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Mon estheticienne

Chapitre 4

Trash
Mon Esthéticienne.
Le soir même j’avais un message de Fanchon, mais j’ai du malgré moi laissé passer de nombreuses semaines avant de la re-contacter .
Les photos que j’ai pris lors de son test douleur et humiliation étaient parfaites. Un studio photo pro, il n’y a vraiment que ça de vrai. J’ai pu recadrer à ma guise les photos, soulignant ses larmes, ses expressions, Tous les muscles de son corps tendus lors du “deepthroat” que lui avait fait subir Amédé. Autant d’images d’elle qu’il a fallu que j’organise pour un faire un book, le mieux présenté possible... La prochaine étape de Fanchon sera le temple, une maison close, très close, dans laquelle les maitres amènent leurs esclaves pour les transformer en une sorte de idéal sexuelle. Seulement voilà, le temple est très sélect et il faut prouver que l’esclave en question peut supporter beaucoup de choses.
Il m’a donc fallu quelques jours pour former ce book et l’envoyer à cet institution.
Comme je n’ai pas eu de retour pendant plusieurs semaines, j’ai cru que le temple ne l’acceptait pas et puis, finalement, j’ai enfin reçu l’admission. Fanchon était accepté pour un stage de 6 jours qu’il fallait que je pilote. J’ai du répondre à un véritable questionnaire sur ce que j’envisageais de lui faire subir et c’est moi finalement qui lui est fait son programme.
J’ai contacté Fanchon par mail pour lui demander de bloquer une semaine entière à la fin du mois en cours. du 23 au 30 inclus.
“Tu ne prends qu’un seul imperméable, tu seras totalement nue en dessous et n’auras besoin de rien d’autre. Il y a trois heures de routes avant d’arriver au temple, il s’agit d’une institution très sélect dans laquelle tu n’auras le droit a aucune plainte sous peine de recevoir de très violentes punitions et pas forcement physique”
D’ici à cette date, je n’ai pas utilisé Fanchon. En regardant les photos, j’ai été tenté de me masturber, surtout celle de Wendy totalement empalée sur son bras, une véritable oeuvre d’art, mais non. J’avais justement pensé à Wendy lorsque j’ai reçu l’admission de Fanchon et lui ai téléphoné pour lui précisé que Fanchon était admise au temple en lui donnant les dates. Wendy m’a de suite demandé le programme, mais au moment de ce coup de fil je n’y avais pas totalement pensé et tout naturellement, elle me glissa quelques pistes avec sa gracieuse contribution. Il m’a fallu quelques jours pour le finaliser et le renvoyé. Je me suis demandé si je n’y avais pas été un peu fort, mais finalement, j’ai cédé au pire.
Le jour J, je me suis dirigé vers le lieu de rendez vous où je devais récupérer Fanchon. Sur le boulevard, elle m’attendait, couverte d’un imperméable beige laissant apparaitre ses mollets, il était 17H00 et il y avait beaucoup de monde à ce moment de la journée... J’était le seul à savoir qu’elle ne portait que son manteau.
Arrivé à sa hauteur, elle a voulu ouvrir la portière et monter, mais je lui fis signe du doigt que non. J’ai ouvert la fenêtre, elle s’est penchée
Moi : “ Je veux d’abord voir si tu es bien nue sous ton imperméable”
Fanchon à de suite fait pivoter la ceinture et ouvert en grand les deux pans de son manteau dans ma direction. Elle était nue et toujours aussi parfaite, son petit mètre soixante, son 85C en forme de poire et son jolie petit sexe surmonté d’une épilation “ticket de métro”.
Moi : “Parfait, montes”

Elle a refermé l’imperméable, et s’est assis à côté de moi. Pendant tout le trajet, pas une parole et j’ai été plus que tenté de lui demander de me sucer, mais non, je me tenais.
Après deux heures d’autoroute, nous avons pris une sortie et après quelques kilomètres seulement de national, on enchaina des départementales sur lesquels nous étions vraiment tout seul, aucun autre véhicule. Puis arriva le signe que je cherchais, un petit panneau indiquant “Le temple” et en dessous, “propriété privé”.
Je me suis engagé dans ce chemin de terre très bien entretenue qui traversait des champs vierges à perte de vue. D’après les indications que j’avais eu, ils nous restaient encore 30 minutes de route et je me doutais de toute façon qu’un lieu pareil devait être bien protégé. Au bout de 15 minutes nous sommes sortis des champs pour pénétrer dans une foret dense, très dense. Les arbres envoyaient leurs branches très largement au dessus de la route. La nuit commençait à tomber, mais dans cette fôret, il faisait déjà nuit. Fanchon a pour la première fois depuis le départ esquissé un regard vers moi, probablement un peu inquiète par cette ambiance particulière.
Un dernier panneau, “Le temple, propriété privée, attention aux chiens” devait finir de dissuader les intrus, puis au milieu d’une clairière, finalement un manoir, un vieux et très grand manoir du 18 ème, magnifique. Au milieu surélevé par rapport au jardin, une très large double porte vitrée que précédait un escalier en pierre d’une dizaine de marches, au bout des rampes de ces escaliers deux femmes sculptées, debout, nues, leurs têtes baissées, les bras dans le dos... le ton était donné.
Dès que j’ai arrêté la voiture devant l’escalier, un homme la soixantaine est sorti en tenu de majordome, une classe incroyable, façon Sean Connery. Il a fait le tour de la voiture pour venir m’ouvrir la porte.
Moi: “Je suis Henri et j’amène Fanchon”
C’était la première phrase obligatoire que je devais prononcer sans quoi j’imagine que l’homme m’aurait gentiment demandé de partir...
Le Majordome: “vous avez des bagages ?”
Moi: “Oui, mes bagages sont dans le coffre, Fanchon n’avait besoin de rien semble t’il ?
Le majordome: “tout à fait”
Moi: “ Tu peux sortir Fanchon”
Le majordome a sorti la valise du coffre, m’a demandé de lui donner l’imperméable de Fanchon et les clefs pour aller garer la voiture.
Moi: “Fanchon, donnes ton manteau au monsieur”
Fanchon a haussé les sourcils, puis eu un léger sourire, comme si d’un coup elle réalisait qu’elle allait avoir ce qu’elle attendait depuis tant de semaines. Elle s’est alors retrouvée nue et nous avons monté les escaliers. La porte s’est ouverte devant nous, une dame d’une cinquantaine d’année nous attendait. Elle me salua avec un sourire puisporta ses yeux sur Fanchon. de haut en bas.
La dame: “ Je n’étais pas pour son acceptation, elle est trop fragile et beaucoup trop jeune à mon avis, mais bon, je ne suis pas seule à décider”
La dame en regardant Fanchon: “Donnez moi tors Fanchon, j’en serais heureuse”
Dès l’entrée dans la bâtisse, le spectacle qui s’offrait à nous était impressionnant, une gigantesque salle commune ronde d’une vingtaine de mètres de diamètres, au milieu de laquelle trônait un grand canapé rond rouge couronné par une sculpture grandeur nature. Une femme courbée tenue en chaine par un homme. Sur le côté du canapé partaient deux grands escaliers pour rallier la mezzanine au dessus de nous. La mezzanine faisait tout le tour de la pièce et donnait sur plusieurs portes à l’étage.
Je me suis tourné vers Fanchon pour voir ses impressions et j’avais oublié qu’elle était nue.. Elle était à seulement 2 mètres derrière moi, et semblait ne pas vouloir regarder l’endroit. Elle était magnifique et à sa place.
C’est à ce moment que deux grands hommes noirs en pagne sont arrivés.
La dame: “Lucien, Virgil, préparez Fanchon pour sa première soirée, nettoyez la et soyez doux avec elle, pour le moment, vous n’avez pas le droit d’en abuser”. Je la vis disparaitre derrière une porte du rez de chaussée.
La dame: “Vous pouvez suivre son traitement si vous voulez, prenez la porte située à droite de celle qu’elle a pris, il y a un miroir sans teint qui donne sur la salle de douche.
Intrigué, je me suis dirigé vers cette porte, mais mon rythme fut ralenti lorsque d’une autre porte du rez de chaussé, sortie une femme belle, la quarantaine, les cheveux mi long blond, très mince avec de petit seins. Elle était nue avec un collier en acier autour du coup à la façon des esclaves d’antan, ses bras étaient repliés dans son dos et maintenue par une chaine reliée son collier, derrière elle un petit homme en tenu de majordome la suivait. Il l’attacha par le devant de son collier à un anneau situé sur le haut du dossier du canapé rond, de tel sorte qu’elle avait le cul en offrande.
Sa minceur faisait ressortir son anus, d’elle même elle écarta un peu plus les jambes probablement par habitudes. Je n’avais pas vu arriver un autre majordome, celui qui nous avait accueillit, qui se dirigea vers la femme, sorti un tube de crème de sa poche, s’en posa une noisette sur le doigt, commença a lui badigeonner l’anus puis fini par lui entrer totalement son majeur. La blonde gémit doucement...
Je me suis enfin décidé à ouvrir la porte que m’avait indiqué la dame, laissant la blonde à son sort. Avant de refermer ma porte, j’ai pu entendre une dernière phrase prononcé par Madame.
“Marianne, tu vas te faire défoncer ce soir”.
Une phrase qui m’a rappelé dans quel endroit je me trouvais...
Une fois la porte poussé, la pièce était petite avec en son centre un grand pouf en cuir noir. Il y avait trois grands miroirs donnant sur trois différentes salles dont la salle de douche, une grande salle commune façon vestiaire. Les deux blacks, armé de gant de toilette, nettoyaient chaque centimètres carrés de la peau de Fanchon et tout cela avec une délicatesse extrême. Le tableau était peu commun et très excitant.
Fanchon ne les laissaient pas de marbre, leur pagne ne cachait rien d’une extrême et monumental érection... Mais ils s’en tenaient à ce que leur avait dit la dame. L’un des deux s’est dirigé vers un angle de la pièce que je ne pouvais voir tandis que l’autre a positionné Fanchon à quatre pâtes, elle ne disait rien, mais de la où j’étais je pouvais voir son postérieur et son sexe qui commençait à briller.
Le black qui était resté près d’elle commençait a laissé aller ses doigts dans les fentes de la belles. Des doigts énormes... En fait, c’est en voyant revenir l’autre armé d’une poire à lavement que j’ai compris qu’il ne faisait que la préparer.
Le black a chargé la poire dans une bassine d’eau et a commencé à lui introduire dans le sexe... Le lavage était donc total. Par deux fois, il lui remplis le sexe, qui se vidait presque aussitôt. Fanchon se tendait à chacun de ses lavements. Puis vint le tour de son anus.
Trois fois, il prit la poire, la remplis, puis la vida dans ses intestins. Fanchon était comme saoule, ils la levèrent pour la diriger vers des toilettes qui se trouvait dans un coin de la pièce. Elle s’assis puis se vida quasiment instantanément sous le regard des deux hommes, c’était une situation très humiliante, elle était rouge et cherchait à se recroqueviller pour disparaitre. Elle leva les yeux vers le miroir derrière lequel je me trouvais... C’était le début de sa semaine.
Les deux colosses lui demandèrent ensuite de les suivre et Fanchon retourna dans la pièce principale. Il se passa quelques secondes avant que je ne sorte moi même de ma cachette de voyeur.
A ma grande surprise, la grande pièce principale s’était remplie par 8 ou 9 couples atypiques, des hommes entre 40 et 60 ans qui tenaient en laisse des femmes dans les mêmes âges. certains se faisaient sucer, d’autre utiliser leur esclaves pour d’autres manoeuvres plus vicieuses tel que des séances de martinets ou bien ils organisaient des orgies lesbiennes. L’une d’elle, une brune pulpeuse dans la même taille que Fanchon mais plus usée par la vie, était entrain de se faire introduire un gode de taille hors norme dans l’anus, elle était penché sur le canapé juste à côté de Marianne qui attendait son tour, mais qui visiblement n’intéressait personne pour le moment.
Fanchon me fut remise, on lui avait accroché le même collier de métal qu’à toutes ses femmes et je me suis rappelé du programme de sa première soirée. J’avais décidé qu’elle nettoierai des queues. Je me dirigeai vers la vulnérable et fragile Marianne et fit s’agenouiller Fanchon juste à coté d’elle, proche de ses fesses.
Moi : “Je peux utiliser celle ci ?”
La dame: “ Si elles sont accroché à un anneau de métal, c’est qu’elles sont publiques”
Dans la foulée, j’ai attaché la chaine de Fanchon à un anneau de métal situé sous l’assise du canapé.
J’ai pris un peu de recul pour voir la scène. Marianne était une très belle femme, sa morphologie était celle d’une femme élégante et la voir dans cette position était très excitant. Ni une ni deux, j’ai commencé à sortir ma queue déjà prête pour la positionner sur son anus. Marianne releva la tête comme pour attendre la sentence, son anus était encore intacte, mais elle avait du subir les même lavements que Fanchon.
La dame : “Marianne aime beaucoup être traité salement, donc n’hésitez pas”
C’est avec une grande délicatesse que j’ai d’abord caressé son dos, puis ses coté. Elle frémit. Je me suis ensuite intéressé à ses fesses que j’ai palpé, mon gland toujours positionné sur sa rondelle...
Moi : “Alors comme ça tu aimes être une chienne ?”
Moi : “ Tu acceptes tout ?”
Marianne : “Tout ce qui pourrait vous satisfaire”
C’est avant même qu’elle est pu finir sa Phrase que je me suis mis à pousser ma queue à l’intérieu. Son anus s’est ouvert d’un coup et j’ai pu tout faire entrer sans trop de mal. Fanchon avait le visage juste à côté de ses fesses et voir son regard pendant que je limais l’anus de Marianne était très excitant. Marianne commençait à gémir et commençait à devenir vulgaire.
Marianne: “Defoncez moi ! detruisez moi le cul !”
Intérieurement, je me disais qu’effectivement, la très élégante Marianne était une chienne...
Je me suis alors retiré de son anus et j’ai présenté ma bite à Fanchon qui m’absorba et me nettoya du mieux qu’elle pu.
Moi en regardant Fanchon : “ C’est à ça que tu vas servir ce soir, tu nettoieras des queues et sera un réceptacle à foutre“
Au bout d’une minute de ce traitement c’est Marianne qui fini par se manifester
Marianne : “Enculez moi s’il vous plait !”
Je sorti de la bouche de Fanchon pour reprendre ma position dans l’intestin de la blonde et la limer sans douceur. Je lui ai saisi les cheveux pour tirer dessus, mais sa tête ne décolla pas d’un centimètre, j’avais oublié qu’elle était attaché. Elle poussa un cri de douleur suite à ma manoeuvre. J’ai alors mis mes pieds à côté de ses genoux pour me retrouver sur elle tout en continuant de la pilonner fortement... Elle allait jouir, je la sentais venir. C’était extrême et j’allais très vite. J’ai agrippé sa tête avec mes mains pour la faire pivoter de coté dans son collier, j’avais ma bouche contre son oreille
Moi “Tu es une chienne ! Une magnifique chienne et je suis le premier à te défoncer le cul ce soir, c’est très agréable”
A ses mot elle jouis bruyamment et c’est le moment que j’attendais pour lui cracher sur le visage, elle fut surprise mais sa jouissance s’en trouva décuplée. Elle était vidée, son corps n’avait plus aucun résistance et son anus s’ouvrir encore plus. Ma queue qui était pourtant d’une belle taille ne ressentait plus aucune contraction de son sphincter. Je me suis remise debout, j’ai retiré ma queue pour la présenter à Fanchon. Elle me suca quelques dizaines de secondes et j’ai finalement joui dans sa bouche. Sans la toucher je lui ordonnai d’avaler, ce qu’elle fit.
J’ai reculé de deux pas et un homme est alors arrivé par ma droite la bite à la main
l’homme : “permettez ?”
Mais il n’a pas attendu ma réponse pour introduire sa bite dans la bouche de Fanchon très surprise, tellement surprise qu’elle ne fit rien... Mais cela ne dura qu’une seconde puisque l’homme voyant qu’elle ne s’activa pas pris les choses en mains et la saisi violemment par les cheveux
l’homme : “Mais suces salope, tu es là pour ça”Il s’activa dans sa bouche et Fanchon commença a l’aspirer. elle l’aspirait si bien qu’il se retira assez vite.
L’homme: “Pas dans la bouche, je veux jouir sur ce visage si angélique”
Et il cracha quantité de sperme sur son visage.
L’homme: “Bonne chienne”
Il lui tapota le haut du crâne avant de se retirer.
Fanchon a alors tenté de s’essuyer, mais la dame lui fit signe que non
La dame: “tu dois rester comme ça ce soir, c’est la volonté de ton maitre, et puis tu verras que c’est loin d’être fini, pour que tu n’aies pas le mauvais réflexe je vais t’entraver les mains comme Marianne”. Et voilà que Fanchon s’est retrouvé avec les mains dans le dos attaché par l’arrière à son collier métallique.
Et effectivement, La dame avait raison, un autre homme s’est dirigé vers Fanchon pour lui décharger sur le visage quelques giclées de sperme supplémentaires. Elle ne pouvait réprimer des mouvements de reculs ce qui stimulait l’hommes à lui maintenir la tête. Une fois terminé, il s’introduit dans la bouche
L’homme : “Nettoies ”
Toutes ces queues qui lui tombaient dessus, c’était beaucoup pour Fanchon et des larmes commencèrent à pointer sur ses joues.
Moi : “Sois une chienne Fanchon, sois une chienne totalement, ce qui se passe maintenant n’est rien en comparaison de ce qui t’attends”
L’homme était toujours dans sa bouche profitant de ce spectacle de soumission. Alors elle aspira aussi fort qu’elle pu le faire.
L’homme : “Woua, je crois que je vais rester là cette semaine pour suivre ton apprentissage” et avant de se retirer, il pris les cheveux de Fanchon et y glissa sa bite pour s’y essuyer. “Et tu baves... Un régal”
Pendant deux heures Fanchon nettoya des queues, reçu des éjaculations sur son visage, dans sa bouche et sur ses seins. Beaucoup de couples occupaient maintenant l’espace et tous se finissait sur elle. Si bien que parfois, il y avait de l’attente. En attendant, il jouait avec l’anus de Marianne, soit en la pénétrant directement soit en y introduisant des godes de toutes taille ou même deux à la fois.
Il était deux heures du matin et la soirée touchait à sa fin, je n’avais rien loupé de la performance de Fanchon, elle était couverte de sperme, par endroit séché, par endroit gluant. Le cul de Marianne était un tunnel gigantesque vers ses entrailles, elle avait tellement jouis qu’elle errait entre évanouissement et rêves. Fanchon par contre n’avais pas jouis... Pas encore.
La dame sonna la fin de la soirée et 4 femmes de ménage arrivèrent pour rendre à la pièce tout son charme d’origine. Les esclaves étaient amenés une à une dans les pièces du bas, tandis que les maitres montaient dans les étages. J’en conclus que c’est la que devait se trouver ma chambre.
La dame : “Maintenant je dois laisser Lucien et Virgil se contenté et ils ont tout naturellement choisi Fanchon pour se satisfaire, Marianne va les accompagner à la douche, vous pourrez suivre leur ébats depuis la pièces aux miroirs.
Fanchon avait entendu et Marianne aussi. Virgil ne tarda pas a détaché Marianne et Lucien s’occupa de Fanchon. Si Fanchon semblait vraiment dans un sale état, Marianne n’arrivait même pas à marcher.
Je me suis rendu dans la fameuse pièce pour suivre la suite du spectacle.
Ils se sont d’abord occupé de Marianne, ils l’ont assise sous une douche et on laissé coulé l’eau. Doucement, elle a repris des forces et a réussis à s’occuper d’elle toute seule. Fanchon a été installé sous une autre douche et il a fallu faire couler beaucoup d’eau pour qu’elle retrouve visage humain. Les deux blacks ont jeté une poire à lavement à Marianne pour qu’elle se nettoie les intestins et ils ont transportés Fanchon au milieu de la pièce. Elle était à genoux devant eux, ils avaient deux bites énorme et elle a tout naturellement commencé à les sucer, un coup l’un, un coup l’autre.
Virgil; “il parait que tu as avalé Amédé en entier, montres comme tu fais”
Et voilà Fanchon entrain d’essayer d’avaler le chybre de Virgil jusqu’au bout... Sans y parvenir
Fanchon; “J’étais sur le dos lorsqu’il l’a fait, il me semble que ce serait plus facile”
Fanchon s’est alors allongé sur le sol et virgil toujours à genoux s’est littéralement couché sur sa bouche en poussant pour y pénétrer entièrement. Effectivement, Fanchon dans cette position était vraiment plus à l’aise pour effectuer sa besogne. Lucien quand à lui avait entrepris de lui faire un cunni
Lucien: “Je profite que tu n’es pas encore trop défoncé pour te gouter”
Lucien savait y faire et Fanchon était passablement excitée, puisque qu’elle ne mit pas 30 secondes à jouir.
Virgil sortie de sa bouche, tandis que Lucien se relevait
Virgil : “Bon, on a pas toute la nuit mais seulement une demi heure, tu as déjà fait une double ?”
Fanchon: “Non”
Virgil : “je m’en doutais, tu es vraiment toute neuve, c’est du jamais vu pour nous, normalement ils ne prennent jamais de femmes aussi jeune et aussi inexpérimentée. Viens sur moi tandis que Lucien va te prendre par le cul”
Fanchon, machinalement, s’empala sur Virgil et commença a bouger pour prendre son propre plaisir. Virgil était sous le charme. Lucien est alors venu se positionner pour la sodomiser. Avec sa main gauche il a appuyé sur ses reins pour l’immobiliser et avec sa main droite il dirigea sa queue sur sa rondelle. C’est sans douceur qu’il pousse pour entrer, Fanchon sortie un cri et se crispa. Virgil s’activa pour lui faire ressentir du plaisir et Lucien s’activa également. Tout deux était entrain d’exécuter un parfait sandwich tandis que Fanchon n’était plus qu’une poupée de chiffon entre leurs mains.De la ou j’étais je ne voyais pas les orifices de Fanchons dilatés par ses deux énormes braquemars, mais j’imaginais et c’était presque mieux. Marianne qui s’était ressaisie commença par s’approcher de la scène. Toujours aussi élégante avec ses longues jambes, même totalement nue. Elle se positionna devant la tête de Fanchon et je devinais l’envie qu’elle avait.
Marianne approcha délicatement son sexe, lui pris les cheveux pour qu’elle lève la tête et puisse lui lécher la chatte. Fanchon était secouer en tout sens, les deux blacks voulaient en finir rapidement mais elle trouva tout de même la force de commencer son travail sur Marianne. Sa langue si longue faisait une fois de plus merveille.
Marianne: “ mais tu es géniale, je n’avais jamais été léché comme cela auparavant, c’est incroyable”
Chrono en main Marianne ne mis pas 1 minutes avant de crier et de jouir en s’accrochant à deux mains à la tête de Fanchon. Dans les secondes qui ont suivi, Virgil et Lucien ont lâchés tout leur foutre dans le cul et le sexe de Fanchon, quasiment simultanément... la scène s’est finalement ralenti pour laisser place à la fatigue. Marianne s’était laissé allé sur le sol, Lucien avait glissé sur le coté et Fanchon se tenait cambré, les mains sur le torse d’un Virgil endormi. Elle tourna la tête vers le miroir, ne me voyait pas et pourtant me souris...
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