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Mon patron fait de ma femme son jouet sexuel

Chapitre 8

Orgie / Partouze
Mon patron fait de ma femme son jouet sexuel Ch. 08
Coulybaca / Wifelvrman


récit de Déborah:


Cependant je suçais un autre homme je ne connaissais pas. C’était le cinquième que je pompais, la suivante était une femme.
Il avait une belle bite, J’en devenais toute humide en promenant ma langue sur son méat, l’agaçant de la pointe, avant de l’enfourner à pleine bouche.
Je ne l’ai sucé qu’un court laps de temps, il était vraiment pressé d’éjaculer.
J’avalais du foutre pour la cinquième fois cet après-midi, seuls quelques traînées ornaient mon menton et mes tétons. Je faisais de mon mieux pour en avaler la plus grosse dose.


Il me semblait que faire de mon mieux était la seule façon d’écourter mon épreuve, je me demandais si je pouvais deviner es pensées en le regardant droit dans les yeux, eh oui, ses yeux le trahissaient, il allait jouir.
Lèvres serrées sur sa hampe elle avala jets après jets sa chaude semence.


Au tour de la femme maintenant, ce n’était qu’un nouveau corps, cela ne changeait rien. Elle était un peu trop ronde, juste comme moi, mais elle avait un regard viril, elle prétendait être un homme sans queue! .....


— "Je m’appelle Amy..." me dit-elle
— "Laisse moi essuyer ce foutre sur ton menton..... comme ça... Et maintenant suce mon doigt! ..... Ca c’est une bonne fille! ..... J’aime voir les filets de foutre qui marbrent tes nichons! ...... Je suis sure que tu en auras beaucoup plus que ça d’étalé sur les miches avant fin de l’après-midi! .... As-tu déjà bouffé des chattes ma chérie? .... Allons dans les toilettes, ces salauds n’ont pas besoin de nous regarder faire! ....."


Elle prit ma main et m’entraîna dans les toilettes sous les rires et les regards salaces de ces collègues, je reçus quelles bonnes claques sur les fesses alors que je passais devant mes futurs consommateurs.
Plus d’un s’écriait :
— "C’est pas du jeu... On veut la voir te brouter le minou! ......"


— "Oh, mon dieu, prends sur toi Déborah....." me fustigeais-je.
Je sentais mes yeux se remplirent de larmes! ....
Je me trouvais dans les toilettes de la salle de repos, uniquement vêtue d’un porte-jarretelles, de bas et de hauts talons, les nichons couverts de foutre me tenant droite alors que des doigts épais s’insinuaient dans mon fourreau embrasé.


— "Pose le pied sur le siège des W.C, je vais goûter à tes charmes... " m’intima Amy.
Je me secouais et lui obéissais.
— "J’aime mieux ça, tu me sembles bien nerveuse, angoissée..... C’est vraiment la première fois que tu te gouines, n’est ce pas? ...."


— "Oui... " avouais-je d’une voix tremblante, de grosses larmes ruisselant sur mon visage.


— "Eh bien je suis drôlement contente que cela arrive dans les chiottes de la salle de repos..... Avec cette bande d’hommes qui te connaissent et connaissent ton mari attendant à la porte, sachant ce qui se passe...... Des hommes que tu viens de sucer ou que tu suceras dans un court laps de temps... Des hommes qui peuvent te baiser comme bon leur semble..... Des hommes avec lesquels tu devras prendre plaisir à satisfaire leurs appétits les plus pervers! ....." soulignait Amy avec âpreté.


Elle se tenait maintenant à genoux entre mes cuisses, léchant et titillant ma chatoune affolée.
Je pensais qu’elle adorait que je crie alors qu’elle me manipulait lubriquement.


— "C’était excellent! ..." commenta Amy me fixant droit dans les yeux.
— "Veux-tu goûter à tes flagrances? ...."
Ce n’était pas vraiment une question, Amy se saisit de ma tête et introduisit sa langue dans ma bouche me tenant fermement alors que sa langue explorait ma bouche.
— "Ouvre la bouche en grand! ..." m’ordonna-t-elle.
Elle me cracha dans la bouche.
Qu’allait-il encore m’arriver ensuite? ......


— "Tu ferais mieux de t’agenouiller pour t’occuper de moi maintenant... m’avertit Amy suavement.
Elle dégrafa sa jupe, l’enleva en un éclair ainsi que sa petite culotte de dentelle blanche.
Je vis que sa chatte était inondée de cyprine lorsqu’elle m’enjoignit de lui bouffer le gazon.


— "Plonge ta langue profondément dans ma chatte! ....e me commanda-t-elle.
Sa jute semblait plus douce et moi salée que le foutre des hommes.
— "Il faudra que tu apprennes à mieux caresser les femmes, je suis l’assistante de Dan, et comme il est très pervers, il m’a promis que je pourrais me servir de toi à ma guise! ..... Tu devras me donner un max de plaisir, tu m’as bien compris petite salope! ... Pour l’instant, savoure mon jus! ....."


Elle jouit dans ma bouche et son jus s’écoula à torrent, je pensais qu’elle n’arrêterait donc jamais de secréter sa jouissance alors que je lui suçais consciencieusement la foufoune.
Je savais pertinemment qu’elle jouissait d’autant plus qu’elle sentait à quel point le fait de lécher la chatoune d’une autre femme m’humiliait, me faisait honte, on m’avait toujours enseigné qu’il s’agissait là d’actes contre-nature.


— "Une dernière chose... " me confia Amy.
— "Dan m’a dit que tu lui léchais délicieusement le trou du cul! ..... Eh bien occupe-toi du mien aussi bien! ..... Si tu veux que je me satisfasse de tes services! .... "
Sur ces mots elle se retourna, se pencha en avant projetant son gris cul sous mes yeux révulsés.
Je pointais ma langue et m’exécutais servilement.






Récit de Georges :




Dan m’informa par téléphone que Déborah avait fini de sucer mes collaborateurs ainsi que son assistante Amy qui était profondément satisfaite de ses services.
Il ajouta, explosé de rire que ses mâchoires étaient douloureuses... Le fils de pute! . ;
C’était déjà assez humiliant que Déborah ait du cesser tous les membres de mon équipe, mais si je devais en plus supporter ses plaisanteries salaces! ....
Je compris que Déborah devait se trouver dans une chambre d’hôtel et que les employés de la compagnie savait laquelle, et qu’une sélection d’employés pourrait user et abuser de ses charmes en privé.
Ensuite la chambre serait ouverte aux amateurs de tous poils.


Elle devait se montrer très coopérante et baiser avec tous les amateurs de ses charmes.
Quelle que soit la façon dont ils voulaient la posséder, en bouche, en con ou en cul, elle devait se montrer coopérante et enthousiaste.
— "Combien devraient-elle endurer de rapports? ...." me demandais-je avec angoisse.


Dan me rappela plus tard pour me dire qu’il avait pris quelques photos qu’il allait me faire parvenir par mail.
Il me prévint un peu plus tard que les choses avaient un peu dérapé et qu’après une dizaine d’amateurs, les autres ne voulurent plus attendre plus longtemps et qu’ils étaient en train de la partouser alors même qu’il me téléphonait.


Déborah chevauchait une bite tout en s’efforçant de branler deux autres et de sucer un troisième.
Il prit son temps pour m’informer que Manuel un des gardiens de la société se préparait à enculer Déborah, Dan était curieux de voir si elle pourrait s’occuper de 5 hommes à la fois.
Il m’envoya quelques photos prises dans cette chambre d’hôtel.


Dan la ramena à la maison à 4 heures le lendemain matin.
Elle portait une robe de chambre de l’hôtel. Elle était couverte de foutre de la tête aux pieds, visage, cheveux nichons, cuisses, ventre... Aucun endroit n’avait été épargné.
— "Lorsque je leur ai dit que je devais la ramener chez elle, Ils ont tenu à tous lui éjaculer en chour sur le ses appâts avant de la quitter! .... Il aurait fallu que tu voies ça! ..... Du foutre jaillissait de nombreuses bites... Je pense qu’ils voulaient la transformer en gâteau à, la chantilly! .... Cela lui va bien, ne penses-tu pas? ...."


Le 9 octobre 2007
Traduction en français de Coulybaca, Dominique.dubuissez@orange.fravec l’autorisation de l’auteur wifelvrman (Literotica)
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