Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 43 J'aime
  • 1 Commentaire

Mon consanguin

Chapitre 2

Inceste
Des deux mains, tel un massage, j’entamai un lent mouvement de va-et-vient sur la tige de chair tandis que j’aspirais goulument le gland dans ma bouche. Thiago lâcha son premier râle, ce qui me fit rouvrit les yeux et les posés sur lui. Thiago, mon consanguin de deux ans mon cadet, me regardait avec intensité, gratitude. Tout doucement, presque subrepticement, ses mains approchèrent et se posèrent sur ma tête, vraisemblablement pour me donner une cadence. Je lâchais aussitôt sa queue tout en continuant à le sucer pour attraper ses mains et les lui coller contre ses flancs. L’excitation sur son visage céda sa place à l’incompréhension. Je continuai à remuer ma tête en prenant de plus en plus de chair dans la bouche sans le quitter des yeux.— Pourquoi ? haleta-t-il.Je gardai le silence, non pas parce que ma bouche était on ne peut plus occupée à le pomper, mais parce qu’agir ainsi était le seul moyen pour moi de garder le contrôle de la situation et de l’acte en lui-même. Et peut-être un peu aussi parce que j’étais une femme provocatrice et que torturer un homme de la sorte faisait partit de mes petits plaisirs personnels durant le coït. Frangin ou pas, il ne dérogeait pas à la règle.
Je ressaisis son érection de mes deux mains pour le branler énergiquement pendant que j’accordais un répit non démérité à ma bouche. Je fis couler un filet de bave sur le phallus et m’en servit comme lubrifiant pour humecter toute la longueur. Reposé et paré pour le second round, je levai sa queue et aventurai mes lèvres vers ses bourses emplies de jus naturel et en aspirai une dans un bruit de succion. Thiago leva les yeux au ciel et jura en portugais. Souriante intérieurement, je pris cette réaction comme un encouragement à poursuivre sur ma lancée. Je lâchai donc la première couille pour faire subir le même sort à sa jumelle. Puis, je remontai de la naissance de sa queue jusqu’au gland en la parsemant de baiser et de coup de langue. — Pitié, Olivia, fit-il d’une voix torturée, laisse-moi te toucher. Juste un peu. J’enfouis sa chair délicate dans ma bouche et posai les dents sur la peau sans émettre aucune pression pouvant le blesser même par erreur et secoua négativement la tête. — Merde !! jura-t-il en remuant son bassin pour me baiser la bouche. Voyant cela, j’eus l’idée de me contenter d’ouvrir la bouche et le laisser se charger des va-et-vient pour voir ce que ça donnait. Je repris très vite le contrôle lorsque par deux fois il tenta une gorge profonde qui manqua de m’étouffer. Ainsi, je continuai ma fellation en alternant avec une léchouille de ses couilles, histoire qu’il n’y’ait pas de jaloux dans le trio que constituaient ses organes génitaux. Au bout d’une dizaine de minutes, plus ou moins, les râles de Thiago se transformèrent en son
— Est-ce que je peux venir dans ta bouche ?J’en déduis que la récolte de mon dur labeur était proche. Très bien, je commençais à fatiguer. De nouveau, j’évitai délibérément de répondre à sa question, mais au lieu de me regarder avec incompréhension comme la première fois, il glissa ses mains dans ses cheveux, leva la tête et se mit à remuer de plus en plus vite le bassin malgré mes muettes protestations. Les muscles de son pénis se contractèrent, le rendant plus tendu que jamais et d’un coup, sans crier gare, je sentis un liquide chaud et visqueux s’écraser dans le fond de la gorge. Je ne me posai pas mille et une questions avant d’avaler, sachant fort bien que d’autres salves étaient en chemin. J’ignorais la quantité de sperme qu’il lâcherait, mais pour avoir déjà sucé d’autre homme qui avait passé plusieurs jours sans se masturber, je savais que tenter de tout retenir dans ma bouche était le meilleur moyen de déglutir sur mon partenaire. Alors, je suçais et avalai au fur et à mesure que ça arrivait. Au terme d’une petite minute passée à boire ce nectar d’homme, je passai un dernier coup de langue sur sa bite légèrement ramolli pour la nettoyer et me relevai.
— Oh, putain, Olivia, c’était… commença Thiago.— Sort, le coupai-je.— Hein ? fit-il, visiblement hébété.— J’ai une douche à prendre, dis-je implacablement et avec autant de froideur que pouvait l’être une fille qui venait d’offrir une gâterie à son frère utérin. Je te demande de t’en aller pour que je puisse la prendre.Il me jaugea du regard, sourcils froncés, se demandant sans doute si je faisais de l’esprit. Mais devant mon inexpressivité, il me contourna et sortit de la pièce par la porte de sa chambre que je m’empressai d’aller verrouiller. Je m’adossai sur celle-ci et me laissai glisser pour m’asseoir à même le sol, ramena mes genoux contre ma poitrine nue, noua mes bras autour et déposai mon menton dans l’interstice créé entre mon cou et mes genoux. Non, je ne regrettais pas ce que je venais de faire, bien au contraire. J’aurais refait la même chose si par un quelconque miracle divin le temps venait à se retrousser. Non, ce qui me dérangeait était la relation peu banale entre mon frère nouvellement rencontré et moi qui allait en résulter. Il était plutôt clair qu’après ça, plus jamais ne je le regarderais avec innocence et réciproquement. J’étais l’auteure d’une situation qui, dans un futur proche, deviendra inéluctablement incontrôlable. Bizarrement, je m’en réjouissais d’avance. Je soupirai profondément et me relevai pour aller chercher ma brosse à dents : un lavage buccal de fond en comble s’imposait.
Après ma douche, j’allai me concocter un petit déjeuner complet et montai le manger dans ma chambre pendant que je reprenais la rédaction de mon rapport de stage effectué le mois passé que je devais rendre le lendemain : nous étions dimanche. Les rares fois où je devais me soulager d’un besoin pressant, je gagnai mes toilettes personnelles – plus maintenant, en fait – et m’assurais avant que Thiago ne s’y trouvât pas ou ne risquait pas de m’y rejoindre par surprise en verrouillant toujours la porte derrière moi. De ce fait, je ne le revis pas de la journée même si ce n’était pas le but recherché. Le mur séparant nos deux chambres étant particulièrement fin, je l’entendis toute la journée déplacer les meubles et faire des allers et retours. Je ne pouvais dire s’il cherchait à capter mon attention ou s’il détestait véritablement sa déco tel que je l’avais choisi. Quoiqu’il en fût, j’insérai des écouteurs dans mes oreilles et m’insolai.
Je n’avais pas encore terminé mon rapport de stage, mais pour ne pas saturer, j’avais enregistré mon travail et naviguais à présent sur des sites de potins tout en discutant avec des amis sur mon profil Facebook. Je jetai un rapide coup d’œil à l’horloge de mon MacBook lorsqu’on frappa à ma porte : 17 h 58. C’était trop tôt pour être mon père et trop tard pour être la femme de ménage. Un seul nom s’imposa à mon esprit.— Entrée ! Thiago poussa la porte, passa le visage dans l’entrebâillement, zieuta dans ma chambre puis, seulement, il entra.— Ce n’est pas exactement comme ça que j’imaginais ta chambre, observa-t-il, les bras ballants.
— C’est-à-dire ? — Rien, je suis désolé. Oublie ça ! Tu as deux minutes, j’aimerais qu’on parle.Nul besoin d’avoir un diplôme universitaire pour deviner sur quoi le sujet porterait. Assise en tailleur sur mon lit, je rabaissai l’écran de mon ordinateur portable et le glissai sur le côté.— D’accord, je t’écoute.Thiago soupira et fit craquer ses doigts.
— Comme tu dois déjà t’imaginer, j’aimerais que l’on parle de ce qui s’est passé ce matin. De tout ce qui s’est passé et de ce qui a été dit.— OK, acquiesçai-je avec un sourire amusé.Il était troublé, agité et c’est donc tout naturellement qu’il se mit à faire les cent pas.— Tu m’as sucé, lâcha-t-il de but en blanc. Ça, c’est clair. — Je m’en souviens, j’y étais. — Mais ce n’est pas tout, reprit-il en faisant fi de mon sarcasme. Peu avant tu t’es proposé pour être (il vit des jeux de guillemets avec ses doigts.) « Ma vide couille ».— Sauf erreur de ma part, je ne suis pas sénile, Thiago, dis-je. Je me souviens de ce que j’ai dit et fais ce matin. Où veux-tu en venir avec tout ça ?— M’assurer que tu ne te payais pas ma tête, Olivia. Je ne sais pas pour toi, mais moi je viens de passer la journée la plus longue de mon existence. J’ai besoin de savoir que je n’ai pas eu droit à un avant-gout du Paradis pour me retrouver dans l’enfer.Ses mots dégageaient une certaine flatterie que j’appréciais, mais j’avais l’impression qu’il en faisait un peu trop. Qu’il exagérait. C’est vrai, j’adorais prodiguer des fellations aux hommes, voir l’extase parcourir leur corps alors que je tenais leur précieux dans ma bouche, et je ne m’en privais pas dès que l’occasion s’en présentait, raison pour laquelle j’étais plus ou moins doué dans cette discipline. Mais de là à rendre un homme complètement fou en une seule fois, je n’étais pas assez prétentieuse pour le croire. — Je t’ai sucé après t’avoir spontanément proposé d’être ta vide couille, Thiago, le rappelai-je, que pourrais-je faire d’autre pour te prouver que j’étais tout ce qu’il y’avait de plus sérieuse ? Il cessa d’arpenter ma chambre et me considéra longuement, comme s’il cherchait à travers moi la réponse adéquate. — Me le redire, juste me le redire, Olivia. J’inspirai en me levant de mon lit et me dirigeai vers lui sur la pointe des pieds, cassant délibérément ma démarche telle une apprentie mannequin. — Ferme les yeux, le sommai-je une fois près de lui.— Pourquoi ? Voulut-il savoir, la respiration lourde.— Obéir, Thiago. Montagne de nervosité qu’il était, il s’exécuta néanmoins. Je saisi l’une de ses mains et la glissa sous ma chemise pour la faire grimper graduellement jusqu’à poitrine bien trop grosse pour sa paume. Il rouvrit brusquement les yeux.— Ferme-les !
Et de nouveau, il m’obéit. Ne suivant que ses instincts primaires, il se mit à me palper et caressa le sein avec un sourire lubrique sur les lèvres. — As-tu vraiment besoin que je le redise ? Il secoua frénétiquement la tête en s’en rompre la nuque. — Bien, dis-je avec une perverse satisfaction. Continue à fermer les yeux, je n’ai pas fini. Ce matin je t’ai dit que je te sucerais pour te soulager jusqu’à ce que tu te trouves une copine. Bel homme comme tu es ça ne saurait tarder. Par contre, même avec toute la volonté du monde je ne saurais remplacer tes prétendues amies brésiliennes qui se relayaient pour se satisfaire. Je n’ai qu’une bouche, deux mains et il est hors de question que je couche avec toi. Cela pourrait te paraitre bizarre venant de moi, mais je ne pense pas être un jour émotionnellement prête pour prendre en moi mon frère. De sa propre initiative il glissa son autre main sous ma chemise pour s’emparer de mon second sein. Je le laissai faire sans broncher. — Je peux rouvrir les yeux maintenant ? M’implora-t-il.— Seulement si tu veux cesser de me tripoter.
J’attendis sa réponse qui ne vint jamais et j’en conclus qu’il était disposé à me toucher et malaxer la poitrine jusqu’au l’aube tant que je le laissais faire. Tant pis si pour ça il ne pouvait les voir.— Tu me permets de te poser une question ? demanda-t-il.— Je t’écoute. — Pourquoi n’avais-je pas le droit de toucher la tête ce matin alors que maintenant tu me laisses faire te toucher les seins ? C’est quoi cette logique ?Je souris. — Y’a pas de logique. Je décide de quand et comment tu me touches. C’est l’une des conditions pour que j’émets si tu veux continuer.— L’une ? Qu’elles sont les autres ? Comme ça je sais où éviter de mettre les pieds.Pendant que je prenais ma douche tôt ce matin j’avais eu le temps de faire une liste d’interdiction qui n’avait tous pour but que de le torturer un peu plus avant ou pendant l’acte. Voir même après. — Tu n’exigeras jamais rien de moi. J’ai commencé et libre à moi d’y mettre un terme quand je veux. Je te sucerais ou te branlerais selon ma volonté ou mes envies. Tu n’as pas le droit de me toucher même si moi je suis en train de te toucher sans que je n’en aie fait la demande. Je déciderais de quoi faire de ton sperme après chaque éjaculation. Le boire, le jeter ou l’étaler sur mon corps ne regardera que moi. Une fois sorti, il m’appartiendra, je l’ai mérité. Et enfin, tu ne peux en aucun cas me demander de coucher avec toi. Ainsi sont mes règles. Est-ce qu’elles te conviennent ? Thiago ne réfléchit pas longtemps.— Oui, à l’exception d’une seule.— Laquelle ?— La dernière. Passe-moi mon langage, mais t’es-tu regardé dernièrement, Olivia ? T’es un foutu plaisir pour les yeux. Ne pas te désirer serait blasphématoire.— Je ne te demande pas de cesser de me désirer si tel devient le cas, mais de ne pas me demander de coucher avec toi, nuançai-je. De plus, ce n’est pas comme si toi et moi on prévoyait de faire ça pendant longtemps. Ce n’est qu’une question de semaine ou pire, de quelque mois. — Je comprends.Soudain, j’entendis des pas dans le couloir et m’éloignai prestement de Thiago, reboutonnant les boutons de ma chemise qui avaient sauté suite à ma réaction. — Oli, tu es là ? La seconde d’après, mon père poussa la porte et entra dans ma chambre.— Qu’est-ce que vous faisiez tous les deux, demanda-t-il en fronçant les sourcils. Je coinçai une mèche de cheveux derrière une oreille et haussai les épaules.— Tu avais quelque chose à me dire ? Éludai-je.Il papillonna son regard entre Thiago pétrifié à moi. — Papa ?
— Euh, oui, les Alcock nous invitent à venir regarder avec eux le dernier film de leur fils dans leur salle de projection. Ça vous dit, les enfants ? — Je ne sais pas trop, j’ai mon rapport de stage à remettre pour demain et il me reste encore un peu de travail avant de le boucler.— Et toi, Thiago ? Ce serait l’occasion idéale de te présenter à nos voisins. Qu’est-ce qui tu en dis ? Thiago se retourna afin de le faire face.— Pourquoi pas ? Oui, je veux bien. — ça, c’est l’attitude à avoir, jubila mon père. Le temps de me changer, on bouge dans cinq minutes. Une idée malsaine me traversa l’esprit. Je stoppai aussitôt mon père dès qu’il fit mine de s’en aller.— Attendez, finalement je veux bien vous accompagner.— Et ton rapport ? fit mon père.— Il ne me reste qu’une phrase ou deux et ce sera bon. — D’accord. Dans cinq minutes, on bouge, répéta-t-il en s’en allant.Je patientai un moment, le temps que j’estimai que mon père aurait besoin pour gagner sa chambre bien à l’écart de la mienne. — Je peux savoir pourquoi tu as soudainement changé d’avis ? S’enquit Thiago, soupçonneux.J’esquissai un rictus. — Tu t’es déjà fait branler dans une salle de cinéma privée ? Il n’avait pas besoin de répondre.
À suivre…
Diffuse en direct !
Regarder son live