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Mon estheticienne

Chapitre 8

Zoophilie
Mon esthéticienne
Chapitre 8
en ouvrant les yeux le lendemain, j’étais au milieu du lit avec d’un côté Fanchon et de l’autre Marianne. Il avait fallu que je m’interpose pour que ces deux là arrête de se donné du plaisir. J’aurais du sévir mais l’attirance entre elle était tel que les voir faire faisait monter le sourire au lèvres.. Elles étaient faites l’une pour l’autre.
moi : “ Debout, les filles, aujourd’hui c’est le dernier challenge de Fanchon et ensuite on rentre à la maison”.
Fanchon: “ Je peux finalement savoir ce qui m’attend ?”
Moi : “Non, pas cette fois. L’élément principal de ce challenge, c’est la surprise, j’ai pu le constater encore hier sur une femme de mari jaloux”
Fanchon se renfrogna, mécontente de ne pas savoir de quoi il s’agissait.
Marianne: “concentres toi sur ton plaisir, une fois qu’il arrive. Prends du recul et penses à la situation... Te sentir à ce point chienne va te combler de désir.”
J’étais débout presque habillé que les deux demoiselles discutaient encore allongées. Je me suis précipité vers la porte avec une intuition et là Bingo, Lise nous attendait accrochée à l’anneau le plus proche de la porte de ma chambre.
Moi : “ La dame a bien fait de te placer là, j’avais justement une tache pour toi “
Lise: “ Ce n’est pas la dame qui m’a placé ici, mais Virgil”
Moi: “ Sous ordre de la Dame, sans doute...”
Lise : “Non, c’est moi qui lui ait demandé, hier soir après ma prestation dans les douches, Virgil et Lucien voulait me faire une faveur et j’ai demandé à être placé ici”

Moi : “ Tu y a donc passé la nuit ?”
Lise “ Oui”
J’ai défait l’anneau de Lise et lui ai détaché les bras.
Moi : “rentres, vas prendre une douche chaude et ensuite reviens là”
Fanchon et Marianne étaient surprise et ravis de voir Lise dans la chambre. L’image de sa prestation de la veille était encore dans leurs têtes...
Moi: “ Comment croyez vous qu’elle lèche les chattes ?”
Fanchon sourit immédiatement et Marianne mis un certain temps avant de répondre.
Moi : “ Elle a réussit à convaincre Virgil et Lucien de venir l’accrocher à la porte de ma chambre, elle est forte quand même... Et je suis sur que ce n’est pas pour ma queue, mais bel et bien pour vous mesdames”
Lise sortie de la salle de bain douchée, encore un peu humide et elle ne savait pas ce que j’allais exiger. Mais elle ne mis pas de temps à le comprendre lorsqu’elle vit Marianne et Fanchon s’installer, les fesses sur le bord du lit et écarter les cuisses...
Moi : “ Lèches salope, et lèches bien, je veux qu’elles jouissent toutes les deux”
Le ton autoritaire avec lequel je prononçais ces mots eurent pour effet de la raidir, mais elle se dirigea vers la droite pour s’approcher de Marianne, se mis à genoux, pencha sa tête vers sa vulve et commença à la lécher tandis que d’une main elle pénétrait Fanchon avec trois doigts.
Marianne me regarda avec un grand sourire pendant quelques secondes puis commença a se laissé aller, laissant aller sa tête en l’arrière. Lise avait un mouvement régulier et même si sa langue n’étais pas aussi longue que celle de Fanchon, elle semblait assez puissante pour procurer du plaisir à Marianne.
Fanchon avait empoigné le sein droit de son aimé et commençait à lui pétrir avec fureur, elle semblait vouloir lui arracher. Elle relâcha la pression de sa main pour saisir son teton de deux doigts et tira de toute ses forces dessus. Marianne eut un sursaut de douleur et s’accrocha à l’épaule de sa compagne pour lui lancer un regard, mais ses yeux partirent vers l’arrière et elle jouit dans un crie sonore. Marianne aimait la douleur et elle faisait partie de ce qui provoquait sa jouissance.
Lise changea de cible et retira ses doigts de la chatte dégoulinante de Fanchon pour y placer son visage. Elle recommençait à lécher avec régularité et sans faiblir. Marianne semblait vouloir une vengeance a moins qu’elle n’essaie de faire découvrir à Fanchon son gout pour la douleur mélangé de jouissance. elle se plaça derrière Fanchon et lui saisit les bras, Fanchon tomba à la renverse sur elle. Marianne lui dévorait le cou, les marques qu’elle faisait ne laissaient pas de doute sur sa férocité, on pouvait y voir les traces de dents. Fanchon se contractait instinctivement pour empêcher les morsures, mais elle était prisonnière et la différence de taille ne plaidait pas en sa faveur, Marianne était puissante.
Marianne scrutait le moindre indice de la jouissance de Fanchon et lorsqu’elle la senti venir, elle lui prit le lobe de l’oreille entre les dents et tira dessus d’un grand coup. Fanchon hurla de douleur et dans l’instant qui suivi fut prise de spasme de jouissances puissants.
Lise avait réussi son travail du matin et elle se mis dans la position si classique de la soumise, à genoux, assises sur ses fesses, les bras dans le dos et la tête baissé.
Moi :” tu n’as pas fini ! Nous sommes trois dans cette pièces “
Lise commença à lever les yeux, puis rabaissa la tête et c’est à quatre pattes qu’elle se dirigea vers moi. J’enlevais mon pantalon, pour laisser apparaitre une jolie érection provoqué en partie par le spectacle que l’on m’avait offert. J’ai pris place dans un fauteuil dans un angle de la pièce et Lise arriva sur moi. Elle se mis en position pour se faire baiser la bouche.Moi : “ Non, c’est toi qui fera tout le boulot ce matin, suces moi, comme une pro “
Lise se servi de sa main droite pour capter ma bite puis replaça celle ci dans son dos. Elle fit des va et viens une fois encore avec une régularité impressionnant, elle bavait à outrance et émettait des bruits de soucions très excitant.
Elle fut rapidement rejoint par Marianne qui se mis sur le coté.
Marianne: “ il faut que tu aspires à chaque remonté, au maximum. Il faut aussi que tu réussisse par toi même de l’avaler le plus possible, quitte à ce que tu ailles plus lentement “
Lise fermait les yeux, mais cela ne l’empêchait pas d’écouter les conseils avisés de Marianne. Elle réussissait petit à petit à faire disparaitre tout ma queue dans sa bouche et à chaque remontés, ses joues se creusaient par l’aspiration qu’elle exerçait.
Marianne : “ Et lorsque le maitre jouis, il faut que tu ralentisses, que tu sois presque à l’arrêt, mais pas tout à fait. Et surtout que tu sois d’une douceur infini pour qu’il est l’impression de se trouver dans du velours, d’ou l’obligation de beaucoup baver”
Moi : “ Vous êtes deux salopes extraordinaires “
Je voulais me retenir pour profiter encore de cette bouche si belle et encore inexpérimenté e il y a encore peu, mais les conseils de la pros qu’était Marianne ont eu raison de ma retenue. Et j’ai envoyé des jets de sperme comme jamais, je n’en finissais pas de jouir.
Marianne; “ Les éjaculations du matin sont toujours plus fournis et plus épaisses, il faut que tu sois concentré sur les jets pour réussir à les avaler et surtout les avaler au fur à mesure qu’ils remplissent ta bouche pour éviter de ressentir un volume trop important dans la bouche “
Lise devait écouter car elle déglutissait quasiment à chacune des rasades que j’envoyais. elle n’a pas pu contrôler les trois derniers coups qui sont quasiment arrivé en même temps et sa bouche s’est trouvé remplis. Elle a eu un premier haut le coeur puis un deuxième, cela ne passait pas.
Marianne : “ Partages avec moi !”
Et elle lui tira les cheveux pour la décoller de ma queue lui pencha la tête vers l’avant et positionna sa bouche juste sous la sienne.
Dans un troisième haut le coeur, Lise ouvrit la bouche pour laisser s’échapper mon foutre, une grande quantité, effectivement très épais, directement dans la bouche de Marianne.
Une fois remplie Marianne se redressa, me regarda la bouche ouverte me montrant sa récolte puis se leva pour se diriger vers Fanchon qui n’avait rien loupée de la scène de puis le lit. Fanchon compris tout de suite ce que Marianne voulait faire et laissa sa tête dépasser du lit pour mieux la laisser pendre... Elle ouvrit la bouche, Marianne se plaça au dessus à quelques centimètre. De la ou j’étais je voyais parfaitement et Lise avait également suivi Marianne du regard.
Marianne ouvrit sa bouche et laissa s’écouler un long filet de mon sperme directement dans la bouche de ma soumise. Une fois la cargaison lâchée, Fanchon ferma la bouche et avala.
Moi : “ Trois belles salopes ! Un beau spectacle ! Allez Fanchon, dernier challenge pour toi, un vrai beau challenge, celui qui va probablement le plus mettre à l’épreuve ton amour propre... Marianne m’a promis que ça changeait une femme à jamais”
Marianne détourna le regard de Fanchon pour ne pas soutenir son air interrogateur. Fanchon ne savait vraiment rien de ce qui allait lui arriver...
On est descendu tous les trois, j’avais décidé de laisser Lise dans ma chambre pour qu’elle profite d’un moment de repos, après tout, elle nous avait fait jouir tous les trois.
La dame : “Bonjour, j’espère que la nuit a été bonne ?”
Moi : “ Oui, repos pour tout le monde, il faut dire que les derniers jours ont été riche en dépense physique”.
La dame : “ Fanchon, tu es prêtes à devenir une véritable chienne”
J’avais peur qu’en prononçant ses mots, la dame n’en dise trop. Mais Fanchon baissa les yeux. Virgil et Lucien s’approchaient.
La dame: “ Allez préparer Fanchon pour sa dernière journée, cela commencera d’ici une heure, cela vous va ?”
Moi : “ Parfait, le temps pour moi de déjeuner et je verrais si Fanchon tiens vraiment à satisfaire la moindre de mes envies”
Je lançait cette phrase comme un défit et je vis dans les yeux de Fanchon qu’elle l’avait compris comme tel.
Une fois un bon petit déjeuné pris, je me rendais dans les appartements de la Dame pour assister à la dernière épreuve de ma soumise. Je frappe, la porte s’ouvre et je m’approche de la baie vitré. Fanchon était installée, attachée solidement en levrette dans la cours en contre bas, la “cage”. Marianne était à coté d’elle, une main sur le haut de ses fesses, je n’avais pas prévu qu’elle soit si proche de Fanchon pour ce dernier acte, mais après tout... C’est probablement l’humanité qui était en moi qui laissa faire.
Virgil et Lucien regardèrent vers nous.
La dame :” Donnez vous même l’ordre”
Et s’en faiblir je fis un signe positif de la tête.
Virgil et Lucien ouvrirent la cage au seul mâle dominant, toujours le même dogue allemand, énorme. Les autres chiens jappaient frustrés de ne pas pouvoir entrer également. Fanchon ne voyait pas le chien, mais entendait maintenant les aboiements. La peur la pris subitement.
Fanchon : “ Non ! Non ! Pas ça, c’est immonde ! Marianne, tu ne peux pas laissé faire ça si tu m’aimes !
Marianne ne bronchait pas, elle appelait même le chien qui s’approcha d’elle en remuant la queue... Peut être l’avait il reconnu ?
Fanchon hurlait tout ce qu’elle pouvait, elle était au bord de vomir ses tripes. Une peur sans précèdent l’envahit, mais c’était trop tard, elle était solidement attachée et à la merci d’un chien. Marianne caressait le dogue et commençait à passer sa main sous son ventre. Malgré sa grande taille Marianne n’avait pas à s’accroupir pour le faire et pourtant elle posa ses genoux par terre. Fanchon s’était calmée et tentait de regarder la scène sans grand succès.
Marianne: “ Viens là mon chien, viens”
Le chien se laissait faire et il bandait déjà sévèrement. Marianne s’assis au sol et se positionna sous l’animal. Je n’en croyais pas mes yeux. Marianne avait entrepris de sucer le dominant.,elle prenait sa queue en bouche pour lui appliquer des caresses buccales.
Fanchon: “ Qu’est ce qui se passe ? Qu’est ce que tu fais Marianne ?”
Marianne : “ Je suce le chien, il avait longtemps que j’en avais envie, il m’a prise tellement souvent et je n’ai jamais goutté son sperme “
Fanchon: “ Mais non ! Personne n’aimerait faire cela, personne ! Tu es.. tu es...”
Marianne retirant sa bouche du sexe animal : “ Je suis une chienne, et tu en seras une bientôt aussi”
Fanchon hurlait qu’elle voulait se réveiller de ce cauchemars.
Le chien ne mis pas de temps à jouir dans la bouche de Marianne, une quantité impressionnant de sperme, Marianne tentait bien de tout avaler mais même son professionnalisme ne la sauvait pas et elle laissa perdre quelques rasades. Marianne se repositionna sur le coté de la bête et continuait de lui caresser le sexe, le chien ne bougeait pas. Cela a duré quelques minutes pendant lesquels Fanchon avait cessé de se plaindre... La petite Fanchon que j’avais toujours connu soumise et prête à tout avait finalement ses limites, elle pleurait toutes les larmes de son corps
Fanchon : “ Marianne s’il te plait, détaches moi ! c’est la pire chose au monde, se faire prendre par un chien ! Non !”
Marianne :” Fanchon, penses à l’acte, concentres toi ! Grâce à moi cela va durer un peu plus longtemps qu’à la normal. Et ensuite une fois que tu assimiles l’action, prends du recul et regarde le scène d’en haut. Tu ne vas pas te faire baiser, tu vas te faire saillir ! Tu vas devenir une vrai chienne, plus simplement le mot pour s’exciter, mais l’acte exact qui fait que l’on devient une véritable chienne”
Le dominant avait quitté la main de Marianne et faisait maintenant des tours dans la cour. Puis il revint finalement vers le sexe de Fanchon; qu’il renifla s’abord, puis y donna quelques coups de langue. Fanchon hurlait, pleurait, suppliait.Le grand chien avançait devant le petit corps en levrette, il avançait en passant ses pattes de chaque coté. Sa queue était maintenant en contact, et il donnait de petit coup de bassin pour tenter de la pénétrer. Fanchon esquivait, remuait tant qu’elle pouvait... Mais le dogue avait du souvent faire face à ce genre de situation et il était d’un calme redoutable. Sa queue durcissait encore pour n’être plus qu’un long bâton de chair bien droit... Il avait réussis à le bloquer entre les cuisses et cherchait maintenant la faille. Fanchon hurlait de toutes ses forces et dans sa trop grand frénésie perdit le contrôle de son bassin. Le dogue était sur sa vulve et tel un pécheur qui ferre sa proie, il donna un petit coup de bassin pour s’introduire et il ne lui fallut pas plus d’une seconde pour enchainer et avancer sur sa proie.
Fanchon hurlait: “ Il me pénètre, il me pénètre”
Et le dogue allemand commençait les mouvements naturelle de l’accouplement. Des coups rapide avec une amplitude impressionnante. Fanchon se faisait saillir, contre son grès, violée par un véritable chien. Elle releva la tête qui se plaça à coté de celle du chien et son amant du jour lui donna quelques coups de langue sur le visage mais bien vite se re-concentra sur sa besogne et des filets de baves coulaient dans le cou de la belle.
Marianne vint se placer pour un cunni, Fanchon la regardait avec fureur, mais la bête qui la fourrait l’empêchait d’émettre un son. Ses yeux ont fini par partir en arrière, elle baissa la tête et sa bouche se plaqua sur le sexe de Marianne et quelques secondes seulement après, c’est au visage de la plus étrange femme que j’ai connu, que je compris que Fanchon s’activait à lécher.
Marianne : “ C’est bon mon amour ! C’est trop bon ! Je veux que tu sois ce que je suis devenue, je veux que tu prennes tout le plaisir que j’ai pu prendre “
Le Dogue arrivait au bout de son exercice, il envoya ses derniers coup plus profond et plus vite.
Marianne: “ Le chien va te saillir, il va envoyé sa semence dans ton vagin”
Fanchon avait arrêté de lécher, elle était également prête à jouir, le chien allait avoir raison d’elle... Et dans un même temps, le vagin de Fanchon se remplit de foutre animal et elle jouis avec une puissance qu’elle ne soupçonnait pas elle même. Marianne ne la quittait pas des yeux et un sourire de bonheur s’inscrit sur ses lèvres.
Une fois vidé le chien se retira, le sexe de Fanchon dégoulinait, elle se remettait doucement, puis leva la tête vers Marianne.
Marianne : “ Tu sais maintenant ce que cela veut dire qu’être une chienne, tu es une chienne Fanchon, une vrai chienne !”
Puis Fanchon voulu continuer de lécher Marianne qui ne bouda pas son plaisir. Elle lui pris les cheveux d’une main pour la maintenir au plus proche. Virgil et Lucien s’avançait pour libérer Fanchon, mais Marianne leur fit un signe d’arrêt de la main, elle aussi voulait jouir. Fanchon s’activait et sa longue langue savait si bien le faire qu’au bout d’à peine deux minutes, Marianne senti la jouissance arriver... Mais deux minutes c’est ce qu’il fallut au chien pour retrouver ses ardeurs.
Virgil : “ Dépêches toi Fanchon, si le chien revient sur toi, nous ne pourrons pas l’arrêter”Fanchon, à cette phrase, perdit sa concentration et le contrôle de la jouissance de Marianne. Et comme l’avait prévu Virgil, le chien reprenait de la vigueur assez vite. Fanchon était toujours attachée fermement, offerte à l’animal, Marianne allait jouir sous les coups de langues mais le Dogue repris la place pour une nouvelle pénétration...
Lorsque Fanchon le senti, elle stoppa son cunni, regarda vers l’arrière et vis la tête du monstre sur elle, sa queue cherchant déjà son chemin. Pendant cette pose, Marianne perdit le fil de sa jouissance et voulu reprendre le contrôle de Fanchon en lui empoignant les cheveux de plus bel
Marianne: “ Lèches moi salope, lèches moi ! Laisses ton mâle prendre du plaisir en toi une fois de plus, laisses le décharger encore“
elle plaqua la bouche de Fanchon sur son sexe et le chien pénétra ma soumise de nouveau. La même allure, les même cognements dans sa chatte. Fanchon avait la même impression de dégout d’elle même, elle n’était plus rien d’autre qu’un bout de chair percer par la queue d’un chien.
Elle s’activait comme lui demandait Marianne, elle l’aimait. Sa bien aimé était également devenue son bourreau, la poussant aux plaisirs les plus interdits et inimaginables.
La scène dura encore de longue minutes, on sentait Marianne contenir sa jouissance, elle n’en pouvait plus et lorsque le chien se vida pour la deuxième fois, elle jouis, elle jouis dans un jeyser et expulsa d’énorme quantité de liquide sur le visage de Fanchon... Marianne était une femme fontaine...
Le chien se retira et là encore de grosses quantité de sperme coulait de la vulve de Fanchon.
Marianne : “ Je n’ai jamais jouis comme ça”
Fanchon : “ Je suis ... Je suis... Je suis une chienne “
Virgil et Lucien vinrent pour détacher Fanchon, elle était abasourdie par ce qu’elle venait de subir, sous le choc. Marianne avait du mal à marcher, sa jouissance l’avait épuisé.
Marianne: “ J’ai joui par ta langue mais aussi et beaucoup plus par la situation, tu as fait resurgir en moi ce que j’ai ressenti la première fois que les chiens m’ont violé
Fanchon: “ Les chiens ? Ils y en avaient plusieurs ?”
Marianne: “Oui la meute est composé de sept chiens, c’est le dominant qui t’a violé, mais les autres sont moins doux et bien souvent ils te laissent des griffures assez profonde”
Fanchon: “ Je n’aime pas cela”
Marianne : “ C’est une punition normalement”
Virgil :” On va te nettoyer maintenant”
La troupe disparue sous la fenêtre où je me trouvais, les différents challenges de Fanchon s’achevait sur cette terrible épreuve... Demain nous retournons vers la ville...
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