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Mon nouvel amant m'offre à son ami

Chapitre 1

Gay
Suite de ma nuit à l’hôtel. Je suis avec mon amant d’un soir, un superbe black de quarante ans, monté comme un âne. Je viens de le baiser, et c’est maintenant à mon tour de me faire prendre. On commence par des préliminaires durant lesquels je vais mettre sa queue en forme, tandis qu’il va me dilater la rondelle. Je suis sur lui en 69, je le suce et je le branle, tandis qu’il me fouille et me bouffe le cul. On passe ainsi quelques instants délicieux, puis on estime être prêt pour la suite.Je suis à quatre pattes sur le lit, le cul au bord, et il vient debout derrière moi. Je sens son bout se plaquer sur mon œillet, et je serre les dents tandis qu’il s’introduit lentement mais sûrement. Son gland est passé, et son manche suit jusqu’à la garde. Il me demande si ça va, et au vu de ma réponse affirmative et de mes encouragements, il se met à me limer comme un métronome. C’est bon sa longue et grosse bite qui coulisse dans mon cul de salope. Ses coups de queue s’accélèrent, ses coups de reins sont plus puissants, et je sens ses couilles claquer contre les miennes à chaque fois qu’il me la met au plus profond. Il veut changer de position et me baiser comme je l’ai baisé.Je suis sur le dos à mon tour, jambes relevées, et il vient sur moi pour me saillir de face. Sa bouche prend ma bouche, et il se déchaîne entre mes miches, m’encule de toutes ses forces. Il va exploser et me demande le final que je souhaite. Comme lui, je le veux dans ma bouche.Il m’emmène devant la glace, sachant que j’aime ça, et il abuse de moi en proférant les mêmes mots que j’ai eu à son égard:— Pompe salaud, pompe. C’est bon l’amour entre mec, tu es un bon pédé, comme moi. Oh, tu es un bon, toi. Suce, fait moi jouir, vide moi les couilles................................Je m’active sur son manche, et finis par le faire décharger. Comme il l’a fait pour moi, je garde tout en bouche, on se roule une pelle liquoreuse, et il me laisse tout engloutir. Je voudrais qu’il reste encore, qu’il m’aime encore, mais il se rhabille pour partir. Il voit ma déception, et me propose une solution. C’est un copain à lui qui fait la nuit à l’accueil, et il veut bien le remplacer le temps qu’il me rende visite. Je le remercie pour cette excellente idée, et je le laisse partir et attends mon deuxième amant.
La porte s’ouvre et le voilà. Il est black lui aussi, beau lui aussi, la quarantaine lui aussi, et je l’espère aussi bien membré que son pote. Je suis à poil sur le lit et il doit savoir mes envies. Il se déshabille sans un mot, et je tombe en extase devant son engin, aussi beau que celui qui vient de me donner tant de plaisir. Je suis aussitôt à ses pieds, caresse son sexe qui pend, l’embrasse, l’embouche. Il me laisse faire quelques instants puis prend les commandes:— Allonge toi sur le lit, et donne moi ta bouche. Tu aimes la queue! je vais t’en donner.J’ai la tête penchée en arrière, la bouche ouverte. Il est au dessus de moi, un pied au sol, l’autre sur le lit, et il s’enfonce jusque dans ma gorge. Quelques va et vient tandis que je me branle, puis il reste au fonds de moi. Il se penche sur moi, et me gobe la queue, me suce. Je manque d’air et le repousse. Il se relève, se retire. Il se réintroduit et renouvelle plusieurs fois, en s’engageant plus loin, plus longtemps, à chaque fois. Il se retire une nouvelle fois:— Elle est bonne ta queue, mais je n’ai le temps de jouer avec; je ne veux pas abuser de la gentillesse de mon bon copain. Viens, je vais t’enculer comme tu le mérites.Il débarrasse ce qui sert de bureau, et je m’allonge dessus. Il relève mes jambes, pose mes chevilles sur ses épaules, et me pénètre sachant que mon fion est encore dilaté du passage précédent. Je me suis retenu de crier pour ne pas alerter les chambres voisines, et ce n’est maintenant que du bonheur. Il me défonce sans défaillir, et m’encourage à me branler, à me faire jouir, à le prévenir. Ma main sur mon manche, mais surtout son gourdin dans mon trou, me font enfin venir.Je l’ai averti, et il se retire, pas entièrement, et se penche pour gober mon gland me disant qu’il veut mon foutre. Je me branle encore plus fort, et il me tringle à nouveau, autant que la position le lui permet. Je jouis dans sa bouche, et il avale tout. Il se retire:Humm, c’est bon mon salaud, il est bon ton sperme. Tu aimes ça toi aussi il parait! Viens, je vais t’en donner.Il m’emmène devant la glace, sans doute sur les conseils de son copain. Je m’attends à ce qu’il me donne sa queue à sucer, mais il a un autre plan. Il me tourne de dos à lui, et m’embroche debout. Il s’enfonce au maximum, plaque ses mains sur mes seins et me soulève à chaque pénétration:— Regarde toi salaud, regarde comme tu te fais bien enculer. Je vais te remplir le cul, et puis je vais te faire bouffer ma sauce.— Oui, tout ce que tu veux, mais ne jouis pas de suite. Baise moi encore, c’est trop bon, on ne m’a jamais aussi bien enculé.— Pas de souci, tu va avoir ta dose. Il ne sont pas nombreux ceux qui acceptent ma bite dans le cul. Alors quand j’en tiens un, crois moi que j’en profite au maximum.Il me baise encore de longues minutes, vigoureusement, et enfin son plaisir se répand dans mes entrailles. Je sens ses chaudes giclées inonder mes reins, et je gémis comme une chienne. Il a fini de se soulager, reste en moi, et m’entraine jusqu’à la cafetière laissée à disposition du client. Il me fait prendre la plateau qui est dessous et m’indique la suite. Quelques pas l’un dans l’autre, lui dans moi, et on se retrouve devant la glace. Il se dégage et je m’accroupis, posant le plateau sous mon cul. Je le suce, nettoie sa queue, et vide mon fion de ses éjaculations. Je me relève, contemple le plateau bien rempli, l’incline au dessus de ma bouche ouverte, et déverse tout. J’avale, puis lèche le plateau pour ne rien perdre.On se remercie, se félicite, comme on l’a fait avec son copain, et il se prépare à me quitter. Je lui suggère alors une partie à trois, mais il me dit que ce n’est pas possible à cause de leurs horaires.
Lendemain, dix-huit heures, je regagne l’hôtel. Mon premier amant est là et on se donne rendez-vous comme la veille, pour vingt-deux heures. Il est à l’heure et on passe deux heures de baise intense, dominé et dominant à tour de rôle. Son copain lui a parlé de mon envie de baise à trois et il me laisse entrevoir une possibilité. Il m’explique que l’accueil est ouvert 24h sur 24, et qu’ils font les trois huit par roulement. La semaine prochaine il bosse de 22h à 6h, et son copain de 6h à 14h. Il a vu que j’ai des réservations pour la semaine suivante et me propose des cinq à dix, mieux que des cinq à sept. Je lui donne mon accord sans hésiter, et il descend et m’envoie son copain.Mon deuxième amant me baise comme un dieu. Je m’offre à lui comme une pute que je suis, et j’accepte tout ce qu’il veut. Il me possède par la bouche et le cul, et je me délecte de son plaisir final.
Je termine la semaine, le lendemain à Paris et le reste chez moi. Lundi je remonte à la capitale. Je n’ai jamais eu aussi hâte de reprendre le boulot.A suivre.............................
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