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Mon bel étalon

Chapitre 6

Zoophilie
Je m’allonge sur ma serviette, mais j’ai quand même envie d’essayer, elle n’est pas complètement gelée, je peux peut-être entrer dedans. Je me lève et entre péniblement dans l’eau jusqu’à mi-cuisse.

–Encore un petit effort.

J’insiste et fini par entrer entièrement dedans. L’eau est froide, mais ce n’est pas aussi désagréable que je le pensais. Céline vient vers moi, elle se colle à moi. Nous sommes allongés sur des petits cailloux, je la prends dans mes bras et la serre contre moi. Je sens son corps froid et hérissé contre mon corps. Ses tétons me transpercent le flan tellement ils sont durs. Je suis parcouru d’un frisson, mais ce n’est pas de froid. Elle m’enlace, ses mains me parcourent le dos et descendent sur mes fesses qu’elles caressent.

–J’adore tes fesses, elles sont fermes, on voit que tu as fait beaucoup du sport, ton corps est tonique.

Je ne dis rien, elle pose sa tête contre mon torse. Je sens son ventre contre mon sexe mou et replié sur lui-même, ses cuisses contre mes jambes, ses seins contre mes côtes. Mes mains descendent elles aussi vers ses fesses qu’elles caressent et malaxent. J’aime caresser ses fesses, elles sont elles aussi fermes, elle aussi a fait du sport. Elle lève la tête, me regarde, j’ai l’impression qu’elle attend quelque chose. Je penche un peu la tête vers elle et ce qui devait arriver arrive, nos lèvres entrent en contact. Je ne sais par quel réflexe, mais ma bouche s’ouvre, comme la sienne, et nos langues font connaissance. Elles se chamaillent, se câlinent, s’affrontent, se caressent, s’aiment. Le baiser dure plus longtemps que je n’aurais pensé. Quand nos lèvres se séparent, je vois des larmes sur les joues de Céline.

–Que t’arrive-t-il ?
–Juste des larmes de bonheur, juste l’expression de l’immense bonheur qui me submerge.
–Comment ça ?
–Tu es vraiment un drôle de type toi, tu ne comprends décidément rien à rien. Tu ne te rends même pas compte que je suis folle de toi, que depuis que je te connais, et ça fait longtemps, je ne pense qu’à toi, tu occupes toutes mes pensées, le jour comme la nuit. Et le fait que je sorte avec des filles, c’est simplement pour qu’aucun autre homme ne me touche.
–Pourtant, tu sais parfaitement que je suis Homo, on en a assez parlé.
–On a toujours un espoir, la preuve.
–Je suis désolé, mais ce qui vient de se passer ne préfigure pas l’avenir.
–Peut-être, mais il y a au moins un espoir. Je ne veux pas te mettre la pression, mais sache que je suis là et que je t’aime.
–Je ne peux pas t’en dire autant.
–Je sais.
–Excuse-moi Céline, mais je commence à avoir très froid, je dois sortir de cette eau glacée.
–Ok, sortons.

Nous sortons de l’eau, Céline prend ma serviette et me frotte de toute son énergie pour me réchauffer, ça marche et je me sens très vite beaucoup mieux, même ma bite qui commence à se manifester. Il faut dire qu’elle a un peu insisté sur cette zone.

–Tu n’as pas aimé me faire l’amour ?
–Si, mais je ne sais plus tout à fait ou j’en suis en ce moment, je suis gay et je prends du plaisir à faire l’amour à une femme, qui plus est, à l’embrasser. Je suis un peu déboussolé.
–Tu as pris du plaisir à m’embrasser tout de suite ?
–Oui, beaucoup.
Elle étale les deux serviettes l’une à côté de l’autre et s’allonge sur la sienne.

–Viens t’allonger à côté de moi.

Je m’allonge sur le dos. Elle se penche vers moi, sa main se pose sur mon sexe.

–Je peux ?
–Bien sûr.

Elle commence à me caresser, je réagis assez vite. Elle me prend la main gauche et la porte entre ses cuisses qu’elle a légèrement écartées. Ma main tombe sur une zone chaude et humide. Je glisse un doigt entre ses lèvres.

–Oui
Mon doigt est trempé, je l’enfonce un peu plus tandis qu’elle me masturbe doucement.

Au bout d’un moment, elle vient sur moi en me regardant droit dans les yeux. Elle m’enjambe et mettant ses genoux de chaque côté de mes hanches et s’assoie sur mes cuisses. Je me saisis de ses hanches, la tire vers moi et la positionne juste au-dessus de mon sexe bien raide. Elle s’en saisie et la maintient bien droite. Je la fais descendre dessus, son vagin englouti ma bite dans une caverne chaude et humide, très accueillante.

–OOOOOHHHHH

Son visage s’illumine, elle est heureuse de ce qui lui arrive. Elle se penche vers moi et nos bouches se joignent une nouvelle fois pour un long baiser. Je prends de plus en plus de plaisir à lui faire l’amour, cette femme me plait, me plait beaucoup. Je la lâche, c’est elle qui se fait l’amour sur mon sexe. Elle monte et descend sur mon sexe. Farouk est comme un fou, il sent l’odeur caractéristique de sa maitresse excitée et ne comprend pas qu’il ne puisse en profiter. C’est moi qui le décide.

–Farouk

Il lève la tête et vient nous, Céline se couche complètement sur moi.

–Vient sur maman.

Farouk lui monte dessus et se positionne. Tout à coup, je sens sa bite de l’autre côté de la paroi vaginale de Céline, il donne de grands coups de reins. Cette situation m’excite encore plus, Céline aussi, car elle met très peu de temps à jouir dans un grand cri.

–OOOOOHHHHH, oui, vos bites, oui, oui, oui, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii

De la sentir jouir déclenche ma propre jouissance et je me vide en elle en même temps que Farouk qui s’est immobilisé. Quelques secondes plus tard, Farouk se retire et Céline se laisse tomber à côté de moi. Elle pose sa tête sur mon épaule.

–Quel pied, mes deux mâles en même temps, quel pied.
–A ce point ?
–Oui, c’était très fort, mais je ne sais pas si je ne préfère pas qu’avec toi, j’ai joui très très fort ce matin, plus intensément que tout de suite.
–Fini les animaux ?
–Non, Ils font partie de ma vie, et toi, tu veux arrêter ?
–Pas du tout, j’ai découvert quelque chose qui me plaisait, je vais de découverte en découverte ce week-end, je ne sais plus du tout où j’en suis.
–Si tu le veux bien, je vais t’aider à te retrouver.
–Ok

Nous restons un moment allongés l’un contre l’autre, Céline a replié une jambe sur mon ventre, elle promène sa main sur mon torse et mon ventre, sans oublier mon sexe. Pour ma part, j’explores son dos, ses fesses et je passe ma main de temps en temps entre ses cuisses pour titiller son périnée et ses lèvres. Elle ondule doucement, mais sans plus. Au bout d’une bonne demi-heure, nous décidons de rentrer à la maison. Nous traversons le champ qui sépare la rivière de la ferme, toujours nus, mais nous sommes en pleine campagne, il n’y a personne à des kilomètres à la ronde. Elle a passé son bras derrière moi, autour de ma taille, je la tiens par les épaules. Nous devons faire penser à un couple heureux. J’entre dans ma chambre par la porte fenêtre pour me trouver nez à nez avec une femme d’un peu plus de quarante ans. Je reste scotché, à poil, la serviette à la main ne sachant que faire.

–Vous devez être Michel, l’ami de Céline ?
–Oui, mais….
–Je suis Gabrielle, sa maman, et ne vous en faites pas, j’ai l’habitude de voir des hommes nus, je suis infirmière à l’hôpital de Toulouse.

Je reste sans bouger, je suis complètement sidéré, je ne m’attendais pas à voir sa mère, surtout que je suis complètement à poil. Elle s’avance vers moi et pose deux bises sur mes joues.

–Vous venez de vous baigner dans le ruisseau, vous êtes encore frais ?
–Exactement.
–Céline adore se baigner dans ce ruisseau, vous avez aimé ?
–L’eau était un peu froide.
–Comme toujours, bienvenue chez nous, je vous laisse, je vais rejoindre ma fille et mon mari dans la salle.

Elle quitte la chambre, je m’habille prestement et vais dans la grande salle. Surprise, ils sont tous à poil !!! ils éclatent de rire en voyant ma tête. Céline vient vers moi.

–Ici, dès qu’il fait un peu chaud, tout le monde se met à poil, je ne pense pas que ça te gène.
–Pas du tout, d’autant que je fais la même chose chez moi.

Je retourne dans ma chambre pour me déshabiller et reviens dans la salle, nu. Tout le monde est assis autour de la table basse. Céline me fait signe de venir m’assoir à côté d’elle. Je peux détailler les parents de Céline. Lui, Paul, quarante-six ans, assez grand, un torse puissant, des bras d’haltérophile, assez basané, un sexe moyen ressortant sur un pubis glabre. Elle, c’est la copie conforme de sa fille, même seins, un peu plus tombants, même visage, même fesses apparemment toujours aussi fermes, même jambes, le ventre à peine plus rond et même pubis glabre et bien rebondi d’où je vois émerger un petit bouton un peu rouge. Gabrielle à quarante-cinq ans. La discussion va bon train, en fait, ils sont rentrés parce que Paul doit assister à une réunion du conseil municipal dont il fait partie. Elle a lieu cette après-midi à seize heures. La matinée se termine, Céline et Gabrielle vont préparer le déjeuner, Paul se lève.

–Vous m’accompagnez, je vais voir les chevaux.
–Ok

Nous allons vers les écuries, à poil et en bottes, quand nous arrivons, Paul se dirige vers Sirroco, il entre dans son box et le caresse. Comme hier, Sirroco sort sa bite qui pend sous son ventre.

–Du calme mon beau, ce n’est ni Céline ni Gabrielle.

Il me regarde pour voir ma réaction, je n’en ai pas. A mon manque de réaction, il se doute que je suis au courant des pratiques de sa fille.

…/…
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