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Mon nouveau patron

Chapitre 4

Travesti / Trans
Ces derniers temps, l’ambiance était un peu tendue au bureau, Stéphanie, l’assistante de direction de mon patron, allait bientôt partir en congés de maternité et aucune information sur son remplacement ne fuitaitStéphanie était dans le camp des quelques collègues qui disaient du mal de moi derrière mon dos, elle adorait critiquer mon style et mon comportement. Mon amie Françoise m’avait rapporté qu’elle avait récemment dit en parlant de moi « Non mais regarde là, elle s’habille comme une pute, elle a vraiment chaud au derrière celle là » !Ca me laissait indifférente, du moment que je plaisais à mon patron ..

Un matin ensoleillé, j’arrive au bureau toute pomponnée, comme d’habitude, j’avais décidé de montrer un peu mes formes et je portais un pantalon très serré qui moulait mes fesses d’une façon adorable. Je portais un petit haut un peu trop court qui laissait apparaître mon ventre bien plat avec son piercing au nombril et je me déhanchais, juchée sur les escarpins rouge que m’avait récemment offert Michel pour mon anniversaire.Je ne me déplace qu’en voiturette, je hais les transports en commun, du coup je n’ai pas de soucis pour m’habiller comme je veux.Et je portais des ray ban, qui , je le reconnais, me donnait au final un beau petit style de pétasse, et plus ca allait plus j’aimais ça.

Nous étions en plein rituel de pause café–cigarette avec Françoise, qui me disait en papotant qu’elle trouvait que mon look avait évolué et que j’étais de plus en plus effeminée depuis que Michel était arrivé, tout en étant convaincue que cela m’allait très bien, que c’était mon style à moi.Mon patron, toujours auréolé de cette autorité naturelle, se joint à nous.« Alors, tout va bien ce matin ? Félicitations Frédérique, j’adore votre style d’aujourd’hui. Une vraie petite starlette de téléréalité ! »Il me dit cela avec un sourire carnassier tout en me dévorant des yeux. Tandis que Françoise se remettait au travail, il en profitait pour peloter mes petites fesses d’une façon insistante. Je le regardais, consentante, pour lui faire comprendre que je commençais à adorer ces gestes déplacés..

Une heure plus tard, il me convoquait dans son bureau.« Humm Frédérique, c’est mon tour de faire une pause, et j’avais envie de vous regarder. Vous avez un visage délicat et je suis littéralement amoureux de votre coiffure, vous vous coiffez comme une fille et j’adore ça ».Je faisais volontairement bouger mes longs cheveux, en minaudant, charmée par ces compliments. Sans me douter qu’une nouvelle « épreuve » allait arriver..« Dites moi, vous êtes plutôt châtain foncé, c’est ça » ?Il m’offrait en même temps une cigarette que je prenais en un geste élégant, et j’aspirais la fumée en acquiesçant.« Vous n’avais jamais songé à éclaircir de quelques tons, je suis persuadé que cela vous irait à merveille »Il se leva, fit le tour de son bureau et vint derrière moi pour caresser doucement mon opulente chevelure (dont je suis très fière, il faut bien le reconnaître !).Il voulait que je devienne blonde !!!Il me dit doucement de sa voix grave « Je ne vous mets pas de pression évidemment, réfléchissez et dite moi.. J’adore vous accompagner chez votre coiffeur Marco »

Je me précipitais pour en parler à Françoise. Elle trouvait que j’étais sous l’emprise de Michel, que j’étais en train de devenir sa poupée Barbie qu’il façonnait à sa guise.En l’entendant parler, j’en prenais conscience… Mais je sentais aussi que j’adorais être prise dans ce jeu malsain, j’adorais sentir la situation m’échapper et devoir me soumettre à mon patron..

En milieu d’après midi, nous recevons un mail de Michel nous convoquant en salle de réunion.J’étais assise face à lui, les jambes croisées en une posture très féminine, me demandant ce qu’il voulait nous annoncer.« Vous savez que ma secrétaire Stéphanie part bientôt en congés de maternité. Plutôt que d’engager une intérimaire, j’ai décidé de mettre Frédérique à ce poste. Vous n’êtes pas vraiment surbookée en ce moment Frédérique, et je suis sur que vous saurez vous adapter à mon niveau d’exigence »Mon cœur s’était arrêté de battre sous la surprise.. J’allais devenir l’assistante de direction de mon patron !!!Je lisais l’étonnement et pour certaines, la jalousie dans les regards de mes collègues.Après la reprise du travail, Françoise me félicita chaleureusement et me lança un « bravo ma belle » qui me fit fondre de bonheur.

La passation de pouvoir s’organisait avec Stéphanie, le fait de se côtoyer au quotidien arrondissait les angles, nous apprenions à nous connaître, et elle finissait par apprécier mon style féminin, tant sur le plan physique que mental, j’avais vraiment une sensibilité de fille.Mes oreilles avaient cicatrisé et je pris l’initiative de porter des petites créoles, ce qui enchantât mon patron, mon style girly étant encore plus accentué.Et le jour arriva, où je m’installais dans un bureau plutôt spacieux, juste à côté de celui de Michel, face à un écran dernier cri.Stéphanie était partie la veille au soir, et j’étais intronisée secrétaire de direction à à peine plus de 20 ans.Je me disais bien quelque part que cette progression plutôt rapide n’était pas forcement due uniquement à mes appétences pour le travail de bureau …

Je découvrais que Michel était effectivement très exigeant et directif dans le cadre du travail, il me sollicitait régulièrement, pour mettre à jour son planning, préparer des courriers, organiser ses déplacements et évidemment faire le filtrage téléphonique adéquat.Heureusement que j’avais bien été briefée par Stéphanie, malgré nos différents on avait bien travaillé.

Cette proximité avec mon patron avait aussi ses avantages, il m’invitait régulièrement à déjeuner, me faisait des petits cadeaux, toujours des choses féminines évidemment, tantôt un parfum capiteux, tantôt un bijoux, et j’avoue que je me laissais entrainer dans ce tourbillon, je me sentais bien.Mais en même temps rien n’était gratuit, et il prenait un malin plaisir à me déstabiliser, à me manipuler …

Une fois, nous passions devant un magasin de lingerie et, tout naturellement, je m’attarde devant la vitrine, en imaginant ce que je pourrais porter..Michel saisit instantanément l’opportunité et m’entraine dans la boutique.Je regarde, en habituée (hé oui, ce n’est pas une révélation !!) tous ces ensembles plus beaux et sexy les uns que les autres.« Qu’est ce qui vous plairait Frédérique, dites moi » me dit mon patron.. En même temps, il me caressait les fesses comme si j’étais sa pouliche bien dressée.. Ces derniers temps, d’ailleurs, ses caresses, attouchements devenaient de plus en plus fréquents, mais j’avoue que je ne faisais pas grand chose pour l’en dissuader …Et avant que je ne puisse répondre, mon patron interpelle une jeune vendeuse :« Mademoiselle ?? Je souhaiterai faire un cadeau à ce charmant jeune homme, qu’est ce que vous pourriez me conseiller ? »

Je peux vous dire que « le charmant jeune homme » piquait un fard mais la jeune et sympathique vendeuse qui en avait vu d’autres s’approcha tout en me souriant, façon on est entre filles on se comprend.Et Michel continuait son numéro « Vous portez plutôt des strings ou des tangas Frédérique ? » Je m’en sortais en répondant d’une voix suave « du moment qu’il y a plein de dentelles et que c’est sexy, j’aime bien les deux, vous savez »

La vendeuse nous montra quelques pièces superbes (et très chères !) et Michel me laissa choisir et string et tanga.Je n’étais jamais rentrée dans cette boutique et notre vendeuse nous lança un « passez une bonne soirée «  (alors que nous sortions de déjeuner..) et ajouta un « à bientôt Frédérique » en me lançant un clin d’œil complice.

Un autre jour il m’emmène aux galeries Lafayette et il me fait essayer des manteaux de fourrure tous plus magnifiques les uns que les autres, et il n’arrêtait pas de me dire qu’il me trouvait splendide. Bon, Il faudrait que je patiente un peu pour avoir un aussi beau cadeau, m’avait il dit, tout en me pinçant un de mes tétons à travers mon chemisier.Je poussais un petit cri de surprise auquel il répondit « arrêtez de faire votre mijaurée, vous adorez vous faire peloter »« Au fait vos avez pris rendez vous chez votre coiffeur ?? »

Il ne lâche rien et il part toujours du postulat que je vais lui obéir, mais moi je n’avais pas pris ce rendez vous pour me faire faire une couleur et j’avoue que j’avais espéré qu’il serait passé à autre chose .. C’était manifestement mal le connaître..Je me dit rapidement que je vais jouer les ingénues et lui répond naïvement « qu’en ce moment je laisse plutôt pousser mes cheveux et que j’ai envie de les avoir encore plus longs. Je minaude en lui disant « vous croyez que ca m’irait si je mes laisser pousser jusqu’en bas du dos ? »  

J’avais espéré le manipuler, mais je ne lui arrive pas à la cheville..« Frédérique, me dit il en soupirant… Vous me décevez beaucoup. »Et il se permet de prendre à partie la vendeuse du rayon fourrure, en rajoutant ainsi une dose d’humiliation supplémentaire.« Regardez madame, cette jeune tapette m’oblige à l’emmener essayer des manteaux de fourrure pour femme, et elle essaye de jouer à l’homme en refusant de m’écouter. C’est déplorable »En voyant la réaction de la vendeuse, qui n’était pas du tout gênée et qui avait un certain âge, qui avait du vécu dirais je, je comprenais qu’elle « entrait en connexion » avec mon patron et qu’elle prenait implicitement son parti.Elle me foudroya du regard et ajouta : « Monsieur vous a surement sorti du caniveau, pauvre petite idiote, vous devriez tout faire pour le satisfaire. D’ailleurs, quand on voit comment vous vous habillez, ca doit pas être difficile pour vous .D’un seul coup elle durcit son ton tout en veillant à ce que l’on ne l’entende pas au delà de notre cercle restreint « REGARDE MOI QUAND JE TE PARLE PETITE SALOPE »

Je me contentais de lever docilement vers elle un regard à la fois apeuré et soumis et j’observais à la dérobée que Michel semblait ravi de cette petite scénette.De mon côté, je découvrais un plaisir trouble, pervers, d’être humiliée, insultée.Je reconnais que je sentais une petite onde de plaisir me parcourir, mon sexe devait surement être tout humidifié et je m’étonnais de cela.Tel un prédateur à l’odorat aiguisé, mon patron avait perçu mes émotions et cela lui plaisait au plus haut point.Ce petit moment de folie se terminait, il salua la vendeuse et je le suivais comme … Comme quoi en fait ? Cela aurait pu durer longtemps mais il m’attendit en haut de l’escalator et la descente se fit avec lui contre moi qui me serrait par la taille. J’avoue que je trouvais cela délicieux, après toutes ces émotions..Je sortais du grand magasin, je m’étais reprise et tout en passant mon grand sac à main à l’épaule, je commençais à arpenter la rue de la chaussée d’Antin en exagérant mon déhanché. Il était temps de rentrer au bureau mais j’avais envie de montrer à Michel comment mon petit cul bien moulé dans un pantalon trop serré se mouvait lascivement.Ca ne me déplaisait pas de l’allumer ainsi et en regardant les reflets des vitrines, je voyais bien qu’il se rinçait l’œil sans aucune gène…

J’arrivais à joindre Marco pour mon rendez vous et quand je lui annonçais que c’était pour une couleur, je cru qu’il allait s ‘évanouir au bout du téléphone !Rendez vous fut pris pour le vendredi soir, il fait nocturne et il m’annonce qu’il me prend en dernier.« Je ne serai pas seule Marco », je lui annonce et je sens de la déception dans sa voix. C’est sur que ma dernière fellation avait du lui laisser un souvenir ému ..

Comment allais je m’habiller pour cette séance de coiffure où une nouvelle fois, j’allais céder aux caprices de mon patron ?J’avais encore 2 jours pour y réfléchir tout en me consacrant à ma toute nouvelle activité d’assistante de direction.

Quand j’avais raconté cela à ma grande soeur au téléphone, elle s’était moqué de moi en disant que la promotion canapé ca ne marchait pas que pour les femmes et que j’étais une excellente candidate, en insistant bien sur le « candidate ».Une vraie petite garce la frangine ! Mais elle ignorait que j’adorais être traitée ainsi …

J’annonçais à mon patron que le rendez vous était pris en lui lançant innocemment « j’ai fait en sorte que ce soit un créneau où vous étiez disponible »Il avait l’air très satisfait et j’avoue que de mon côté, j’avais hâte de retourner me faire coiffer, de mettre toujours plus en avant mes côtés féminins.Je suis un peu fétichiste des ambiances de salons de coiffure, je dois le reconnaître, des bigoudis, des brosses à cheveux, des odeurs de produits, et évidemment des longues chevelures, et cela depuis le tout début de l’adolescence.J’adore parler de moi, je suis narcissique !! Pendant que je rêvais à moitié éveillée, Michel me dit :« Au fait , je vais vous réquisitionner la semaine prochaine pour déjeuner, j’ai un gros client qui monte de province pour visiter nos bureaux et figurez vous que lui et moi avons un point commun. Il adore les jeunes éphèbes qui aiment s’habiller en femme. Je compte sur vous pour vous présenter sous vos meilleurs atouts, n’hésitez pas à en rajouter, de toute façon vous adorez ça ».

Après assistante de direction, j’étais promue quoi ?? Escort girl ?Une fois n’est pas coutume, j’exprimais mon désaccord (enfin j’étais loin de péter un câble..)Mon patron se voulait rassurant, il s’agissait d’un déjeuner de travail où la dimension « communication » serait importante, et il comptait sur moi pour représenter notre cabinet, et c’est tout.« Soyez vous même Frédérique, faites vous plaisir, souriez, minaudez, soyez pétillante!! » C’est tout ce que je vous demande..

Le vendredi tant attendu arrive, j’avais décidé de porter un legging noir avec des bottines à talons très fins (oui j’aurais pu dire des talons aiguilles, j’avoue..) un body en lycra noir également tout en dentelle et la jonction entre le body et le legging était marquée par une grosse ceinture en cuir, rose.. J’avais du la chercher pendant des heures sur le net, mais il faut reconnaître que cela faisait son petit effet ! Et pour ne pas attraper froid, je portais un manteau en laine qui descendait tres bas, le tout faisant un adorable petit style de pétasse !! Pour la circonstance, j’avais forcé sur le maquillage, l’eye lyner et l’ombre à paupière.

Je voyais bien que mon patron était aux anges.

Sur le coup de 11H30, il déambule dans les couloirs et fait une annonce à la cantonade : S IL VOUS PLAIT APPROCHEZ VOUS ..Un petit cercle se forme autour de lui, l’équipe de comptables (que des filles), le commercial reloud et moi même et Michel effectue sa petite annonce :« Je suis extrêmement satisfait du travail accompli par toute l’équipe cette semaine , je vous donne votre après midi ! »

Un espèce de brouhaha se forme et retombe instantanémentlorsque mon patron ajoute « Pas vous Frédérique, j’ai besoin de vous pour boucler 2 dossiers urgents d’ici ce soir , mais rassurez vous , vous rattraperez lundi prochain »

Je me contente d’hocher la tête, mimant la déception, mais mon cœur s’accélère en réalisant que je vais être seule avec lui toute l’après midi !

Nous faisons ensuite une petite pause cigarette avec ma collègue Françoise qui ne peut pas s’empêcher de faire des commentaires « Mais alors, tu vas être seule avec lui » ou « De toute façon ca se voit qu’il te kiffe depuis le début »
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