Il était là. à l’entrée avec mes filles et moi j’étais au premier dans le l’ancien lit conjugal, qu’il avait du souillé avec sa pouf, en train de me faire son neveu. Mon dieu qu’est ce que mes filles aurait pensé de moi. Benjamin avais rapidement remis son pantalon et s’était enfui par la fenêtre, sautant dans le magnifique pommier que son oncle avait planté. Stéphane était entre temps monté. Il avait tapé à la porte avant d’entrer. -Christine? disait il d’une voix douce et calme— Non le pape.— Qui c’était?— Qui?— Ton copain.— Qui? Personne n’est venu.— Me prends pas pour un con. Il essayait de rester calme, il détestait perdre le contrôle ça le rendait fou. — Il s’appelle Jack.— Jack comment?— Tyller. Il s’appelle Jack Tyller.— écoute je sais qu’on est séparé mais évite de présenter ce jacques— Il s’appelle Jack.— Oui bon bref. ne le présente pas aux filles Lorine n’as que 10 ans mais Sophie en a 15 et je ne voudrais pas qu’elle croit que sa mère se tape Pierre Paul jacques— Il s’appelle Jack. J’avais bien cerné le truc. L’énerver. Son seul point faible, sa foutu patience. Après ça il est parti sans un mot de plus. Je ne savais plus quoi faire d’un coté Benjamin, enfin Jack pour Stéphane, ne prenait pas temps de place une fois par semaine, meme pas une heure. Mais d’un autre si Sophie où Lorine l’apprenait je serai mortifié. Je ne savais vraiment plus quoi faire. à cet instant précis je m’étais rendu compte de quelque chose. J’apportais plus d’importance au regard des autres qu’à ma propre jouissance, mon plaisir. Après tout c’est le seul homme de ma vie à m’avoir fait atteindre l’orgasme. Le soir vînt assez vite. à l’heure du repas j’engageais la conversation des petits copains avec Sophie. Bordel elle avait tout pour plaire, les cheveux blond éclatant, une poitrine qui débordait toujours quelque soit la taille des soutiens gorges, juste ce qu’il fallait de rondeurs et juste là où il fallait. Malheureusement ma fille est une éternel célibataire à bientôt seize ans. Je commençais à croire qu’elle était goudou. Une fois que le repas fut terminé et que Lorine ma plus jeune était parti regarder la télé dans le salon; Sophie décida d’aborder le sujet sensible MES amours. Comme d’habitude Jack tyller me sauva du piège. Je décris approximativement Benjamin en changeant quelque détail comme la couleur des cheveux. — Il a quel âge ton belatre?— tout juste dix huit.— tu déconnes. Je pourrais sortir avec m’man. ça pourrait être Benjamin ton neveu adoré. Le lendemain matin je me suis réveillé comme à mon habitude, je regarda mon portable. Benjamin m’avait envoyé un texto avec un lien vers une vidéo porno. Il avait noté "on devrait faire ça la prochaine fois." La vidéo se nommait une cochonne prise en Amazone. Je ne lui répondis qu’après avoir déposé Lorine au collège et sa sœur au lycée. Je lui avait répondu "Je suis toute excité." Une fois rentré à la maison je lui envoie, vers 9h, je lui envoyais une photo de ma verge, en lui disait que Sophie passant son après midi en ville et que Lorine finissant à six heures, il pouvait passer dans l’après midi. Cela devenait plus que cela était prévu ce n’était pas qu’un simple cours d’éducation sexuelle, c’était une histoire avec un début un milieu et une fin que je connaissait malheureusement déjà. Il arriva vers 14H. Il n’avait jamais cours le lundi après midi, ce petit branleur. Enfin plus maintenant. On commence par s’embrasser tendrement mais en moins de cinq minutes nous sommes dans la chambre. Il commença à me lécher la chatte, sans pour autant rentrer dedans. J’avais beau essayer de donner des coups de rein il reculait à chaque fois pour éviter d’y rentrer. Puis il s’arrêta sans dire le moindre mots. Il était déjà nue et sa bite en érection devait de nouveau atteindre le double décimètre. On s’installa dans la position convenue. Lui sur le dos, allongé sur les drap rouges du lit, moi au dessus les deux jambes de con coté gauche, je ne tenais que sur sa queue. Il commença à me caresser mes petits seins il jouait avec. Jusque là je n’en était pas fier. Mais étrangement pas là. Ses mains se baladaient sur tout mon corps comme si elle savait ou elle allaient. Moi pendant ce temps j’ondulais le bassin très délicatement afin de l’exciter encore plus. Sa Bite me plantaient complètement j’avais l’impression de n’être qu’un prolongement de lui. Au bout d’un certain temps il cria. — Je vais éja ...— Non attends. J’essayais de me retirer mais le temps que je sorte il m’avait déjà rempli. Une fois que nous fûmes rhabillé, je lui donna une petite consigne concernant notre petit jeu. — à partir de maintenant nos petit jeu ne se ferons qu’avec une capote. Compris?— Oui tatie c’est bon. T’en fais pas.
