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Mon masseur

Chapitre 1

Erotique
Me voilà, début trentaine mère d’un beau jeune garçon, je suis à nouveau enceinte. A L’époque, je sortais à l’occasion avec une de mes bonne amies comme ça pour simplement ce faire plaisir, prendre finalement soin de nous. Activité favorite, bon repas, porto et un excellent massage était toujours au menu.
Nous allions toujours au même endroit. Je dois avouer que le trouble d’un premier massage, d’une caresse égaré ma laissé avec un doute, un fantasme naissant sur ce qui serait passé si … mon masseur c’était laisser aller.
Partageant mon expérience avec mon amie, celle-ci me dit à la blague tu divague. Ton état de mère porteuse accentue ta libido ma chère Barbara. Ce qui avouons-le était d’une très grande vérité. A mon grand regret, trop peu souvent mon conjoint voulait ou pouvait satisfaire ce désir légitime d’être simplement caressé. Caressé à en perdre la tête.
Cette journée là, dans le vestiaire je souriais avec un brin d’anxiété. Je me disais en me mordant les lèvres, et si je n’avais pas rêvé ? Si mon bon masseur a compris le plaisir caché qu’il me donnait, et si en fait il savait que j’avais fantasmé sur ces touchés. J’enfilai mon peignoir du moment, prenant soin de m’offrir un sourire moqueur dans la glace avant de quitter la pièce. Je l’avoue, cette journée-là, je me sentais en grande appétit sexuel.
Bien assise, sirotant une tisane du moment, mon masseur ouvrit enfin la porte. Bonjour Barbara, je suis heureux de te revoir. A pas en croire mes yeux, c’était Sébastien, celui, qui part ses touchés mon tant fait fantasmé la dernière fois. Moi aussi je lui répondis avec un sourire nerveux. Bonjour Sébastien !!! Je tournai la tête vers Sylvie qui me sourit d’un sourire complice, d’un sourire de plaisirs. Je rentrai refermant la porte derrière moi.
Nous parlions de chose et d’autres comme deux connaissances le ferait. Il me dit calmement— Bien, étends-toi sur le ventre Barbara, dit il m’indiquant la table de massage qui était au centre de la pièce.
Je quitte alors mon peignoir de bain, je m’allonge toute nue sur le ventre, les bras le long du corps, il déposa une serviette sur mes fesses par ordre d’usage de la massothérapie. Nous sommes absolument seuls et tranquilles. Sébastien choisis alors une huile de massage tonifiante et, tout en discutant avec lui il entreprend de me masser le dos. Ses mains sont douces et souple, longs doigts mains puissantes. Il me masse avec soin, attentif aux points de contraction musculaire. C’est un massage vigoureux et appuyé, qui va chercher à soulager les tensions. Par un peu d’anxiété je lui parle toujours, mais petit à petit mes phrases se font plus courtes et plus rares, et puis je finis par me laisser aller complètement à mon massage, A mon homme du moment. Les odeurs et la musique zen remplacent la cohue de nos discussions inutiles.
. Il s’attaqua maintenant à la nuque non sans avoir auparavant écarté mes cheveux noirs charbons. Puis ses mains se posent sur le milieu du dos, remontant doucement vers les épaules pour redescendre ensuite et remonter à nouveau. Le massage du dos et des épaules dure dix bonnes minutes et ses mains ne cessent de descendre pour mieux remonter.
Il descendit toujours un peu plus bas à chaque mouvement jusqu’à atteindre le creux de mes reins, zone qui m’est très sensible depuis toujours. A chacun de ses contacts je ne peux retenir un frisson, un plaisir évident que me procure cette partie de mon corps. Visage vers le plancher je me mordille la lèvre. Que c’est bon me dis-je intérieurement.
Furtivement, lors d’une remontée de ses mains, ceux-ci glissant sur le côté, sont venus me caresser le bord de mes seins. Encore une fois, mais plus lente, s’attardant bizarrement a ceux-ci, qui contrastaient évidement de mes cotes. Je sentis alors durcir la pointe de mes seins sur le matelas. Que c’était bon. Je sentais mon plaisir monté. Contrairement à notre dernière rencontre, je décidai de ne pas retenir ce qui montait en moi, tout en souhaitant qu’il n’arrête surtout pas son incursion. Je voulais plus… beaucoup plus.
Il changea alors de position, s’installant à mes pieds.
Il choisit pour cette nouvelle session une huile essentielle délicatement parfumée. Il changea radicalement de style de massage. C’est un massage de confort, je ne pétris plus autant, mais j’effleure davantage me dit-il d’une voix calme et très suave. Je comprenais alors, qu’il avait deviné mes désirs profonds. Je souris d’un long sourire.
Il fit doucement rouler ses doigts sur la peau de mes mollets. Ses mains se font plus caressantes en remontant le long de mes cuisses. Je crois rêver. Je soupire en silence, je suis bien.
Me massant chacune de mes cuisses, je sentis insidieusement son doigt se rapprocher de mon sexe. De plus en plus près à chaque mouvement de va et vient de ses mains puissantes sur mes cuisses. Comme au niveau de ma poitrine, il ralentissait délibérément la cadence afin de bien sentir la chaleur de mon organe. Et puis l’inévitable, je me sentis mouillés a se toucher sensuel et tendre. Feintant un repositionnement, je bougeais légèrement le bassin en prenant soin d’écarter mes cuisses. Signe évident de mon approbation de lui laisser toute la latitude de son art… Il comprit dès lors que toute lui serait permis. Il comprit que mon corps était à sa merci.
Connaissant très bien mon corps, il ne pouvait que remarque que mes grandes lèvres se sont disjointes, et que mes petites lèvres roses sont déjà toutes humectées… C’est un signe qui ne trompe pas, et, en un instant, tous mes scrupules sont balayés. Allons-y ! Abandonnons-nous à l’instant présent me dis-je.
A ma grande surprise, et hors d’usage pour un massage usuel, il saisit alors mes fesses à pleines mains, avec douceur et fermeté. Son pétrissage est plus lent, et rapidement je décidai un doux balancement de mon bassin pour l’encourager dans son mouvement… je gémis légèrement maintenant, sans aucunes gènes, je lui manifestais le plaisirs qu’il me donnait !
L’instant est divin et je ne veux pas qu’il en précipite la fin ! Massant une fesse à la fois, je sais qu’il voit parfaitement ma jolie raie et son œillet. Je sais par des blagues et des discussions passées que je ne suis pas une fervente à la sodomie, et je me dis que maintenant j apprécierait bien ce contact de très grande intimité…
Mon masseur comme écoutant mes pensées fait en sorte alors que l’un de ses doigts, coulisse bien au contact de ma raie et de mon anus. Il y pénétra tout doucement son doigt en grande intimité. Des petits soupirs et quelques mouvements des hanches pour lui confirme qu’il a tapé dans le mile. Que j’adorais l’incursion de son petit doigt au plus profond de mon intimité. Que jamais je n’avais connu un touché aussi…. Érotique.
  Il me suggère de me retourner, ce que je fis les yeux fermés, le visage souriant, apaisé et pris par un étrange désir, voire de plaisir. Sans pudeur et tout en naturel, j’écarte largement mes jambes délibérément et j’expose à son regard mon intimité ruisselante de désir… mon clitoris étant gonflé au maximum. Mes seins durs pointant vers l’infini. Je le sens inévitablement excité par son souffle court qu’il dissimule difficilement le plaisir qu’il doit avoir sous les yeux.
Je ne veux pas qu’il aille trop vite me dis-je, et il me massa alors mes jambes en insistant langoureusement sur l’intérieur de mes cuisses. En remontant ses mains, Il prend patience sur ma région pubienne et il se met à me masser mon ventre tendrement, les bras par la suite.
Il prend alors mes seins dans ses mains tour à tour, dans un mouvement circulaire ininterrompu lent, il pétrit ceux-ci tout doucement. Il me fit réagir rapidement, Comme s’il avait deviné la sensibilité de ceux-ci accentué de façon importante par la vie qui grandissait en moi. Je gémis presque dans un cri quand il me pince alors et malaxe mes aréoles et mes pointes. Je n’en peux plus, Me tortillant sur la table, tel un poisson mis hors de l’eau.je senti un premier orgasme me frapper de plein fouet.
Yeux fermés, je tendis ma main vers mon masseur. Ma main se déposa sur sa poitrine la laissant s’abaisser sur son abdomen et sans pudeur je laissai celle-ci sur son entrejambes. Une érection évidente remplissait son pantalon. Je caressais du bout de mes doigts ce sexe déformé par l’excitation qu’il avait à me caresser et me voir gémir. Sentant me plaisirs à le caresser il me chuchota, attend je vais t’aider. Je le vis détacher sa ceinture, abaissa son pantalon et ses shorts en même temps. Un sexe, long et droit était sous mes yeux. Viens je lui chuchotai. Il approcha son bassin, je me fis ne pas prier pour continuer cette masturbation. De long va et viens sur son membre d’homme viril.
Encouragé Ses mains redescendent alors à mon pubis, ses doigts s’égarent avec bonheur dans ma pilosité du moment avant de descendre enfin vers le saint des saints, ma fente humide et parfumée… Il m’ouvre mes petites lèvres, à la fois fines et bien déployées. Il les étire un peu, joue avec elles, et il effleure mon clitoris. Mes hanches sont prises d’un mouvement de roulis, je gémis de plus en plus fort, et je pousse un cri quand il me pénètre mon vagin de ses deux doigts. Il trouve aisément la région doucement râpeuse de mon point G et il me masse avec ses doigts en crochet, tout en caressant mon clitoris d’un mouvement circulaire. J’explose à nouveau d’un orgasme dans un long râle puissant et terriblement érotique.
Je serai fort son sexe sous mes plaisirs évidents.
Mon orgasme est magnifique et secoue mon corps en plusieurs vagues, qu’il doit ressentir parfaitement puisque ses doigts recourbés sont toujours bien plantés dans mon vagin ; les contractions musculaires enserrent ses doigts avec force, c’est une sensation magique et délicieuse. J’entends son souffle s’accélérer, démontrant le plaisirs évident qu’il avait à me faire jouir de ses mains.
Je me concentrai alors a bien le masturber, plus rapidement. Son souffle s’accélère. Tu es bonne me dit-il… Encouragé je continuai mon mouvement très rapide. Je senti alors ce membre ce gonflé et vint une giclée incroyable de sperme qui tomba sur mon ventre et nombril.
J’ai le souffle court, et il comprend qu’on peut encore continuer ; alors, en délaissant un peu mon clitoris, il continue un doux mouvement de va-et-vient dans mon vagin et, après quelques moments, nous vivons de nouveau une belle montée vers l’orgasme. Je râle de plus belle, ses doigts et mon vagin font un impudique et excitant bruit de succion. Il accélère délibéraient le rythme au mouvement de mon bassin. Je n’ai plus aucune retenue, je m’abandonne a lui le laissant tout entier aller avec animalité au plaisir qui me saisit, je prend mes seins à pleines mains et les pince fortement, je me cabre sur la table de massage et pousse un terrible cri de jouissance. Je lâche un MON DIEU…. Signe inévitable des très grands plaisirs qu’il me donne.
Je suis alors suspendu un temps entre terre et ciel. Je reprends mes esprits, car je me dois de redescendre sur terre. Il enlève doucement ses doigts de mon vagin, millimètre par millimètre pour en savourer cette incursion jusqu’à la dernière goutte… ils sont trempés par mes secrétions onctueuses, et il me caresse doucement de la pulpe de ses doigts mes petites lèvres encore toutes rouges d’excitation, la région clitoridienne, ses grandes lèvres, et la rondeur de mon pubis.
Ma peau en est brillante et élastique, et il me gratouille gentiment mes jolis poils. Il finit par enrober mon mont de Vénus de sa main gauche, et il remonte à plat l’autre main vers ma poitrine, et la pose finalement sur mon front. Nous restons ainsi un long moment, immobiles, à respirer à l’unisson. Jai a les yeux fermés, le spectacle est trop beau ! Trop bon ! Trop irréel…
J’ouvris les yeux, Sébastien me sourit gentiment et je dis simplement merci d’une voix très douce. Il me sourit aussi et retire ses mains. Je porte ma main à mon sexe, je caresse un peu, machinalement, sans faire attention à lui. Je descends de la table, et me déplace avec grâce comme dans un rêve. Je le regarde de dos avec ravissement s’essuyant les mains. Il se retourne, il me caresse un peu les épaules, je m’étire comme une chatte qui a obtenu enfin ce qu’elle désirait tant de son matou, et je lui dis en souriant :
• — Merci, Sébastien, merci, merci, c’était divin et je vais beaucoup mieux à présent.
Je lui offris un baiser amical sur la joue avec la grande promesse de revenir bientôt.
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