Tout d’abord une petite description physique : je suis brune , la poitrine assez généreuse ( 90b), je mesure 1m75 pour 55 kilos et j’ai les cheveux noirs . Mon oncle était chauve , un peu enrobé et les yeux verts . C’était un soir de Noël, toute la famille était repartie et je me retrouvais seule avec mon oncle ( j’avais 18 ans et lui 57). Nous faisions la vaisselle quand soudain , il s’est collé à moi . Enfaite , il n’avait aucune arrière pensée ( il voulait juste atteindre le placard ) mais je me suis retournée et nous nous sommes retrouvés nez à nez . Il a rougit mais moi pas . Cela faisait des années qu’il faisait l’objet de tout mes fantasmes . Il n’était pas particulièrement beau mais c’est avec lui que je voulais perdre ma virginité . Je lui faisais donc du pied à tous les dîners, sans grand succès. C’était donc le moment idéal et j’en profitai ." bah tonton qu’est ce que tu fais ?— désolé mais je voudrais atteindre le placard .( je mis ma main sur son entrejambe et je fus surprise de sentir une bosse )— mais dis moi , tu bandes !— s’il te plait retire ta main ! Qu’est ce qui tu prends ?! "À mesure qu’il parlait , je commençai à me frotter contre sa bosse , pour l’éxiter . Il me repoussa et ce fut le moment que je choisis pour l’embrasser avec fougue . D’abord il me repoussa puis ses lèvres s’entrouvrirent et je sus que j’avais gagné . Du moins c’est ce que je croyais . Sa langue s’enfonça dans ma gorge , m’étouffant presque . Ses mains palpèrent mon corps à la recherche de mes seins puis arrachèrent mes vêtements . Je me retrouvai en sous vêtement devant mon oncle . Soudain je pris peur. Tout ce que j’avais imaginé faire avec mon oncle s’était volatilisé . L’homme qui me faisait face avait l’air d’une bête prête à me mordre . Il s’approcha de moi et m’embrassa avec violence . Ses lèvres oppressaient les miennes et des mains fouillaient ma culotte ." mais tu mouilles salope ! — qu’est ce qui te prends tonton ?— tu crois que je n’ai pas vu ton petit numéro d’allumeuse ? Ça fait des années que tu me fais bander , tout à l’heure , tu me touches la bite et là tu fais ta prud’? Allez écarte tes jambes petite pute! Je vais te niker comme il se doit .— non arrête ! Je suis désolée pour tout à l’heure et pour tout ce que je t’ai fait pardon ! "Mais c’était trop tard .. Il saisit mes seins et me plaqua contre la table froide du salon . Je hurlai et me débattis tant que je pus . Je sentis son érection à travers son pantalon . Je voulus me retourner pour lui faire face mais dès que j’ouvris la bouche, il enfonça sa langue dans ma gorge , me forçant à enrouler ma langue autour de la sienne . La suite si cela vous plait !
