Je comprends sa position, lui dis par la même occasion que je suis une grande fille et que je sais ce que je fais. Je me blottis une nouvelle fois dans le creux de son épaule. Il pose sa main sur ma taille puis me fait des papouilles d’une douceur extrême. Des frissons parcourent mon corps. Il monte et descend avec ses doigts sur mon flanc, puis d’un geste que je qualifierais d’audacieux, il finit par saisir mon sein droit dans la paume de sa main. Avec son index, il titille mon téton qui ne tarde pas à se dresser, puis me malaxe la poitrine avec attention. Malicieusement, j’essaye d’atteindre sa verge, je sens une bosse à travers le tissu de son short que je masse lentement. La glace est brisée, je n’en pouvais plus, entre le refus de Roberto, et la situation complexe de ma douche nocturne, mes sens étaient complètement déboussolés. A présent, j’ai mis ma main dans son caleçon, et m’aperçois qu’il a un sexe assez gros. Je le masturbe, Antonio fait de même avec moi puisque ses doigts parcourent le sillon de ma vulve. Il joue aussi avec mon clitoris, ce qui fait partir ma tête en arrière de plaisir. Il change de position, s’assoit face à moi, écarte la ficelle de mon sous-vêtement et commence à me lécher. Sa langue entre dans mon puits d’amour, puis rapidement, son index et son majeur viennent fouiller mon vagin. Je me mords les lèvres afin d’atténuer mes grognements. D’ailleurs, ici, sur la terrasse du mobil-home, exposé à un éventuel voyeur, mon premier orgasme arrive à une vitesse éclair. Il baisse son short, son caleçon, puis saisit ma main afin que je le masturbe. Rapidement, je me penche un peu puis le prends en bouche. Je titille son gland avec le bout de ma langue, puis je l’avale complètement. Je fais des mouvements de diverses intensités. Il pose ses mains sur mes épaules, me remet contre le dossier de la chaise, soulève mes jambes, écarte de nouveau l’élastique de mon string puis présente sa verge à l’entrée de mon abricot juteux et totalement épilé. Il se frotte quelques secondes, puis me pénètre. Un cri s’échappe de ma bouche, puis je mords mes lèvres afin d’être le plus discret possible. Il me prend à présent avec un peu plus de vigueur, son gland butte contre mon col de l’utérus, puis nous changeons de position. Il me met à genou sur une chaise longue de jardin, et me prend en levrette. Mes fesses claquent contre le bas de son ventre, je prends un plaisir énorme, j’ai l’impression qu’il me possède entièrement. Au bout de quelques minutes, je sens que son membre grossir et exploser en moi. Par la même occasion, je jouis aussi. Mon souffle est saccadé, et lui aussi. Nous nous faisons une dernière accolade, puis nous allons nous coucher dans nos lits respectifs. Durant la nuit, je ne cesse de repenser à cet échange corporel, j’en ai la vulve qui mouille encore d’envie. Mais je me dois de rester sage, ce dérapage doit être le dernier. C’est la première fois que j’agis ainsi, est-ce qu’inconsciemment, je voulais remercier Antonio à ma manière ou est-ce que c’est vraiment une attirance physique ? Je ne le sais pas encore. Il est à présent neuf heure, l’odeur du café envahit mes narines, j’embrasse tendrement Roberto. Antonio nous quitte pendant quelques heures afin d’aller chercher sa fille de dix-neuf ans, Laura a la gare de Biganos. Ils finissent par arriver aux alentours de onze heures, nous nous saluons, puis nous faisons les présentations. Nous passons ensuite à l’heure de l’apéritif, puis nous déjeunons en famille. Je vois que mon compagnon ne cesse de la dévisager depuis le début de notre rencontre. Je le comprends un peu, c’est une belle plante, elle est blonde, possède une poitrine magnifique ainsi que d’un fessier à me rendre jalouse. N’ayant aucun programme de prévu en particulier, nous prenons la décision d’aller au bord de l’océan. La chaleur est caniculaire, ça nous fera le plus grand bien. Nous trouvons un coin de sable afin de poser nos serviettes. Avec Roberto, nous nous précipitons afin d’aller dans l’eau. Nous nous tenons par la main, puis nous nous embrassons dès que nous le pouvons. Après une bonne heure de baignade, nous retournons à nos serviettes. Antonio me fait un petit sourire en coin de bouche, puis je m’allonge sur le ventre. Laura de son côté est sur le dos en train de faire bronzer ses seins nus. Je prends la décision de faire pareil. Nous continuons de nous câliner avec mon compagnon de temps en temps, mais je n’oublie pas de faire quelques accolades à son beau-père. Voyant ce manège, Laura propose à son père d’aller à l’eau. Ce dernier ne refuse pas. Ils reviennent à leur tour, puis c’est maintenant Roberto qui part avec sa demi-sœur. Pendant ce laps de temps, j’ai demandé à Antonio de me passer de la crème solaire sur le dos. Un peu hésitant dans un premier temps, il finit par céder à ma demande. Il le fait d’ailleurs d’une manière plutôt délicate. Il est très doux. Puis, je lui propose de faire de même avec ma poitrine, il me trouve oser, ce sont ses mots, mais ne refuse pas. Le contact froid de la crème sur mes seins font qu’ils pointent fièrement. Laura et Roberto reviennent de leur baignade. Le reste de l’après-midi se poursuit ainsi jusqu’à dix-huit heures. Nous retournons au camping. Je propose à mon compagnon de m’accompagner à la douche. Ce qu’il ne refuse pas. La taille du box est assez réduite, ce qui fait que nous nous frottons l’un contre l’autre. Nous nous enlevons le sable mutuellement. Il insiste un peu entre mes fesses, puis glisse lentement en direction de mon puits d’amour. Il y enfonce deux doigts. Je prends appui sur le mur et le laisse faire. Je cambre même mon derrière afin de lui faciliter l’accès. Il en profite même pour frotter son sexe dans le sillon, puis d’un coup de bassin malicieux, il me pénètre. Je me retourne tout de même afin de lui offrir une fellation comme il les aime tant, puis je me relève légèrement afin de lui offrir une cravate de notaire. Cette action l’excite énormément à tel point qu’il me saisit par les bras, me relève, me colle contre le mur et me fait un cunnilingus d’une vigueur extrême. Sa langue entre dans mon vagin en même temps que ses doigts. Et j’ai beaucoup de mal à étouffer mon premier orgasme. A présent, je suis debout, dos à lui, légèrement cambré, il écarte un peu mes fesses, et fait entrer son pieu dans ma vulve. Avec l’eau qui nous coule dessus les bruits sont clairement identifiables. Il me besogne avec vigueur. Son sexe tape contre mon col de l’utérus, puis au bout de dix minutes, il explose en moi. Nous nous faisons une accolade, puis nous retournons en direction du mobil-home. Ce soir, le repas sera simple, ça sera saucisses, merguez au barbecue accompagné de bières mexicaines.
