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Mon premier gang-bang

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
A midi, Arnaud m’appelle pour me dire : — Ce soir habilles-toi très sexy, je passe te prendre à 8h 1/2. C’est sa phrase habituelle pour dire que nous allons passer une soirée coquine chez des amis. A l’heure convenue, je suis prête. J’ais mis des bas noirs à couture, soutien-gorge, porte-jarretelles et string assortis, en dentelle noire, talons aiguilles, un chemisier blanc et une jupe courte rouge.
En arrivant, Arnaud me demande de me changer et de mettre les vêtements qu’il a apportés, un chemisier transparent, en dentelle blanche, pour le contraste avec mon soutien-gorge et une micro-jupe plissée noire, et surtout pas de culotte. La jupe est si courte qu’elle ne cache pas mes fesses, et lorsque je marche, elle virevolte, laissant entrevoir mon intimité. Pour ne pas me faire remarquer dans la rue, je mets un long manteau noir par dessus ma tenue pour le moins légère !
Nous partons dans la voiture d’Arnaud. Après ½ heure de route, il s’arrête devant une grande villa entourée d’un haut mur, il sonne, nous entrons et traversons le jardin. La porte de la villa s’ouvre, un homme d’une cinquantaine d’années se tient sur le seuil. Il nous salut de la tête et dit à Arnaud en me toisant : — OK ! Arnaud me dit alors qu’il a quelque chose à faire et qu’il reviendra dans un moment. Il récupère mon manteau et me demande d’être agréable avec nos amis, puis il s’en va.
Mon hôte me fait entrer dans la maison sans dire un mot et m’indique de la main la direction à suivre ; pendant que j’avance, ma jupe virevolte et je comprends qu’il reluque mes fesses.J’entre dans une grande pièce qui doit être un salon, il y a là cinq ou six hommes, un verre à la main, pas de femme. Mon hôte dit d’une voix forte : — Venez, elle est arrivée, je me dis qu’il appelle ces dames. A ma grande surprise, d’autres hommes entrent, j’en compte douze en tout, avec mon hôte, âgés de trente à cinquante ans. En fait je suis la seule femme ! Je me dis alors que la soirée va être très dure pour moi ! Mais pourquoi Arnaud m’a-t-il amenée dans ce traquenard ?
Mon hôte me demande de marcher dans le salon afin que tous les convives puissent me contempler et attire leur attention sur le fait que je ne porte pas de culotte. Les commentaires vont bon train :— C’est un signe, ça doit être une bonne !— Elle est vraiment sapée comme une pute, remarque c’est normal !— Elle a un super cul !— J’espère qu’elle sait s’en servir !— Elle a une belle gueule et des gros seins, j’aime bien !— Elle est bien roulée, elle me fait déjà bander !
Aussitôt ils commencent à me triturer les seins, me peloter les cuisses et les fesses, un me doigte la chatte, un autre le cul. On m’arrache mon chemisier et mon soutien-gorge. Je sens des mains partout, l’un d’entre eux commence à pincer mes tétons avec ses ongles, je lui dis que c’est très douloureux, il me répond : — Ta gueule salope !Ils m’invitent à me mettre à genoux et commencent à enfoncer tour à tour leur sexe dans ma bouche en maintenant ma tête avec leurs mains, leurs bites pénètrent jusqu’au fond de ma gorge. En même temps, je dois les masturber. L’un d’entre eux a une queue énorme, au moins 6 cm de diamètre, et plus de 20 cm de long, il remplit entièrement ma bouche ! Je me dis que si celui-là m’encule, il m’explosera l’anus !
Après un moment, ils m’étendent sur une table, les jambes pendant dans le vide, l’un d’entre eux relève ma jupette, approche son sexe de ma vulve et me pénètre d’un violent coup de reins, il me l’a mise d’un seul coup jusqu’à la garde ! Ce qui me fait gémir de douleur, il croit que c’est de plaisir et dit : — T’aimes ça, hein, salope ! Tu vas en avoir pour ton pognon t’inquiètes pas, n’est ce pas les gars ? Tous rigolent et j’entends :— Pour ça, y’a pas de problème. Ses coups de boutoir redoublent d’intensité, il sort presque totalement son engin et le réintroduit entièrement, d’un seul coup, et sa bite doit faire plus de quinze centimètres, heureusement elle n’est pas très épaisse. Ce pilonnage commence à faire son effet, je sens ma foufoune s’humidifier.Ils s’acharnent sur moi toujours aussi intensément, dans la chatte et dans la bouche. Paradoxalement le plus doux c’est celui qui a la plus grosse bite, son sexe me remplit complètement, m’écartèle même mais ses aller/retour sont lents et sans aucune violence. Je commence a y prendre goût, et j’ai un premier orgasme. — Ca y est elle prend son pied ! Pendant ce temps, les autres me pincent les fesses et les seins. J’essais de ne pas gémir, de peur qu’ils prennent ça pour du plaisir. Tout à coup l’un d’entre eux gicle au fond de ma gorge, il retire sa bite et continue à éjaculer sur mon visage, dans mes yeux et mes narines, son sperme est abondant et épais, je n’ai même pas le temps de le cracher, un autre a aussitôt envahie la place laissée libre. Pendant ce temps, mon baiseur me décharge la purée sur le ventre, je sens son liquide chaud couler sur mes cuisses, un autre s’est soulagé sur mes seins. Au bout d’un moment, plusieurs d’entre eux ont jouis et je suis couverte de sperme.
Alors, j’entends : — Maintenant on va passer aux choses sérieuses. Je leur dis que j’ai mal au ventre et que je veux arrêter. Celui qui nous a reçus me dit alors : — Ca va pas non ? On a lâché un paquet de blé à ton mac pour te passer dessus, on en a rien à foutre que t’ais mal au cul. Une pute, c’est une pute !Je comprends alors qu’Arnaud m’a louée à ces hommes, comme une vulgaire pute !
Ils me font descendre de la table et m’entrainent sur un lit où ils me font mettre à quatre pattes. Je ne sais pas combien de temps s’est écoulé depuis mon arrivée, ni pour combien de temps Arnaud m’a louée. J’ai la chatte en feu et je sais que c’est loin d’être terminé.Un type me prend la tête et fourre sa bite dans ma bouche, c’est reparti. Je sens qu’on m’introduit des doigts dans la chatte et dans le cul et j’entends : — Vous avez déjà joué au bowling ?, tous s’esclaffent. Les doigts quittent mon intimité et l’un d’entre eux dit : — Il va falloir lui élargir le trou du cul, autrement on va l’exploser ! Il est vrai que ça fait une bonne dizaine de jours qu’on ne m’a pas prise au petit. Aussitôt dit, aussitôt fait, on m’introduisit un plug dans l’anus, il n’est pas très large mais je pousse pour qu’il rentre mieux, l’un d’entre eux dit : — Tu vois, ça lui plait ! Elle aime qu’on lui bourre le cul !, — Elle va être servie ! Répond un autre. Puis, laissant le plug bien enfoncé, il me pénètre en levrette et jouit rapidement, s’épandant sur mon dos et mes fesses, qui jusqu’alors ont été épargnés, plusieurs se succèdent, prenant leur plaisir dans ma chatte ou dans ma bouche. Alors on décide de retirer le plug de mon cul et de le remplacer par un énorme god que l’on me présente : — 20 cm de long, 5 de diamètre, quand tu l’auras porté un moment, t’auras le trou du cul aussi large qu’une porte de garage ! Ce gode est pourvu d’une ventouse à son extrémité. Je vais bientôt comprendre pourquoi. Après m’avoir enduite de vaseline, ils commencent à me l’introduire lentement, presque avec douceur, je les aide en poussant au maximum, il me remplit complètement, je ressens une forte douleur au niveau du sphincter qui se dilate sous la pression : — plus que dix centimètres ! Et moi qui croyais qu’il était déjà tout au fond ! Je retiens mon souffle et je pousse tant que je peux, sachant que dans tous les cas ils me le planteront jusqu’à la garde. Une foi munie de mon élargisseur d’anus, ils m’assoient sur la table où la ventouse se colle. Ils peuvent ainsi tranquillement continuer à utiliser ma chatte. Je mesure l’incongruité de ma position, je suis empalée sur un énorme pieu, planté au milieu de mes fesses et collé sur une table, je ne peux pas bouger, mon ventre me fait souffrir, et ils continuent à me pilonner sans ménagement l’un après l’autre. Paradoxalement, j’y prends du plaisir !En même temps que leurs coups de bite incessants, je ressens de plus en plus cette présence entre mes reins, j’ai même l’impression que cette chose bouge dans mon corps, qu’elle vit. Et j’ai un nouvel orgasme, malgré une envie de crier, de pleurer. Et ce fumier d’Arnaud qui ne revient pas. Certains m’embrassent en me baisant, ils sont toujours aussi vigoureux, leurs bites me font toujours mal, mais le plaisir, lorsqu’il arrive, efface toujours la douleur. La plupart me prennent sans préservatifs, me déchargent dans le vagin qui doit être rempli de sperme, je sens le liquide couler. Ils ont jouis plusieurs fois, ils se calment un peu, buvant un verre et commentant leurs exploits. Il faut qu’ils récupèrent.
Moi je suis toujours plantée (c’est le cas de le dire) sur la table, sans bouger. Je demande un verre d’eau, réponse habituelle : — Ta gueule salope ! Si t’as pas bu assez de sperme, on va t’en redonner. Puis, ils me descendent de la table, retirent l’engin qui obstrue mon cul et disent en m’enfonçant plusieurs doigts dedans : — Là c’est bon, on peut y aller. Quel soulagement de ne plus avoir cet épieu planté au milieu des fesses ! Soulagement de courte durée, retour sur le lit, un des types se couche sur le dos et m’invite à me coucher sur lui, il me pénètre immédiatement, il a une grosse bite qui remplit bien ma chatte, aussitôt un autre se plante derrière moi, met son gland contre mon anus et s’enfonce dans mon cul. Je savais que ça allait arriver et je suis bien ouverte. Malgré cela je ressens une forte douleur dans le bas ventre, les deux bites sont épaisses et m’écartèlent les conduits. Mais rapidement les deux types s’activent en moi et j’ai un nouvel orgasme, plus fort que les précédents. Un autre type se plante devant moi et me fourre sa queue dans la bouche, j’entends quelqu’un dire : — C’est un fusil à trois coups les mecs.Ils y passent tous sans exception, pilonnant mon cul et ma chatte et me déchargeant dans les entrailles. Le type à la plus grosse bite me pénètre délicatement. Après plusieurs aller/retour, je sens qu’il s’épanche dans mes intestins, son jet est puissant, il râle comme une bête, et j’ai encore un orgasme. Il reste quelques instants planté là en me caressant les seins, je sens sa verge dégonfler dans mon cul. Enfin il se retire et les autres me reprennent, toujours à trois, ils ont tous tiré plusieurs coups, je me demande comment ils peuvent encore bander !
Enfin il en reste deux encore en forme qui ont une idée, ils me prendront debout. Ils me relèvent, j’ai mal partout, ma chatte et mon cul sont en feux, j’ai de plus en plus mal au ventre, je marche avec difficultés, je leur dis que je n’en peux plus et j’entends le sempiternel : — Ta gueule salope ! Ils me mettent debout, l’un des deux me lève une jambe avec son bras tout en maintenant mon corps contre lui avec l’autre et pénètre mon vagin, sa bite, toujours aussi droite, n’a aucun mal à s’enfiler dans le trou béant, l’autre type se met derrière moi, m’écarte les fesses et entre tout aussi facilement dans mon cul, puis ils commencent à bouger, je sens leurs deux verges qui me fouillent, une chance, la position doit les exciter car ils s’épanchent rapidement en moi. Ils me lâchent et je tombe sur le sol. L’un d’eux me ramène sur le lit. Soudain j’entends : — Mais on ne l’a pas prise en double pénétration dans le même trou ! Ca va lui manquer, il faut réparer ça. Deux types arrivent, le premier se couche sur le dos, ils me posent sur lui, le deuxième s’accroupit derrière moi et ils me pénètrent la chatte en même temps. Je crois que je ne pourrais pas le supporter, que je vais m’évanouir.
C’est à ce moment que retentit la sonnette. J’entends : — C’est son mac qui vient la chercher. Enfin ! Puis : — Fais le attendre, on peut pas la laisser comme ça, il faut qu’on la finisse ! Et ils continuent à me labourer les entrailles jusqu’à ce qu’ils y déversent leur semence. Mon ventre me fait un mal de chien. Alors ils me lâchent et je m’écroule sur le lit. La porte s’ouvre et j’entends : — Maintenant, tu peux te casser salope ! Puis, comme je ne bouge pas il dit : — Regardez-la, elle a tellement aimé qu’elle veut plus partir, puis s’adressant à Arnaud : — Récupère ta poufiasse et cassez-vous, oublie pas ses fringues, ce serait dommage ! Arnaud ramasse les morceaux du soutien-gorge, du porte-jarretelles et du chemisier, m’aide à me lever, je porte encore la jupe, mes bas sont sur mes chevilles, j’ai toujours mes chaussures, mais un des talons est cassé. J’ai toutes les difficultés du monde à marcher, Arnaud me fait enfiler le manteau et me porte jusqu’à la voiture en sortant j’entends : — A bientôt salope !
Arnaud m’installe dans la voiture, je suis pleine de sperme, ça coule encore de ma chatte et de mon cul. J’ai l’impression que je suis passée sous un rouleau compresseur, tout mon corps est meurtri. Ces salauds m’ont cassé la chatte et le cul, ils m’ont prise comme une chienne, pour eux j’étais une pute, un sac à foutre, un objet sexuel et tout ça par la faute d’Arnaud. Il allait me le payer celui-là. Je demande : — Quelle heure est-il ?, — 2h ¼, répondit-il. Ca fait plus de 5 heures qu’ils s’amusent avec moi !
Arrivés chez moi, Arnaud me porte jusqu’à mon appartement. Il me fait couler un bain, retire ce qu’il me reste de vêtements et me plonge dans la baignoire, c’est bon, il m’aide à me nettoyer, il me masse, je pense qu’il me faudra quelques jours pour me remettre.
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