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Mon Sicilien

Chapitre 3

Boires et déboires familiaux 1

Divers
Mon Fred en profite pour me faire connaitre toute sa famille lors d‘une réunion chez ses parents. Il me présente comme sa compagne, j’arbore fièrement son collier de cuir à mon cou et cette laisse qui se balance entre mes seins. Quand il fait venir une de ses nombreuses cousines, il me la présente comme une humble servante mariée et mère de deux enfants. Une femme saisissante de beauté, sublime en tout point, son ventre parfaitement plat dans sa robe moulante ne laisse rien paraitre ses deux maternités.
-    Voici ma compagne, comme toi, par le passé, elle est devenue ma servante.-    Voici une fort belle jeune femme, mon Seigneur, vous donne-t-elle entière satisfaction ?-    En tout point, en tout point. Et ton Maître, où se cache-t-il ?-    Il possède une serveuse derrière la grange.-    Pas mal, pas mal du tout. Et toi, l’aime-tu toujours ?-    Non seulement je l’aime, mais je le vénère à chaque instant. Je sens comme des regrets dans sa voix-    Est-il brutal ou amour ?-    Les deux, mon Seigneur !-    Que préfères-tu ?-    Les deux, mon Seigneur, il faut bien punir sa servante quand elle faute. Là encore, pieu mensonge, je la sens embarrassée. -    Tu vois, ma chérie, cette cousine, sans qu’elle ne le sache au début, est devenue une femme exquise, tendre et affectueuse avec son amant jusqu’à lui faire don de sa personne, tout comme toi.-    Oui mon Seigneur, cette femme est belle. Puis-je mon Seigneur ?-    Fais ma chérie.
Près de cette femme, nous étions un peu à l’écart. Je pose ma main sur sa joue, elle y appuie son visage. Complaisante avec moi, je caresse sa joue à la peau si douce.
-    Vous voilà amie, mes chéries. Quand tu verras ton mari, amène le moi que je lui parle. Viens-toi !
Près d’une grande et longue table dressée, il termine les présentations avec ses parents et du reste de sa famille. Inutile de dire que j’étais craintive à l’idée de ne pas plaire à ce couple, ses parents. Quand arrive le mari de la cousine, mon Fred me le présente. Nous nous éloignons de la famille pour mieux nous connaitre. Avec sa femme, le mari et Maître me palpe sans vergogne, docile, je me laisse faire. Aussi, il guide sa femme vers moi. Ne nous obligeant à rien, ils nous laissent nous embrasser tendrement. De nos mains sont curieuses, elles fouillent le corps adverse, très vite, nos cœurs battent à l’unisson. Très vite aussi, nous voilà prise dans un orgasme parfaitement synchronisé et merveilleux sous le regard de nos Seigneurs. À table, mon amant m’assoit près d’Isabelle, me laissant faire comme bon me semble. Toutes deux libre d’agir comme bon nous semble, nous en profitons pour nous éclipsé juste après le café. Isabelle m’entraine dans une remise, bien à l’abri des regards. Quelque chose de fort nous pousse l’une vers l’autre.
Tout en nous nous aimant, nous nous racontons comment nos Maîtres agissent avec nous. Nous ne nous cachons rien de nos journées, nous ne nous cachons rien de nos désirs, de nos fantasmes. Très vite, il est clair pour Isabelle comme pour moi que nous vivons heureuses. Je ne sais pourquoi, mais il me semble que je me force à la croire, à croire en son bonheur. Je ne sais pourquoi, mon instinct féminin, je suppose, mais je doute un peu de son bonheur qu’elle dit pourtant idyllique. Quelque chose me dit qu’elle ment honteusement. C’est alors que je découvre dans la pénombre de notre abri qu’elle porte un tatouage qui dit qu’elle est la propriété exclusive de son cousin, mon Fred. Je suis pantoise devant ce tatouage. Isabelle m’explique qu’elle va le faire disparaitre pour mettre le nom de son mari et Seigneur.
-    Mais pourquoi Fred est-il sur ta peau ?
-    Parce c’est pour lui. J’étais folle de lui, comme toi de lui, s’il me l’avait demandé, je me serais donnée à lui et non mon mari. Pour le pousser à me prendre, je me suis faite tatouée, une grossière erreur qui m’a valu trente coups de fouet amplement mérités. Il ne m’a jamais baisée, tu peux me croire. Je la croyais, mais elle cachait quelque chose, mais quoi ?-    Et s’il l’avait fait, je ne pourrais lui en vouloir, je n’ai pas à critiquer ses choix, sa vie. Et puis, tu es si belle.-    Alors, cela veut dire que nous sommes pareille toi et moi. Viens, suis-moi, je vais te présenter à mes garnements.
Oubliant ma petite culotte dans ce lieu, je suis Isabelle. Nous montons à l’étage, dans une petite chambre dorment deux chérubins adorables. Derrière-moi, sur mes épaules, deux mains se posent, je les reconnais, ce sont celle de Fred.
-    Alors, comment c’était dans votre coin ?-    Merveilleux mon Fred, tout simplement merveilleux.-    Tu as vu son tatouage ?-    Oui, elle m’en a expliqué les raisons et sa punition.-    C’est bien ma cousine. Ils dorment, laissons-les.
Dehors, nous retrouvons le mari d’Isabelle, Alberto. Il nous emmène boire un verre de vin dans les caves de la maison. Nous en profitons pour bavarder de nos désirs à tous, comme de nos fantasmes. Pour Alberto, c’est de convaincre mon Fred de venir vivre dans sa maison, ben voyons et profiter de moi en délaissant Isabelle, non merci. Fred refuse et lui en donne la raison, la même que la mienne, j’avais vu juste. Autant dire que dans ce couple, ça coince pas mal et que j’avais deviné une fois de plus encore juste. Ainsi, Fred prive Alberto de mon corps, ce qui fait sourire Isabelle. Par contre, Fred invite Isabelle à séjourner chez nous avec les enfants. Là, Alberto refuse tout net et ça, cela me fait bien rire, mais intérieurement. Je ne me contente que de sourire agréablement. En ressortant, Fred m’attire à l’écart et m’explique le côté brutal de cet homme, Alberto. En fait, Isabelle n’a pas la vie qu’elle devrait avoir. C’est pourquoi, Fred lui a interdit de se faire remplacer son tatouage que son mari voudrait bien changer pour le sien.
Sortant à leur tour, Alberto tint fermement Isabelle par le bras. Il commence juste à me déplaire sérieusement, ce mauvais homme. En fin de journée, nous prenons congé. Je glisse une carte de visite de mon Fred, avec, au dos, un court message, dans le sac des enfants sous les yeux d’Isabelle. C’est à peine si je pose un bisou sur la joue d’Alberto, mais, par contre, je me gave goulument de la bouche d’Isabelle.Durant le retour, je lui fais part de mes craintes au sujet de cette cousine. Chez nous, mon Fred semble inquiet, quoi qu’inquiet ne m’apparaisse être pas vraiment le mot exact. Anxieux, tourmenté, angoissé même, serait nettement plus approprié, mais bien insuffisant pour le décrire. Quand je le vois téléphoner, je ne reconnais pas mon Fred, ou plutôt si, mais dans ses mauvais jours et ils sont vraiment très rare. En deux ans que je suis à lui, je ne l’ai vu qu’une seule fois et là, il ne me touche pas. Au téléphone, parlant en patois, je ne comprends pas un mot. Il gesticule, crie, hurle même. Je ne comprends que papa et maman. Je sais qu’il parle d’Alberto, mais avec qui. Sur l’autre ligne, quand sonne le téléphone, je décroche.
-    Résidence de Frederico X, que puis-je pour vous ?-    C’est Isabelle. -    Salut ma toute belle, bien rentrée ?-    Non, il est en colère après Fred parce qu’il refuse qu’Alberto te baise. -    
Il t’a cognée ?
-    Non, mais cela pourrait venir sous peu.-    Mince alors. Attends, je te passe Fred dès qu’il termine sur l’autre ligne.-    Non, je téléphone en cachette, sinon il va me fouetter jusqu’au sang pour se venger de l’affront de Fred. Juste pour vous dire que nous serons dans la maison de vacances de mes parents cet été. Fred connait, il sait aussi qu’il peut y venir quand bon lui semble.-    Je ferais la commission ma chérie. Je prie pour toi et tes enfants.-    Merci, je crois que je t’aime.-    Moi, je ne crois plus, je t’aime et ça, même Alberto ne pourra le détruire.
Elle raccroche, Fred vocifère toujours autant. Pendant qu’il téléphone, je nous coule un bon bain bien chaud pour le détendre. Sur un papier, je note ma conversation, mot à mot, avec Isabelle et le lui donne. Après lecture, il me fait un clin d’œil, embrasse ma main, il semble se détendre un peu. Ben non, au téléphone, ça recommence. Je sais qu’il parle d’Alberto, d’Isabelle et des enfants du couple. Quand il raccroche, le bain est prêt.
-    J’ai ce qu’il vous faut pour vous calmer mon Seigneur. Un bon bain bien chaud comme vous l’aimez.-    Merci ma belle compagne, je suis énervé contre Alberto. Je ne l’ai jamais aimé et j’ai fait la plus belle gaffe de ma vie en lui présentant ma cousine.-    Mince alors. Mon chéri, tu dois te détendre et on en reparle après si tu le désires.
Sans ne plus rien dire, je le déshabille langoureusement avant de la plonger dans le bain et le laver tendrement. Soudain, ses mains saisissent ma tête, il me colle sa bouche sur la mienne avant de plonger sa tête sous l’eau et la ressort aussitôt.
-    C’est toi qui lui as donné mon numéro privé ?-    Oui, j’ai pensé bien faire en voyant comment Alberto agit face à ta cousine. -    Merci, mille mercis, un million de mercis, ma belle. Je ne t’en aime que davantage encore. Viens dans mes bras, ma chérie.
Dans ses bras, je ne tarde pas à ressentir un orgasme monté en moi et en flèche. Ce salaud sait me faire jouir et j’aime quand il me fait jouir de la sorte. Le bain terminé, je le sèche, l’habille pour la soirée. Dans le salon, je dépose un plat de viande froide et fromage avec du pain et un verre de vin, le tout provenant de sa région d’origine. Pendant qu’il mange, je prépare la lessive pour lundi. Dans l’appartement, je suis toujours nue, mon seul vêtement est mon soutien-gorge à balconnet et mon tablier de soubrette, aux pieds, mes escarpins. Quand il se lève brusquement, il me fait si peur que j’en tombe durement sur le sol. Là, il change, devient blême, presque transparent. Il me soulève et va me coucher sur l’ottomane. Après avoir inspecté mon corps, il m’interdit de me lever. Au téléphone, tout recommence, mais pas avec le même correspondant et toujours dans ce même dialecte. Un mot me fait frémir de peur, un mot anglais, kidnapping. Je crois deviner les intentions de mon Fred et j’ai terriblement peur qu’il fasse une grosse bêtise.
Il repose le combiné, me regarde en me disant que tout est arrangé. Mais qu’est-ce qui est arrangé, je crains pour Isabelle et ses enfants, je crains le pire si Alberto venait s’emporter. J’avoue mes peurs à mon Seigneur et Maître. Il s’accroupit devant moi, écarte son peignoir posé sur mon corps, me lèche mon minou. Je me suis encore plantée, je ne lui ai pas fait confiance et pourtant, il fait tout pour depuis le début. Je m’écarte de lui, m’accroupis face à lui, mon Fred.
-    Mon Seigneur, je dois être punie de ne pas vous avoir fait confiance. Flagellez votre servante, c’est une supplique qu’elle vous adresse.-    Je ne vais pas te punir de cette manière, non. Je vais te fesser pour commencer. Après, je verrai.
Sur ses cuisses, je m’allonge. Il pose un gros coussin entre ses cuisses et mon ventre. La gauche caresse, la droite endolorit, il alterne, une caresse pour deux grosses claques. Mon fessier ne tarde pas à me cuire comme tout mon corps de sentir monter ce brulant plaisir mêlé de douleurs, de délicieuses et voluptueuses douleurs. Puis il arrête tout, même ses caresses, je ne bouge pas, j’attends son bon vouloir. Ses coudes sur mon dos, il pense, réfléchit.
-    Tu sais, tout bien réfléchit, ce n’est pas à toi d’être fessée, mais moi. Je me suis si lourdement trompé avec Alberto et ma cousine que je mérite les pires châtiments.
Je ne réponds pas, il continue sa liste d’erreur avec sa cousine. Ainsi j’apprends qu’il va faire enlever Alberto, demander anonymement à Isabelle une très forte rançon. Il sait déjà qu’elle ne peut la payer, qu’elle n’a pas accès aux comptes de son mari. Là, je reste sans voix, Fred me dit que, comme lui, il a fait fortune avec la bourse. Mon Fred m’avoue être riche et je n’en savais rien et, pour tout dire, je m’en moque complètement de sa fortune, c’est l’homme que je veux, pas ses tunes. Fred se frappe le front, je me relève, caresse son doux visage pour lui dire que des erreurs, tout le monde en fait. La gifle reçue m’envoie au tapis. C’est la première fois qu’il me bat de cette manière. C’est à ce moment précis que je prends enfin conscience de ma position, celle de soumise, de dévouée. Cette baffe brutale me fait souvenir que c’est ce que je recherchais. Maintenant, il peut absolument tout exiger de moi.
-    Tu ne comprends pas. Alberto est un homme qui a changé. Riche, il est devenu acerbe, violent et radin. Isabelle vit dans le dénuement avec ses enfants. J’ai fait faire ma petite enquête et cette réunion de famille était juste un prétexte pour jauger de la situation de ma cousine.-    Alors si vous devez être puni, je dois être aussi punie que vous mon Seigneur.-    On devrait me fusiller pour avoir mis ma cousine dans les bras de cet homme que je ne supporte plus. Si tu as vu de l’amitié entre lui et moi, ce n’était que façade, rien de plus. Aussi, je t’ai laissé faire à ta guise avec ma cousine, sachant qu’il ne refuserait pas devant la famille. Tu pige.-    Alors, mon Seigneur, votre servant vous remercie pour la gifle.-    Non, je m’en veux. Là, pendant une fraction de seconde, je ne valais pas mieux qu’Alberto et je m’en veux. Ce n’est pas du tout comme ça que je nous imagine. Cette gifle n’était pas une preuve d’amour, mais de la violence gratuite, de la colère. Tu as juste été le défouloir et je le regrette amèrement. Peux-tu me pardonner mon aimée ?-    Ne regrettez rien, mon Seigneur. Ce qui est fait est fait. Maintenant, il faut penser à ta cousine, ses enfants. Et oui, je te pardonne, je te pardonnerais toujours tous tes excès car  je viens de comprendre qui je suis. -    C’est en marche. Je devrais bientôt avoir des nouvelles de mes frères et mes cousins.-    Tu fais ça en famille ?-    Oui, c’est plus simple. Tu dois savoir que nous n’avions pas un rond, pas un sou. Chaque centime était durement gagné. Un jour, mon frère ainé a eu une idée de génie. Notre fortune est partie d’une idée si idiote qu’elle nous a amené là où nous sommes en moins de dix ans. Je me suis mis à boursicoté. Cela n’a pas été toujours gagnant. Et puis, j’ai eu le malheur de rencontrer cet Alberto de malheur. Au début tout allait bien, merveilleusement bien, devrais-je dire. Nous amassions des centaines de milliers que nous replacions aussitôt. Après trois ans, ma famille n’avait plus à se crever le cul à la tâche. Alberto est presque devenu un membre de la famille, j’ai poussé Isabelle dans ses bras alors qu’elle m’aimait d’un amour sincère. Mon problème, c’est qu’elle est ma cousine.-    Et alors, parce que c’est une cousine, tu te refuses à elle ?-    Je sais ma chérie, j’ai commis la bourde de ma vie.
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