Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 11 J'aime
  • 0 Commentaire

Mon estheticienne

Chapitre 5

Trash
Mon esthéticienne
Chapître 5
Fanchon, adorable esthéticienne qui me masse depuis de nombreuses années et avec laquelle nous avons finalement franchit le cap est déterminée a devenir mon esclave. Après quelques péripéties à domicile puis lors d’une séance photo, elle a été admis dans une sorte de camp pour améliorer ses compétences à la soumission. Petite, très bien proportionné et jeune (seulement 25 ans) Elle repousse ses limites à chacun de mes récits.
je me réveille au temple pour cette deuxième journée. Si la soirée a été bruyante en jouissance jusqu’à 2 heure du matin passé, la nuit a été d’un calme incroyable. Il faut dire que le temple se situe au beau milieu d’une forêt d’un coin complètement abandonné. Plusieurs couples de maitre/esclave sont présent et je n’ai pas encore bien jaugé l’ambiance et les limites qui règne dans ses lieux.
La patronne que j’appelle La dame est épaulée d’un personnel original dont deux colosses noirs qui ont fait subir à Fanchon une redoutable fin de journée...
Je m’habille et m’apprête à sortir de la chambre pour aller prendre mon premier repas de la journée et quel ne fut pas mon étonnement lorsqu’en ouvrant ma porte, dans le couleur, Marianne, a genoux, attachée à un anneau et donc livrée au public ( c’est le signe de la maison ) Marianne c’est cette jeune femme blonde, assez grande, élégante les cheveux mi long qui n’a pour seule défaut que sa morphologie unique, musclé, maigre et très élégante même nue. “Qu’est ce que tu fais ici ?”
“Ma dame s’est rendu compte que vous n’aviez joui qu’une fois hier, elle m’a posé ici au cas ou”
Marianne avait toujours son collier, les mains attachés dans le dos. Un tableau pour le moins excitant de bon matin.
“ Bon, pourquoi pas”
Je la détache de son anneau, l’entraine à l’intérieur de ma chambre et la positionne à genoux au milieu de la pièce.
“Quel est ton métier à l’origine ?”
“Je suis infirmière de profession”
“Et comment es tu devenu esclave ?”
“J’avais un maitre avant qui m’en a préféré une autre. Au début mon maitre m’avait violé un soir lorsque je suis revenu du boulot, j’ai tellement jouis qu’il a tout de suite vu le potentiel en moi. je suis resté avec lui trois ans, lorsqu’il m’a abandonné, je suis revenu ici pour devenir esclave”
Pendant qu’elle me racontait son histoire, j’avais enlevé mon pantalon et mon caleçon pour lui présenter ma queue. A peine avait elle fini son récit que j’ai commencé à enfiler des doigts dans sa bouche, je lui ai ensuite attrapé les cheveux pour les tirer en arrière et lui envoyé un gros crachat sur son visage. Elle avait des yeux de chiennes, des yeux verts magnifiques... Elle portait sur elle sa condition de femme objet.
Je lui ai baisé la bouche par pur charité en la traitant de tous les noms qui me venaient à l’esprit.
“Sale chiennes, salope, pute”
Je lui burinais la bouche à grand coup de bassin et Marianne commençait à baver. J’ai retiré ma queue mais un long filet de bave me reliait à elle. Je n’ai pas résisté et j’ai encore craché dessus.
“Tu préfères avaler ou que je jouisse sur ton visage ?”
“ Jouissez sur mon visage, je vous en prie, essuyez votre queue sur moi”
Elle aimait être souillé au plus haut point et c’est ce qui lui convenait le mieux.
Mes couilles étaient pleine et j’ai très largement jouis. Plusieurs jets de sperme épais lui barraient la bouche et j’ai utilisé ma bite comme un pinceau pour lui étaler toute ma semence sur son adorable visage de pute.
“ tu es toute sale maintenant, je vais te nettoyer”
Je l’ai pris par les cheveux et l’ai trainé à quatre pattes jusqu’à la douche de ma chambre.
“A genoux, la bouche ouverte ! Une bonne douche chaude, ça va te faire du bien”
Elle gémit en prenant position. mes paroles commençaient à lui faire de l’effet. Ma queue avait ramollit et je sentais ma pisse venir. J’ai d’abord commencé à lui arroser la chatte, elle gémit. J’ai remonté doucement pour atteindre ses petits seins avec un teton très prononcé et j’ai fini sur son visage et dans sa bouche. Une fois sa bouche remplis elle avala et très curieusement elle jouit juste après... Elle adorait être souillé et salit, c’était probablement sa particularité. Par trois fois elle bu mon urine et jouis instantanément. Je ne pensais pas cela possible
“Tu es incroyable”
Je lui ai ensuite passé un coup de jet rapide et l’ai repositionné dans le couloir. Et hop direction la salle de repas. En m’éloignant, je ne pus m’empêcher de me retourner pour la regarder, les yeux baissés, et attendant sa prochaine épreuve.

Ma première préoccupation avant même mon premier repas était Fanchon. Qu’était devenu Fanchon ? Elle n’avait pas dormis avec moi, je ne l’avais pas vu de toute la nuit et cette maison était tout sauf un endroit sain. En arrivant dans la pièce principal la dame eu tout de suite toutes les réponses à mes questions.
La dame: “Bonjour monsieur, Fanchon dors encore. Nous faisons dormir les soumises dans un dortoir commun avec notre majordome en surveillant, elles sont en sécurité. le petit déjeuné est par ici, vous êtes le premier levé.”
Je suis entré dans une salle sur l’arrière du manoir, prolongé d’une magnifique véranda d’époque qui donnait sur le parc et quel parc, une véritable vision du paradis. Le buffet était très généreux et je ne pus m’empêcher quelques questions.
“Est ce que les soumises mange dans cette salle également ?”
“non, elles ont une salle a elle, ce sont des esclaves, elles ne doivent pas avoir accès à ce genre de prestations”
“Merci au fait pour Marianne, c’est une femme étonnante”
“Elle est unique, nous l’avons recueillis il y a presque 5 ans maintenant lorsque son maitre l’a abandonné, jamais aucune soumise n’était revenue ici de son plein gré. Elle m’a fait jouir quantité de fois, c’est une pépite. Vous l’avez remise en place ?”
“Oui, je m’en suis servi, un peu rincé et l’ai raccroché à l’anneau sur la mezzanine”
“ Très bien, elle est beaucoup utilisée le matin, les hommes aiment beaucoup l’humilier... Mais je ne suis pas sur que ce soit eux qui prennent le plus de plaisir”
La journée commençait bien, un bon petit déjeuner, il n’y a vraiment rien de mieux. J’ai un peu trainé, si bien que beaucoup de personnes qui sont arrivés après moi en son repartis avant. J’ai fini par me lever pour partir et c’est au moment ou j’ai quitté la salle de repas que je vis arrivé le majordome avec Fanchon. Il la tenait par une laisse attachée à son collier métallique. Elle était nue et portait à ses poignets et à ses chevilles de larges bandes de cuir surmontés d’un anneau métallique, une ceinture également en cuir écrasait sa taille avec de chaque côté les mêmes anneaux... Elle était prête pour la prestation du jour.
“Bonjour Fanchon”
“Bonjour Maître”
“Aujourd’hui c’est une journée qui m’a été inspiré par Wendy, tu te souviens de Wendy ?”
“Oui, bien sur”
“Et bien Wendy comptes bien se rattraper de ce que tu lui as fait subir, j’espère que tu seras capable de prendre autant de plaisir qu’elle, sinon ça risque de faire mal”
Je la pris par les cheveux pour la faire tourner et lui demanda de se pencher. Je voulais vérifier l’état de son anus. Après l’épisode de la douche d’hier, c’était nécessaire. Il était revenu à la normal, magnifique, bien fermé et rosé. Elle était prête pour sa journée...
Je l’ai amené directement dans la pièce principale dans laquelle on avait amené un cheval d’arçon avec des pieds bien plus petit que sur le modèle des gymnastes monté sur des roulettes pour pouvoir le déplacer sans soucis.
Sur ce modèle on pouvait y fixer plein de chose avec une multitude d’accroches. J’ai montré l’appareil à Fanchon et lui ai expliquer comment elle devait se positionné. Fanchon a commencé à passer une jambe par dessus et s’est retrouvé sur le ventre, les mains et les jambes de chaque côté. J’ai d’abord accroché ses poignets en dessous de sorte que sa poitrine était collé au moelleux du cheval et sa tête dans le vide. Ensuite j’ai plié ses jambes pour venir accrocher ses chevilles parallèlement à chaque côté et Il ne restait plus enfin que sa taille. Par les anneaux de sa ceinture, j’ai fait passé de la corde sur laquelle je tirais gentiment jusqu’à obtenir une tension maximum plaquant son ventre au plus près du cheval. J’ai compris que j’étais à fond lorsque Fanchon a commencé à se crisper. En effet le bas de son dos était tellement collé au cheval que la cambrure de ses fesses était hors norme, son cul ressortait d’une manière très excitante.
Elle était prête, le cul au bord de l’arrière de l’appareil et c’est à ce moment que Wendy surgit, le regard totalement fou.
Wendy: “Je vois qu’elle parfaite pour l’ouverture de son cul”
Moi : “Bonjour Wendy, oui elle est prête, mais dis toi bien qu’il lui reste encore 4 jours ici alors vas y molo quand même.”
Wendy portait un grand imperméable et des chaussures à talons très hautes. Lorsqu’elle l’enleva, surprise. Elle portait une combinaison intégrale en latex avec juste deux trous pour ses seins énormes, et un autre pour son sexe totalement épilé.
Wendy: “ Quelqu’un pourrait m’apporter une cravache que je commence”
Wendy à peine débarquée voulait commencer sur Fanchon le plus rapidement possible. De nombreuses semaines s’était écoulées depuis notre séance photos et Wendy avait du pensé et repensé à Fanchon durant chaque journée. Sa langue si longue et son bras enfoncé dans son fondement.
Fanchon, qui était bien attaché ne pouvait plus faire un seule mouvement, elle était totalement prisonnière.
La Dame: “ Allez me chercher Marianne qu’elle s’occupe de la mettre en route.”
Wendy avait récupéré son fouet et s’était rapidement positionnée devant la tête de Fanchon, bien à l’aise sur un siège réglable en hauteur. Lorsqu’elle eu fini de se placer, Fanchon avait la tête dans son sexe
Wendy: “Commences sale garce, manges moi, pénètres moi de ta langue.. Et détends toi, tu vas en avoir besoin”
Fanchon s’activa directement, non sans dégout. Pourtant lors de sa séance de douche pendant laquelle elle avait lécher Marianne, il ne m’avait pas semblé qu’elle éprouvait un dégout. Probablement que Wendy devait être moins à son gout que Marianne.
Fanchon toujours aussi habile lécha Wendy très peu de temps avant que celle ci n’explose de jouissance et de répande de son liquide sur tout le visage de Fanchon. Wendy était vraiment une fontaine... Fanchon marqua un temps d’arrêt, mais Wendy ne l’entendait pas de cette oreille et lui claque un coup de cravache violent sur les fesses auquel Fanchon réagit par un cri strident.
Wendy : “ A non, ne t’arrêtes pas, aujourd’hui je veux jouir, et je veux jouir toute la nuit”
Fanchon repris son travail sur la fente de Wendy. Marianne venait d’arriver près de la scène. Elle avait du mal à marcher et avait probablement du se faire défoncer juste avant de venir... Finalement ce que je lui avais fait subir en fin de matinée n’était que bien peu de chose.
La dame: “Prépares la, elle va se faire “fister” et il vaut mieux qu’elle soit relâchée et bien mouillée pour cela mais, tu sais très bien de quoi je parle !”
Et Marianne a commencé à lui masser doucement la vulve avec ses doigts. Elle était d’une douceur incroyable. Fanchon était tellement touchée par ce qui se passait au niveau de son sexe qu’elle marquait des pause sur le cunni de Wendy et se faisait immédiatement rappelée à l’ordre d’un violent coup de cravache.
Marianne a commencé par lui introduire, deux doigts de sa main droite tout doucement pour les remuer en elle sans les sortir, le bassin de Fanchon marquait des contractions rythmés. Puis un troisième doigt tout en approchant son visage de l’anus de Fanchon et dans un mouvement assez rapide, lui lécha de bas en haut. Cela eu pour effet de faire gémir ma soumise et Wendy une fois de plus lui cravacha le bas du dos pour la remettre au travail. Wendy ne tenait plus, lâcha encore un flot de liquide dans une jouissance tout aussi forte que la première. Fanchon pus enfin se concentrer à sa seule jouissance... C’est toute la main de Marianne qui s’activait finalement dans son vagin et elle avait maintenant plaqué son visage sur ses fesses et lui léchait délicatement l’anus.... Fanchon qui avait laissé sa tête retombé, la releva d’un coup puis crispa tout son corps et jouit. Elle jouis tellement bruyamment que des portes de l’étage s’ouvrirent et que des locataires du temple se laissèrent aller à contempler la scène.
Juste après cette jouissance, au moment ou Fanchon se relâcha complètement, Marianne commença a insérer deux doigts de son autre main dans son cul, puis vint rapidement un troisième tout en continuant de remuer la main insérée dans le sexe de Fanchon.
La scène ressemblait terriblement a un marionnettiste qui manipule ses personnages.
Wendy avait repris ses esprits et elle en voulait encore à cette langue qui lui avait procurée tant de plaisir. Elle saisit Fanchon par les cheveux à deux mains, elle était en transe
Wendy : “Encore salope, encore, j’en veux encore. J’ai attendu tellement de temps avant de revoir cette merveilleuse langue. Toute la journée tu vas me lécher, toute la journée tu vas te faire détruire le cul... Tu n’es rien ici, rien qu’un jouet entre mes mains. Sale petite pute”
Fanchon était sonné par son orgasme, on aurait dit que Wendy voulait faire entrer sa tête entière dans son vagin. Fanchon avait du se remettre au travail car Wendy semblait apaisé de nouveau. Pendant ce temps Marianne avait insérer son autre main dans le cul de Fanchon. L’image était surnaturelle, on ne voyait plus ses mains totalement absorbées par les orifices de cette petite brunette qui m’avait tant donné d’elle en si peu de temps. Tout le monde regardait cette scène surprenante et on commençait à entendre des encouragement venant de partout.
“Défonce la, détruis lui le cul”
La dame : “ Passons aux choses sérieuse maintenant”
Wendy qui peinait à jouir a nouveau fit signe à Marianne d’arrêter. Avec une extrême délicatesse, Marianne retira ses mains du cul et du vagin de Fanchon... Ils n’étaient finalement pas si altérés que cela. Lors de notre séance photo au studio, le cul de Fanchon avait avalé un gode jusqu’à sa base et cela avait laissé une trace plus flagrante que maintenant. Les mains de Marianne étaient minces et fines et elle avait pris grand soin de pratiquer avec douceur, d’ailleurs Fanchon n’avait pas émis de protestation de douleur pendant l’acte, elle avait même jouis.
Wendy tira un peu plus sur les cheveux de Fanchon pour que celle ci puisse la regarder droit dans les yeux
Wendy: “ Tu m’as fait jouir l’autre fois en enfonçant ta main et une partie de ton bras dans mon anus, tu vas voir ce que c’est que de jouir de ce coté là, de se sentir défoncer, mais avant cela, il y a la douleur... Que tu n’as pas encore ressenti.
L’anus de Fanchon commençait à se refermer et elle dut le sentir parce qu’elle supplia alors Wendy
Fanchon: “ Fistez moi, plongez votre bras dans mon cul, je suis à vous, mon maitre l’exige, défoncez moi le cul autant que vous voulez”
Wendy eu un fou rire
Wendy : “Mais ma petite, je n’ai pas des mains plus grosses que celle de Marianne, ton bourreau pour cette occasion doit être un homme... Et crois moi j’ai choisis le meilleur”
Il était resté juste derrière moi jusqu’à présent. Le Majordome s’approcha de Fanchon posa ses doigts énorme rassemblé en pointe sur l’anus de la belle et commença son insertion avec lenteur. Fanchon du sentir la différence immédiatement car elle fronça les sourcils puis eu un rictus sur les lèvres; se qui indiquait clairement que ce morceau là était plus dur à passer. Le Majordome continua de progresser et on était à un centimètre des phalanges. La différence de taille entre sa main et le cul de Fanchon était énorme il pouvait le tenir dans une seule de ses mains. La belle commençait a vouloir gesticuler, mais rien n’y fit. Elle était prisonnière et son bourreau continuait de progresser de plus en plus lentement. Cela du agacer Madame
Madame: “Suffit Fernand, je ne t’ai jamais vu faire avec autant de finesse, qu’on en finisse. Il faut qu’elle morfle, qu’elle soit soumise à la douleur”
A ces mots Fernand posa son autre main à plat sur le dos de Fanchon, qu’il couvrait quasiment intégralement, puis enfonça d’un seul coup son poing dans l’intestin de sa captive. Fanchon hurla à la mort de longue seconde avant de s’évanouir sous la douleur. Fernand commençait à faire des va et vient avec sa main, Fanchon revenait péniblement parmi nous et commençais à pleurer à chaude larmes en hurlant de temps en temps... Mais son anus commençait à supporter cet assaut... Aussi incroyable que cela puisse paraitre.
Wendy totalement en transe la repris par les cheveux et lui criait
“Encore, encore, encore”
Et Fanchon recommença à bouffer la chatte de sa maitresse en se faisant détruire le cul par le poing de Fernand. Si le tableau de Fanchon couverte de sperme la veille était beau, celui ci était magique. Fanchon a fini par maitriser sa douleur, mais ne jouis pas.
Wendy elle, jouis, probablement autant grâce à la langue de Fanchon que par l’image qu’elle avait de se cul qui se faisait ouvrir en deux. Une fois sa jouissance passée, Fernand retira sa main, en douceur. Après ce traitement, l’esprit de Fanchon avait totalement quitté son corps, son visage était couvert des sécrétions de Wendy et sa tête pendait couverte de ses cheveux. Beaucoup de personnes s’étaient rassemblé autour de la scène, dont un homme qui se servait de sa bouche de Marianne pour se vider les couilles tout en contemplant ma soumise sur son cheval.
Un des hommes qui entourait le corps inanimé de Fanchon s’avança vers elle, puis se positionna face au trou béant et commença a y insérer sa main, certes plus petite que celle de Fernand, mais il le fit avec tellement peu de douceur que Fanchon eu un soubresaut et gémit très doucement. Il s’activa quelques secondes avec des va et viens brutaux et se retira, laissant la place à un autre. Toute la salle testa ainsi l’élasticité de Fanchon et cette exercice dura une bonne heure, les personnes présentent étaient enthousiastes devant se spectacle incroyable et Marianne passait d’une bite à l’autre pour vider l’excitation visiteurs... Et à chaque fois elle avalait.
Une fois que la scène avait perdu de son intérêt les habitants du temple s’en allèrent à d’autres besognes. Marianne restait inoccupé à genoux, à côté de moi et Fanchon était toujours dans la même position.. C’est Wendy qui avait quitté sa place pour se positionner sur le côté du cheval.
Wendy : “ Fanchon ?”
Fanchon mis du temps à répondre et le fis avec une voix très faible
Fanchon: “oui, maitresse”
Wendy : “ils en ont fini avec toi, mais pas moi. J’ai jouis avec une main dans mon cul, voyons voir si tu jouis avec deux ?”
Wendy sortait du cadre de mon programme, j’ai commencé à avancer, mais Marianne me retint par la main et me murmura
Marianne: “Elle va y arriver, je l’ai fait déjà et mon bassin est moins large que le sien. Faites moi confiance”
Wendy joignit ses mains et les positionna sur le trou béant qui était il y a quelques heures seulement, une rosette magnifique, puis poussa doucement mais sans marquer d’arrêt... Fanchon ne réagit qu’au passage des pouces puis des phalanges. elle absorbait les deux mains entière sans trop de mal. Wendy voyant que Fanchon de réagissait que peu commença des va et viens de plus en plus virulents
C’est à ce moment que La dame est revenu dans la salle et voyant la scène non prévue au planning fit un signe à Lucien et Virgil.
La dame: “Wendy, tu vas trop loin, tu as outre passé tes fonctions, Lucien Virgil, déshabillez là et attachez la dans la cage”
Wendy se retira d’un coup sec du cul de Fanchon, et criait des NON a répétition, mais Virgil et Lucien la tenait et commençait à lui enlever sa combinaison. Ils avaient visiblement l’habitude de contrôler des femmes hystériques, car Wendy était bien hystérique à ce moment là.
Moi : “Marianne, détaches Fanchon et prends soin d’elle s’il te plait”
Je me suis ensuite approché de Fanchon que Marianne oeuvrait à libéré
Fanchon: “Belle prestation Fanchon. Ta deuxième journée s’achève, demain tu jouiras de nombreuses fois, taches de bien dormir et d’être en forme.”
Marianne l’aidait à se relever et la soutenait pour se rendre à la salle de douche, elle ne pouvait plus marcher. Une fois la porte de la salle de douche fermée, j’ai voulu savoir ce que la dame appelait la cage et j’ai tout naturellement pris la direction qu’avait emprunter les deux Black.
La dame: “ Venez avec moi, vous verrez mieux ce qui attend Wendy de la bas”
Nous avons monté les escaliers et pris une porte sur la mezzanine qui donnait sur un très long couloir avec d’autres portes de part et d’autre. Mais c’est la dernière, celle du bout du couloir que la dame ouvrit. C’était un bureau avec une très grande baie vitrée donnant sur la partie gauche du manoir: Une courette
La dame: “elle est là, c’est la punition ultime lorsqu’une fille transgresse le règlement”
Moi: “ Mais Wendy n’est pas une soumise ?”
La dame: “Ici le règlement s’applique à toutes les femmes, c’est un très vieille institut et nous n’avons jamais modifié aucune de ses règles depuis près de 1000 ans. Wendy connait bien le temple et savait qu’en venant ici, elle était considérée comme une femme et devrait s’y plier.Lorsqu’une soumise nous est amenée par une autre femme, on doit lui expliquer les règles avant, c’est pour cela qu’en mille ans, seulement deux maitresses femmes sont passés dans ses murs.”
Pendant qu’elle me faisait un cours d’histoire, je ne quittais pas des yeux la scène qui se déroulait dans la cours extérieur qui formait effectivement une sorte de cage.
Wendy avait été attaché sur un escalier, son petit cul en offrande. Elle hurlait à la mort et se débattait autant qu’elle pouvait sans succès... Elle devait en savoir plus long que moi sur ce qu’elle allait subir. La dame me précisa que Wendy allait rester ainsi toute la nuit.
Il ne faisait pas froid dehors, il était 19H00 et je ne voyais pas encore en quoi cela devait être une punition.
Les deux blacks levèrent la tête vers nos fenêtre et la dame leur fit un signe approbateur de la tête et il se dirigèrent vers le dessous de notre fenêtre et j’entendis alors des aboiements sourds retentir. Plusieurs chiens devaient nichés sous la pièce où nous nous trouvions et ils attendaient de pouvoir sortir.
7 dogues allemands de belle taille se ruèrent dans la cours. Wendy était sur un coté et ne disait plus rien. elle pleurait. Les dogues ont commencé à faire le tour de la courette en tout sens puis le plus grand a pris la direction de Wendy, lui a senti l’entre jambe puis tout en remuant la queue commença a grimper dessus. Wendy s’est remis a hurler en injuriant la terre entière, le grand dogue tentait de la pénétrait, il avait ses pâtes avant de chaque coté de Wendy et de la ou j’était je voyais sa queue, pas totalement dur, chercher son chemin, qu’elle fini par trouver. Wendy hurla encore et encore tandis que le Dogue s’activait vigoureusement sans tenir compte de sa proie. Il ne mis pas longtemps a se vider, à peine quelque dizaines de secondes. En se retirant, je vis le sexe de Wendy se vider d’une quantité impressionnant de sperme, mais je n’eu pas longtemps la vue dégagée car un autre dogue pris quasiment immédiatement la place; et j’ai compris à ce moment que la nuit allait être longue pour Wendy...
Moi :”Merci d’avoir rassasié ma curiosité. Pour le dernier jour de Fanchon, c’est le plus grand que nous utiliserons ?”
La dame: “Oui, les autres n’y toucheront pas tant que le mâle dominant n’est pas passé. Par contre une fois lancé, les hostilités peuvent aller très loin. Pour Wendy par exemple, chaque chien devrait la saillir plus de dix fois jusqu’à demain matin. Elle ne dormira pas, cela devrait la calmer”
Moi: “Marianne a subit cela ?”La dame: “Marianne est unique, elle a subit cela de nombreuses fois mais comme elle y prenait du plaisir, il a fallut trouver mieux”
Après ses explications je la remerciait et quittait la pièce pour retourner dans la pièce aux miroirs et observer Fanchon afin de savoir si oui ou non elle allait se remettre de l’explosion de son anus.
Un tableau merveilleux m’attendait en prenant place devant le miroir sans teint. Marianne sur Fanchon en 69 à même le sol de la salle de douche entrain de se donné du plaisir. Je me demandais laquelle des deux allait jouir en premier... Fanchon semblait avoir de vrai disposition car Marianne souleva sa tête en gémissant de joie, Fanchon prit deux grandes respiration et cria “J’ai gagné”
elle s’était finalement remise assez vite la petite...
Marianne : “Oui tu as gagné, mais laisses moi te faire du bien”
Fanchon “ Mets ta main, j’ai adoré ta main dans mon vagin”
Fanchon se positionna à quatre pattes sous la douche chaude et Marianne avec une infini douceur fit coulisser sa main dans son vagin. très peu de temps après, elle jouit violemment et Marianne retira sa main pour l’embrasser goulument.
Marianne: “Lèches moi encore s’il te plait”
Fanchon: “Avec plaisir, tu as un super gout, j’adore”
Et je m’en retournais la pièce principale laissant les deux soumises à leurs plaisir.
L’activité dans le temple ne s’arrêtait pas avant deux heures du matin, j’ai été tenté d’utiliser plusieurs soumises, mais pour la journée suivante j’allais devoir donné de ma personne. J’ai préféré me retirer dans ma chambre.
Diffuse en direct !
Regarder son live