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Mon neveu, cet Homme

Chapitre 7

Inceste
Les semaines s’écoulèrent puis le mois de juin m’arriva en pleine figure, comme une claque. Sans m’en rendre compte, je risquais de perdre mon précieux amant Benjamin. J’avais appris au fil du temps à l’aimer et à le chérir. J’en étais tombée amoureuse. Je l’aimais. Oui, je l’aimais. Je l’adorais ! Je le reconnais aujourd’hui.
Je me souviendrai de ce soir-là jusqu’au restant de mes jours. On avait la maison pour nous, les filles étant chez leur père. Je m’étais habillée sexy pour lui. Il venait de terminer les épreuves du bac et j’avais envie de lui faire une surprise. 
Il regardait une série sur la télé du salon. Je me suis approchée et lui ai défait le pantalon. J’ai commencé à le sucer. Au début, il ne faisait pas attention. Il était là sans être là : quelque chose le préoccupait.
Je continuai de le sucer en espérant réussir à le faire durcir car même dans ma bouche il restait mou. À son âge ce n’était pas normal. Je me lève, le regarde dans les yeux, une main encore sur sa bite.
— Il y a quelque chose qui ne va pas ?— J’ai un problème. Je n’arrête pas de me répéter que je dois te l’annoncer mais je n’y arrive pas.— Il se passe quoi ? Tu peux me le dire. Je peux tout entendre.— Je pars à la fin de l’été. J’ai reçu ma lettre il y a quelques jours. C’est une grosse fac de Paris. Je...— Je savais que ça viendrait. Mais je  ne pensais pas que ce serait comme ça. Maintenant, tu devrais aller mieux. 
Je le conduis à la chambre où l’on baise comme à notre petite routine. C’est marrant de parler de sexe avec lui comme si c’était anodin alors qu’en moi, le désir brûlait, se consumant en une fumée de plaisir. La chaleur que me faisait ressentir son corps nu sur lequel je m’empalais me faisait un bien fou. 
J’aurais pu mourir à cet instant, j’aurais était la femme la plus heureuse du monde. Mais une fois que ce fut fini, il s’endormit. 
Lorsqu’il il reçut un texto je décidai de regarder : sûrement un de ses amis l’invitant à une fête. Mais non. Il s’agissait d’une autre fille qui lui avait envoyé une photo de sa chatte rasée avec en dessous écris « alors mon Benji ? Ça te plait comme ça ? »
Je suis restée éveillé toute la nuit pour comprendre. De toute façon, je n’arrivais pas à dormir. Au matin, quand il est allé à la cuisine, je suis allée lui parler.
— Benji, qui c’est cette fille qui t’envoie une photo de sa chatte comme ça ?— C’est Céline, une amie.— Ça semble être plus qu’une amie.— Va chier.— Oh ! Si tu as un problème, dis-le !— C’est toi le problème ! Voilà, je l’ai dit. C’est fait. En restant avec toi, je m’oblige à faire des choix. Des choix que je n’ai pas envie de faire maintenant. Si on reste ensemble, combien de temps avant que tu n’envisages de te marrier ou d’avoir un gosse ? Pour moi, pas avant des années. Toi, il ne te reste plus beaucoup de temps. 
Je l’ai giflé. Il avait osé me dire ça. Il avait osé me parler comme ça.
— Nos deux horloges sont décalées. Tu vis là où j’en serais dans 20 ans. Moi, je vis là où tu étais en rencontrant mon oncle. Tu savais très bien que ça se terminerait comme ça un jour ou l’autre. »
J’ai commencé à pleurer toutes les larmes de mon corps. Je ne pouvais plus m’arrêter. Je me collai à lui et il me repoussa violemment. J’ai dû le regifler. Il m’a rendu ma claque cette fois. Bref, ça a continué à monter jusqu’à ce que je prenne le couteau qui était dans l’évier et que je ne le plante avec. Mes filles vivent avec leur père, Sophie est devenue une adulte aujourd’hui, je suis une mère sans enfant, une amoureuse sans amant. Voilà , mes aveux. Je ne veux plus me mentir ni me cacher, j’ai vécu ce que j’ai vécu, j’ai fait ce que j’ai fait. Tout ce que je sais, c’est que, maintenant, j’ai envie de le rejoindre. Finir mes jours dans cet endroit me semble une horreur. J’ai réussi à préparer mon coup. Aucune chance que l’on me sauve. Au monde, je fais mes adieux.
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