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Mon consanguin

Chapitre 1

Inceste
— Olivia, je te présente ton nouveau frère, m’annonce mon père en me poussant gentiment vers ce dernier.Je fis un pas et m’arrêtai, heureuse et gênée. Mon nouveau frère était en fait mon véritable frère biologique que je rencontrais pour la première fois. C’était le fils de ma mère que je n’avais jamais connu puisque mes grands-parents fortunés s’étaient arrangés pour qu’elle disparaisse du paysage tout juste après ma naissance. J’avais appris qu’elle avait refait sa vie au Brésil avec un natif du pays et Thiago était leur fils à tous les deux. Deux mois plus tôt, ses deux parents avaient eu un accident mortel au ski qui l’avait rendu orphelin. Et bizarrement, dans leur testament commun, mon père faisait partie de ceux désignés pour s’occuper de leur fils. Bien sûr, ça avait été le choc pour nous deux ; moi parce que j’avais perdu tout espoir d’un jour renouer le contact avec ma mère et mon père quant à lui se retrouvait pratiquement père de la seule femme qu’il n’ait jamais aimée. Refusant d’en attendre parlez au début, mais devant mon insistance, mon père avait fini par embaucher un excellent cabinet d’avocat, lequel s’était chargé de « convaincre » les proches de Thiago qu’il aurait de meilleures chances de réussite dans la vie si son éducation était prise en charge par une famille aisée comme la mienne. C’est ainsi que mon père usa de quelques contacts politiques pour le faire monter en Angleterre alors que la procédure d’adoption venait à peine de commencer.— Enchantée, dis-je solennellement. Moi, c’est Olivia.J’avais deux ans de plus que lui, mais je me sentais petite devant lui, intimidée, d’autant plus qu’il me dépassait de plusieurs tailles et clairement plus imposant. Thiago avait 16 ans. — Salut, fit-il avec un sourire entendu à mon père. Je sais, ton père m’a énormément parlé de toi, il m’a même montré tes vidéos de dance de quand tu étais petite. Moi, c’est Thiago. J’enfuis aussitôt mon visage dans mes mains, rouges de honte. C’était peut-être mon frère, mais lui et moi n’avions pour l’instant rien partagé d’autre qu’un utérus. Je n’aurais jamais voulu que la première fois qu’il me voit soit dans une vidéo où je tombais toutes les deux secondes et pleurait aux moindres désagréments provoqués par mes chaussures de ballerine. Je soupirai pour me ressaisir et marquai un pas vers lui, hésitant entre tendre la main ou l’embrasse comme j’aurais fait avec n’importe qui que je venais de rencontre. Très amusé par la situation, Thiago déposa son sac sur le seuil de la porte et vint soudainement m’étreindre. Je fus si surprise que je demeurai figée les premières secondes avant de le serrer dans mes bras à mon tour devant le regard amusé de mon père. — Excusez-moi, monsieur, lança notre chauffeur depuis l’allée, les valises pleines les mains, où dois-je posé ça ?Thiago et moi nous nous relâchâmes tandis que mon père nous contournait. — Laisse ça là, Jacob, dit-il. Je me chargerais de les faire monter plus tard. Oli, tu veux bien aller montrer à Thiago la chambre qui sera dorénavant la sienne ? Tout sourire, j’attrapai machinalement sa main et l’entrainai à travers ma – notre – maison qui, pour ma part, était un peu trop vitrée. J’en profitai pour lui présenter chacune des pièces de la maison et cherchai à guetter ses réactions à chaque fois je mentionnais chambre d’ami. C’était donc tout naturellement qu’il me demanda combien d’amis exactement nous avions l’habitude d’héberger pour la nuit. Après avoir bien ri, puis bredouiller des excuses, je répondis que jamais à ma connaissance toutes les chambres de la maison n’avaient déjà été occupées simultanément. La plupart de nos amis étaient de notre milieu et ils préféraient de loin rentrer chez eux même après une soirée festive, à l’exception de ceux qui venaient en avion. Et encore parfois l’hôtel semblait mieux les convenir. Je me gardai cependant de lui dire que les riches étaient fort vaniteux et passaient leur temps à vouloir impressionner leur prétendu ami. Dormir chez l’un équivalait à s’auto rabaisser. Il aurait le temps de comprendre par lui-même que si nous avions les moyens de nous payer pratiquement tout ce qui nous faisait envie, derrière nos maisons de verre se cachaient des requins dont l’apparence avait plus de valeur que la fortune en soi. — Voilà, celle-ci c’est ta chambre, désignai-je en lui laissant le soin de l’ouvrir lui-même. Pour le coup, j’avais collé un ruban en papier cadeau sur la porte. Il l’arracha et poussa doucement la porte. La pièce était à l’instar de toutes les autres, spacieuse, lumineuse et majestueuse. Son petit plus était qu’elle juxtaposait la mienne. Je caressai l’image d’un amour fraternel entre nous comme j’avais toujours rêvé en étant enfant unique. Thiago avança d’un pas timide dans son nouveau sanctuaire, tournant la tête dans tous les sens pour l’admirer sous toutes ses coutures. Je me tenais derrière lui, appuyée sur le chambranle, contente de mon choix de déco. — C’est à qui le Mac ? demanda-t-il en le prenant sur le lit soigneusement dressé.— À toi. Je suis passé chez Apple Store le récupérer hier en même temps que l’iPhone, répondis-je en montrant la petite boite blanche frappée de la pomme sur le bureau. J’ai pris un abonnement à mon nom avec, on ira le changer lorsque tu recevras ton Numéro National. Soudain, une sonnerie se met à retentir. Thiago sursauta et regarda le bureau avec crainte.— Non, c’est mien, souris-je, je viens de recevoir un SMS. (Je lus le message.) C’est papa, il te fait dire qu’on sortira diner tout à l’heure si tu n’es pas trop fatigué.— Pas de problème, approuva Thiago et je m’empressai de transmettre la réponse. Dit, c’est normal que vous vous envoyer des SMS alors que vous êtes dans la même maison ? Je m’efforçai de ne pas rire.— Bienvenu en Angleterre, frangin, dis-je en guise de réponse. Le diner s’était super bien passé. On avait passé notre temps à discuter de tout de rien et en faisait très attention de ne pas parler de chose sérieuse ou du passé. Pour ma part, je m’étais surtout contentée d’écouter Thiago sur les différences notables entre nos deux pays. Il racontait comment c’était passé son vol, de la gêne qu’il avait éprouvée à chaque fois qu’une hôtesse de première classe s’était pliée à ses demandes à lui donnant du monsieur. C’était intéressant de voir décrire mon monde par les yeux d’une personne comme lui, qui bientôt en ferait intégralement partie. La plupart des choses que je trouvais normales étaient incroyables pour lui. Comme un chauffeur qui m’amenait à 5 kilomètres à l’école alors que j’avais une voiture, un vélo et un abonnement pour le bus. Le lendemain, au petit matin, comme à mon habitude, la première des choses que je fis fut de me diriger vers les douches privées de ma chambre. Encore somnolente, j’ouvris ma porte en bâillant puis m’étirai mes bras. Je m’apprêtais à descendre ma culotte pour m’installer sur la cuvette lorsque je vis une forme qui se tenait face à moi. Je me frottai les yeux du revers de la main et regardai de nouveau. C’était pire qu’une forme, un homme nu à la musculature parfaitement entretenu et à la verge démesurée se tenait debout et me dévisageait avec étonnement. Pis encore qu’un homme, c’était Thiago en tenu d’Adam. Inconsciemment, je me mis à le détailler des yeux. Il n’avait que 16 ans et pourtant je lui en donnais beaucoup plus. Ses tablettes de chocolat étaient impeccablement bien dessinées, si bien d’ailleurs que je croyais voir une photo de couverture retoucher pour un magazine de sport. Ses cuisses et ses bras étaient fermes, mais pas volumineux. Juste bien comme il fallait. Et dieu, c’était quoi ce membre qui était plus long et presque aussi gros que mon avant-bras ? J’avais déjà eu à faire jouir bon nombre de garçons depuis ma première fellation deux ans plus tôt, mais aucun ne m’avait présenté une queue susceptible de rivaliser avec celle-ci. Comme si ce n’était pas suffisant, ses couilles elles aussi étaient disproportionnelles. Elles me semblaient si énormes que je ne pus me retenir de penser qu’elles souffraient d’une maladie ou d’un truc du genre.Je déglutis et tentai de me donner contenance bien que je devinai qu’il avait compris que son corps ne m’avait pas laissé de marbre.— Thiago, fis-je, comment es-tu entré ? — Par la porte, répondit-il en désignant la porte en question par-dessus son épaule.Je me tournai pour regarder celle par laquelle moi j’étais entrée. Elles étaient identiques. Je me rappelai alors bien qu’à l’origine cette douche m’était uniquement destinée, mon père avait fait ajouter une porte depuis la chambre voisine, car à l’époque il envisageait sérieusement l’idée de se mettre en ménage avec une femme qui avait une fille de mon âge. L’idée de partager ma douche avec une autre fille ne m’avait pas dérangé outre mesure à cette époque-là. Et puisque mon père et elle s’étaient séparés, j’en étais même venu à oublier l’existence de cette porte. Elles étaient toutes deux dotées d’un système électronique. L’une verrouillait automatiquement l’autre. Si Thiago avait pris la peine de fermer convenablement sa porte après y être entré, je n’aurais pu ouvrir la mienne. Visiblement, se croyant seul, il ne se n’était pas donné cette peine.
— Tu es comme maman, observa-t-il avec étonnement.— Comme ça ? — Toi aussi tu aimes dormir à moitié nue.Je baissai les yeux et remarquai que j’étais effectivement seins nus depuis le début. Mes tétons pointaient et je ne m’en étais pas rendu compte. J’eut eue un geste protecteur pour mes seins, mais m’arrêta lorsque mes yeux glissèrent discrètement sur sa verge. J’avais sous les yeux ce qu’il avait de plus intime. Ne serait-ce pas le comble si j’agissais comme une prude alors que je bayais devant ce membre ? Puis, soudain, je réalisais quelque chose qui m’inquiéta. — Comment tu fais ? — Faire quoi ! — Ça, ne pas bander alors que je suis à moitié nue devant toi. Ce n’est pas de la prétention, mais je ne connais aucun homme saint de corps qui ne s’existerait pas devant une paire de sein. Thiago sourit et alla récupérer sa serviette laissée sur le sèche-linge, sa queue bougeant au rythme de ses pas entre ses jambes. Croyant qu’il avait le nouer autour de sa taille, il me surprit en l’enturbannant sur sa tête. Non, je devais rêver. Il ne faisait pas faire exprès de me provoquer, si ? — C’est simple, parce que je ne suis pas le genre d’homme à bander à l’appel.Je haussai les sourcils. J’aurais traité de fou celui qui m’aurait dit la veille que j’aurais un frère incapable de bander devant une fille simplement parce qu’il le voulait.Je mourrais d’envie de poser d’autre question, de tout savoir sur sa vie sexuelle. Mais j’avais peur de sa réaction, de comment il me verrait par la suite. Nous ne nous connaissions que depuis 24 heures à peine et parler sexe entre frères et sœur était une étape bien loin de notre relation actuelle. — Et avant que tu ne le demandes, je ne suis pas gay, enchaîna-t-il. Disons simplement que je ne suis réactif qu’aux simulations physiques autres que la mienne. — Tu veux dire que tu ne te masturbes pas ? demandai-je d’une voix chevrotante. — Si, mais je ne jouis pas. Je le fais jusqu’à ce que j’aie mal au poignet ou qu’autre chose vienne me divertir.— Mais c’est impossible, je veux dire tout le monde le fait. Même les filles le font. Et comment fais-tu alors ? J’ai cru comprendre qu’un homme a besoin de…Je m’arrêtais brusquement, rouge de honte. Je m’étais lancé si vite que je ne m’étais pas aperçu avoir dit tant de choses intimes. — Bah au Brésil j’avais des amies qui s’en chargeaient pour moi.— Des amies ? Tu veux dire des prostitués ? — Non, des amies de mon âge. Bien sûr, ce n’était pas entièrement gratuit. Mais pas cher payer non plus.J’avais une petite idée du comment elles l’aidaient, mais je voulais quand même l’entendre dire.— Et comment s’y prenaient-elles, ces amies ?Thiago sourit.— À ton avis ? — Je ne sais pas. — Une pipe par-ci, une branlette par-là. Ce n’était pas comme si elle se sacrifiait hein, elles avaient l’habitude de le faire. Elles avaient beaucoup d’autres amis comme moi. Je retroussai mes lèvres pour les humecter. Ce n’était certes pas des prostitués au sens conventionnel du mot, mais dans une définition plus large elles l’étaient. Elles suçaient pour de l’argent ou autre chose en échange. — Puis-je savoir combien d’amies exactement t’aidais ? — Ça dépendait surtout de leur disponibilité, mais il y’avait des fois où j’arrivais à me faire sucer tous les jours de la semaine par une fille différente. Je regardai une énième fois son sexe toujours au repos. Pas le début d’une érection. Même chez moi dont l’excitation n’était pas apparente comme la sienne, je commençais à éprouver des frissons entre les jambes rien qu’en l’intendant parler ainsi. Jusqu’à quel point pouvait-on contrôler ses nerfs ? — Je crains devoir te dire qu’ici tu auras du mal à trouver 7 filles qui te… satisferont chaque jour de la semaine, surtout pas dans notre cercle tel que je le connais. Thiago haussa nonchalamment les épaules.— Une suffira, mais en attendant je n’ai d’autre choix que d’attendre. Ce n’est pas comme si toi tu allais brusquement te proposer pour me vider, hein, grande sœur ? J’ouvris grand les yeux, l’excitation à son comble. Je tournai le talon et me dirigeai vers la porte. Devant celle-ci, je poussai sur le bouton occupé qui verrouilla d’emblée les deux portes et bruit mécanique qu’on entendit en fut la confirmation. Puis je me retournai derechef vers lui, le menton levé, une assurance retrouvée. — Et si j’acceptais de te soulager le temps que tu te trouves une copine, qu’est-ce que je gagne ? Marchandais-je. Je parle bien de te soulager, ou pour dire plus grossièrement te vider les couilles. Toi et moi nous ne coucherons jamais ensemble. Seules ma bouche et mes mains sont à disposition.— Tu parles sérieusement là ? Je cheminai vers lui d’un pas assuré et saisit fermement sa verge. — À ton avis ? Il soupira dans mon cou.— Pour l’instant je n’ai rien d’autre à t’offrir que mon éternelle gratitude, haleta-t-il. J’entamai un lent mouvement de va-et-vient sur son membre dont mes doigts ne parvenaient pas à en faire le tour.— Pour l’instant je m’en contenterais, décidai-je en m’agenouillant devant lui.Je déposai sa queue sur ma langue et sentis les palpitations de son pouls. Primo, il n’était clairement pas gay, et deuxio je m’apprêtai à vider les couilles de mon consanguin avec ma bouche moins de 24 h après notre première rencontre… ça promettait.
À suivre…
Merci de laissez vos avis tout en sachant que c’est la première fois que je rédige une histoire du genre.
Merci de m’avoir lu.
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