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mon dépucelage avec ma belle soeur

Chapitre 1

Inceste
A l âge ou l’on ressent les premiers prémices d’une adolescence, voici mon histoire.Je vous narre l’histoire d’un temps qui comme le dit la chanson que les moins de 20 ans ne peuvent pas connaître, nous étions dans les années 1970.A 12 ans, à peine sorti de la puberté, l’âge auquel les jeunes garons commencent à regarder de plus près les filles j’ai vu, ce qu’il y a pour un gamin, de plus beau, de plus joli, de plus sensuel, de plus érotique, les seins d’un femme. En vrai en chair et en nature. Et quels seins, ceux d’une femme de 20 ans, et qui plus est une femme que j’étais amené à rencontrer très souvent. Il s’agissait de la superbe poitrine de ma belle sœur. Je l’ai vue tout naturellement, sans être voyeur. En arrivant par inadvertance dans sa cuisine alors qu’elle était enceinte et que sa poitrine lui faisait mal, tant elle était lourde. Elle avait pris la décision d’ôter son soutien gorge sans penser que j’allais arriver. Quel ne fut pas mon état. Pour la première fois, j’apercevais une poitrine en vrai. Je tombais alors amoureux de cette poitrine et de cette femme qui n’était autre que la femme de mon frère.Dès lors toutes les occasions furent bonnes pour me frôler à elle, pour lui faire du pied sous la table, pour coller ma cuisse contre la sienne car bien sur dorénavant, j’étais son chevalier servant et je me trouvais à chaque repas dominical à sa gauche. Son silence devant mes gestes de plus en plus marqués, avait pour effet d’accentuer cette sensation d amour réciproque. Le soir je pratiquais le plaisir solitaire en fantasmant sur cette poitrine. J’idéalisai ma belle sœur comme Michelle Mercier l’indomptable Angélique. Pour moi elles se ressemblaient, tant par leur beauté que par leur opulente poitrine. Mes caresses devenaient à son encontre de plus en plus appuyées, de plus en plus dirigées. Je me permettais alors que nous étions côte à côte de poser ma main sur le haut de sa cuisse sans jamais oser aller plus loin.Je n’étais qu’un gamin, pour moi elle était une femme et quelle femme.Un jour lors d’un repas de famille, elle s’amusa à me mettre mal à l’aise en disant à toute la famille réunie : « Jean Paul me fait du pied sous la table ». Qu’elle ne fut pas ma gêne. Je dus rougir de honte me dépêchant d’enlever ce pied si maladroit. Mais elle frôla sa cuisse contre la mienne dans un geste de pardon.Vers 14 ans, toujours amoureux fou de cette femme qui avait pour prénom Régine, (alors que je ne cessais depuis deux ans de la coller chaque dimanche, de profiter de chaque occasion pour la voir, voulant être le premier à lui dire bonjour et le dernier pour lui dire au revoir ayant le sentiment ainsi de la garder plus longtemps pour moi), je m’approchais d’elle alors qu’elle cuisinait près de la gazinière de mes parents et que nous étions seuls dans la pièce. Soudain, dans un geste autoritaire, elle posa volontairement sa main à hauteur de mon sexe, m’emprisonnant, dans sa main, et me disant d’un air coquin « C’est cela que tu veux, voilà... depuis le temps, nous sommes quittes ».......J’étais le plus heureux des adolescents. La femme pour laquelle mon cœur battait, pour laquelle chaque soir, je me caressais, venait de toucher volontairement mon sexe.Toute cette histoire est vraie, et la suite si elle vous intéresse l’est tout autant, car bien sur mon cœur et mon corps d’adolescent n’allait pas s’arrêter à une simple caresse furtive.De relater ces faits aujourd’hui me procure encore un doux plaisir. Et pourtant c’était il y a 40 ans Avec cette première caresse je me sentis "aimé" même si la caresse n’avait été que furtive. Et je m’enhardissais dans mes frôlement envers Régine. Ma main quand je me trouvais à ses côtés montait un peu plus haut sur la cuisse. Mais je n osais encore rien de véritablement sexuel. J’avais par contre pris l’ habitude de la retrouver chaque vendredi après le collège pour l’accompagner en ville faire ses courses à pieds. Nous discutions, je lui posais des questions sur le sexe, les femmes, l’ amour..J’allais à la plage avec elle et ses amies. Je n’étais qu un adolescent. Je les entendais discuter entre elles, elles parlaient librement de sexe, se livrant à des études sur les jeunes hommes qui passaient en maillot de bain et sur la taille de leur sexe. Je me souviens que dans ces moments là, je me trouvais complexé. Je me mettais sur le ventre pour qu elles ne s’amusent pas à faire de commentaires sur moi.Et un jour...Je vins chez elle, je m en souviens comme si c’était hier. je frappais à la porte et j’entrais comme je faisais chaque fois. Elle n’était pas dans la salle ni dans la cuisine. Elle me dit qu ’elle était couchée car fiévreuse. Je suis allé dans sa chambre qui se trouvait à droite dans le couloir de l’entrée. Elle était alitée. Je m’approchais pour l’embrasser. Je remarquais tout de suite qu’elle était nue sous les draps. J’ai approché ma main, et j’ai saisi le drap, découvrant lentement son corps. Ses seins m’apparurent merveilleux et magiques, si près de moi.. Elle se laissa faire. Je descendis le drap en entier et là pour la première fois de ma vie, je voyais le corps totalement nue et en réel d une femme.. Et quelle femme, celle que j’aimais, qui ressemblait à Angélique, celle pour qui je me masturbais chaque soir.......................
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