Voilà je me prénomme Eric, je suis âgé maintenant de 40 ans et vais vous raconter l’histoire vraie qui m’est arrivée il y a maintenant plus de 15ans avec l’homme qui me louait un appartement durant mes études.Après le lycée et avoir obtenu brillamment mon BAC (au repêchage..), je n’ai pas voulu m’orienter directement dans une carrière professionnelle et j’ai choisi la faculté de droit, je crois pour rester avec mes copains. Mes parents ayant peu de moyens, pour financer ma vie je me partageais donc entre la fac et des petits boulots qui me permettaient de survivre. J’étais et d’ailleurs je suis toujours un hétéro, et je faisais de temps en temps des sorties avec mes potes et des filles que je ne gardais d’ailleurs pas très longtemps.Voilà la vie que j’ai menée durant 3ans, mais à 22 ans voyant que je n’étais pas fait pour les études, j’ai profité d’une opportunité pour rentrer dans une société qui fabriquait des accessoires pour voitures. J’ai été embauché en tant qu’assistant dans un bureau qui vérifiait la qualité des produits fabriqués. J’ai travaillé pendant pratiquement 2 ans et ce travail me plaisait et j’avais de bonnes relations avec mes collègues de travail. Cependant un matin, un responsable m’a convoqué afin que je puisse avoir un nouveau poste dans la société, bien sur le salaire était beaucoup plus intéressant. La seule condition à cette promotion était de devoir travailler dans la maison mère à PARIS durant 18 mois, servant d’une part à la formation et d’autre part à être évalué par mes supérieurs. J’acceptais donc cette proposition et au mois de septembre je partais direction PARIS. J’avais 24 ans à l’époque et le prix des loyers sur PARIS étaient très dissuasifs, j’ai donc passé des heures sur les petites annonces pour finir par trouver une location en banlieue parisienne à plus d’une heure de mon travail, mais je n’avais pas le choix.Je me suis donc présenté avec mes deux gros sacs de voyage devant la maison qui allait être mon habitation pour 18 mois. Elle se trouvait au milieu de nombreux autres pavillons, il s’agissait d’une maison avec un étage qui devait avoir une quarantaine d’années. Après avoir sonné, l’homme que j’avais eu au téléphone vint m’ouvrir. Il avait entre 60 et 65 ans, il vivait dans cette maison depuis avec sa femme qui était un petit peu plus jeune.Il n’accompagnât dans ce qui allait être mon logement. EN réalité il s’agissait d’une grande pièce au sous sol qu’il avait emménagé en chambre, avec un petit lavabo et un meuble avec un petit réchaud. La pièce était propre et il y avait un radiateur. Par contre les toilettes et la douche était commune avec eux. Je devais donc monter à l’étage chez ces personnes par un escalier intérieur si je voulais prendre une douche ou aller au WC.Après la visite, le monsieur qui s’appelait Roger et sa femme Odette m’ont offert un café dans leur salle à manger. Nous mettons au point le paiement du loyer qui représentait plus de la moitié de mon salaire, je devais donc faire très attention. Ces deux personnes étaient très aimables, lui était assez costaud je dirais 95 kg pour 1m70 et elle plus mince avait une forte poitrine. Je m’installais donc dans cette maison au mois de septembre et les mois s’écoulèrent sans problème particulier. Souvent je prenais ma douche le matin de bonne heure et ils n’étaient pas encore levés et le soir lorsque je rentrais, il m’arrivait de les apercevoir rapidement.Au mois de décembre je partis vers le 20 décembre pour les fêtes de fin d’année, ne devant revenir que pour le 3 ou 4 janvier. Je me suis rendu dans ma famille et j’achetais des cadeaux à tout le monde, tout se passait bien. Lorsque je rentrais aux alentours du 4 janvier, Roger vint frapper à la porte de ma chambre pour me souhaiter une bonne année et au passage me rappeler le paiement du loyer. Je lui répondais par l’affirmative mais les fêtes m’avaient coûté cher et je n’avais pas l’argent du loyer.Le samedi suivant, vers midi, je ne travaille pas et Roger vient une nouvelle fois me rappeler mon retard de loyer. Je décide alors d’être franc avec lui et lui explique qu’avec les fêtes j’avais dépenser beaucoup d’argent et je ne pouvais pas le payer. Il me demanda alors de trouver rapidement une solution, sinon il faudrait qu’il prenne une décision. Le jeudi arrivait et bien sur je n’avais pas de solution, impossible de demander à mes parents ou ma famille qui avaient encore moins de moyens que moi. Je profitais que Roger se trouvais seul chez lui pour frapper à la porte et lui demander si il pouvait attendre un peu. Nous nous retrouvons dans sa cuisine, nous sommes assis face à face et me dit qu’il peut m’aider si je suis d’accord. Je suis bien sur complètement à son écoute, il me dit alors que si j’accepte d’être gentil avec lui, il peut me faire une petite fleur. Je me redresse de tout mon corps et Roger s’aperçoit de mon étonnement. Il me précise alors qu’il est bi depuis plusieurs années, mais que sa femme n’est pas au courant et que je lui plais bien. Je lui explique immédiatement que je ne suis pas bi mais hétéro et que je ne peux pas accepter ce genre de proposition. Roger me regarde fixement et me dit alors qu’il est désolé mais je dois partir dès lundi. Je rejoint immédiatement mon logement et n’arrive pas à réaliser. Il ne me reste maintenant qu’à trouver un autre logement, mais je ne vois aucune solution. Voyant pour moi la perte du logement mais aussi de mon boulot, après avoir réfléchi toute la nuit, je vais tenter de convaincre une dernière fois Roger. Je me rend une nouvelle fois chez lui, sa femme est là, il me dit alors que nous allons discuter de ça dans le garage. Il me confirme que sa proposition tient toujours, mais si je veux il ne fera que regarder sans toucher. Je sens qu’il n’ y a pas d’autres issus et finis dans un moment d’égarement par accepter sa proposition. Pour être sur que je suis sincère il me demande alors de me déshabiller devant lui, après une courte hésitation je finis par m’exécuter et retirer mon pull, puis mon thee-shirt, j’ai froid car le garage n’est pas chauffé, puis je retire ensuite mon pantalon et mon slip. Je suis maintenant complètement nu devant se pervers qui se trouve à 3 ou 4 mètres de moi. Tout en me regardant sa main se porte machinalement sur sa braguette et je devine que cette situation l’excite.Il me demande de me tourner afin de voir mes fesses, je cache pudiquement mon sexe mais lorsque je me retrouve face à lui il me demande de retirer mes mains. Il regarde alors avec appétit mon sexe. Il me complimente sur mon physique et me dit qu’à partir de maintenant je devrais laisser la porte de la salle de bains non verrouillée afin qu’il puisse regarder lorsque je prend ma douche. Beaucoup de moments surprenant m’attendent, vous verrez en lisant la suite de mon histoire, excusez moi si j’étais long au début mais je voulais que vous connaissiez bien ma situation, à bientôt donc pour la suite de cette histoire.
