, lui enfonce ma bite dans le fion. Farouk me monte dessus et tente de me sodomiser. Je réussi à me saisir de sa bite pour la guider vers ma rondelle qu’il défonce d’un seul coup de rein. C’est la chaîne de la sodomie, j’encule Céline tout en me faisant enculer par Farouk.

–Ne te retiens pas, vide toi en moi, je veux encore sentir ton jus m’inonder le colon.

Farouk donne de grands coups de rein, mon sphincter est très souple, l’exercice de tout à l’heure l’a bien conditionné. Farouk m’enfonce sa boule dans le fion, s’immobilise et se vide en moi en de longs jets de sperme. Je continu à pistonner Céline, je ne suis pas encore prêt à jouir. Au bout de quelques minutes, Farouk se dégage et me lèche l’anus qui laisse couler son sperme. Ça suffit à me faire partir, je me vide en elle.

–Oh oui, oui, ton sperme, oui, oui, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, aaaaaahhhhh

Céline se laisse emporter par son orgasme, à tel point qu’elle s’écroule sur l’herbe m’entrainant dans sa chute. Nous restons allongés quelques minutes sur le côté, ma bite toujours dans son cul qui se resserre de plus en plus dessus. Ça me fait repartir de plus belle, mon sexe gonfle de nouveau et redevient raide comme un bout de bois.

–Oui, vas-y, défonce moi encore.

Je donne de violents coups de rein toujours allongés sur le côté. Je m’active plusieurs minutes, Céline semble perdue dans ses pensées, mais je sens son anus se resserrer, elle va jouir, je ne résiste plus et me vide à nouveau en elle.

–Oh oui, oui, je jouis, je jouis, oui, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, aaaaahhhhh.

Elle finit par se calmer, je me dégage pour me lever, mais mes jambes ne veulent pas. Je reste allongé sur l’herbe sur le côté. Céline se met à quatre pattes et Farouk vient la lécher. Je vois sa rondelle se fermer petit à petit.

–Il aime tous les spermes, même celui des hommes.
–Je vois.
Céline se redresse et sa dirige vers la cuisine.

–Il est temps de penser à manger.

Je me lève et la suis. Ses parents ont fait les courses, mais ils ne savaient pas que je serais là, c’est un peu juste. Après avoir mangé, Céline me propose d’aller à l’hyper marché du coin. Nous allons prendre une douche et nous habiller. Je la vois surgir dans la pièce commune habillée d’une magnifique jupe plissée assez courte et d’un léger corsage qui voile à peine ses seins libres. Elle est bandante pour un hétéro. Nous montons dans la voiture, c’est à ce moment que je m’aperçois qu’elle ne porte rien sous sa jupe.

–Tu n’as pas de culotte, tu ne vas pas faire des courses habillée comme ça ?
–Comme toujours, saches qu’une bonne paysanne ne porte pas de culotte, je n’en ai jamais porté de ma vie, même quand j’étais petite.
–j’avais remarqué que tu ne mettais pas de soutien-gorge, mais pas que tu ne portais pas de culotte.
–Tu ne m’a vu qu’en pantalon, c’est normal, tu l’as remarqué dès que tu m’as vu en jupe.
–C’est tes parents qui t’ont imposé ça.
–Non, mais mes parents ne portent pas de sous-vêtements, je n’ai jamais vue de slip, maillot de corps, culotte ou soutien-gorge dans une lessive ou pendus à une corde à linge, ma mère, toujours habillée en robe, va cul-nu, même maintenant. J’ai simplement suivi le mouvement, jamais de sous-vêtements, toujours cul nu.

Nous éclatons de rire et je démarre. Nous faisons les courses tranquillement, mais, de voir Céline déambuler entre les rayons du magasin, très à l’aise, se penchant pour prendre un produit sans se soucier de ce qu’elle montre, qui est très beau, je me rends compte que cette fille ne me laisse pas indifférent. Elle est belle, intelligente, sans complexe et bien dans sa peau. Je suis ému de voir un sein ou un morceau de fesse dévoiler au grès de ses mouvements. Que m’arrive-t-il ? Après une petite demi-heure, nous sortons du magasin, je pousse le caddy, Céline glisse son bras sous le mien et se colle à moi. Je ne réagis pas, je la laisse faire, je finis même par trouver ça agréable. En rentrant, Céline me demande de m’arrêter près d’une maison. N’ayant rien de périssable dans le coffre, je gare la voiture dans un chemin. Nous marchons une petite dizaine de minutes pour arriver dans un champ occupé par un âne. Céline pousse un cri strident et l’âne galope vers nous.

–Je te présente Alfonse.

L’âne vient vers elle, manifestement, il la connait. Elle lui caresse la tête, je vois sa bite pendre sous lui, et se redresser bien raide sous son ventre de temps en temps. Elle est presque aussi grosse que celle de Sirroco, je suis impressionné. Décidemment, elle fait bander tous les mâles du coin.

–C’était l’âne de maman, c’est lui qui m’a initié aux équidés, il est très doux. Papa l’a donné à des amis qui habitent dans cette ferme car ils avaient une ânesse et voulaient qu’elle reproduise. Il est père de je ne sais combien d’enfants. C’est un sacré étalon. Tu veux l’essayer ?
–En pleine cambrousse ?
–Comme tu dis, il te suffit juste de passer le l’autre côté de la clôture et de baisser ton short.
–Maintenant ?
–Pourquoi pas, j’ai ce qu’il faut pour faciliter la tâche d’Alfonse.

Je la regarde, elle sort de son sac un récipient rempli de graisse anale. Je passe de l’autre côté de la clôture, baisse mon short et présente mes fesses à Céline. Elle me badigeonne entre les fesses en insistant sur la raie et ma rondelle. Alfonse comprend ce qui se passe, je me tourne et m’appuie sur un piquet. Il se positionne derrière moi et se dresse pour poser ses pattes sur mes épaules. Il n’est pas si lourd que ça, et je le supporte très bien. Sa bite trouve tout de suite le chemin du bonheur et me transperce le cul sur toute sa longueur, je la sens progresser en moi et m’ouvrir la rondelle de plus en plus.
Comme avec Sirroco, j’ai le souffle coupé par cette pénétration violente. Il agit exactement comme lui, il se retire sur la moitié de sa bite et me l’enfonce de nouveau en marquant une pose après chaque coup de rein pour donner un autre petit coup et s’enfoncer encore plus. Après cinq coups, il s’immobilise, je sens son sperme me remplir. Sa bite se ramollie et sort de mon cul. Je reste en position, je présume qu’il va faire comme Sirroco, qu’il va remettre ça. Deux minutes plus tard, il me remonte dessus et prend de nouveau possession de mon fion. Cette fois-ci, c’est plus agréable et plus doux. Mon sphincter est formaté, il laisse le braquemart s’enfoncer sans protester. De nouveau je sens son sperme me remplir après quatre ou cinq coups de rein et sa bite sortir mollement. Cette fois-ci, Alfonse s’éloigne. J’ai peur qu’il n’en ai assez. Céline me rassure.

–Ne t’en fais pas, il va revenir, reste comme ça.

…/…
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