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Mon bel étalon

Chapitre 5

Zoophilie
Effectivement, il revient trois ou quatre minutes plus tard, me remonte dessus et me sodomise d’un seul coup. Je bande tellement que j’en ai mal à la bite. Céline s’agenouille devant moi, j’avance un peu vers la clôture pour lui permettre de me gober la bite. Sa langue danse autour de mon gland, ses lèvres me l’aspire, elle me mordille, me suce, me caresse. Quand Alfonse se vide en moi une nouvelle fois, je l’imite dans la bouche de Céline. Alfonse redescend et, cette fois-ci, repart au milieu du champ en galopant joyeusement. Céline se redresse, elle a un regard hagard, comme si elle avait elle aussi jouit.

–Que penses-tu d’Alfonse ?
–Super, c’est vrai que c’est moins brutal qu’avec Sirroco, mais il ne s’est pas occupé de toi ?
–Ce n’est pas grave, Farouk et Sirroco sont là pour ça, à moins que tu veuilles te joindre à eux pour me faire connaitre le septième ciel.
–Je pense que je te dois bien ça, tu m’as fait connaitre des sensations exceptionnelles.
–Ok, rentrons.

Nous récupérons la voiture et rentrons à la ferme. Je suis assez fatigué mais j’aide Céline à ranger les courses. J’ai encore l’impression d’avoir quelque chose dans l’anus. Il faut dire qu’un tel engin laisse des souvenirs. Après avoir tout rangé, je vais m’allonger sur un transat à poil, au soleil. Il est plus de dix-huit heures et je suis un peu fatigué. J’ai eu ma dose de sexe pour la journée. Céline vient nous servir un rafraîchissement, nous discutons, plaisantons, rigolons. La soirée s’écoule doucement, mais sans sexe, je pense que nous sommes tous les deux rassasiés. Après le repas et un petit cognac, je vais me coucher vers vingt-trois heures, je m’allonge sur le lit sans me couvrir, il fait très chaud. La chambre d’amis sert en fait de bureau à son père et il y a une bibliothèque assez garnie. Le trouve un livre sur l’histoire de la formule1, la passion de son père, et je le feuillète. Au bout d’heure heure, Céline frappe à la porte.

–Entre

Elle ouvre la porte et vient s’assoir sur le bord de mon lit. Je pose mon livre sur la table de nuit.

–Je ne peux pas dormir, j’ai plein d’images qui trottent dans ma tête.
–Comme ?
–Ta belle bite bien raide.
–Tu sais bien que je ne suis pas hétéro.
–Oui, mais il n’empêche que tu as une bite qui ne peut pas me laisser indifférente, surtout depuis que j’y ai goûté.
–Qu’est-ce que tu veux ?
–Juste dormir dans ton lit avec toi. Tu sais que j’aime les femmes, mais j’aime aussi les hommes, j’ai envie de sentir ton corps contre le mien. Je ne veux pas m’imposer, à toi de me dire ce que je fais, soit je reste avec toi, soit je retourne dans ma chambre.

Je me remémore la nuit dernière, je n’avais pas été si incommodé que ça d’avoir passé la nuit dans son lit. Je dois même dire que je trouvais ça plaisant, maintenant, reste à savoir si c’était parce que j’avais un corps à côté de moi et que je n’étais pas seul dans mon lit ou parce que c’était une femme. Le seul moyen de le savoir c’est de recommencer et de voir si je suis toujours aussi réceptif.

–Ok, passons la nuit ensemble, mais je ne te promets rien.
–Je ne te demande rien de plus. Je peux quand même me mettre contre toi ?
–Bien sûr.

Elle s’allonge à côté de moi, vient comme mon corps et pose sa tête sur mon épaule. Elle pose son bras sur mon torse et se laisse aller. Je sens son corps se détendre contre le mien. Nous finissons par nous endormir assez rapidement.
Vers six heures du matin, je me réveille, le soleil entre dans la pièce. Je suis toujours sur le dos, mais la main gauche de Céline est sur ma bite raide. Elle est toujours dans la même position, collée contre moi. Je tourne mon visage vers elle, mes lèvres se trouvent à un centimètre de son front. J’y dépose un baiser. Elle se réveille et me regarde d’un air étonné.

–Tu m’as embrassé ?
–J’ai juste déposé un baiser sur ton front, comme je le faisait à ma sœur.
–Je ne l’ai jamais rencontré, tu ne me l’a pas présenté, tu as peur que je la séduise ?
–Tu sais, je me moque de ce qu’elle fait de son corps, elle est bi, et d’après ce qu’elle m’a dit, en tant que prof de musique, elle sait faire chanter aussi bien le corps des hommes que des femmes, je suis sûr que tu lui plairas beaucoup. Mais ne t’en fais pas, elle n’est pas très loin, elle habite à cinq-cents mètres de chez moi, elle n’est pas là en ce moment, elle est en vacances en Espagne avec des copines, mais normalement elle passe régulièrement me voir.
–Vous vous voyez souvent ?
–Deux à trois fois par semaine, nous avons une relation très forte, il faut qu’on se touche, qu’on se câline, je ne sais comment expliquer, c’est ma sœur, mon double.
–Très bien, mais pour l’instant c’est ce joli bout de chair que j’ai sous la main qui m’intéresse.

Elle referme sa main sur ma bite et commence à me masturber doucement. Je ferme les yeux et décide de me laisser aller, et de faire ce qu’elle veut. Elle se redresse sur un coude et sa tête descend vers mon sexe. Une bouche chaude me la gobe. Sa langue titille mon gland et finit par la rende dure comme du bois. Elle s’allonge de nouveau le long de mon corps, passe son bras sous mon cou et me fait basculer sur elle. Je me laisse faire et me retrouve allongé sur elle, ma bouche au niveau de sa bouche et mon sexe entre ses cuisses qu’elle ouvre largement. Notre différence de taille fait que le bout de ma bite reste dans le vide.

–Remonte un peu s’il te plait.
–Tu réalise bien ce que tu me demande de faire ?
–Oui, et j’espère que tu vas le faire.
–Tu m’as dit que tu préférais te faire sodomiser.
–Oui, mais j’aimerais bien sentir cette belle bite vibrer dans mon sexe qui dégouline rien que d’y penser.
–Oui, mais moi, je suis gay et je ne sais pas si j’ai vraiment envie de faire ça.
–Tu l’as déjà fait ?
–Non
–S’il te plait, juste pour voir si ça te dégoute vraiment au point de ne plus recommencer de toute ta vie.

Son regard est suppliant, je la regarde et je craque. Dans le fond, je n’ai jamais essayé, je décide de me rendre compte par moi-même. Je remonte à peine et mon gland touche ses lèvres très humides. Elle pose ses mains sur mes fesses et appuie, mon gland écarte un peu ses lèvres.

–Tu peux entrer, je te promets que tu seras très bien accueilli.

Je pousse encore un peu, mon gland écarte ses lèvres et s’enfonce entièrement dans son sexe.

–OOOOOHHHHH, oui, oui.

Je reste immobile, mon sexe entièrement englouti par le sien. Je n’avais jamais ressenti cette sensation de douce chaleur, et c’est beaucoup plus agréable que ce à quoi je m’attendais. Je sens Céline aux aguets, elle me regarde intensément, son visage est tendu, elle a peur que je fasse marche arrière. Je reste encore un petit instant immobile, mais mon sexe commence à demander du mouvement et se ramolli un peu.

–S’il te plait.

Son regard est plein de tendresse, je me laisse aller et commence de légers va et vient. Ses bras l’enlacent, son pubis vient à la rencontre du mien, mon sexe redevient dur comme du bois. Petit à petit je me laisse emporter par l’instant, mon bassin s’active de plus en plus vite et de plus en plus amplement. Maintenant, je la laboure sur toute la longueur de mon sexe, elle ferme les yeux, se tend vers son plaisir que je sens monter doucement. Moi-même, je sens quelque chose se passer.

–Oh oui, tu vas me faire jouir, je vais jouir avec ta magnifique bite, oui, oui, fais-moi jouir, fais-moi jouir s’il te plait.

J’accélère ma cadence et le miracle s’accompli, je sens une onde me parcourir juste au moment où le sexe de Céline se contracte sur le mien.

–OUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII

Je jouis à mon tour en trois longs jets de sperme, ce qui la fait délirer encore plus.

–Oui, oui, OOOOOOHHHHHH, oui, oui, jouis, jouis, oh, je t’aime, AAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHHHH.

Je suis un peu déstabilisé par cette dernière affirmation, je ne suis pas du tout dans ce trip, je l’ai baisé juste pour lui faire plaisir, bien sûr j’ai moi aussi joui, mais c’est plus mécanique que sentimental. Je me retire et m’allonge à côté d’elle. Je suis un peu perplexe, bien sûr je suis gay, mais j’ai eu du plaisir à faire l’amour à cette femme, plaisir physique, mais aussi sentimental quoi que j’en dise. J’ai eu du plaisir à la faire jouir, j’ai eu du plaisir à la sentir vibrer sous moi, j’ai eu du plaisir à me vider en elle pour accroitre son plaisir, j’ai tout simplement eu du plaisir à vivre cet instant. Que m’arrive-t-il, je ne suis tout de même pas en train de virer de bord ? Céline est collée à moi, son visage est serein, un léger sourire aux lèvres, sa respiration est calme, j’ai l’impression qu’elle est heureuse. Je me lève et vais prendre une douche, quand je reviens dans ma chambre, Céline est partie, je l’entends dans la cuisine. Je la rejoins, elle a préparé le petit déjeuner.

–Sers toi un café, je vais prendre une douche.

Elle quitte la pièce. Je dispose des tasses et tout ce qu’il faut pour le petit déjeuner dans la grande pièce, Céline me rejoint quelques minutes plus tard.

–Oh là, mais tu es le parfait petit homme de maison.
–Tu oublis que je vis seul, je sais tout faire.
–L’homme idéal en quelque sorte.

Elle me regarde, j’ai l’impression que son regard a changé, il est plus tendre, plus doux. Nous déjeunons tranquillement, une fois fini, nous rangeons tout dans le lave-vaisselle.

–Ça te dis une petite baignade dans de l’eau fraîche ?
–Qu’entends-tu par fraîche ?
–De l’eau de rivière, elle est fraîche, mais pas froide, elle serpente au fond du pré derrière la maison.
–Mais encore.
–Disons quinze à seize degrés.
–Pour moi, c’est froid, pas frais.
–Aller, tu ne vas pas me dire que tu es frileux ?
–Je ne suis pas frileux, mais je n’aime pas l’eau froide. Ceci dit, pourquoi ne pas essayer, et je présume que tout ça se passe sans maillot de bain.
–Exactement, on y va.

Après avoir donné à manger à toutes les bêtes, elle m’entraine vers la rivière à trois ou quatre cents mètres de la ferme avec juste une serviette chacun pour nous essuyer et nous allonger sur l’herbe, Farouk nous suit. Après cinq minutes de marche, dont deux dans une forêt, nous arrivons à la rivière qui est en fait un petit ruisseau. Il forme un coude en forme de baignoire dans une clairière. L’eau doit y être profonde d’un petit mètre. Céline jette sa serviette et se précipite dans l’eau et s’allonge dans le coude jusqu’à avoir de l’eau au-dessus des épaules.

–Ouah, elle est bonne.

Je sais parfaitement ce que ce genre d’affirmation veut dire, alors, je ne mets qu’un orteil dans l’eau, en fait, elle froide.

–Tu ne vas pas me faire entrer dans cette eau, elle est gelée.
–Tu es si frileux que ça ?
–Elle est vraiment très froide, je t’ai dit que je n’aimais pas l’eau froide.
–Comme tu veux, moi, ça me fait du bien, j’aime ça.

…/…
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