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Mon nouveau patron

Chapitre 1

Travesti / Trans
J’avais une vingtaine d’années.. Pas du tout doué pour les études et pressé de gagner ma vie, mais dans des conditions plutot confortable.. Je m’explique .. Je mesurais 1M70, tres mince , très gracile, très efféminé au bout du compte, ca faisait quelques années que je me laissais pousser les cheveux et j’aimais cette image de mec très très ambigu, parfois on m’appelait mademoiselle et j’adorais cela.
Seule ma mère et ma sœur étaient présentes, pas de père et j’avoue que j’adorais cette atmosphère exclusivement féminine, qui s’imprégnait en moi depuis des années avec la complicité de ma mère et de ma sœur.
Ma mère avait réussi à me faire rentrer dans un petit cabinet comptable, qui était essentiellement composé de femmes.J’étais intégré en tant qu’employé de bureau et rapportait à ma patronne, j’étais un employé modèle, servile et zélé et j’aimais cette atmosphère globalement très féminine.
J’avais toujours un style très féminin, j’étais moi et ne me prenais pas la tète, cela ne me posait aucun problème, je me sentais bien. Je n’hésitais pas à porter les cheveux détachés en dessous des épaules, à me parfumer, à me maquiller légèrement, à mettre des bijoux, on ne le disait rien, pourquoi ne pas en profiter ??
3 mois plus tard, ma patronne nous annonçait qu’elle vendait son cabinet, elle était proche de la retraite et voulait définitivement se reposer.
Nous allions avoir un nouveau boss, et elle m’avait pris à parti, en tête à tête : « les choses vont changer Fréderic, ca va être moins familial, je vous conseille d avoir un look un peu plus « dans les normes »
J’avais compris le message.
Après une semaine de vacances bien méritées, j’arrivais au bureau situé dans le 9eme arrondissement avec un style résolument « masculinisé », j’avais écouté mon ex patronne : Un jean , , des tennis, une chemise d ‘homme, un petit sac à dos en cuir un peu girly quand même, les cheveux attachés, pas de bijoux, rien.. Bref, une petite folle un peu efféminée , mais sans plus.
Je salue mes collègues sur le coup de 9h, m’installe face à mon iMac et commence la saisie des écritures comptables du jour.. Au bout de 20 mn, je décide de m’accorder une petite pause café- cigarette avec ma collègue Françoise, et on se met au balcon à papoter en tirant sur notre cigarette…
Quand il arrive… Un colosse de 1m90, très élégant, une soixantaine d’année, habillé d’un costume manifestement sur mesure.Il fait le tour des bureaux et me déshabille du regard, de la tète au pied… Je me sens déstabilisé..
Et il me dit « vous êtes Frédéric, c’est ça » ?? Heuuu oui Monsieur dis je en baissant des yeux…
Continuez votre pause… J’adore vos cheveux, vous devriez les laisser défaits…
Je réintégrai le bureau un peu interloqué et ma collègue qui me dit en souriant « Tu lui a tappé dans l’œil, si il te dit que tu peux détacher tes cheveux vas y »
J’enlevai mon chouchou et libérai ma chevelure dans une attitude très féminine : Je secouai lentement ma chevelure de droite à gauche tout en croisantle regard de mon nouveau patron qui se rinçait manifestement l’œil en me regardaant.
La routine s’installait. Je voyais bien que mon patron aimait me regarder, de temps en temps il me faisait un petit compliment, me demandait si j’avais passé un bon week end et je ne pouvais m’empecher de rougir et minauder en lui répondant.Ma collègue Françoise se moquait gentiment en me disant « tu es une vraie fille toi » !
Un matin, alors que j’étais en train de faire mes saisies sur mon ordinateur, et que j’ étais seul, il arrive derriere moi en me carressant doucement ma chevelure : « Vos cheveux sont superbes Frederic, mais les pointes sont fourchues, si vous voulez je vous emmène chez votre coiffeur les faire raccourcir. »
N’étant plus à une surprise près je dis ok et téléphone à mon coiffeur de quartier.Nous nous rendons sur le coup de midi chez mon coiffeur habituel, avec mon nouveau patron.. J’angoisse !!
Je rentre dans le salon, je fais la bise à mon coiffeur, Marco, qui me dit : « alors Fred’, on fait quoi aujourd’hui », sur un ton enjoué  ??
Et je n’ai pas le temps d’ouvrir la bouche que mon patron dit « tu lui coupe les pointes en dégradé, tout en les laissant longs et tu lui fait un brushing bien lisse »
Nos regards se croisent avec mon coiffeur habituel, Marco, et devant mon silence, il s’exécute : il effile les pointes de mes mèches en formant un superbe dégradé qui tombe en dessous de mes épaules et me faire une coiffure hyper féminine..
Je vois dans la glace mon patron, Michel, qui me mate avec insistance et qui a m’air satisfait :« c’est super, dit il, une vrai secrétaire !! fais lui un brushing bien lisse et on y va »
Marco me met de la laque, fait bouger mes cheveux qui tombent largement en dessous de mes épaules en me disant « hey Fred’, ca te va trop bien » !!

Et mon patron passe au comptoir et paye la séance .. Champoing-coupe-brushing, ce n’est pas negligeable.
Et on s’en va avec mon patron , quasiment bras dessus- bras dessous pour remonter au bureau, avec moi à ses côté qui a l’air d’une vraie fille toute pomponette.
Autant dire que j’ai bien vu que ca jasait au bureau…
Du coup, mon patron a commencé à m’ encourager à me féminiser, par petites toutches,et j’ai bien constaté que les choses évoluaient.
Dorénavant, je partais le matin, les cheveux systématiquement détachées, les yeux légerement maquillés , avec un look de plus en plus féminin : Pantalon taille basse, bottines à talons, parfois un string, un chemisier, une veste cintrée, quelques bagues, bracelets, un petit collier de perles..
Mes collègues, tout en me félicitant, me conseillaient de faire attention, il était clair que notre patron en pinçait pour moi mais je trouvais cela plutot agreable.
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