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Mon élève est une géante de 2m et 160kg nymphomane !

Chapitre 2

SM / Fétichisme
Gloria était en nage. Son corps imposant luisait tel celui d’une gladiatrice qui venait de livrer un combat. Elle leva ses bras pour fléchir ses biceps. Ils étaient énormes ! Derrière une apparence enrobée, se cachait une musculature massive et puissante. Ses épaules étaient bien dessinées. Son énorme poitrine se dressait fièrement. Son ventre était plat et ses hanches plus que féminine. Ses cuisses étaient tout aussi imposantes. Leurs muscles bougeaient au moindre mouvement. Gloria, toujours les bras fléchis, se tourna pour me laisser admirer son coté pile. Ses bras étaient tout aussi impressionnants de ce coté là. Les muscles de son dos dessinaient un large “V”. Ses fesses étaient rondes et bien galbées par des muscles puissants. Ses mollets se gonflaient et se dégonflaient quand elle bougeait ses 160 kg. Elle se tourna pour me faire à nouveau face et me dit :” Alors petit, qu’en penses tu ? Je crois que j’ai plus de muscles dans un seul de mes bras que toi dans ton corps tout entier !” . Et elle avait raison. Je m’étais alors mis à genoux sur le lit pour admirer le spectacle. Je voyais mon corps menu dans la glace. Il semblait avoir l’épaisseur d’une feuille de papier à coté de celui de Gloria. Ma tête était juste à hauteur de sa poitrine. Elle approcha de ma bouche son téton droit dressé. Je commençai alors à le lui lécher de ma langue fine et douce. C’eût un effet terrible sur Gloria. Elle frémit de plaisir. J’ouvris alors grand ma bouche pour sucer tout son téton. La sueur lui donnait un goût un peu salé. Mes petites mains vinrent se placer machinalement de part et d’autre de son sein majestueux. Je fus surpris par sa fermeté ! Mes doigts avides de sentir cette chair, avaient du mal à faire bouger ce lourd joyau. Gloria était de plus en plus excitée. Brutalement, son immense main droite vint saisir l’arrière de mon crane et écrasa ma tête contre son sein. Je sentais toute cette chair m’écraser le visage, agréablement d’abord, puis je me mis à paniquer quand l’air vint à me manquer ! J’agitais alors mes bras pour passer le message à Gloria. Elle éloigna alors ma tête de son sein. Je ne revenais pas de la puissance qu’elle avait dans les doigts et le bras. Elle me soulevait quasiment en maintenant ma tête dans la paume de sa main de géante. J’avais peur que mon crane n’éclate. Elle me jeta sur le lit et vit alors que mon sexe était à nouveau plein de vigueur. Elle posa ses genoux de part et d’autre de mes jambes et saisit mes petits poignets dans ses battoirs. Elle remonta mes mains au dessus de ma tête et toujours en les tenant fermement, elle se pencha pour m’embrasser. Ses seins vinrent alors s’écraser sur mon buste. Sa langue vint emplir ma bouche avec force. Son baiser fut torride. Mon sexe dressé était en contact avec son ventre qui était exceptionnellement ferme. Elle se releva un peu et remonta son entrejambe pour laisser son sexe humide avaler mon pénis. Je sentis les muscles puissants de son vagin glisser contre mon chibre. Elle était tellement plus grande que moi que dans cette position, son énorme poitrine pendait majestueusement au dessus de ma tête. Elle commença un mouvement de va et vient qui faisait bouger tout mon corps tant elle avait de force dans les muscles de son bassin. J’admirai les oscillations hypnotiques des deux énormes masses au dessus de mes yeux. Gloria gémissait de plaisir. Elle avait toujours mes poignets dans ses mains. Elle se redressa en les tenant ce qui eut pour effet de coller ma tête en plein entre son énorme paire d’obus. J’adorais ce doux contact, même si la tension dans mes bras était de plus en plus douloureuse. Ce n’était pas suffisant pour Gloria. Elle se mis carrément debout tout en me soulevant par les poignets et en conservant mon sexe à l’intérieur du sien. Elle se mit alors à agiter tout mon corps de haut en bas pour faire aller et venir mon pénis. J’avais l’impression d’être un sextoy dont cette jeune géante se servait pour assouvir ses désirs. Secouant mes 40kg avec facilité, elle serrait mes poignets si fort que j’ai cru qu’ils allaient être écrasés. Mon visage frottait contre sa poitrine qui me donnait parfois de lourde gifle. Je ne pus me retenir plus longtemps et je jouis en elle, tout en étant au bord de l’évanouissement. Gloria jouit également et je sentis son jus couler sur mes jambes. Elle me maintint immobile pendu à ses mains pendant qu’elle savourait son plaisir, puis me lâcha sur le lit. Je me recroquevillais sur moi même pour soulager mes épaules. Gloria s’assit alors à coté de moi sur le rebord du lit. Elle passa un de ses bras sous mes genoux et l’autre derrière mon dos pour me soulever et m’asseoir sur ses cuisses qui étaient tellement larges que je devais garder les jambes allongées. Elle me plaqua contre ses seins démesurées et me berça tendrement, me soulevant parfois de ses cuisses comme un poupée de chiffon. Elle me dit : “Tu as aimé ma douceur ?”. Je luis répondis : “oh oui ! Même si tu ne contrôles pas toujours ta force, je vais avoir des bleus de partout demain”. Me serrant un peu plus fort contre ses immenses mamelles, elle me dit: “Pardon ma puce, j’oublie parfois à quel point je suis musclée et forte, et à quel point les hommes peuvent être fragiles et vulnérables”. Je me sentais alors très bien, oubliant presque pourquoi j’étais venu, quand la mère de Gloria entra dans la chambre et vit sa fille porter et cajoler le petit corps nu de son prof de math. Son visage qui était déjà sévère en temps normal exprimait une colère qu’elle avait besoin de soulager....
    Gloria me souleva et me serra contre elle. Je me calais un peu plus contre son énorme sein, comme pour me protéger de l’ire de l’immense matrone qui hurla en me regardant :”Petite pute ! Tu crois que je te paie pour que ma fille puisse abuser de toi !” . J’étais soulagé quelque part qu’elle ne me croit pas responsable de la situation, mais pas moins terrifié pour autant. Même si elle était plus petit que Gloria, elle restait quand même une femme impressionnante. 1m80 pour 120 kg, c’était quand même 20cm de plus que moi et 3 fois mon poids ! Elle portait une robe moulante qui mettait en valeur une musculature imposante. Autant Gloria pouvait paraître enrobée tout en étant très musclée, autant la silhouette de la matrone ne laissait aucun doute quant à sa force. Ses muscles étaient massifs et bien dessinés. Sa poitrine opulente était maintenue par de larges pectoraux. Elle croisait les bras tout en me transperçant du regard. Gloria tenta de prendre ma défense : “Mais maman, tu sais bien qu’il n’y est pour rien. Quand je décide de violer un petit homme, tu sais bien qu’ils ne peuvent rien contre mes 160kg, surtout lui qui est petit et chétif . Sa mère lui répondit :”ça ne change rien, je suis en colère et il faut que quelqu’un paie !”. Elle attrapa alors le haut de mon bras et m’extirpa du cocon que Gloria m’avait fait. Sa poigne était si forte ! Même plus que celle de Gloria ! D’un geste puissant et rapide, elle tira mon corps vers le haut pour me caler sous son bras gauche. Je me retrouvais comprimé par son avant bras sous son aisselle, la tête à l’arrière. Je tentai de me débattre pour échapper à un châtiment à la hauteur de sa colère. Je sentis alors sa lourde et large main droite percuter mes petites fesses plusieurs fois. La douleur fut cuisante. Je m’immobilisai immédiatement pour ne pas ressentir ça à nouveau. Sans dire un mot, la matrone m’emmena hors de la chambre. Gloria me fit un petit signe de la main tout en souriant timidement. Ma tortionnaire marchait à grand pas comme si mon poids ne la gênait pas. Arrivé dans sa chambre, elle me jeta sur lit et me dit :”Si tu tiens vraiment à être payé, il va falloir que tu bosses !”. La peur qu’elle m’inspirait m’avait pousser à me mettre en position fœtale sur le lit. Elle me toisait de toute sa hauteur, regardant mon petit corps mince et faible. Elle me lança : “Mets les vêtement qui sont à coté de toi, et vient me rejoindre à la cuisine”. Elle quitta alors la chambre. Je me mis à genoux pour jeter un coup d’oeil à la tenue qu’elle avait prévue pour moi. C’était un costume de soubrette ! Des bas blancs, une petite culotte en dentelle blanche, une robe très courte, une coiffe en dentelle et une perruque brune. A ma grande surprise, l’idée de m’habiller de cette manière m’excita au plus haut point. Ma positon de jouet face à ces deux géantes me convenait de mieux en mieux. Je m’habillai donc. D’abord la culotte et les bas qui m’allèrent très bien. Mes petites fesses et mes fines jambes étaient mis en valeur comme jamais. Je passais ensuite la robe qui m’arrivait au ras des fesses, cachant tout juste la culotte. Je mis la perruque dont les cheveux rasaient mes épaules. Me regardant dans le miroir, je fus étourdi par mon image. Je voyais une magnifique petite brune, hyper mince et sexy. La robe avait de fines bretelles noires qui faisaient ressortir mes épaules délicates. Même sans maquillage, mes traits fins faisaient totalement illusion. Je chaussai alors la paire de ballerine noir qui était au pied du lit et j’allai rejoindre ma maîtresse....
  Une fois dans la cuisine, je la trouvai assise les jambes croisées dans un fauteuil, un verre de vin rouge à la main et un gros cigare allumé dans l’autre. Je la trouvais magnifique ! Dans cette position, ses gros mollets et ses quadriceps puissants étaient bien gonflés. L’odeur du cigare me fit tousser. Elle me dit alors : "uhmmm, tu es magnifique comme ça ma pucelle. Une vraie petite traînée que je vais prendre beaucoup de plaisir à dresser. On s’y tromperait. Tu me ramènerais sûrement beaucoup d’argent si je te mettais sur un trottoir d’Afrique". L’idée d’être possédé par une multitude de grands noirs bien montés provoqua une décharge d’adrénaline dans mon estomac ! Mais que m’arrivait il ? Ces deux géantes étaient tout simplement entrain d’annihiler toutes traces de virilités en moi. Elle me dit alors: “Prends le plumeau et nettoie”. Je m’exécutai rapidement, mes fesses étant encore douloureuses de la violence de cette matrone. Je commençai à nettoyer le plan de travail et ce qui était à ma hauteur. Elle me dit alors : “Commence par les éléments de cuisine qui sont en haut. Utilise le marchepied, salope”. Je ne voyais pas où elle voulait en venir. Je positionnai donc le marchepied et grimpai dessus pour atteindre le haut des meubles. Ils étaient si haut que j’étais obligé de me mettre sur la pointe d’un seul de mes pieds, tendant l’autre jambe en arrière pour garder l’équilibre. Ma maîtresse s’exclama alors :” J’adore ! Je peux voir ta petite culotte sur ton cul minuscule comme ça !”. Elle avait fait cela juste pour mater mes fesses ! Je me sentais tellement humilié, moi l’homme dont la petite taille et le manque de force avaient permis à deux géantes de l’abuser et de l’habiller comme un femme. La matrone se leva et s’approcha pour saisir mes fesses dans ses mains immenses. Elle les caressait, les pétrissait, passait parfois quelque doigts sous ma culotte. Je sentais monter une excitation et un désir incontrôlable en elle. Elle me mordait le coup et les oreilles et son haleine chargée par l’odeur du cigare et du vin me donnait des hauts le cœur.Elle abaissa ma culotte brutalement au niveau des genoux, et me saisit par ma taille de guêpe pour me porter jusqu’à la table. Ses mains puissantes me serraient si fort que j’étais à deux doigt de vomir. Elle me jeta violemment sur la table où je tombai sur le dos. Elle finit d’enlever ma culotte et saisit chacun de mes genoux dans chacune de ses mains. Elle me tira alors vers elle pour mettre son pubis sur mon anus. Je fus surpris par la dureté du choc. Quelque chose se cachait dans son slip ! Elle arracha sa robe qui tenait par des velcros et me révéla une symphonie de muscles comme je n’en avais jamais vus. Malgré sa cinquantaine, son énorme poitrine était galbée et se dressait fièrement. Abaissant mon regard sur son entre-jambe, je vis alors se redresser un énorme gode ceinture qui avait été comprimé jusque là. Il était énorme ! La matrone le saisit dans l’une de ses immenses mains. Sachant très bien ce qui allait m’arriver, je tentais de m’échapper en rampant en arrière, mais elle avait déjà saisi mes cuisses dans ses mains pour me retenir et coller l’énorme gland de plastic sur ma rondel. D’un seul coup de rein, elle me pénétra, puis fit coulisser l’énorme chibre tant que son bas ventre ne toucha pas mes fesses. Je sentis l’énorme pénis entrer en moi avec douleur et plaisir. J’avais l’impression qu’il emplissait mon corps mince et chétif en entier. Elle commença à s’activer, faisant aller le gode d’avant en arrière. Quand mon anus fut suffisamment souple, elle passa ses mains sous mes genoux pour aller me saisir sous les aisselles et me soulever comme une plume. Mon poids était alors totalement soutenu par ses énormes bras, sans qu’elle ne semble faire d’effort. Elle se mit alors à me faire coulisser sur son phallus titanesque. A chaque fois que mes fesses touchaient son pubis et qu’elle était au plus profond de moi, elle me faisait rebondir comme une balle de jokari. Je gémissait à la fois de douleur et de plaisir. Mon sexe était dressé. Elle me secouait si fort que j’avais du mal respirer. Je jouis rapidement, projetant du sperme sur ses abdominaux proéminents. Elle continua à m’agiter de plus en plus violemment, si bien que je finis par perdre connaissance...
  Je me réveillai quelques minutes plus tard, à plat ventre sur la table, ma robe remontée jusqu’au milieux du dos, exposant mes petites fesses rondes et délicates. J’imagine que cette brute avait continué à abuser de moi même après que j’ai perdu connaissance. Elle m’avait probablement retourné comme un crêpe. Mon anus était douloureux et quelque chose me piquait dans la raie des fesses. Allant explorer avec ma main droite, je tombais alors sur une enveloppe que ma maîtresse avait sûrement pris un grand plaisir à glisser là. Il y avait un billet de 5€ et un mot :”Dans 2 jours à la même heure petite salope”. Mes deux maîtresses semblaient avoir quitté la maison. Je tombais à genoux en larme. J’étais si triste et si heureux à la fois. C’est comme si cette journée avait amorcé une mutation en moi, comme si mon destin était de devenir un jouet sexuel pour ces brutes. J’étais pour la première fois heureux de ce petit corps léger et mince que la nature m’avait donné. Une simple robe et une perruque me transformaient en femme fine et sexy. Je me relevai pour quitter cette maison. Je remis la robe en place pour cacher mon intimité et je marchai jusqu’à la chambre de Gloria où se trouvaient mes vêtements. Une fois arrivé, j’ôtai la robe et je me regardai dans le miroir juste vêtu de la perruque et des collants. J’avais l’impression d’avoir encore minci. Probablement parce que d’avoir côtoyé des géantes m’avait renvoyé une image encore plus menue de mon corps. J’avais besoin d’une douche. Je me déshabillai totalement et entrai dans la grande cabine qui se trouvait dans la chambre de Gloria. Je fis couler une eau plus chaude que d’habitude pour détendre mon petit corps que les amazones avaient malmené. Je m’enduisis d’un gel douche qui sentait bon la rose et je fermais les yeux pour apprécier cet instant. Je vis alors une immense silhouette derrière le rideau, puis une main démesurée qui le fit glissé. Une femme qui avait la carrure de Gloria et la densité musculaire de sa mère me regardait avec envie. Je me collais contre le mur de la cabine en cachant mon sexe. La nouvelle géante me dit alors: “uhmm, je suis rentré juste à temps. Ma petite sœur ne m’avait pas menti dans son sms. Tu es très mignonne et ton petit cul est juste comme je les aime ! Je vais bien m’amuser !” Gloria avait un grande sœur, et même très grande et hyper musclée. Elle coupa l’eau et s’avança vers moi. Passant sa main derrière mon dos, elle saisit mes petites fesses humides dans son immense paluche et les pétrit. Elle dit alors :”Mon dieu, que tu es douce ! Remets ta tenue de soubrette et viens me rejoindre dans la salle de sport, on va faire de l’exercice ensemble”. Je frémis à l’idée d’être à nouveau la victime d’une d’une montagne de muscles, mais je ressentais un désir énorme d’être possédé par elle. Décidément, cette journée n’allait jamais finir...
FIN
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