Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 11 J'aime
  • 4 Commentaires

Mon estheticienne

Chapitre 7

Trash
Réveil, habillage et première surprise en ouvrant la porte, pas de Marianne, mais ma Fanchon accrochée à l’anneau entrain de se faire baiser la bouche par un homme qui fut tout autant surpris que moi. Fanchon subissait ses assauts sans broncher. Il ne mis pas de temps à jouir dans le fond de sa gorge et elle avala tout... Son affaire faites, il s’en alla en remontant son pantalon; sans un mot ni pour Fanchon ni pour moi.
Moi : “Bonjour Fanchon”
Fanchon “Bonjour Maitre”
Elle avait l’air fatigué mais semblait remise de son épreuve physique de la veille
Moi :” Tu sais ce qui t’attend aujourd’hui ?”
Fanchon: “non”
Moi: “ Ce soir nous partirons faire un tour avec la majordome, Lucien et Virgil “
Fanchon: “ Pas Marianne ?”
Moi: “ Non elle n’est pas prévue pour l’activité de ce soir”
Fanchon prit un air triste
Fanchon: “Cela me rassure de la savoir là”
Moi : “Elle connait ton programme et pense que tu auras du mal à accepter ton dernier jour, demain donc”
Elle me regardait avec ses yeux de soumise, à genoux, prête à subir les sévices de n’importe qui.

Moi :” Tu es une soumise Fanchon et tu le seras pour toujours, c’est ainsi que tu prends du plaisir et que tu m’en donnes. Rentres dans ma chambre et profites de dormir encore un peu, ta nuit s’est bien passée ?”
Fanchon: “ Comme toutes les autres”
moi : “ C’est à dire ?”
Fanchon : “Et bien je m’endors dans les dortoir commun des soumises puis le majordome m’amène à ma dame que je dois faire jouir plusieurs fois avec ma langue”
Etonnant, ces prestations n’était pas au programme, mais les performances de Fanchon pour cet exercice semblent être devenues indispensables à la maitresse des lieux.
Moi :” Tu ne dors pas tant que ça finalement ?”
Fanchon:” Si quand même un peu, mais je suis de plus en plus fatiguée”
Moi :” Et tu aimes faire des cunnis à Madame ?”
Fanchon: “Non, je crois que je n’aimerais jamais les femmes, à part peut être Marianne, de plus elle me fouette pour finir et me fait jurer de ne rien dire”
Moi : “ Pourquoi me racontes tu ça alors ?”
Fanchon: “ Je suis à vous, a personne d’autre”
Un homme commence à s’approcher de nous et je vois qu’il veut utiliser Fanchon, je la détache et l’entraine dans la chambre. Il semble surpris et la mezzanine est vide à cet heure. Il repars en maugréant.
Moi: “ Dors, ici personne n’abuseras de toi. Ce soir nous allons sur un chantier, je vais t’offrir à une cinquantaine d’hommes, il y en a de toute sorte et tous auront les couilles pleines.
Sur le coup Fanchon ne semblait pas affectée par ce qui l’attendait et elle se lova dans mon lit encore chaud puis se redressa pour une question.
Fanchon: “ Qu’est ce qui m’attend demain ?”
Moi : “ Tu le sauras au dernier moment, ce sera relativement cours, mais je te promets que Marianne sera la”.
Et je quitte ma chambre et Fanchon pour aller prendre mon petit déjeuné. Au passage, je croise la dame et me tâte à lui parler de ses extras avec Fanchon, mais je garde finalement cette cartouche dans mon fusil.
Moi : “ Bonjour, Fanchon se repose dans ma chambre, je préfère qu’elle soit en pleine forme pour affronter la meute de ce soir, combien de kilomètre avant d’arriver sur les lieux ?”
La dame: “Bonjour monsieur, c’est à une cinquantaine de kilomètre, mais il y a un peu plus d’une heure de route”
Moi: “ Ou se trouve Marianne ?”
La dame: “ Nous l’avons renvoyé, elle n’a pas respecté les règles et c’était sa dernière chance”
Moi: “ Faites en sorte qu’elle soit là pour le dernier jour de Fanchon, je lui ai promis”
La dame: “ c’est hors de question, elle n’est plus dans les lieux et ne peux plus y revenir”
Moi: “ Fanchon m’a raconté ses nuits, faites en sorte que Marianne soit là le dernier jour !”
La dame qui avait toujours un air supérieur de maitresse de maison était plutôt sympathique et ne m’avais jamais vu contrarié jusqu’à présent, d’autant que je lui avais jeté à la figure ses propres dérogations au programme. Elle perdit toute constance, rougit et on voyait qu’elle n’en avait pas l’habitude. Elle mis du temps a retrouver la parole
La dame: “ Je ne sais pas ce que vous a raconté Fanchon, mais cette petite peste va me le payer “
Moi : “ Ne faites pas la grande dame dans ces moment là, VOUS êtes en faute”
Fernand arrivait vers nous.
Moi: “ Fernand, faites rappeler Marianne pour le dernier jour de Fanchon. Ce soir nous partiront pour le chantier vers 20H00 et... Prenez une arme, on ne sait jamais”
Fernand regarda la dame d’un air interrogateur et elle ne dit rien. Au bout de quelques secondes elle lui fit un oui de la tête.
Fernand : “ Bien monsieur”
Moi: “ Quel est votre prochaine punition à vous ?”
La dame: “ je perds mon statut et subirait le fouet”
Moi :” Je ne suis pas sur qu’à votre âge vous supportiez le fouet”
N’attendant pas de réponse, je me dirigeais maintenant vers la salle de déjeuné.
La dame:” Je n’avais pas joui comme ça depuis bien longtemps, elle dépasse de loin mes plus grands espoirs”
Après un petit déjeuné copieux et avant de quitter la salle, je chargeais un plateau pour l’apporter à Fanchon. Il était 16 heures et j’avais encore du temps avant l’épreuve du soir.
En entrant dans la chambre, je faisais le moins de bruit possible, elle dormait encore. Je déposait le plateau et décidait de vadrouiller et de profiter des soumises de la maison.
En traversant le palier, j’en avais repéré une plus jeune que les autres attachés à un anneau et qui n’avais pas les mains entravées. Je me suis avancé vers elle, elle était à genoux, les bras dans le dos et baissait la tête.
Moi : “Comment t’appelles tu ?”
La soumise: “Lise”
Elle était effectivement très jeune, petit, presque aussi petite que ma Fanchon, les cheveux long châtain clair, les yeux d’un bleu de mer elle avait une poitrine ferme et tendue et de gros tétons. Elle était tatouée à quelques endroits de son corps et son sexe était entièrement épilé.
Moi: “ Je ne t’ai pas encore vu ici“
Lise: “ Je suis arriver hier dans la nuit, mon maitre dors dans cette chambre “
Pendant qu’elle parlait je déboutonnais mon pantalon”
Lise: “ Qu’est ce que vous faites ?”
Moi: “ Tu es attachée à l’anneau !”
Lise: “ et alors ?”
Moi : “On ne t’a rien dit ? Lorsqu’une fille est attachée à l’anneau, elle est public, tout le monde peut l’utiliser”
Et Lise se mis à pleurer avec de gros sanglot. J’avais maintenant la queue sortie face à son visage
Moi : “ C’est curieux, je pensais avoir amené ici la plus jeune soumise et ce matin je tombe sur toi. Comment se fait il qu’il t’ai accepté ?”
Lise ne voulant pas relever la tête pour affronter ma bite et parlait en regardant le sol: “ Il voulait absolument que je sois admise ici, mais la réponse fut non, alors il a décidé de m’amener et de convaincre les responsables du temple de visu”
et elle redressa la tête pour faire face à ma bite sans lever plus haut les yeux. elle dirigea sa bouche vers ma queue et maladroitement tenta de la sucer. Elle semblait motivée finalement et se résignait à se qu’elle devait accomplir.
Moi : “ Tu sais que les gens qui passent dans ce couloir son rarement tendre, si tu y restes tu vas te faire molester bien plus que ce qui se passe maintenant”
tout en suçant, elle hochait la tête acceptant son sort.
Je lui pris les cheveux pour les noué au dessus de son crâne et lui imprimait mon rythme assez doucement pour commencer.
Moi : “Mets toi à quatre patte”
elle m’obéis et je dus plier mes jambes pour continuer de me faire sucer. Son cul était magnifique, elle avait moins de hanche que Fanchon, mais elle avait du faire beaucoup de sport dans sa jeune vie.
Virgil arrivait vers moi, il ne voyait que le cul de Lise et je lui fit signe de s’approcher.
Moi : “Prends lui le cul, elle est toute nouvelle et semble ne pas encore comprendre ce qui l’attends. Il vaut mieux qu’elle le comprenne par nous que par d’autres moins soucieux”
Virgil la contourna pour regarder son visage.
Virgil: “Effectivement, je ne l’ai jamais vu ici, et elle est si jeune., tu t’es déjà fait sodomisé j’espère ?”
Lise fit oui de la tête tout en continuant de me sucer. Elle n’avait pas vu le membre de Virgil, un sexe de presque 30 cm de long sous son pagne, qu’il fit tomber pour être plus à l’aise. Virgil se baladait toujours avec une trousse dans laquelle figurait toute sorte de potion et huiles. Il en sortit une et enduit l’anus de Lise. Lorsqu’il enfonça un doigt, elle eut un rictus et serra les dents sur ma queue.
Moi : “Ola, doucement !”
Virgil:” Il vaut mieux que tu t’enlèves. Quand je vais entrer elle va les serrer plus fort que ça”
J’enlevais ma queue de la bouche de Lise et pris un pas de recul pour regarder la scène. Lise regarda en arrière et vit l’énorme chybre du colosse noir... Elle tenta de se dérobé, mais Virgil lui avait déjà saisit les cheveux
Lise : “ NON ! NON ! C’est trop gros, vous allez me faire mal”
Virgil : “Oui tu vas souffrir, mais si tu restes ici, tu auras bien plus mal encore”
Malgré cela Virgil me fit remarquer, en me montrant son doigt humide, que la demoiselle aimait la situation car en effet elle mouillait abondamment. Il lui plaça la tête au sol et elle pleurait à chaude larmes. Il plaça sa queue sur la rondelle de la belle et elle se crispa d’appréhension.
Virgil : “ tout ce qu’il ne faut pas faire. Laisses toi aller et ce sera bien plus facile pour toi”
Lise tenta de se décontracter sous les conseils avisés de Virgil mais rien n’y fit.. Il patienta pendant quelques dizaines de secondes puis commença sa poussée doucement. Le gland commençait à déformer la rondelle et Lise commençait à griffer le sol. Virgil lui maintenait toujours les cheveux de sa main droite et de sa main gauche maintenait sa bite. le gland perça enfin le rectum et Lise cria, hurla tout ce qu’elle pouvait. Virgil marqua un temps d’arrêt de quelques secondes pour que l’anus se fasse à cette présence. Elle se calma assez rapidement tout en pleurant et en maintenant une grimace de douleur sur son visage. Virgil lacha sa queue pour positionner sa main sur l’épaule de Lise. Il la releva de sorte qu’elle était maintenant revenu en levrette et poussa d’un coup la première dizaine de centimètre de sa queue dans le cul de cette soumise....
Elle hurla de plus belle. Mais virgil ne s’arrêtait plus et commençait des vas et viens dans l’anus de la belle. Comprenant qu’elle allait alerter tout le monde. Je lui remis ma bite en bouche en guise de bâillon, elle fut surprise et aspira ma queue en voulant respirer.
Virgil lui astiqua ainsi l’intestin pendant quelques dizaines de secondes et décida de pousser le reste. Le voyant faire, moi aussi je me décidait à pousser ma queue à l’intérieur de la bouche de Lise le plus profond possible. elle était empalé par les deux côté. Je lui burinait la bouche autant que Virgil lui burinait le cul. elle ne bougeait plus et continuait de pleurer. Ses larmes coulait sur mon sexe.
Moi : “ Voilà Lise à quoi servent les soumises ici, et ceci n’est rien”
elle hoquetait de temps de temps mais subissait son sort
Moi : “ On lui fait une belle facial, dis moi quand tu es prêt”
Virgil : “ Je suis toujours prêt “
Je lui fis un signe d’approbation de la tête, il se retira d’un coup. Lise s’effondra sur le sol, elle ne se tenait plus que sur un coude. Virgil passa ses deux mains sur ses bras au niveau de ses épaule et la souleva comme un rien pour la positionner a genoux, les mains dans le dos. Elle leva les yeux vers nous, elle avait cessé de pleurer. On s’astiquait à quelques centimètres de son visage et elle a du comprendre ce qui allait se passer car elle ferma les yeux, ouvrit la bouche et sortit sa langue. Virgil fut le premier a tout balancer 5 jets de sperme épais sur sa langue, son front et ses yeux. Je tentais de maintenir ma jouissance pour profiter encore de cette image, mais n’en pouvais plus... Je jouis abondamment. Le premier jet vint s’écraser sur son nez, mais tous les autres atteignirent sa langue. Elle avait la bouche pleine.
Virgil: “ Ici on avale tout”
Lise ferma la bouche, grimaça, déglutie, puis eu un haut le coeur en secouant la tête. Son visage était couvert de sperme. Virgil sorti une cuillère de sa trousse et commença a récupéré le sperme, lorsqu’il eu fini, il lui intima d’ouvrir encore la bouche, ce qu’elle fit et il lui fit couler le contenue de la cuillère dans la bouche. Elle grimaça encore, ferma sa bouche pleine, eu encore un haut le coeur et avala.
Lorsqu’elle eu fini, nous primes un peu de recul pour observer le spectacle. elle avait l’air moins fraiche qu’à notre arrivé, mais elle avait quelque chose dans les yeux qu’elle n’avait pas lorsque je l’ai découverte.
Comme nous avions fini notre affaire, un homme passait dans le couloir, la vie et ouvris son pantalon face à son visage. elle l’engloutit d’elle même en laissant ses mains dans son dos. Il lui attrapa la tête avec les mains pour lui baiser la bouche et il ne fallu pas plus de deux minutes pour qu’il lui lâche tout dans le fond de la gorge et sans un mot reparti. Elle avait encore la bouche pleine et aurait bien recraché si on n’était pas resté à la regarder. Elle leva les yeux vers nous avec un rictus et avala... Une dose de plus.
Moi : “ Tu apprends très vite Lise, bienvenue au Temple”
Virgil sourit et lui souhaita aussi la bienvenue.
Virgil : “ bienvenue et si ce soir tu es encore là, tu auras nos faveurs à moi et Lucien”
En descendant l’escalier qui menait à la grande salle, j’entendais le bruit du claquement d’un fouet.
Sur le sol, les bras et les jambes en croix, une femme nue, cheveux brun mi long, d’une quarantaine passée était allongée sur le ventre. Malgré sa position on voyait qu’elle avait des seins énormes, mais des fesses plates. Fernand lui donnait des coup de fouet sur le dos et le cul. Elle hurlait de douleur et de jouissance en même temps. L’image de cette femme au milieu de la salle principale était très belle. Un homme était debout à côté d’elle, il était rouge de colère et hurlait pour motiver Fernand.
“elle aime trop ça, elle baiserait un régiment cette pute, elle aime se faire défoncer de partout. Tiens le fouet c’est tout ce que tu mérites et tu en auras encore, car tu ne pourras jamais t’arrêter.”
C’était visiblement un règlement de compte. Mais je ne comprenais pas pourquoi est ce qu’un maitre ne voulait pas que sa soumise aime cela ?
La dame était là et je lui adressé un regard interrogateur. elle s’approcha de moi et me dit tout bas
La dame : “ C’est une femme et son marie. Elle le trompe tout le temps et accepte de venir se faire punir ici. Cela soulage le mari... Mais je crois qu’elle y prend gout maintenant. Ce qu’elle ne sais pas, c’est que j’ai proposé la cage comme punition à l’homme et qu’il a accepté... Après le fouet, elle va avoir l’occasion de devenir une vrai chienne, je doute qu’elle aime cela, quoi que avec elle, je ne sais plus quoi penser”.
La dame souriait
Et c’est à ce moment que l’homme a du comprendre ce que l’on se disait.L’homme :” Dis que tu es une pute”
La femme, au sol, essoufflée : “Je suis une pute”
L’homme: “dis que tu es une chienne”
La femme s’exécuta encore: “Je suis une chienne”
L’homme ; “ Alors puisque tu es une chienne et que tu sembles de plus en plus aimer le fouet, je vais te donner aux chiens”
La femme ne compris pas tout de suite. Virgil et Lucien l’ont détaché et on commencer à la mener vers la cage. Elle ne comprenais toujours pas ce qui allait se passé et à son regard ne l’imaginait pas non plus. Elle était saoule de plaisir de se trouver dans les bras de Virgil et Lucien et il était évident qu’elle aimait la bite.
Je n’aurais pas loupé sa tête devant la meute pour rien au monde.
Moi : “ Est ce qu’il y a moyen de voir la scène d’ailleurs que de votre bureau ?”
La dame: “Oui prenez la porte centrale de la mezzanine et la dernière porte au bout du couloir”
Et effectivement, depuis celle pièce, j’avais une vu imprenable sur le petit escalier sur lequel il allait attaché la nympho.
elle arrivait enfin, encadrée de Virgil et Lucien. Ils la fixèrent sur l’escalier, en levrette, pieds et mains liés. Ma fenêtre donnait directement dessus, je pouvais la voir de profil. elle avait un petit ventre et ses seins énormes pendait sous elle. elle souriait jusqu’à ce que Virgil et Lucien s’en aille. Il scrutait le signal qui ne se fit pas attendre et ouvrir la cage.
Les sept dogues firent leur apparition et la femme fut pris de panique
La femme tirait sur ses entraves et hurlait : “ Je ne suis pas une chienne, Je veux qu’on me détache”
Mais c’était trop tard, le dominant avait déjà sa truffe sur son cul. il lui mis un premier coup de langue qui la fit se cambrer, puis un deuxième auquel elle réagit par un gémissement. Et le molosse avançant sur sa femelle et ne mit pas de temps à trouver son orifice.
Il commença sa besogne et la femme gémissait, mais elle gémissait de plaisir. Elle aimait vraiment ça. Le dominant mis à peine deux minutes à la remplir qu’un autre chien pris sa place. La femme les motivait et lorsque l’un avait fini elle en appelait un autre.
La femme: “Venez les chiens, venez baiser votre chiennes, allé venez me remplir”
Cette femme était totalement dominée par ses pulsions. Je me décidait à quitté la pièce après qu’un cinquième chien lui soit passé dessus... Et qu’elle continuait de les appeler.
De retour dans la pièce principale, je me décidais à aller dormir un peu car la nuit allait être longue.
19H30, je me réveillais à côté de Fanchon nue qui dormait toujours. Elle avait un visage apaisée.
Moi: “ Fanchon réveilles toi, on a un peu de route avant ton prochain spectacle”
Et elle s’éveilla doucement et en me voyant allongé à ses coté me sourit.
Je me passait rapidement un cou d’eau sur le visage et en sortant de la salle de bain, Fanchon m’attendait à genoux les mains dans le dos. la tête baissé.
Moi : “ Allez, go Fanchon, tu te sens comment ?”
Fanchon: “ J’ai un peu peur”
Moi : “ Mais physiquement comment te sens tu ?”
Fanchon: “ Plutôt bien, j’ai bien dormis dans le lit avec votre odeur”
J’adorai son vouvoiement.
En descendant, je m’aperçu que la pièce centrale était relativement pleine pour cette heure. La petite Lise faisait son show, elle dansait nue et se déhanchait comme personne allant d’un homme à un autre, touchant les parties intimes de l’un roulant une pelle à l’autre. ses seins pointaient, elle était belle comme un astre... Elle allait forcement payer cher cette excitation qu’elle faisait monter. Et son petit corps, je le savais n’était pas près pour cela.
Moi : “ Regardes là Fanchon, il faudra que tu fasses cela la ou nous allons. Enfin, je ne suis pas sur que tu pourras le faire longtemps”
Fanchon: “Oui maitre”
Je cherchais Fernand du regard. Il m’attendait près de la porte d’entrée avec Virgil et Lucien.
Et c’est en sortant du temple que je vis Lise entouré d’homme commençant à la peloter vigoureusement. Je vis dans son regard qu’elle perdait pied, elle comprenait qu’elle n’aurait pas du attiser leurs désir de la sorte.
Dans la voiture, Fernand conduisait et Fanchon était calée entre Virgil et Lucien. Elle était habillée d’une simple cape et portait toujours son collier. Durant tout le trajet, elle ne broncha pas et Virgil et Lucien non plus.
Au bout d’une bonne heure et demi de route dans un silence religieux, nous sommes arrivés devant un portail en grillage qui donnait sur un terrain vague. La nuit était tombée, il n’y avait qu’un halogène qui éclairait ce portail et un homme surgit de la nuit pour l’ouvrir.
Fernand relança la voiture suivant la direction que lui indiquait l’homme. Nous sommes arrivés devant un grand hangar, de l’intérieur du quel sortait une clameur impressionnante. Fanchon marqua un arrêt et tandis son regard vers moi. Je restais imperturbable et lui faisait comprendre que rien ne pourrait lui épargner cette soirée.
Elle se décida a avancer de nouveau. Fernand ouvrit la porte et passa en premier, je fus le deuxième et découvrir une sorte de bar improvisé pour les hommes du chantier. La Hangar était gigantesque, le centre était éclairé par des halogènes et perdu dans l’immensité de la bâtisse, à cinquante centimètre du sol, une petit scène d’à peine quelques mètres carrés. A quelques pas de cette scène, un bar autour duquel une vingtaine de bonhommes de toute race, de toute taille et avait pourtant un point commun, ils étaient tous sale du travail de la journée. On s’approchait de l’action et je fis signe à Fanchon d’y aller.
Elle se résigna et s’approcha de la scène. les hommes jetaient sur elle des regards puissants d’envie et ils se disaient des mots entre eux en souriant ou en rigolant. D’autres hommes sortaient de l’ombre et s’approchaient d’elle. Ils étaient de plus en plus nombreux et on atteignait finalement une bonne cinquantaine de bonhomme. Un homme retenu mon attention, un black de presque deux mètres de haut qui dépassait tous les autres d’une bonne tête.
Fanchon monta sur l’estrade et commença à danser sur la musique faible que jouait un tout petit poste. elle n’enleva pas tout de suite sa cape et tournait sur elle même. Les hommes commençaient à entrevoir ses formes et ils commençaient à crier. Au milieu de tout ces hommes, elle paraissait comme une poupée miniature du haut de son mètre soixante.
“montre ton cul” “enlèves ta cape salope !” “ On va te défoncer” “ elle est bonne cette pute” “ pour une fois qu’on nous file pas un thon”
Fanchon entend forcement et les commentaires sont légions. Un homme monte sur la scène et commence à s’approcher d’elle. Il est encore en salopette et commence à lui tourner autour. Fanchon nous cherche du regard, mais avec les lumières sur elle, nous sommes devenus invisible. L’homme commence à la toucher et tire d’un cou sec sur sa cape. Fanchon se retrouve nue sur scène et s’arrête de se trémousser, elle est tétanisée, ce qui énerve passablement la foule. L’homme qui est avec elle commence à la prendre par la taille, lui masse les fesses. A voir la tête de Fanchon, il ne doit pas sentir la rose. Il la retourne et lui prend les seins à pleine main.
Un autre homme monte sur l’estrade tout en enlevant son pantalon, il a le sexe à l’air et il bande déjà. Il attrape Fanchon par les cheveux, la mets à genoux et lui fourre directement sa queue dans la bouche. Fanchon a un mouvement de recul et tente de s’échapper de cette fellation forcée, mais il la tient fermement. L’autre quitte sa salopette et oblige Fanchon et se positionné à quatre patte et directement s’introduit en elle et la baise. Fanchon est en position, l’ambiance est plus qu’électrique, les spectateurs sont hilares. Deux autres montent à leur tour, ils sont déjà nue et passent leurs mains sur le petit corps de Fanchon. Des doigts la pénètre de partout. L’homme dans sa bouche se retire, lui tire les cheveux en arrière de sorte qu’elle lève le visage, lui crache un gros molard dessus et dans le même temps se vide la queue sur son visage. Il se retire et un autre prend sa place, ils sont maintenant une dizaine sur la petite scène à tenter de prendre leur tour. La majorité continue de s’alcooliser en regardant Fanchon se faire abuser.
L’homme qui la baisait se fini, se retire et là aussi un autre prends sa place. Celui qu’elle suce est gros avec un ventre énorme, elle est obligée de passer sa tête sous son ventre pour le sucer, elle tient maintenant une verge dans chaque main qu’elle branle comme elle peut. Plusieurs mains la plotent et elle ne contrôle que difficilement ses mouvements. Ils sont déjà trois à l’avoir baisé lorsqu’un quatrième se positionne derrière elle mais plus haut, je comprend qu’il veut la sodomiser et y arrive. Fanchon relève la tête, mais le gros lui attrape les cheveux à deux mains et l’oblige a repartir sous son ventre. Il a fini par jouir juste après car il se relève avec un peu de mal.Fanchon commence a être aussi sale qu’eux et elle doit comprendre maintenant que la soirée va être longue. Sa première sodomie se termine par une éjaculations sur son dos, l’homme se retire et un autre arrive et se glisse sous elle pour la baiser. Elle est soulevée et on l’empale littéralement sur la queue, des mains la soulève plusieurs fois puis la repositionne sur le sexe tendu. On la laisse maintenant aller et venir, les hommes sont un moment sous le charme du jolie tableau. Certains qui s’astiquent depuis le début viennent maintenant juste lui jouir sur le visage. Elle est couverte de sperme et doit s’essuyer régulièrement pour continuer de voir quelque chose.
L’homme qui se trouve sous elle, sort sa bite et lui fourre dans le cul. Elle sait maintenant qu’elle peut subir une double anale, mais elle n’a pas le temps de voir la taille du sexe qui va lui arriver en supplément dans les entrailles qu’un homme lui attrape les cheveux en deux touffes et se sert de sa bouche comme d’un trou qu’il lui ramone avec une furieuse intensité. Ses yeux son révulsés, elle commence à se sentir partir. La situation l’excite, l’odeur, être un objet pour satisfaire autant de personnes. Elle se fait bourrer la bouche avec une violence inouïe. L’homme n’a absolument aucune considération pour elle et se sert de ses cheveux comme de deux poignées. Sur son visage se dessine la douleur.
Fernand me regarde pour savoir si il doit intervenir, mais je regarde la scène sans inquiétude et il se ravise. Le grand noir arrive derrière elle à ce moment là et s’apprête à l’embrocher. Sa queue n’est pas longue mais d’une épaisseur rare. de la ou je suis je dirais un bon 8 cm. Avec une seule main il entoure la taille de Fanchon qu’il immobile, positionne sa queue entre le haut de son anus et l’autre sexe déjà introduit et pousse pour entrer jusqu’au couille. Fanchon hurle à la mort, un crie étouffé par l’homme qui se sert de sa bouche comme d’un réceptacle.
Et commence un démontage en règle du corps de Fanchon chacun tirant sur la partie qui l’intéresse. L’homme dans sa bouche gémit en envoyant le bassin contre son visage. On devine qu’il vient de se vider dans sa gorge. Le Black derrière elle repousse avec son long bras ceux qui veulent prendre la place entre ses lèvres et au bout d’une dizaine de secondes pendant lesquels il a détruit son anus, il se retire et fait le tour pour se faire sucer... Fanchon doit ouvrir en grand pour l’absorber et sa mâchoire est déformé par les poussés successive de l’homme si grand.
Des hommes situés derrière elle contemple son anus disloqué en commentant l’image, certains prennent des photos. Celui qui se trouve en dessous n’a plus aucun sentiment de pression sur sa queue et décide de retirer pour reprendre place dans son vagin.
Le noir continue de pousser sa queue dans la bouche de Fanchon qui est totalement immobilisé par l’engin.
Deux hommes ont sorti leur queue et la positionne cote à cote dans l’anus de Fanchon qui les aspire sans mal. Et les commentaires sur ses aptitudes une fois de plus vont bon train.
De loin le spectacle est surnaturelle et dure près de 4 heures, chacun leur tour ils viennent dans sa bouche, dans son cul, dans son sexe. Elle est positionnée à l’envers sur la bite du grand black qui lui ouvre le cul en deux, un autre vient sur elle pour une énième double tandis qu’un autre lui tort la tête pour y faire entrer sa queue et pour la labourer.
Au bout se ces 4 heures le hangar commence à se vider, il reste une dizaine d’homme dont notre gros black qui s’est vidé deux fois sur Fanchon et regarde maintenant la scène. Peu à peu les hommes qui ont fini de se décharger sur elle se reculent la laissant au centre de l’estrade. ils forment un cercle autour de ce qui reste de Fanchon elle est allongée, se relève sur ses coudes, totalement décoiffé, le corps et le visage englué de sperme.
Et tous en coeur commence à lui uriner dessus. Fanchon qui n’a pas gaspillé toutes ses forces se redresse affrontant les jets, se positionne à genoux, mets ses bras dans son dos et ouvre la bouche. Les hommes s’exclame et lui crie des “bravos” “ championne” et commencent à visé sa bouche qu’ils remplissent sans mal. Elle laisse sa bouche ouverte qui déborde et la pisse lui coule le long du corps, dans les cheveux.. C’est une spectacle remarquable. Lorsque le dernier termine, elle les regarde bouche ouverte, remplie, la referme, puis avale... Les hommes jubiles et applaudissent longuement la performance avant de s’en aller.
elle reste seule au milieu, et nous voie maintenant à quelques mètres d’elle. Elle nous sourit, le devoir accomplie.
Nous lui faisons signe de nous rejoindre, elle a du mal à marcher, elle est dans un état abominable.
Fernand est allé chercher un tuyau d’arrosage qu’il allume et la nettoie a haute pression. L’eau est glaciale et elle pousse quelques plaintes. Une fois correctement rincé, je la recouvre de sa cape et nous regagnons le véhicule. Un homme nous arrête
L’homme: “Félicitations, il faut qu’elle revienne, absolument”
Fernand sans tacte: “ Il n’y aura probablement pas de prochaine fois”.
L’homme perdit son sourire et se crispa devant cette franchise si décevante.
Fanchon qui avait bien compris la situation pris la parole: “ Je serai ravis de revenir dès que nous aurons fait le tour des chantiers de la région, mais il m’en faudra plus la prochaine fois.”
Et l’homme repris le sourire.
Durant tout le retour Fanchon dormit, elle était épuisé, mais une fois de plus son petit corps avait parfaitement encaissé le challenge.
En poussant la porte pour entrer dans le temple, ma première vision fut Lise par terre, le visage collé sur le carrelage, le cul relevé qu’une homme venait juste de quitter. Son anus était rouge vif et d’autres hommes attendait pour prendre la place. elle ne disait rien, les yeux fermé et subissait les assauts. Je cherchais des yeux son maitre et trouvait un jeune homme assis dans le canapé rouge a contempler la scène.
Virgil et Lucien dirigeait Fanchon vers la salle de bain, Marianne l’attendait à l’entrée debout sans collier, les mains libres. Je ne l’avais jamais vu ainsi. Fanchon en la voyant eu un large sourire. Les deux colosses noirs laissèrent Fanchon au soin de Marianne.
Moi : “ Marianne, tu ramèneras Fanchon dans ma chambre quand tu auras fini et tu resteras avec elle.
Marianne: “Oui monsieur”.
En entendant ma voix, Lise ouvrit les yeux et me cherchait du regard. Elle me vit enfin et des larmes se mirent à couler sur son visage. Elle devait se rappeler mes paroles sur ce qu’elle allait subir.
Lise fut sodomisé encore 4 fois, les hommes jouissaient dans son cul, mais cela devait faire partie de son challenge. Lorsqu’il n’y eu plus de prétendant, elle laissa glisser ses genoux pour se retrouver totalement allongé
La dame: Virgil, Lucien, occupez vous d’elle. Et elle allait finalement comme à chaque fin de journée d’une soumise, être lavée de fond en comble pour ensuite subir les deux verges de Lucien et Virgil.
J’étais fatigué, mais je voulais tout de même voir ce qui allait se passer et je me suis donc rendu dans la salle aux miroirs pour contempler le spectacle... D’autant que Marianne et Fanchon s’y trouvait encore.
Sous un pommeau de douche, dans un coin Marianne et Fanchon se lavait l’une, l’autre avec douceur rare. Marianne était plus grande que Fanchon de presque une tête et Fanchon était à hauteur pour lui titiller ses petits tétons avec sa langue. La différence entre ces deux corps étaient réel, Marianne, longiligne, peu de poitrine, de longue Jambes et Fanchon, très petite, de petites jambes surmonté par un cul magnifique avec de vrai hanches, une taille fine et musclé et des seins presque trop gros pour son gabarit. Elle en étaient venu à se caresser le sexe lorsqu’elle tournèrent en même temps le regard vers Lise.Lise se faisait nettoyer par Virgil. Il venait de lui injecter une première dose de lavement dans le cul et c’est vrai que la première fois, c’est une sensation difficile à accepter sans broncher, d’autant qu’une dose ne suffit pas et qu’avant d’aller se vider, il allait lui remplir l’anus d’au moins trois dose.
Comme elle acceptait mal le traitement, Lucien la maintenait baissé en lui ouvrant les fesses pour ne pas qu’elle bouge.
Une fois la dernière dose avalé par son fondement. Virgil la prie par les hanches et la posé sur ces fameuses toilettes qui avait la particularité d’être au milieu d’un mur sans aucun paravent. Les colosses la regardait ainsi que Marianne et Fanchon
Lise: “ Je ne veux pas faire ça devant vous, ce n’est pas possible !”
Lucien: “ Ton organisme ne te laissera pas le choix”
Et effectivement, son ventre cherchait à évacuer le trop plein tandis qu’elle tentait de se retenir pour ne pas se sentir humilié... Mais la nature regagne toujours ses droits et elle devait perdre cette bataille.
Et ça a commencé, elle n’arrêtait pas de se vider tout en baissant les yeux au sol. Elle ne pouvait plus rien retenir. Elle était rouge de honte, mais dans le même temps son visage montrait le bien être que cela lui apportait.
Une fois terminé, Il se sont occupé de son corps, pas une partie n’a été oublié, tout a été douché, lavé, rincé, séché. Et ensuite il l’on enduit d’un crème épaisse qu’ils ont massé patiemment pour qu’elle pénètre. Lise devait commencer à se sentir bien et propre, lorsque Virgil la fit se mettre à quatre pâtes, la tête sur le sol... Elle tournait la tête vers Marianne et Fanchon pour tenter d’avoir lui appuie, mais elles étaient trop occupé. Fanchon était descendu d’un étage au niveau du sexe de Marianne et elle s’affairait avec vigueur, Marianne était au septième ciel et elle tenait la tête de Fanchon plus pour ne pas tomber que pour lui imprimer un semblant de soumission.
Lucien était derrière Lise entrain de lubrifier son sexe qui commençait à grossir.
Virgil: “Tu vas voir, elle est très excitante pour ce qui est de la sodomie. Je vais tenter sa bouche, j’ai vu qu’elle a fait grand effet à Monsieur Henri tout à l’heure.
Lise commençait à vouloir se redresser, mais Lucien lui posa une main sur le haut de ses fesses et lui fit comprendre qu’elle devait remettre sa tête au sol... Ce qu’elle fit. Alors qu’il posait son gland sur son anus. La jeune Lise étendit ses bras devant elle, creusa son dos et se concentra pour se détendre au maximum... Elle avait compris.
Le cul de Lise s’était tout naturellement ouvert, son anus se dilatait par la position et Lucien n’eu presque rien à faire pour que son gland le transperce. Il s’était bien huilé et les centimètres du colosse noir glissaient à allure régulière dans l’étroit conduit. Lise semblait fondre sur le sol, elle cassait son dos encore et encore de sorte que tout son corps semblait à même le sol sauf ses cuisse et son postèrieur. Lucien approchait de la fin, Lise venait de s’engouffrer trente centimètres de bite sans un bruit... Et bien... Elle promet.
Fanchon avait cessé de lecher Marianne pour fixer la scène, Marianne aussi contemplait le spectacle.Virgil: “Je me doutais qu’elle était forte à ce jeu là. On va voir si tu peux faire de même avec ta bouche”
Et Virgil s’assit par terre et glissa pour se retrouver avec la tête de Lise entre les jambes., il lui tira les cheveux pour positionner sa bouche face à son gland puis continua de ramper en insérant sa queue délicatement dans cet orifice buccale. Lise était toujours concentré sur sa détente et la queue de Virgil continuait de gagner du terrain. La queue de Virgil allait pénétrer dans la zone compliqué pour une gorge profonde surtout dans cette position.
Marianne : “ Je n’ai jamais réussis à faire ce qu’elle fait dans cette position et pourtant j’ai du avaler des choses bien plus grosse et bien plus sale que ça”
Lise était en transe. Virgil glissa doucement ses fesses sur le sol vers la bouche de Lise et fini par s’insérer totalement dans sa bouche.
Avec Lucien qui effectuait ses vas et viens avec délicatesse mais en s’insérant tout de même totalement et Virgil qui était également totalement entrée dans l’orifice qu’il avait choisit. Lise n’était plus qu’un fourreau. Elle ne bougeait plus, gémissait tout au plus.
Virgil réussissait à effectuer de petits mouvements qui semblaient lui suffire pour faire monter son plaisir. Il s’appuyait sur ses mains pour faire remuer sa queue, la mâchoire de Lise était totalement dilatée. La situation a duré une éternité, pendant laquelle, elle respirait doucement.. Marianne s’est approchée d’elle et lui posa une main sur le haut du dos.
Marianne: “ Ils vont jouir, probablement ensemble et compte tenu de ce qu’ils ont vu aujourd’hui tu vas recevoir d’énorme quantité de sperme dans le cul et dans la bouche. Il va falloir que tu reçoives et avales ses décharges au fur à mesure. Ne te laisse pas déborder, tu dois absolument resté concentrer pour avaler tout cela au fur à mesure.”
Et dans l’instant qui suivi la fin de cette phrase, les deux hommes se contractèrent ensemble, et commencèrent à décharger. Virgil par petit mouvements et Lucien en gardant le même rythme et en pesant un peu plus sur Lise. On voyait la gorge de Lise, collé au sol, déglutir chaque rafale l’une après l’autre et dans le même temps on voyait son ventre se tendre et se détendre pour encaisser les jets qui la remplissaient.
Elle se fit remplir pendant une bonne minute et les deux sexes restèrent encore une minute de plus dans leur foureau, puis Virgil se retira avec precaution en glissant sur ses fesses une fois de plus mais dans l’autre sens. Lucien lui se retira très doucement, centimètre par centimètre d’entre ses sublimes fesses. Une fois totalement retirés, Lise fit glisser ses genoux pour se retrouver sur le ventre allongée puis roula sur le côté.
Marianne en regardant Fanchon: “Elle maitrise son corps bien mieux que je ne puis le faire moi même, elle est étonnante, je pense qu’elle est prête à rester au temple pour y subir ses épreuves... Mais ce n’est pas moi que cela regarde”
Fanchon était resté bouché bée devant la performance de Lise. Lise qui s’était endormie à même le sol de la salle de douche.
Marianne et Fanchon ont quitté le lieu pour se diriger vers la chambre et je leur emboitait le pas. J’avais devant mes yeux, deux créatures prêtent pour satisfaire le moindre de mes vices.
Moi : “ On dort les filles !”
Et ensemble : “Oui maître”
Diffuse en direct !
Regarder son live