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Mon épouse

Chapitre 2

Travesti / Trans
Le lendemain matin nous nous sommes réveillées un peu tard... je la tenais dans mes bras et ma poitrine lui touchait légèrement le dos... juste de quoi lui donner quelques frissons. — Bien dormi chérie?— O... oui... très bien!, me répondit Céline avec un peu d’hésitation dans sa voix. Oui, je sais, être au lit avec moi et avoir un joli pénis enfermé dans une cage qui ne laisse vraiment aucune place à une quelconque érection ça doit être frustrant... mais c’était un premier test et elle n’est pas tombée dans le ridicule. Je suis curieuse de la pousser une fois jusqu’aux larmes mais ce sera une autre fois... elle a assez souffert cette nuit. — Je vais prendre une douche... tu vas profiter pour ranger le lit. Tu peux changer les draps également... il y a des draps propres dans le placard à gauche.— Bien chérie... me répondit-elle en me souriant. Elle était si mignonne dans son nouveau pyjama en soie orange avec dentelle sur la poitrine et le bas des pantalons... On distinguait clairement sa cage de chasteté à travers mais elle ne laissait pas voir sa frustration... être avec moi et pouvoir exprimer librement sa féminité était plus important pour elle... et c’est-ce que je voulais pour le moment. Je l’ai embrassée sur le front et je suis allée prendre ma douche. Lorsque je suis revenue le lit était fait, elle avait choisit des draps en soie beige. — Ton tour maintenant pour la douche. Mais avant tu vas choisir ce que tu vas porter de la journée.— Je... je peux porter tes habits? me répondit-elle agréablement surprise— Oui... exceptionnellement ce we parce qu’on n’a pas le temps de te faire une garde-robe avant les examens. Mais garde bien à l’esprit que tu n’as le droit d’accéder à ma chambre et à mes fringues que lorsque je te le dis explicitement. — Et... je...je peux choisir ce que je veux?— Tu peux choisir ce que tu veux... mais ça ne veut pas dire que je te laisserai mettre ce que tu veux... Une femme doit savoir s’habiller toujours avec classe mais en fonction de l’occasion... Alors choisi judicieusement, lui dis-je en ouvrant mon placard à fringues. Céline était émerveillée par ma collection de jupes, robes, chemisiers, etc... Elle a finalement choisi une jupe plissée beige avec des carreaux que j’avais prise en taille 40 pour la porter taille basse jusqu’aux genoux et un chemisier assorti avec coupe ajustée, jolie mais pas trop prétentieux. — C’est bien chérie, tu pourras les porter avec ça, lui dis-je en lui montrant sur le lit le sg beige que nous avions acheté ensemble la veille, une paire de collants couleur chair, un fond de robe blanc, une boite avec des faux seins en silicone taille D, une perruque. — Tout ça est pour moi? Merci chérie... j’ai hâte de les essayer, me dit Céline en allant vers la sdb. — Un instant, lui répondis-je en la fixant droit dans les yeux lorsqu’elle s’est retournée. J’ai légèrement baissé son pantalon et j’ai enlevé le cadenas qui gardait sa virilité prisonnière, tout en laissant la cage en place. Tu dois te laver partout, et n’oublie pas de mettre de la crème contre les irritations. Nettoie bien ta cage aussi, tu en auras besoin plus tard. Met la dans la boite que je t’ai laissée sur l’évier. Vas-y maintenant, et lorsque tu finis ta douche va préparer le petit déj... je prends un expresso noir sans sucre. Je te rejoindrai dans la cuisine. Je t’ai laissé des pantoufles dans la sdb. Aller... vas-y et... soit sage!
— Bien chérie... Une fois Céline partie j’ai fait tranquillement ma toilette et je me suis habillée... chemisier blanc bien ajusté sur ma taille et jupe plissée rouge avec carreaux, on peu plus courte que la sienne. Collants noirs, bien-sûr et coordonné sg-string noir aussi... je voulais la garder dans un état permanent de désir intense. Lorsque je n’ai plus entendu de bruits à la cuisine je suis allée la rejoindre; la table était posée et mon expresso m’attendait. Céline était assise à sa place et elle s’est levée lorsque je suis arrivée. — T..t..tu e..es sssuperbe...c..comme d’habitude— Je sais chérie... mais c’est bien que tu le remarques à chaque fois. Tourne toi pour voir comment tu es en femme. Elle s’exécuta sans attendre. Mes fringues que tu portes te vont bien... je te les offre. Mais tu as besoin d’un petit maquillage de journée pour féminiser ton visage... je vais te faire ça rapidement maintenant et tu vas apprendre à le faire toi-même le we prochain. Céline avait découvert dans la sdb que les collants que je lui avais donné étaient ouverts... et son pénis était maintenant en pleine érection, légèrement visible sous sa jupe plissée bien large. — Tu apprécies ta liberté? — O...oui... je me sens très bien en jupe. C’est une sensation que je n’ai jamais eu e dans un pantalon...Après la séance rapide de maquillage et le petit déj nous avons révisé toute la journée... avec une petite interruption pour le déjeuner, bien-sûr, préparé par Céline. Elle est restée dans un état d’érection quasi permanente toute la journée... faut dire que j’y était pour quelque-chose aussi. Dès que je ne voyais plus la petite bosse sous sa jupe (petite lorsqu’elle était debout... allongée sur le canapé on devinait son pénis dans toute sa longueur) je faisait un petit geste qui la ramenait à la vie... ça pouvait être un regard complice, un léger touché avec mes pieds sur les siens, me mettre dans une position ou elle devinait mieux la forme de mes seins qu’elle n’arrêtait pas de regarder. Malheureusement pour elle tous les boutons de mon chemisier sont restés fermés et elle essayait de se mettre dans des positions d’où elle pouvait espérer voir un petit bout de mon sg... Son jeu n’ai pas duré longtemps, j’ai bien l’habitude de ne pas laisser les garçons voir ce que je n’ai pas envie de leur montrer. Et même féminisée de la tête aux pieds... Céline était encore pour moi un peu un garçon qui avait besoin d’éducation. Nous avons bien bossé toutes les deux... Céline connaissait bien les cours et j’en ai profité pour réviser plus efficacement. Faut dire que contrairement à elle j’aimais pas trop me prendre la tête tous les soir après les cours... Je me basais toujours sur mon instinct lors des examens. Céline pouvait me servir aussi de secrétaire pour prendre des notes dans les cours et les synthétiser pour moi.
Après le dîner j’avais besoin de décompresser... je voulais sortir un peu mais Céline n’était pas prête d’être vue en femme.— Chérie... tu es déjà sortie en femme?— N..non... je n’ai jamais eu le courage..., me répondit-elle d’une voix surprise qui ne pouvait pas dissimuler sa peur.— Maintenant je suis avec toi chérie... Je sais que tu as peur de te faire draguer pas des mecs... alors on va faire un tour en voiture. Tu y seras en sécurité...— O..oui... mais si on rencontre quelqu’un dans l’ascenseur? — Mais tu ne dois pas avoir peur de l’ascenseur chérie... tu en gardes des bons souvenirs, non? Lui dis-je d’un regard complice mais supérieur. — O...oui... mais quand-même...— OK Céline... on va prendre les escaliers... personne ne prend les escaliers dans cet immeuble.— Merci chérie...— Mais avant de partir tu vas quand-même mettre ça... lui dis-je en lui tendant un fond de jupe court mais très serré. — Oui... ce serait mieux comme-ça. Elle a vite changé son fond de robe avec le fond de jupe serré... la bosse était maintenant parfaitement cachée par les plis de sa jupe, même si elle était toujours en pleine érection. Nous avons fait un joli tour au centre- ville... j’ai senti en permanence le stress dans sa respiration et dans sa voix... De retour dans le parking de mon immeuble je l’ai sentie un peu plus sure d’elle...— On va prendre l’ascenseur pour rentrer— Mm... mais s’il y a quelqu’un? — T’inquiète pas chérie... Tu passes déjà raisonnablement bien pour une fille... et de toute façon il n’y a pas grand monde à cette heure-ci. Moi je prends l’ascenseur... si tu veux prendre les escaliers vas-y toute seule!La elle était coincée... elle est venue à côté de moi pour attendre. J’ai commencé à caresser tout doucement son entrejambe à travers sa jupe... puis de plus en plus fort lorsque nous sommes montées dans l’ascenseur. Elle est vite arrivée proche de l’orgasme.— Tu sais que tu dois absolument te contrôler chérie... tu te rappelle de notre discussion d’hier soir, non?— O... oui b...bien-sur.— Très bien... lui dis-je en sortant de l’ascenseur. On va voir ça plus en détail tout de suite. Nous sommes rentrées toutes les deux et je l’ai emmenée sur le balcon du salon... Il faisait déjà bien nuit et on pouvait voir les lumières de la ville. J’ai continué à caresser tout doucement son pénis en pleine érection...— Enlève ton fond de jupe... tu vas te sentir plus libre.Elle s’exécuta de suite et le baissa par dessous sa jupe sans la soulever... comme une vraie femme. Ensuite elle le rangea délicatement sur le canapé du salon.— Bien chérie... maintenant je veux que tu essayes de savourer ton excitation tout en la contrôlant... Tu sais qu’il est hors de question de salir ta jupe et tes collants...J’ai continué à caresser son membre... je pouvais mieux le sentir maintenant juste à travers sa jupe... La matière soyeuse de la doublure l’excitait terriblement sous le coup de mes mouvements tendres et subtils... Nous nous regardions les yeux dans les yeux et je sentais à chaque instant son plaisir d’être contrôlée par moi... Nous savions toutes les deux qu’il suffisait d’une seule pression avec mon index à la base de son pénis pour qu’elle éjacule tout ce que ses bijoux avaient produit depuis hier... mais il était hors de question que je l’autorise. Je voulais que son excitation monte encore et qu’elle arrive à la contrôler. A défaut de pousser contre quelque chose, son pénis avait commencé de donner des coups dans le vide... coups que je ressentais de plus en plus fréquents en la caressant. — Comment ça va chérie?— S...super... j..je me sens super— Tu commences tout doucement à comprendre ce que c’est l’amour féminin... cette excitation si plaisante qui envahit tout ton corps et que tu veux garder sans se dépêcher d’avoir un orgasme... juste attendre qu’il vienne naturellement.— O..oui...c’est super... mais je ne sais pas si je peux tenir encor longtemps...— Je sais chérie... tu es à la limite depuis quelque temps en ton corps d’homme ne peux plus tenir. Maintenant je veux que tu utilises toute l’excitation que tu as accumulée depuis ce matin pour la concentrer sur ta langue...A ce moment je l’ai invitée à s’allonger sur le canapé du balcon... et je me suis assise délicatement sur son visage. Céline a vite compris ce qu’elle avait à faire et elle a découverts que mes collants avaient une toute petite ouverture au bon endroit... juste de quoi glisser sa langue. Elle s’y est donné entièrement en me donnant bien plus de plaisir que la veille... Je l’ai laissée faire pendant plus d’une heure et à la fin elle était toujours en pleine forme. — Il se fait tard chérie... et on a du boulot demain.— O..oui...— Tu vas aller prendre une douche maintenant et tu mets ton pyjama.— Ok chérie...Je l’ai embrassée sur le front tout en lui faisant signe d’être sage lors de sa douche... Quand elle est revenue son pénis était toujours en érection mais un peu moins qu’avant... J’ai baissé son pantalon de pyjama pour lui mettre sa cage et je suis allée prendre ma douche. La nuit et le lendemain se sent bien passée... Dimanche soir elle a compris qu’elle aller porter sa cage toute la semaine jusqu’au we prochain... mais elle n’a pas protesté. Céline était en train de devenir tout doucement la fille que je voulais... douce, obéissante, féminine (là j’avais encore un peu de travail à faire... mais elle progressait bien). Les examens passés j’avais de jolis plans pour elle... mais ce sera dans les chapitres suivants...
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