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Mon mari m'offre à d'autres mâles.

Chapitre 6

Avec plusieurs hommes
Mais, aussi endurant qu’ils fussent, les mecs durent bien rendre les armes à un moment. J’entendis le premier s’écrier : ô oui putain je jouis, c’est trop bon, je jouis" alors qu’il était dans ma bouche et que presque simultanément une crème tiède, épaisse, salée et amère m’emplissait la bouche et la gorge au point que je faillis en vomir.
Cela ne fit qu’exalter l’ardeur des deux autres. Celui qui était dans mon cul, s’en extrayant, jura en me recouvrant le dos d’une avalanche de foutre. Au même moment, Mus se raidit pour expulser toute sa sauce au fond de mon sexe en s’emboîtant profondément en moi.
Satisfaits autant que fourbus, les trois types rejoignirent les autres auprès du buffet et, moi je restais seule, comme une conne, avec mon orgasme en pleine expansion et que personne n’allait éteindre. Ma main trouva donc immédiatement ma foufoune mais sans que mes doigts puissant faire le même office que ces bonnes tringles qui venait de me secouer.
Aucun mâle n’avait encore retrouvé suffisamment de vigueur pour me remplir la chatte. Cependant l’un d’eux remarqua mon manège.
-  Dis donc Franck, elle s’amuse bien ta femme. On dirait qu’elle en a pas encore eut assez. C’est une sacrée bouffeuse de pines dis-donc! Elle se console souvent toute seule après comme ça ?
Je répondis :-  Forcément bande de salauds  puisqu’il n’y en a pas un seul qui soit capable de triquer. Je dois compenser votre impuissance toute seule... ça baise vingt minutes et après plus rien... bande de minables... petites bites !
Les mecs riaient tout en bouffant leurs tartines ou leurs sandwichs.L’un deux dit :-  J’ai peut-être ce qu’il lui faut !et il brandissait un saucisson de fort belle taille, un magnifique Jésus de Lyon qui, par chance, n’avait pas encore été entamé.
Un autre reprit : -  Vas-y Antoine, fous lui dans la chatte et je le suce après !-  Chiche !-  Chiche !
Alors les gars me soulevèrent et me portèrent sur la table entre les assiettes de victuailles et les bouteilles dans une bruit de vaisselle heurtée.-  Ah la vache, elle est couverte de sperme !
-  Ouais... on l’a bien arrosée la garce.
Le dénommé Antoine m’enfonça donc le saucisson dans le con, avec un sourire vicelard,  et il lui fit faire une série de mouvements vigoureux. La dureté de la cochonnaille ainsi que ses dimensions avantageuses me remplirent immédiatement l’intégralité du con et de satisfaction."Oh putain les gars, elle a le Jésus dans la crèche" ! Saillie qui provoqua une cascade de rires comme tout le reste de l’humour épais de ces joyeux compagnons..-  Et tout à l’’heure c’est l’âne qu’était dans la crèche quand tu la queutais, hein Raymond !-  Et quand c’était Luigi, c’était le bœuf !-  Connard ! Pourquoi que tu dis ça ! J’suis pas coupé !-  Non Luigi, mais quand tu bandes, t’as les boules qui remontent tellement qu’on dirait que t’en n’as plus... comme si elles disparaissaient dans ta bite !
Et pendant ce concours de plaisanteries graveleuses, le beur qui accompagnait Mus prit une petite cuillère et commença à ramasser le sperme qui me recouvrait le corps. La chose ne fut pas si aisée car il ne restait guère que des boulettes coagulées, tout le reste s’étant écoulé. Mais il en récupéra suffisamment pourtant pour m’en beurrer une tranche de pain. : -  Tiens ! Tu dois avoir faim !-  Ouais, prends une tartine de saindoux la belle !-  Paraît que c’est bon pour la ligne !
Et je pus ainsi m’alimenter, toujours dans les cris et les clameurs. On rigolait gras !
Finalement, je finis par prendre le saucisson moi-même à pleines main et à me faire jouir avec. Les mecs concentrés, mataient avec avidité. Quelques-uns recommençaient à bander. Mon orgasme secoua la table, mes cris percèrent des tympans et je tombai de fatigue quand tout fut terminé. Des mecs essayèrent aussitôt de m’enfiler. Je le leur interdis bien.
-  Ah non ,les gars, je suis claquée. Si je vous prends au fur et à mesure que vos bites se réveillent, je ne vais jamais prendre de pause. Quand tout le monde aura la gaule, on recommencera !
Personne n’ y trouva rien à redire et nous en profitâmes tous pour nous restaurer. Les mecs bien sûr me frôlaient ou de temps en temps me pelotaient un nichon ou me caressaient la raie ou m’insinuaient un doigt dans le fion, le tout assez furtivement. Les discussions portaient sur les dimensions et les prouesses de chacun,  sur le plaisir comparé de la bite dans le con ou de la bite dans le cul, sans parler de la bouche, de leurs meilleurs coups, de leurs plus belles partouzes pour ceux qui en avaient déjà faites, mais ils étaient rares.
Finalement, l’un d’eux décida de lancer un concours de bites !-  Eh les mecs, on s’aligne pour voir c’est qui qu’à la plus grosse à lui foutre dans le con. Franck t’arbitre le concours !
Alors ils s’alignèrent. Rien qu’à la perspective du jeu, certains se remirent à bander mais je dus en sucer quelques-uns pour leur redonner vigueur.Sans surprise, Raymond avait la plus épaisse. Mais la plus longue appartenait à Claude, puis venait Jérôme avec un mandrin circoncis et très poilu et enfin Théo, le pote black de Mus.-  Alors, on les récompense comment les lauréats"?-  Et les gars, vous lui faites une triple avec vos grandes quéquettes  ?-  Oh ouais bonne idée, une triple !
Et toute la société se mit à réclamer en applaudissant et vociférant :-  Une triple, une triple, une triple, une triple!
Comme référence chacun n’avait que des films porno. Et, grâce à l’ordinateur de Raymond et ses playlists soigneusement rangées sur un site de cul, nous trouvâmes vite une illustration animée.
Théo s’allongea donc sur le sol et je me laissai glisser sur son nœud en m’allongeant sur lui. Jérôme me monta en bouledogue. Pour les deux, la chose fut aisée. Il fut plus compliqué de rentrer le pénis de Claude dans ma chatte déjà bien occupée. Mais en persévérant un peu, nous y arrivâmes. Cela offrait encore la possibilité à un mec à genoux, un de chaque côté de la tête de Théo, devant moi, de se faire sucer. Cela donna lieu évidemment à des dérapages verbaux :-  Eh, Théo, puisque t’es là, bouffe lui les roustons !-  Même pas dans tes rêves-  Lèche lui le cul alors...-  OK, mais après toi !
Et les éclats de rire fusaient.
Cependant, comme il n’y avait guère que Claude à se remuer, ce qu’il ne fit pas sans que les deux queues ne s’échappassent de mon vagin deux ou trois fois , chacun jugea plus pragmatique de revenir à de bons vieux classiques.
Seulement, Franck avait pu, pendant le premier round, se faire une idées des possibilités des différents intervenants. Il ne fallait pas oublier que j’étais livrée à tous ces mâles pour son plaisir. Il prit donc la direction des opérations, fixant à chacun ce qu’il aurait à faire. Cela s’accordait mal avec l’impatience des garçons, mais ils n’avaient guère le choix.
Il y avait un vieux canapé, très large et très profond, dans le fond de la pièce. Après l’avoir décollé du mur auquel i était adossé, Franck y fit s’asseoir un type, sur le quel je vins m’asseoir à mon tour, ou plutôt m’appuyer, suffisamment pour que je puisse attraper sa queue et la branler et qu’il puisse me peloter les nichons. J’écartais mes cuisses au maximum offrant la possibilité à mon vicieux beau-père de venir me bouffer la moule bien ouverte et, enfin, un mec debout dardait sa queue en direction de ma bouche.
L’expertise de mon beau père m’emmena directement au plafond. Il faut dire qu’il à les lèvres épaisses, une grande bouche et une grosse langue dont il sait faire un usage consommé. Il me la fourrait dans le trou et me ravinait la chatte avec talent.
Quant Franck ,en eut assez, il fit changer les rôles. Ainsi, à l’exception du mec qui était dans mon dos, chacun passa la tête entre mes cuisse et son nœud dans ma bouche. A la fin du tour, je dus m’allonger sur le côté et le mec qui était derrière moi dut m’enfiler.
Des flashs crépitèrent. Franck prenait des photos.
Mes seins étaient à la disposition de toutes les mains libres et il n’était pas jusqu’à quelques doigts qui me pinçaient le clito pendant que le sexe coulissait dans ma chatte.
-  Allez. Il faut que la salope suce deux bites à la fois.
Je me mis donc à genoux pour exécuter cette sentence.
Le reste est confus. La fatigue venant, je ne me souviens pas de tout ce que j’ai pu ramasser La seule chose que je peux dire, c’est qu’ils m’ont prise par tous les trous. A aucun moment je n’ai eu le con ou le cul vide et la bouche ne s’est guère arrêtée de sucer.
Je me souviens cependant de sacrés coups de queue, notamment de quelques bonnes doubles, un gars devant, un autre derrière, me besognant sous les ordres de mon mari.
-  Allez-y les gars, déboitez-là. Vous voyez qu’elle aime ça. Vas-y Arnaud, fais-toi plais’... Ouais, c’est bien gros ! Jute-lui bien au fond de la chatte là ! Ouais.... C’est bon ça... Qui veut la place ?
Il n’ eut pas à attendre longtemps. Pour autant, si Arnaud venait de me foutrer le con avec beaucoup d’énergie, il était bien le seul à s’être vidé les couilles pour la seconde fois. Il me sembla que les garçons étaient plus endurant dans cette deuxième prestation que lors de la première. Et, quant à moi, je commençais à fatiguer grandement. J’avais mal à la mâchoire à force de sucer et aux adducteurs à force d’écarter les cuisses. Je n’osais imaginer mes fesses qui devaient être écarlates.
Franck distribuait toujours les consignes. Mais, à mesure que je me faisais sauter, il comprenait davantage quelles étaient les positions dans lesquelles il préférait me voir prendre.
D’abord par derrière, soit en levrette, soit debout penchée en avant, une bite dans le cul ou la chatte et une dans la bouche. Il ne dédaigne pas non plus de me voir grimpée à la hussarde, allongée sur la table, le cul au bord et un mec debout me pilonnant, ce que mon beau-frère réussit admirablement. Mon homme aime bien regarder ainsi la queue rentrer dans la chatte et mes gros robert rouler, toujours dans le même sens, au rythme cadencé des coups de pine. Il raffole des cravates de notaire pourvu que la tige que je comprime entre mes lourdes mamelles soit suffisamment longue pour être toujours bien visible.
Enfin, il veut voir du jus. Il adore me contempler couverte de sperme, particulièrement sur le visage, sur les nichons ou dans la raie.
Il fit donc des essais toute la soirée pour me voir sous l’angle qui lui donnait les meilleures frissons et, dans cette deuxième séance, il fut le seul à ne pas me toucher, se contentant de filmer, de mater et, pour finir, il éjacula sans se toucher, au dessus de mon visage alors que j’étais allongée sur le canapé en train de me faire ramoner par Théo, le black à gros gland.
Désormais, à chaque fois qu’un mec jutait, Franck ramassait le sperme sur ses doigts pour me le faire bouffer. Je finis donc la soirée avec la bouche engluée de jus une fois que tous les mecs eurent découillé.
Il était tard. Quelques types restèrent à prendre un verre. Ceux qui habitaient dans les environs nous quittèrent, les autres gagnèrent les piaules qu’on leur avait assignées. J’en fis autant mais, au moment de partir, j’entendis mon beau-père dire à son fils.-  Dis, tu fermes pas ta rote hein ? J’viens te la sauter demain matin !-  Ça marche. A demain.
Pour le moment, j’avoue que j’étais près de l’overdose de bites. Mais j’étais trop claquée pour protester et je me dis, en montant dans ma douche que je serai peut-être bien heureuse le lendemain à l’aube de trouver une bonne queue.
A suivre.
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