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Mon maître à la campagne

Chapitre 1

Zoophilie
Voici un récit vrai, une bonne initiation par un maître hétéro comme moi, mais soufrant d’une vie commune sans intérêt, étant abandonné, délaissé. Ceci arrive plus souvent qu’on le pense, la vie devient monotone, sans aucun plaisir. Parfois, les circonstances, les rencontres font jaillir une étincelle qui redonne du piment.
Je fais des travaux à la demande pour des personnes, réparation de matériel agricole, de la mécanique, plomberie, électricité.J’ai un voisin Pierre qui habite dans un village pas loin de chez moi, marié, sa femme n’est plus avec lui vivant avec un couple, elle passe le voir de temps en temps, En ce qui me concerne, je suis marié, sans aucune relation intime avec ma compagne, trop de tabous sur le sexe, le nudisme, une vie de deux copains sans lendemain, sans avenir, avec l’âge nous laissons courir la situation se contentant de peu, de rien.
Un jour de juin, vers les 19h alors que j’effectue la réparation d’une des machines de Pierre, je me rends compte qu’il me manque une pièce pour terminer le montage, elle doit être restée chez lui. Je vais aller voir.Le portail est fermé comme souvent, mais je connais l’astuce pour entrer, il suffit de passer par le jardin, contourner la maison, longer le hangar et je me retrouve dans le fond de la cour ou se trouve l’étable et le petit bâtiment de ses juments. Je pense : Pierre doit être dans ses champs !Je cherche la pièce manquante, voilà elle est la juste à côté de sa remorque, stationnée le long du box à chevaux.Je m’approche, la porte basse du box est fermée, par contre le volet de dessus est entre ouvert. J’entends des murmures masculins exprimant des mots de plaisir, de jouissance ?Ma curiosité me pousse, je regarde par l’entrebâillement du volet et j’aperçois Pierre nu en pleine action avec sa jument, la pénétrant avec douceur, puis il se colle à elle, donne quelques coups de reins, il se retire venant placer sa queue sous la pointe de la vulve de sa jument elle s’ouvre, éjectant du liquide blanchâtre sur la bite de Pierre.Cette scène qui dure quelques minutes m’excite, je bande déjà, je pose ma pièce récupérée et j’ouvre la porte :— Oh pardon Pierre !Il descend de son strapontin placé derrière la jument pour être à la hauteur, la verge en semi-érection, le pubis plein d’éjaculat et me lance :— Tu es là depuis longtemps ! En plus, tu bandes à fond ! Tu veux essayer !Aucune réflexion de ma part, je fais glisser mon short, la queue bien raide.Réponse de Pierre :— Paul, non pas aujourd’hui si tu veux prendre du plaisir, il faut en donner auparavant, ce n’est pas de la bestialité, en plus trop dangereux. — Je veux bien te confier une jument, pas la mienne il y a Mina la jument noire ou Olga, la blanche, mais tu seras mieux avec Mina plus petite par contre, tu ne pourras pas avant 15 jours faire ta première expérience, je vais t’expliquer ce qu’il faut faire, allons prendre un café. Pierre rajoute :— Tu as une belle bite poilue Paul, je suis moins bien monté, elle doit bien travailler.Dans sa ferme Pierre pratique le nudisme, nous regagnons sa maison, moi le short à la main, les queues encore en semi-érection, c’est un plaisir immense de partager ce mode de vie.Ses explications pendant deux heures me donnent confiance, sauf pour l’attente je reste sur ma faim, il m’indique que je dois déceler le moment propice, le comportement de Mina qui va changer et le rapprochement qui va se faire par complicité entre nous.
Je rentre chez moi, Pierre est un gars formidable, pas de tabous, je dois réussir, jamais j’avais bandé si fort, envie d’aller au bout de l’aventure oui, et je me retrouve en érection.

Suivant les instructions de Pierre, chaque jour j’ai un travail en plus, venir le matin conduire les juments dans leur parc, le soir aller les chercher, assurer leur bien être appelé pansage.J’enlève mon short, je passe à côté de chaque jument, je ne dois pas faire de préférence au départ afin que les trois me connaissent. Une caresse sur l’encolure, je me colle contre l’épaule de chacune avec douceur me laissant sentir. Je détache la sangle du licol pour les libérer de la crèche, je prends Mina par le licol, elle sera le guide, direction le parc avec ses compagnes.Au départ, je reste nu que dans la ferme, conseil de Pierre. Le soir, je vais les chercher, pas de soucis pour le retour après les avoir attachées, je fais la distribution d’une demi-dose d’avoine, elles attendent cela avec impatience, commence le travail de mise en confiance, caresses sur l’encolure de Mina, brossage de sa crinière, brossage de son dos jusqu’au rein, toujours la main en contact avec son corps, quelques petites tapes légères sur ses cuisses pour la faire tourner, se déplacer.Elle réagit bien, je m’approche de sa tête ma queue collée contre son ventre, je bande fort, elle doit sentir ma chaleur son museau vient renifler mon épaule.Là, il faut faire attention, pas de mouvements brusques qui pourraient l’effaroucher, éviter des envies de mordre, c’est une particularité des chevaux alors simplement au départ caresser son front, si elle veut mordiller une petite tape sur le museau fera comprendre que je ne veux pas. Avec Mina, pas ces soucis elle adore se faire caresser et ne manifeste pas ce genre de réaction, je prends le temps de m’occuper d’elle. Pour ce soir je ne ferais rien de plus, je termine en donnant le reste d’avoine.Les jours suivants, je fais de même, je fabrique mon strapontin pour être à la bonne hauteur le jour venu. Une jument à la particularité de botter pour montrer des signes de refus si elle n’est pas en confiance, si elle est dominatrice, dans ce cas pas insister mais aussi si elle a peur et il faut peu de chose pour la faire sursauter. Pour éviter ce genre de surprise Pierre a mis au point un système de barre qui vient se mettre derrière ses cuisses assez hautes cela évite de l’entraver. (À ne pas faire l’animal se sent prisonnier). Il faut habitué la jument à ses barres cela lui indique qu’elle ne peut pas lever son arrière train facilement donc blocage pour éviter de botter, bonne protection pour soit même.Une fois mon strapontin fabriqué, chaque soir je le place derrière elle, je positionne mes barres et je manœuvre Mina en la faisant avancer et reculer de quelques centimètres la tenant par le licol, afin qu’elle sente le matériel mis en place comme s’il y avait un mur. En une semaine j’ai réussi, dés que ses cuisses touchent les barres elle ne bouge plus. Ma jument est chaque jour plus douce, quand je lui tiens la tête pour la manœuvrer, elle renifle mon torse, appréciant les caresses sur les côtés de son museau. Une jument est friande de sucre, de croûtons de pain, j’en ai toujours, et je la récompense par ces friandises.
Ses cinq sens sont très développés.Le toucher est sensible, je sens ses muscles se décontracter à la moindre caresse.Le goût, Mina détecte bien les croûtons de pain même si je les cache dans son avoine.La vue d’un cheval est de 360°, elle distingue plus la nuit, par contre elle doit bouger sa tête pour s’adapter à ce champ de vision si large.L’ouïe, ses petites oreilles sont souvent en mouvement, elle détecte énormément de sons, de toutes sortes du plus aigu au plus grave, au moindre murmure, elle tourne la tête.Son odorat est d’une finesse extrême, le matin lorsque j’arrive dans la cour, elle se met à hennir, le soir, je suis encore sur le chemin du parc déjà, je la vois qu’elle lève la tête.Je ne suis pas encore arrivé vers la porte du parc qu’elle vient en hennissant pour donner le signal du retour à ses compagnes.
Ce soir changement de comportement de sa part sur le chemin du retour, je lâche son licol elle continue à marcher à côté de moi, si je m’arrête, elle en fait autant. Bonne surprise son museau vient sur mon short afin de trouver le morceau sucre, son souffle chaud et puissant sur ma cuisse me fait bander. Demain j’irai au parc sans short, pas de risque avec les voisins, il y n’en a pas sur le trajet, marcher à côté de Mina la queue libre et pendante m’excite déjà.Je fais mes manœuvres comme chaque jour, les consignes de Pierre sont exactes, j’ai acquis la confiance de Mina, il existe de la complicité, une reconnaissance mutuelle. C’est agréable de voir sa réaction positive, par contre, il y a plus de 15 jours et pas de signe comme Pierre ne l’avait promis de voir un changement de comportement de ma jument.Ce soir, je m’aventure un peu plus, je brosse sa crinière, ma main glisse sur son dos, sur les reins, lentement, je passe derrière elle, je lui prends sa queue et je commence à lisser ses crins avec le peigne sur toute la longueur, elle ne bouge pas.J’ai envie de voir son sexe lentement je soulève le paquet de crins tout en continuant de les peigner, sa vulve est superbe, large, longue surmontée d’un anus proéminent.Regarder, il faut attendre pour toucher. Ma queue est en érection, j’ai du mal à me contenir, je suis à la limite de l’éjaculation, non ce n’est pas encore le moment, je dois suivre les conseils de Pierre attendre.Le lendemain, je mets en pratique ma décision, conduire les juments au parc sans short.Je suis accueilli par ses petits hennissements alors que je suis au milieu de la cour, j’ouvre la porte, elle se manifeste encore, j’enlève mon short et me dirige vers les juments, chacune à droit à des caresses et quelques paroles, en réponse chacune tourne la tête dans ma direction.
Je mets mon corps contre l’épaule de Mina, je lui caresse le museau jouant avec les poils qui entourent celle-ci, elle cherche au creux de ma main s’il y a une friandise, oui un croûton de pain qu’elle se dépêche de saisir.Son souffle et sa salive me parcourent le corps et je me retrouve en semi-érection, agréable, mais je souhaite tellement plus.Nous partons vers le parc, nu à côté de Mina ! J’aime. Pendant le petit trajet, ma bite reste en activité, assez développée, par moment, je passe ma main sur les testicules eux sont en pleins mouvements dans les bourses, à chaque pas, ils se déplacent. Voilà les juments sont au parc, je reviens sur mes pas, ma queue est en effervescence, l’envie de jouir me reprend, pour calmer mon ardeur, je me mets à courir et le bâton perd un peu d’intensité par contre, il vient claquer à chaque mouvement sur mes cuisses. Drôle de situation, si dans deux jours Mina ne montre pas de changement physique, j’irai demander à Pierre ce que je peux faire.Je consacre ma journée à une réparation d’une tondeuse dans mon atelier, toujours nu libre de mon corps c’est là que je suis bien, mon esprit est occupé par la question comment trouver le bon moment avec ma jument sexuellement, j’ai tellement envie depuis que j’ai découvert sa vulve si impressionnante, mais pas de réponse. Sur le chemin qui rejoint le parc, j’imagine même cela ne sera pas possible, forcer les choses non les dangers sont trop grands.
A peine à mi-chemin, j’aperçois Mina qui lève la tête, commence à se diriger vers la porte de l’enclos appelant ses compères, j’ouvre, elle me pousse doucement avec sa tête soufflant fort sur ma poitrine. Son pas est lent, prenant le temps de rentrer.Elle s’arrête pour pisser, j’en profite pour voir sa vulve dans cette position, ses lèvres s’écartent un petit jet d’urine sort, ma bite est en semi-érection. Nous poursuivons notre marche ma queue me démange, je la fais taper contre mes cuisses par des mouvements de mon torse, plus j‘accentue le mouvement plus elle s’allonge.J’effectue le pansage, la demi dose d’avoine, le brossage habituel, dés que j’arrive sur ses reins elle change de position comme si elle se baissait un peu de l’arrière train, ma main continue sur sa croupe, sa queue se met en panache, se déplace sur le côté libérant totalement sa vulve. Mon strapontin est déjà en place comme chaque soir, les barres aussi je continue à caresser sa croupe, elle ne bouge pas bien calée contre les barres, j’ai l’impression que cela lui sert d’appui.Mes mains vont de ses reins à la croupe, puis vers sa queue, elle se lève au maximum, mes doigts descendent sur son anus, je fais le tour de la rondelle, au bout de quelques instants, je vois des petites contractions.Ma bite est déjà en semi-érection, mon index continu son parcours, je fais le tour de sa vulve, Mina ne bouge pas, tous mes doigts caressent cette beauté. Sa fente est légèrement ouverte.Oui, je viens de comprendre, elle est en chaleur, le message de Pierre était dans ce sens, attendre cette période qui dure une semaine pour qu’elle m’accepte, et pouvoir continuer après.
Je ne résiste pas à sa vulve, j’écarte les lèvres, mes doigts s’introduisent lentement venant chatouiller son clitoris d’un bon diamètre qui chez la jument se trouve au bas de la vulve. Je retire ma main mouillée de sécrétions, je porte ce délicieux liquide sur mes couilles, sensation de bonheur, ma verge se dresse.
Oh ! Clignement de sa vulve son clitoris apparaît à plusieurs reprises, magnifique truffe rosée, un filet de liquide clair s’écoule lentement, je ne résiste pas à la tentation, je dirige sans l’aide de mes mains ma bite dressée comme un I sous le filet.Le contact avec mon gland me donne le frisson, l’écoulement se propage le long de ma verge et descend sur les burles pour finir le long de mes cuisses. Un moment de plaisir et de sensations fortes, prendre le temps apporte tellement de joie.Ma queue bien raide se pose sur la vulve de Mina, glisse entre les lèvres, pénètre, lentement, la chaleur est intense, mes mouvements se font de plus en plus profonds, c’est certain mon calibre de 17 cm de long et 5 de diamètre est loin de l’étalon, mais je compense par des mouvements en profondeur avec des mouvements de haut en bas ce qui me permet de frotter intérieurement son anus et surtout son clitoris.Cette première prise avec Mina se révèle excellente, j’accentue le limage, la pression dans ma queue est forte le final va se produire, je me colle à Mina quelques coups de reins, mon gland est bien gorgé, je sens mon sperme qui monte et se dépose dans la chatte de Mina.Le désir de continuer oh ! Oui !Ma queue pleine de jute s’agite dans sa vulve avec intensité.Après quelques minutes de limage, ma verge sort, sa vulve clignote, je viens mettre mon gland en contact avec son clitoris oh ! Ceci fait du bien, je réussis plusieurs fois à toucher la truffe et incompréhensible, je reste en érection moins intense, mais la bite en veut encore. Jamais de ma vie j’ai connu un tel moment de plaisir. Un écoulement de liquide se produit et vient se déposer sur mon pubis au dernier contact mon gland étant rentré dans sa vulve après avoir chatouillé son clitoris.Là, je suis heureux, mon attente est récompensée, je descends de mon strapontin, une caresse avec ma verge sur sa vulve, je viens vers la tête de Mina en laissant ma main parcourir don dos, le mouvement de son corps en ondulation indique qu’elle est sensible et aime cette attention de ma part. Je lui frotte la tête, son museau s’approche de mon corps, je laisse une petite distance avec ma bite, mais le mouvement de ses babines indique qu’elle sent nos odeurs sexuelles, surtout celles de ses chaleurs enfin, je ne peux pas savoir exactement.Il faut récompenser par le solde de l’avoine et un croûton de pain, oh ! Elle adore.Un brossage complet, normal elle a droit à ma reconnaissance.
Le temps a passé trop vite, il est tard, je me dirige vers ma voiture la queue pendante mais volumineuse ayant gardé le délice de la vulve de Mina. Pierre est devant la porte de la maison.— Alors Paul tu as fait des heures supplémentaires !— Oui et non.— Je crois que tu viens de passer un bon moment, tu vois la patience paye, mais ce que tu ne sais pas tu peux la reprendre 15 minutes après, elles adorent cela, alors prévoit de le faire en fonction de la résistance de ta bite évidemment, mais une seconde fois c’est top.— Merci Pierre, tu m’as donné des bons conseils, tu crois que passé ses chaleurs,je vais pouvoir continuer !— Oui tu peux la prendre sans soucis, il faut encore plus de délicatesses, mais possibles. Rentre, je t’offre un café.Nous discutons comment il a découvert ce plaisir par hasard, il me donne des astuces. Je rentre chez moi content de ma fin de journée et prêt à recommencer.Les jours suivants sont emprunts de satisfactions, chaque soir, je remets le couvert avec Mina et parfois, je fais une deuxième pénétration. Ses chaleurs arrivent sur la fin, j’ai pris l’habitude de lui laver sa vulve avec du savon, elle apprécie ce moment, le contact de l’eau et du savon lui apporte quelque chose, pas besoin de dégager sa queue, elle le fait elle-même. La semaine suivante, j’ai un peu de doute, j’espère que je vais pouvoir avoir cette relation, deux fois par semaine se serait bien.Je tente l’aventure et surprise Mina accepte ma queue, par contre, je n’ai plus le clignement de sa vulve, ni les écoulements de sa part, je dois tenir sa queue sur le côté. Je trouve d’autres sensations, les lèvres de sa chatte sont plus fermes, et ma bite se sent moins perdue, la chaleur moins intense me permet de limer plus longtemps, pour garder une éjaculation plus longue je mets sur mon gland une crème retardatrice. Efficace, j’arrive à tenir longtemps, à chaque rapport sa vulve rejette mon sperme que j’adore récupérer sur mon gland et le laisser descendre sur mes attributs.
C’est un jeu qui permet de se contrôler, comme celui de caresser avec mon gland la vulve de Mina après le rapport sans l’aide de ses mains.Une fois ma jument a tenté de botter, le vent ayant fermé brusquement la porte, je n’ai pas insisté, les chevaux sont sensibles au bruit, c’est le sixième sens. Je suis venu vers son encolure la rassurer, le lendemain, aucun souci avec Mina. Rester vigilant, toujours au plus près du comportement permet de créer une bonne entente.Avec Pierre, nous avons la complicité avec les juments, nous partageons du bonheur en les respectant et en apportant de la douceur. Un animal réagit en fonction de ce que nous pouvons leur apporter, souvent, il est plus prêt de nous que les êtres dit humain.
Ces propos n’engagent que moi, les critiques, il y en aura de toutes sortes, chacun réagit en fonction de sa personne, la zoologie n’est pas acceptée par beaucoup, mais la liberté de penser reste la liberté.
Je suis bien dans cette situation, il manque la parole, et d’autres éléments de complicités.
Une dame naturiste, mature, sans tabous, éprise de sexe, ne se souciant pas de ses formes, sans crainte de l’adultère serait une opportunité.
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