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Mon nouveau patron

Chapitre 3

Travesti / Trans
A l’issue de ma séance chez mon esthéticienne, je me sentais bien décontractée, invincible, prête à affronter mon patron … Mais où ai je la tête, on est samedi en fin d après midi, il n’est pas là et de toute façon il a beaucoup trop d’autorité, me disais je en me rendant d un pas assuré chez mon coiffeur.
Je marchais comme une fille, comme d’habitude, tel un mannequin défilant sur un podium, tout en ondulant des hanches, et, je l’avoue, en roulant un peu des fesses, perdue dans mes pensées.
La semaine avait été éprouvante, et j’avais envie de papoter avec mon coiffeur.Marco a 30 ans de plus que moi, il a une cinquantaine d’années, il me coiffe depuis quelques années, c’est mon ami, mon confident, et j’adore aller chez lui, il a une façon de mettre en avant ma féminité que j’adore.
J’arrive un peu avant 19 heures, il est en train de finir de coiffer une cliente.
Hey Fred’, ca va ma petite chérie, me lance t il d’un air canaille..
Je vois dans le miroir le regard de la cliente qui tente de décoder la situation : elle voit une jeune folle hyper efféminée, elle calcule au bout du compte que je suis un mec, elle entend « ma petite chérie », bref, elle est perdue !!
Je fais une bise un peu appuyée à Marco, et lui dit de ma voix fluette « je prend un peignoir rose ? »
Je m’installe et commence à pianoter sur mon smartphone en l’attendant..
La dame est partie, et il me dit, je ferme la boutique, il n’y a plus que toi, installe toi au bac à shampoing.
Je cale ma tête dans le bac, il prend doucement mes cheveux pour les rassembler en une masse compacte.« Tu es vraiment coiffée comme une femme toi, tu m’étonnes que ton patron te kiffes » me dit il pendant qu’il commence à mouiller mes cheveux.
J’aime ce moment où je peux m’abandonner, ne penser à rien, et j’avoue que sa séance de shampoing est agréable, il tire mes cheveux en arrière, me masse longuement mes tempes, ma nuque, mon cuir chevelu.. Il sait y faire l’animal, au moment du rinçage, je me sens toute alanguie !!
Il me fait passer au coiffage, c’est parti pour le brushing. Il me met quelques noisettes de mousse coiffante, l’étale doucement sur mes cheveux, prend des pinces, une grosse brosse ronde et commence à œuvrer.

Pendant une vingtaine de minutes, il tire des mèches, les lisse, les coiffe, bouge autour de moi, me décoiffe, me recoiffe, je ne dit plus rien, je m’abandonne à ce plaisir récurrent, de me voir face au miroir, devenir de plus en plus fille.
Marco sent que cela me fait de l’effet, il termine en me laissant une grande mèche volontairement rebelle qui tombe sur mon regard, et que je suis obligée de bouger régulièrement.. C’est tellement hyper féminin …
Il finit en me laquant les cheveux, je me trouve superbe !! « Tu es un artiste, Marco !! » Je prend une cigarette, je m’admire tout en aspirant la fumée de ma cigarette.
« Je te sers une coupe de champagne ma belle »
J’avoue que j’adore quand on me parle comme ça et je lui dit ok avec un grand sourire.J’enlève mon peignoir et continue à m’admirer, je suis très narcissique, j’avoue !
Il vient vers moi, me tend une coupe en m’enlaçant tendrement, je trouve ça touchant, il pourrait être mon père ou mon oncle…
Je luis souris, j’avoue que je me laisse envahir par cet élan amoureux, j’essaye de ne plus penser à mon patron et savourer l’instant présent.
Marco me pelote doucement, face à la glace, « tu as vu comme tu es belle Fred ? »
Sa douce main s’attarde sur ma chute de rein, je me cambre et ne peux m’empêcher de pousser un petit gémissement. J’ai trop envie qu’il me caresse les fesses !!
Il me dit doucement « Ca fait longtemps que tu n’as pas sucé une queue ma chérie »Je ne sais pas comment il sait ça, en même temps je ne suis pas une marie couche toi là !!
Mais l’histoire est déjà écrite, Marco sent que je suis de toute façon consentante, il sait y faire, il est doux et j’avoue que j’aime ça.
Il prend ma main, la fait aller et venir sur la bosse conséquence de son pantalon.. Au point où j en suis… Je suppose que je voulais que ca se termine comme ça … Je prend l’initiative de déboutonner sa braguette, et prend à pleine main un bel engin, en pleine érection.
D’une main je lui caresse ses testicules, de l’autre je le décalotte doucement, et approche doucement mes lèvres un peu trop maquillées de son gland.
Je lui fais des petits bisous, lèche doucement son frein tout en le regardant.
« Fred, tu es une chipie !! Non tu es une petite salope, mais c’est trop bon »
Encouragée par ses propos, mes lèvres absorbent son penis, je le pompe doucement, je perd la tête en me disant « je suis une fille » « je suis une pute » « je suis faite pour ça »
Mon dieu , c’est trop bon, je suis en train de tremper ma petite culotte, encore et toujours !!
Si mon patron me voyait en train de sucer mon coiffeur …Cette pensée a le don de décupler mon excitation.
Marco a besoin de faire une pause, il n’en peut plus.Il reprend une gorgée de champagne et me demande d’enlever mon pantalon.
« Met toi face au bac à shampoing ma petite chérie »
Je suis agenouillée sur le fauteuil, mon coiffeur derrière moi.Il commence à me caresser doucement ma queue, c’est trop bon …Il se contente de me branler doucement, puis enfonce un doigt dans mon petit trou.
« tu as envie que je mette ma queue ma chérie « il me dit ??Je me contente de gémir
« Je vais juste te doigter ma choutte, ta chatte est réservée pour ton patron »
Ce qui est dingue, c’est qu’avec cette phrase, il m’a fait exploser, je me suis cambrée, et j’ai envoyé toute ma sauce.
Marco était ravi.Evidemment, j’ai du le faire jouir à son tour, et il n’a pas tardé à exploser dans ma bouche.
Ce qui lui a plu par dessus tout, c’est que après avoir tout avalé et m’être essuyé la bouche, j’ai tout de suite pris mon gloss dans ma trousse de maquillage pour me refaire une beauté, telle une vraie pro !!
Il m a rétorqué « tu es une vraie petite catin toi » !!Il m ‘a fait sourire et je lui ai fait promettre de ne rien dire à Michel, mon patron.
Le dimanche a été reposant, une grasse matinée et un brunch avec des copines...
Bref, je me sentais d’attaque pour une nouvelle semaine de boulot, et dans ma tête, j’étais Ok pour me faire percer les oreilles (cf épisode précédent)Michel m’avait convaincue (en même temps, je reconnais que j’ai du mal à lui désobéir) et puis je me disais que ca allait bien m’aller, même si j’appréhendais la douleur que cela allait m occasionner.
Comme d’habitude, j’avais pris soin de m’habiller comme une vraie poupée, j’avais envie de faire plaisir à mon patron, après tout, il allait me faire un cadeau, c’est normal non ?
J’avoue que j’avais un peu forcé le trait en mettant des bottes qui montaient juste en dessous du genou, par dessus un pantalon très serré, j’étais « stringuée », je portais un pull decolleté et un peu court de telle sorte que l’on voyait mon nombril et j’avais mis un petit blouson en cuir.
J’ai été accueillie par des sifflements complices en arrivant au bureau, je me trouvais effectivement pas mal du tout !!
Michel est arrivé vers 11h, toujours aussi élégant, dégageant cette autorité naturelle à laquelle je ne savais pas résister.
« Frédérique, dans mon bureau »
Je le suis, en traversant l’open space, mes collègues me regardent d’un air mi agaçé, mi amusé.. Certaines jasent derrière mon dos et pour elles je suis « la petite tapette qui veut se tapper son boss pour avoir une promotion ». C’est ma collègue Françoise qui m’a raconté ça, n’importe quoi !!
« Alors, vous avez réfléchi » ??Je fais un peu ma blonde, bouge mes cheveux en un geste très esthétique et lui répond « au sujet de mon problème d’ordi » ??
Il lève les yeux au ciel, « mais non , pour le piercing de vos oreilles » !!!
Je lui répondais positivement en baissant les yeux et en avouant que j’avais peur de souffrir. D’une façon mi paternelle, mi sensuelle, il m’a prise par la taille en me rassurant.Sa main s’est un peu attardée sur mes petites fesses, comme il le fait parfois et nous sommes partis.
Sur le chemin, il m’a expliqué qu’il avait un ami qui tenait une boutique de tatouage et piercing, et que c’était beaucoup plus professionnel qu’en bijouterie, qu’il y avait plus de choix pour les boucles d’oreille, etc …
Plus ca allait, moins j’étais rassurée et je cherchais instinctivement à me blottir contre mon patron.
Bref, nous arrivons à la boutique, effectivement Michel et son ami se connaissent depuis longtemps et ce sont manifestement de belles retrouvailles.
Au bout d’un moment, le tatoueur me calcule enfin et dit à Michel :« Je vois que tu aimes toujours autant les jeunes garçons efféminés » !!« Allez viens ma puce « , me dit il. Je m’assoie, il met des gants de chirurgiens, me présente un choix de boucles d’oreille.
C’est mon patron qui choisit, d’une façon très classique, de discrets clous en or, en me disant « vous porterez des choses plus voyantes quand vos lobes seront cicatrisés. »
Et il dit à son copain, tu lui fais 2 trous à l’oreille gauche, 1 à l’oreille droite.
Bon j’avais peur d’avoir mal, mais finalement ca s’est bien passé, et j’étais rassurée par la présence sécurisante de Michel.
Et je reconnais que ca m’allait super bien, encore un pas de plus vers une féminisation assumée !!
Je n’arrétais pas de minauder en me regardant dans la glace, en bougeant mes cheveux pour faire apparaître mes oreilles percées quand le tatoueur à dit à Michel « Pendant que vous êtes là, je peux lui percer le nombril, je vous fait un prix »
Hoooo non mon dieu !! Je connaissais déjà la réponse de mon patron qui a argumenté en disant « si vous mettez des pantalons taille basse et des pull trop court, c’est bien pour montrer votre ventre Frédérique, d’ailleurs je dois dire que vous avez un corps superbe. Allez, je vous laisse choisir votre bijou»
Ce compliment m’est allée droit au cœur, et je me suis décidée pour un piercing qui comportait plein de brillant.
Le tatoueur est un vrai pro, et malgré le côté un peu « hôpital », avec ses gants de chirurgiens et sa grande pince qui me tirait la peau au dessus du nombril , je suis restée courageuse !!
J’avoue que je me la pétais un peu en rentrant au bureau, et j’en faisais des tonnes vis à vis des quelques collègues qui n’étaient pas bienveillantes avec moi, je faisais en sorte que l’on voit mon ventre, je me tournais en me penchant pour que l’on voit mon string, j’allais et venais dans le bureau de mon patron, comme si j’avais des droits que les autres n’avaient pas ..Une vraie petite peste !!

Un jour, mon patron me convoque dans son bureau, en début d’après midi.Je traverse l’open space d’une démarche ondulée, le poignet légèrement cassé, tout en délicatesse !
« Fermez la porte »Je m’exécute et me demande ce qu’il va encore se passer.
« C’était votre anniversaire hier Frédérique, ce wk j’étais en Italie et je vous ai ramené un cadeau. Je dois dire que je suis très content de vous depuis que j’ai repris le cabinet »
Je ne sais pas si il fait allusion à mon travail ou à toute autre chose mais bon …
Il me tend une boite dont le format rappelle une boite à chaussure, et en découvrant une magnifique paire d’escarpin rouge, à talon vertigineux, je fond littéralement et me jette à son cou pour le remercier.
« Essayez les » me dit il, « le talon fait 10 cm mais je suis sur que vous avez l’entrainement pour marcher des heures avec ce genre de chaussure »
J’enlève mes petites bottines dont le talon a pour le coup l’air tout ridicule, au passage, mon patron constate d’un air satisfait que je porte des mis bas noir avec un petit motif en dentelle et j’essaye ces escarpins.. Qui me vont à la perfection.
Je fais quelques pas dans le bureau de mon patron, ma chute de rein s’est cambrée, mes fesses ressortent, il a l’air extrêmement satisfait, il me flatte mon derrière en me donnant des petites claques un tout petit peu appuyées, hummm ca me fait perdre la tête !!
« Tres bien, vous pouvez retourner travailler ».
Ok, me dis je, j’enlève une première chaussure et là mon patron me dit « Non non, gardez les, ca vous va très bien »
Je suis sortie de son bureau en tortillant du cul et en bougeant mes cheveux, un silence s’est instauré quand j’ai traversé l’open space et je me suis remise à mon poste de travail.
« Mon dieu mais tu as vu ce qu’il te fait faire « m’a dit Françoise..
Plus ça allait et plus j’aimais cela, et je me demandais parfois avec inquiétude où cela allait m’amener..
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