Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 42 J'aime
  • 5 Commentaires

Mon frère, ce Caïd

Chapitre 1

Gay
J’ai 16 ans, et je m’appelle Samir. J’habite dans une cité avec ma famille et surtout mon grand frère Armel. Je mesure 1,80m et pèse 65kg. Légèrement typé, ma silhouette fait plus penser à celle d’une fille. Contrairement à mon frère je ne suis pas très doué avec les filles et ma vie sexuelle se résume à des branlettes le soir dans ma chambre ou en solitaire dans la douche.Mon frère est ce qu’on peut appeler un caïd. Respecté de tous et apprécié des filles. J’aime me promener avec lui et sentir les regards d’admiration et de respect se poser sur nous. Dans cette cité il ne fait pas bon se promener seul et encore moins la nuit même si on est le frère d’Armel. Chose que j’allais apprendre à mes dépends.Un soir alors que mon frère était sorti, ma mère malade avait sollicité le passage du médecin qui lui avait prescrit un médicament en urgence. En l’absence de mon frère je crus bon de prendre l’initiative d’aller chercher ce médicament seul. Périple qui m’obligeait à traverser la cité en pleine nuit. N’écoutant que mon courage je ne me posai pas de questions et fonçai.Arrivé à mi-chemin je sentais des pas derrière moi. Puis des rires. J’augmentais alors la cadence mais deux bras m’encerclèrent.— Alors petit on se promène tous seul la nuit !Je regardais autour de moi et pus reconnaitre une dizaine de silhouettes et 2 chiens énormes. Je savais que je ne faisais pas le poids et essayais de me justifier.— Je suis pressé, laissez moi passé.— Tiens donc, Mr est pressé ! Répondit le chef qui se trouvait devant moi. Un homme jeune un peu plus petit que moi mais beaucoup plus carré avec une voix roqueJe continuais alors de me justifier comme un enfant qui a fait une bêtise :— Je vais chercher des médicaments pour ma mère…— Oh, regardez le petit à sa maman…J’avais terriblement peur et je sentais tous les regards posés sur moi. Un homme ajouta à ce moment là :— Dilan, on dirait le frère d’Armel.C’est là que j’appris que cet homme carré était le prénommé Dilan. Un nouvel arrivant dans la cité qui comptait bien faire sa place. Sa réputation l’avait malheureusement, pour moi, déjà précédée. Il ne semblait pas être un enfant de cœur.— Alors comme ça, on a avec nous le frère d’Armel. Et si on l’appelait pour qu’il vienne se joindre à nous.— Non ce n’est pas une bonne idée. Rétorquais-je.Un autre homme fouilla dans ma poche et me donna mon téléphone— Fais le numéro !C’est la voix tremblante que je répondis à mon frère.— Armel c’est Samir…A peine ai-je eu le temps de répondre que Dilan m’arracha le téléphone.— Alors salut le frérot. Soit dans 10 mn dans le square où l’on fait de ton frère une sœur si tu vois ce que je veux dire ! Ah et seul bien sûr !Ces 10 mn furent horriblement longues. Mon frère arriva seul comme prévu. Son regard était noir et menaçant.— Lâchez le ce n’est qu’un môme.— Un môme, un môme bientôt un homme, hein mon petit ?— Qu’est-ce que tu veux ?
— C’est moi qui pose les questions et qui donne les ordres alors vous allez faire tout ce que je dis sinon… là Dilan commença par descendre la lame de son couteau le long de mon corps et s’arrêta au niveau de mes attributs masculin.— Laisse mon frère ! C’est entre moi et toi !— Dilan enfonça alors la pointe de son couteau dans mes bourses ce qui me fit hurler plus de douleur.Je vis alors le regard de mon frère changer. La colère se transforma en pitié : — Non laisse le ! c’est bon ! Tu veux quoi ? Te battre ? demanda mon frère pensant avoir à faire à des hommes, des vrais !— Non juste ton honneur. Répliqua Dilan en souriant.— Pourquoi se battre. La violence ne mène à rien. Moi je préfère l’amour. Nous murmura Dilan dans l’oreille.Mon frère et moi ne semblions pas comprendre tout de suite la portée de ces paroles mais nous allions vite saisir le fond de sa pensée.— Pour commencer désape-toi ? Demanda Dilan à mon frère.— Hein ? Répliqua mon frère étonné par cette injonction !— A poil je t’ai dit ! Poursuivit Dilan le couteau se promenant au niveau de mon sexe.— Ici, mais t’es malade, répondit mon frère avant de s’exécuter sans broncher sous le regard médusé de la bande de Dilan. Les aboiements des chiens et les voix avaient attirés l’attention de curieux postés à leurs balcons. Mon frère s’était arrêté au caleçon pensant que cela aurait suffit pour satisfaire le maître chanteur.— J’ai dit à poil. Tu ne sais pas ce que cela veut dire ou il faut que je t’aide.Mon frère s’exécuta malgré lui essayant tant bien que mal de garder sa fierté.Mon frère, le Caïd de la cité se retrouvait nu comme un vers au beau milieu de la cité. Ses muscles étaient encore plus impressionnants sous la lumière de la lune et des projecteurs. Samir essayait malgré la situation de ne pas se mettre en position de soumis et restait bien droit le regard fixe essayant de cacher son service trois pièces avec ses mains. Ce qui fit rire le reste de l’assemblée réunie autour de nous.— Armel : « Ca y est, c’est bon on a bien joué tu es content ? »— Dilan s’adressa alors à moi : « Alors tu le trouves beau ton frère ? Tu vas voir tu vas le trouver encore plus beau bientôt. Je suis sûr qu’une petite fiotte comme toi est encore pucelle. »Même si c’était vrai je ne pouvais le dire en public et subir une nouvelle humiliation. Contrairement à mon frère j’étais toujours habillé et je craignais de subir le même sort que lui. Mon corps était bien moins impressionnant que mon frère et mon sexe ridicule comparé aux 20 cm qu’exhibait régulièrement mon frère dans notre chambre au réveil.— Les gars on va passer aux choses sérieuses. Ordonna Dilan en regardant deux hommes munit d’un collier de chien et d’une lèse.— « Qu’est-ce que vous faites… » se mit à crier mon frère prit de panique. — A genoux maintenant petite chienne que tu va devenir !Je vis pour la première fois dans les yeux de mon frère de la peur.— « Non arrêté ! » Suppliais-je !— Oh regardez comme c’est beau l’amour entre frère. C’est tellement beau que ça mérite une démonstration.2 hommes me prirent par les bras et me positionnèrent devant mon frère qui était à genou devant moi. L’un deux déboutonna mon pantalon et le baissa avec mon slip laissant apparaitre ma petite queue toute ramollie de peur.Tout le monde se mit à rire de la situation sauf moi et mon frère.— Bon aller Armel, ne laisse pas ton petit frère comme ça. Le pauvre, regarde il l’a toute molle. Ricanait Dilan en me secouant la bite.— Dilan : Ouvre la bouche ! J’ai dis ouvre la bouche !C’est timidement que mon frère s’exécuta. Les deux hommes engagèrent la procédure pendant que je fermais les yeux pour ne pas voir se spectacle d’humiliation dans lequel j’avais mis mon propre frère.— Allez la petite chienne, suce. Suce j’ai dis !Sous l’effet de cette fellation forcée je sentis mon membre prendre du volume malgré moi. Une sensation de honte, de peur et de plaisir s’empara de moi.— Regardez mesdames et messieurs le grand Armel en train de pomper son propre frère. C’est que c’est une bonne suceuse le Armel. Et c’est que le petit frérot à l’air d’apprécier on dirait.Par moment j’entrouvrais les yeux et m’apercevais que la foule autour de nous était de plus en plus dense et que de nouveaux habitants avaient pris place sur leur balcon. C’est dans ces rares moments que j’espérais l’arrivée peu probable de la police.Pendant que mon frère s’appliquait à me sucer un homme s’était mis derrière mon frère pour lui lécher la rondelle. Mon frère avait les yeux embués de larmes qu’il retenait difficilement puis il laissait échapper des petits soupirs de plaisir. Alors que mon érection était à son maximum, Dilan m’empoigna le bras ce qui fit arrêter la succion de mon frère. Il me positionna alors devant la rondelle de mon frère.— Allez vas y, je vois bien que tu en meurs d’envie !Je me débâtais tant que je pouvais pour ne pas me donner à ce spectacle affreux… :— Non, c’est faux. Je vous en supplie pas ça !Mais deux hommes m’immobilisaient. J’essayais maladroitement de pénétrer mon frère qui se raidissait et m’empêchait d’entrer en lui. Mes sentiments étaient mêlés de honte mais d’une envie irrésistible d’entrer dans ce trou que m’offrait mon frère. J’essayais de forcer l’entrer mais la peur me tétanisait.— « Je n’y arrive pas… » répondis-je. La foule se mit alors à rire de mon manque d’expérience. Un homme vint alors murmurer quelque chose à l’oreille de Dilan. Ce dernier hocha la tête avec un large sourire et ajouta : — OK mais alors filmer la scène pour les souvenirs de vacances.Sur ces paroles un type badigeonna l’orifice et la queue de mon frère de beurre. Je croyais le pire passé mais c’était sans compter sur l’imagination de Dilan et de ses hommes.
Diffuse en direct !
Regarder son live