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Mon bel étalon

Chapitre 8

Zoophilie
Elle se jette sur moi pour m’embrasser, je l’enlace, mais mains descendent machinalement vers le bas de son dos et passent sous sa jupe pour tomber sur ses fesses nues, j’avais oublié. Je me dégage.

–Si tu viens en jupe au boulot, tu ne mets rien sous ta jupe ?
–Exactement, je t’ai dit que je ne supportais pas les sous-vêtements, mais pour l’instant, je vais m’habiller comme avant, je dois acheter des fringues plus conformes, je n’ai que des jupes ou des robes courtes, qui de toute manière sont restées à Mirepoix. J’aimerais bien que tu m’accompagne pour acheter mes fringues.
–Bien sûr que je t’accompagne, je ne voudrais pas que tu achètes des fringues de mémé.
–Ben-voyons.

Elle me prend par la main et m’entraine vers sa chambre. Elle a un lit rond qui occupe pratiquement toute la chambre. Elle se tourne vers moi et commence à me déshabiller. Je veux l’aider mais elle m’arrête.

–Laisses moi faire.

Elle m’enlève mon tee-shirt, mon pantalon, me pousse sur le lit pour finir par les chaussures et les chaussettes. Je veux me redresser pour m’occuper d’elle, mais elle me repousse.
–Ne bouges pas.
Elle commence une dance langoureuse et se déshabille en ma faisant un petit strip-tease. Je découvre une autre Céline, plus aguicheuse, plus provocatrice, ce n’est pas pour me déplaire. Décidément cette fille est assez déconcertante, avant ce week-end, j’aurais parier que c’était une fille rangée qui allait voir ses parents tous les mois, qui rentrait chez elle tous les soirs. Je la croyais lesbienne alors qu’elle ne l’était pas, c’était juste pour qu’aucun autre homme que moi ne la touche, alors que j’étais ouvertement gay. La seule chose qui aurait pu m’alerter, c’était ses tee-shirt et sweet qui étaient en général très décolletés et ne cachaient pas grand-chose de sa superbe poitrine toujours nue, mais c’est la mode. Une fois nue, elle se jette sur moi.

–Un petit câlin, juste un câlin, je veux sentir ta peau contre ma peau.

Elle me caresse, je la caresse, mais ça ne pouvait pas en rester là, ma bite se redresse sous l’effet de ses caresses. Elle embrasse mes joues, mon cou, mes épaules, mon torse, mon ventre pour arriver sur mon pubis où se dresse ma bite bien raide. Je vois ses fesses venir vers ma tête. Sa bouche finit par arriver sur mon gland et sa langue le lèche. Ses lèvres s’en empare et l’enveloppe. Doucement elles progressent vers mes testicules et finissent par me gober entièrement le vit. Ses hanches sont à côté de ma tête, je vois son sexe briller. Je fais passer sa jambe gauche par-dessus ma tête et me retrouve sous son sexe luisant de cyprine.

–Tu n’es pas obligé.
–Je sais.

Je pose mes mains sur ses fesses et fais descendre son sexe vers ma bouche. Je l’immobilise à quelques centimètres de mon visage. Une odeur douce et animale titille mes narines. C’est la première fois qu’un sexe de femme se trouve si près de ma bouche. Je vois l’entrée de son vagin se contracter et se détendre, comme un appel. Je tire un peu plus sur ses fesses et reçois ses lèvres ruisselantes sur la bouche.

–AAAAAHHHHH oui

Ma bouche se pose sur une fleur dont les pétales s’ouvrent sous sa pression. Ma langue s’active dessus, je suis étonné de trouver une telle douceur, une telle chaleur, ces pétales sont lisses et souples et se plient à la volonté de ma langue. Je goûte latéralement Céline, et j’adore. J’appui un peu plus et glisse ma langue entre ses lèvres pour la faire pénétrer dans son vagin, mais elle ne s’enfonce que très peu. Je remonte un peu vers le haut et tombe sur un petit bouton déjà bien gonflé son clitoris qui n’attendait que moi. Ma langue tombe sur un petit bouton un peu plus dur que tout ce qui l’environne.

–Oui, oui

Je me déchaîne sur son clitoris, Céline ondule de plus en plus, elle pousse de petits soupirs, elle continu sa fellation pendant que je lui broute le minou. Je me délecte de son sexe, de cette matière souple, chaude, vivante, je me délecte de sa cyprine que je lape avec plaisir. Nous ne pouvons continuer longtemps et explosons tous les deux dans un magnifique orgasme. Je reçois encore plus de cyprine que j’avale goulument, comme Céline avec mon sperme. Je suis emporté par une gigantesque vague de plaisir, et je sens que Céline en fait autant. Elle finit par se laisser aller sur moi, je ne peux résister à cette fontaine de vie et continu de la lécher et de la boire. Je la sens bouger de nouveau, je continu, elle ondule du bassin et commence à pousser de petits soupirs de bonheur. Je continu encore en m’activant encore plus sur son clitoris et je constate avec joie qu’elle jouit de nouveau sous ma langue en me serrant la tête avec ses cuisses.

–Oui, oui, ouiiiiiiiiiiiiiiiii

Quand elle finit par se détendre, je la fais basculer sur le côté, la saisi par les épaules pour la faire pivoter sur moi pour m’emparer de ses lèvres. Notre baiser dure, dure. Quand nous nous séparons, elle me regarde avec un grand sourire.

–Tu m’aimes, j’en suis sûre, tu m’aimes, sinon tu n’aurais jamais fait ce que tu viens de faire, c’est un acte d’amour, un vrai.
–Je l’espère.

Elle se blotti contre moi.

–Il faudrait peut-être penser à la suite, il commence à se faire tard, on travaille demain.

Nous nous levons et retournons dans le salon sans s’habiller, il n’y a personne en face. Nous mangeons rapidement, nous sommes pressés de retourner au lit, mais pas pour dormir. Effectivement, la nuit a été très chaude, nous avons fait l’amour trois fois, je me lève le matin épuisé, Céline est dans le même cas. Nous allons bosser, nous arrivons ensemble du fait qu’elle n’ait toujours pas sa voiture, nous essayons de faire comme d’habitude, mais notre nouvelle relation est trop évidente. A midi, devant la machine à café, Bruno vient me voir.

–Dis donc, j’ai été surpris hier que tu viennes me chercher avec Céline, mais maintenant je comprends, à voir l’état dans lequel vous êtes tous les deux, vous êtes ensemble.
–Qu’est ce qui te fais dire ça ?
–Tu rigole, mais il suffit de vous regarder, vous êtes arrivés ensemble, vous tenez à peine debout, et quand vous êtes dans la même pièce, on dirait que vous êtes aimantés l’un vers l’autre, ce n’est pas la peine de continuer à faire semblant, tout le monde a compris et je ne connais personne qui ne s’en réjouisse pas.
–Ok, je l’ai amené chez ses parents et nous avons passé le week-end ensemble, c’est venu tout seul, tout naturellement.
–Je te souhaites tout le bonheur que tu désires.
–Merci

Nous avons acheté des jupes, des corsages et des robes pour le boulot le soir même, je ne la supporte plus en jean. Qui plus est, c’est la période des soldes. Le lendemain, elle arrive en robe, tout le monde remarque sa nouvelle tenue et la félicite la trouvant magnifique. Elle promet à tout le monde qu’elle ne portera plus jamais de jean et tee-shirt. Les jours passent, je passe mes nuits chez Céline, je suis bien, toujours à me demander ce qui m’arrive mais aimant de plus en plus ça. La semaine d’après, le jeudi, après le boulot, nous entrons dans une boutique à la mode qu’elle connait bien pour acheter une robe habillée. Elle trouve une robe en satin rouge moulante arrivant aux chevilles fendue sur un côté jusqu’en haut de la cuisse. Au moment de l’essayage, elle choisit le dernier box et me demande de rester devant. Elle ne tire pas le rideau jusqu’au bout et enlève sa robe pour se retrouve nue. Elle remarque que je la regarde fixement et enfile sa nouvelle robe très sensuellement, en exagérant ses gestes. Je sens ma bite gonfler dans mon pantalon, la situation devient un peu gênante mais elle continu comme si de rien était et sort du box pour se regarder dans une grande glace fixée au mur. Une vendeuse arrive.

–Bonjour Céline, elle te va très bien, juste un faux pli sur le côté au niveau de la taille, mais nous pouvons le reprendre si tu le désires.
–Oui, cette robe me plait, je la prends, mais il faut me faire la retouche pour demain, c’est possible ?
–Bien ma belle, ne bouge pas, je t’ajuste.

Je trouve la vendeuse un peu familière, mais si ça ne dérange pas Céline, que m’importe. Elle s’agenouille à côté d’elle et tend le tissu de la robe, se faisant, elle pose sa main sur la fesse gauche de Céline. Je remarque que cette main bouge un peu trop, en fait, la vendeuse caresse la fesse de Céline devant moi sans vergogne en rattrapant le faux pli. Céline ne bouge pas, elle me regarde dans la glace avec un léger sourire. La vendeuse place une aiguille, mais passe la main dans la fente.

–Tu permets, je dois tendre le tissu.
–Vas-y Laurence.

Céline me sourit encore plus, je vois la main monter sous la robe jusqu’à sa fesse, je ne comprends pas très bien le but de la manœuvre, mais la vendeuse s’active ainsi pendant deux bonnes minutes. Sa main disparait même entre ses cuisses quelques secondes. Quand elle ressort sa main, elle se lève et vérifie le tombé de la robe.

–Je crois que ça va être parfait, tu peux l’enlever.

Céline se dirige vers le box en attrapant la robe par le bas et soulève l’ensemble. Elle n’est pas encore entrée dans le box que ses fesses sont à l’air. Elle enlève complètement sa robe sans tirer le rideau, se retourne et la tend à la vendeuse qui n’en a pas perdu une miette. Céline lui sourit, la vendeuse semble un peu troublée.

 –Demain vers dix-sept heures, elle sera prête ?
–Ne t’en fait pas, elle sera prête.

La vendeuse s’en va et Céline enfile sa robe, j’en profite pour aller payer sa nouvelle robe.

–Pourquoi ?
–Ça me fait plaisir.

Elle m’embrasse pour me remercier et nous rentrons à pied chez elle.

–Tu semble bien connaitre cette fille.
–Nous avons des relations sexuelles régulières depuis plus de trois ans, il nous arrive de passer la nuit ensemble de temps en temps, mais ce n’est pas une relation sérieuse, plutôt pour le plaisir.
–Ok.
–Il fallait bien que mon corps exulte en t’attendant.
–Tu n’en fait pas un peu trop là.
–Devine.
–Et maintenant ?
–Maintenant, je t’ai, mais j’avoue que j’adore nos moments, ce sont des moments de pur plaisir, sans prise de tête, nous nous voyons juste pour faire exploser nos corps de plaisir, et je peux te dire que c’est une championne. Ça te dérange que je la voie encore de temps en temps ?
–Pas du tout, moi-même je pense revoir certains de mes copains.
–Tu es libre, mais pas de femmes s’il te plait.
–Promis, mais toi, pas d’hommes.
–Promis.
–Au fait, j’ai trouvé que sa main se promenait un peu librement sous ta robe.
–Oui, elle est allée contrôler avec son doigt si elle me faisait toujours de l’effet, elle a pu constater que oui, j’ai bien senti son doigt glisser entre mes lèvres.
–Ça vous arrive souvent ces manifestations en public ?
–Très, elle me fait toujours de l’effet, mais c’est toi qui m’en fait le plus.

…/…
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