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Mon Sicilien

Chapitre 5

Titre de propriété

Divers
Pour la peine, si Isabelle embrasse son cousin, je suce la queue de mon amant en caressant le minou d’Isabelle. Très vite, cela dégénère en une belle petite partouze où chacun y trouve son compte, merveilleuse nuit à trois qui en promet d’autres à venir. Fatiguée, Isabelle demande la permission de rejoindre ses enfants. Mon Fred lui explique qu’elle n’a rien à demander, maintenant, elle est libérée du joug de son mari à tout jamais. Il ajoute qu’elle ne sera à lui après qu’il m’ait demandé ma main, pas avant. Cette fois, c’est moi qui fond en larme, des larmes de joies, sans attendre, je lui dis un oui fort et clair autant qu’amoureux et lascif.
-    Tu es vraiment sûr de me vouloir comme époux ?
-    Pas seulement comme époux, mais comme mon Seigneur et Maître aussi. Après, nos noces, je te demanderai qu’une chose, porté le même tatouage qu’isabelle et que tu la traite comme ta seconde épouse. Elle ne demande que ça. Ce tatouage sera comme un titre de propriété à ton nom
-    C’est entendu, mais on en rediscute demain, tous le trois.
-    Quand tu veux, où tu veux, en enfer si tu l’exige.
Il me prit dans ses bras après le départ d’Isabelle pour m’emporter dans notre lit. Il me fit l’amour jusqu’à épuisement de nos corps. Dans ses bras musclés, je m’endors paisiblement, heureuse de bientôt me savoir être lié à lui de manière définitive et éternelle.
Ce matin, deux petites voix nous réveillent joyeusement, deux garnements pénètrent dans notre chambre, portant fièrement notre déjeuner avec l’aide d’Isabelle. Fred et moi parvenons, non sans peine, à enfiler un vêtement sur nos corps nus. Fred et moi embarquons les enfants dans le lit, invitant leur mère à les suivre pour un déjeuner hors du commun. En milieu de matinée, Fred me demande de renouvelé la garde-robe d’Isabelle. Inutile de me préciser comment il veut la voir vêtue, exactement comme moi. J’embarque Isabelle, laissant la garde des enfants à notre Fred. Dans ma petite voiture, entre femmes, nous nous confions et Isabelle n’est pas en manque de confidence avec moi. Ainsi, Alberto son mari était une brute quand il la soumettait, à voir la cicatrice dans son dos, je n’ai pas de peine à la croire.
-    Je n’ai qu’un petit reproche à te faire, ma douce Isabelle.
-    Lequel ?
-    Ne pas m’avoir faite confiance. Nous aurions gagné du temps.
-    Je suis désolée, mais j’avais peur que tu ne mettes Alberto au courant.
-    Moi, non, une confidence est une confidence, seul notre Seigneur aurait été au courant. Mais tu es là et c’est tout ce qui compte à mes yeux.
La carte de crédit de Fred en main, je l’emmène dans les mêmes boutiques, celles où Fred fit de moi une femme nouvelle et à part entière. Reconnue par les boutiquières, j’avais l’impression d’être Fred habillant ma compagne. Comme lui, je fis le choix de vêtements qui plaisent à Fred. Je n’hésitais pas à habiller moi-même Isabelle nue devant moi et sous l’œil avertit des boutiquières. Des dessous sexy aux chaussures, il nous fallut la journée et un coffre remplit à ras bord. J’en profitais pour nous offrir un soin esthétique complet, une manucure et une pédicure complète, sans oublier une épilation totale de nos corps. Maintenant mon égale, Isabelle me tenait par la main avec de doux baiser si peu discrètement échangés sans honte, ni gêne, dans les rues commerçantes. En rentrant en fin d’après-midi, nous avons encore fait un petit détour par l’appartement d’Isabelle. Nue devant moi, je l’apprêtais pour que Fred soit sous le charme. Une fois devant notre Seigneur et Maître, il est sous le charme, nous sommes entièrement vêtues à l’identique. Les enfants, surprit, en rigolèrent avant de nous dire que nous étions belle en rougissant un peu. Fred n’avait pas les mots, nous tournant autour comme une abeille autour d’un pot de fleurs. Cette nuit, alors que les enfants dorment du sommeil du juste, Fred, dans la chambre d’Isabelle, nous prit tour à tour pour le plus grand des plaisirs de notre trio. Je pousse même Fred à baiser plus souvent Isabelle que moi, ils ont du temps à rattraper. Au réveil, Fred doit se sentir bien seul dans ce grand lit, Isabelle et moi, nous sommes déjà à la tâche en cuisine, préparant le déjeuner des enfants et celui de notre Fred.

Je prie Isabelle de porter celui de Fred au lit, m’occupant du féroce appétit de ces deux petits fauves. Fred nous abandonne la journée pour son travail, les enfants sont à l’école. Nous en profitons, Isabelle et moi, pour faire le ménage muni de notre balconnet, de notre petit tablier, nos bouches obturées par notre bâillon et nos chevilles, comme nos poignets entravés par des chaines. Nous changeons d’appartement sans tenir compte d’éventuels voisins. Isabelle se fait vite à sa nouvelle vie qu’elle croque à pleine bouche. Ils nous arrivent fréquemment de nous aimer longuement là où l’envie nous prend, même devant la porte de l’un ou l’autre des appartements, l’enseignement de Fred y est pour beaucoup. Un soir, Fred nous propose le club, nous faisons appelle à une nounou pour la soirée. J’entraine Isabelle se changer, je la veux belle, soumise, mais, et surtout, provocante et désirable. Dans la voiture, Fred nous bande nos yeux, nous sommes derrière, portant fièrement notre collier avec la laisse, nos mains attachées par un ruban de soie.
Devant le club, toujours cette belle musique langoureuse. La porte ouverte, la chaleur du club nous réchauffe déjà. Comme la première fois, Fred se montre très pro, nous retirant nos robes, nous nous retrouvons vêtues d’un simple corset. Fred nous place au milieu de l’estrade tournante, invitant par geste, les membres à venir nous prendre, nous baiser, nous remplir, nous faire jouir. Déjà de mains nous caressent, nous palpent, nous pincent. Une queue sur ma bouche, je l’accueille, la suce. Cette fois Fred retire nos bandeaux, nous voyons tous ces membres du club nous posséder. Les mains d’Isabelle branlent, elle est prise de partout, je lui suis également et Fred qui encule une femme mature, il ne cesse de m’étonner. On jouit de nous, nous jouissons d’eux. Une vulve, je la lape, buvant son jus d’amour, jouissant sur mon visage à grand coup de cyprine. Mordillant les nymphes, tétant les clitoris, labourant les culs de ma langue, je jouis sans fin. Je voudrais ne servir qu’à ça, lécher, boire, être baisée de tout côté. Mon Seigneur, faites de moi cette femme, cette chose qui ne soit bonne qu’à faire jouir et jouir d’être salie. Je voudrais être la Sylvie ou la Valérie de Bruce Morgan, prise de partout, boire tout ce qui coule des corps, tout ce qui se donne à nous. Mais il y a Isabelle et ses enfants, rendant ce rêve pratiquement impossible, j’en jouis de mon fantasme. Je jouis d’être ainsi salie, remplie de foutre. J’espère qu’il trouvera mon mot dans sa poche, je prie pour qu’il le trouve. Je ne vois plus Fred, autour de nous, on baise, on nous baise encore.
Quand une main ferme me prend, me retire de cet amas de chair, sale jusqu’au très fond de moi, Fred me lie mes poignets d’une corde, il serre le bougre, aurait-il trouvé mon mot ? Oui, il l’a trouvé, ça été ma fête jusque-là, le fête va continuer sur la scène, il me soulève, mes pieds ne touchent plus le sol. Punissez votre salope, mon Seigneur, elle doit payer pour avoir jouit. Il me bande mes yeux, me susurrant que je vais maintenant connaitre la douleur, d’autres plaisirs suivront plus tard, ajoute-t-il. Sur mon ventre, une lanière frappe durement, je crie, mon corps s’enflamme, les coups pleuvent, des pieds jusqu’à mes épaules, tout n’est qu’une vaste et cuisante douleur. Des mains écartent mes jambes, on veut me déchirer, on les attache, il me semble faire le grand écart. Les lanières d’un fin martinet enflamment davantage mon corps, entre mes cuisses, c’est l’enfer. Maître, je vous supplie de ne pas écouter votre servante crier, frappez plus fort encore. Puis, c’est le silence, des mains caressent mon pubis en feu.
-    Après la douleur, une autre douleur, de celle qui pique, qui marque de manière indélébile.
J’ai compris, il va me faire tatouer en public. Devant les membres du club, devant isabelle, il fait graver son titre de propriété sur mon pubis. On désinfecte, une odeur très reconnaissable. Dans mon cul, on enfile un gode de bonne taille. Il s’enfonce en moi en force, on le fixe, mais à quoi ? Je ne peux même plus remuer mon bassin, ce gode m’en empêche. Sur mon pubis, dans un silence total, je le sens, mon pubis prendre feu une fois de plus. C’est comme si on me plantait des milliers de petites aiguilles. Sur mes seins, de douces caresses tentent d’apaiser la douleur, je ne veux pas de traitement de faveur. Ce supplice dure une éternité, une divine éternité. C’est comme si Fred m’épousait. Sur mes tétons, les mains, les bouches se retirent, mes mamelons son durement pincé sans que je ne puisse rien voir, juste subir ce déluge de douleur. De gauche à droite, une aiguille transperce mon téton gauche. Je ne parviens plus à hurler. L’aiguille traverse mon téton, une autre aiguille vient la remplacer. Cette dernière reste plantée dans mon sein. Je sais maintenant, c’est un anneau.
-    Maitre, que mon autre sein subisse le même sort.
Je n’obtins aucune réponse, seule cette aiguille qui se plantait lentement mon téton, l’autre, le droit. Sur mon pubis, on continue d’imprimer cette marque de propriété. Sur mes pieds, une bouche vient les lécher un à un mes orteils. Sur mes poignets, on plaça de fins bracelets, ils ne comportent aucune serrure, ils se clips de manière définitive. Maintenant, je lui appartiens totalement et à jamais. Je hurle ma joie, je la clame aussi fort que je le peux. Je vis mon rêve, je ne parviens plus à exprimer ce que je ressens tellement ma gorge est maintenant serrée par l’émotion qui me gagne.
Enfin, on délaisse mon pubis, une bouche se pose, je la reconnaitrai entre mille, c’est celle de mon propriétaire, Fred, mon Seigneur et Maître. Dans mon cul, le gode commence à aller et venir. Sur mon sexe, deux pinces étirent mes nymphes, il me veut entièrement annelée, qu’il en soit béni. Sur ma bouche, cette bouche si avenante m’embrasse.
-    Alors, comment se sent, ma douce.
-    Encore plus soumise à vous mon Seigneur et Maître. Je suis si heureuse, oui, si heureuse de vous appartenir.
-    Tu es la plus merveilleuse chose qui me soit arrivé. Je te promets qu’après tes grandes lèvres, on arrête tout.
-    Vous pouvez continuer, je suis à vous maintenant et jusqu’à mon dernier souffle.
-    Je sais tout ça. Mais c’est à moi de décider.
-    Oui, Mon Seigneur et Maître, je suis à vos ordres.
-    Tu vas avoir mal ma chérie. Me pardonneras-tu de te marquer ?
-    Tout vous est pardonné d’avance.
L’aiguille traversa mes grandes lèvres, je serrais les dents pour ne pas crier. On remplaça l’aiguille par deux petits anneaux. Il ne manquait plus qu’un petit cadenas pour faire de moi sa chose, son objet. On me délivra, Isabelle retira mon bandeau. Sa bouche me donna le plus merveilleux des baisers. On me porta dans cette salle de bain, Isabelle me lava, s’attardant longuement sur mon intimité.
-    Ma douce, je t’envie de porter ces anneaux.
-    Ne t’inquiète pas, tu es la prochaine sur sa liste. Il me l’a dit. Il nous veut toutes les deux.
-    Je t’aime ma chérie. J’ai de la chance de t’avoir.
-    Moi aussi, tu verras, nous aurons une vie merveilleuse avec notre Seigneur et Maître, désormais.
Elle n’ajouta rien, me lavant encore, m’emportant aux portes de l’orgasme, son baiser fut le déclencheur. Je jouis si fort qu’épuisée, je perds connaissance une fois de plus.Je me réveille dans notre lit, dans notre chambre, Fred et Isabelle m’entourant de leur affection. Je regarde enfin mes anneaux et fièrement.
-    Je suis fière de porter ces anneaux, très fière, mon Seigneur et Maître.
-    Chut, pas de maitre, pas de Seigneur, juste ma future épouse. Je veux t’épouser, tu le sais. Alors, avec notre compagne, nous avons choisi la date.
-    Oui ma chérie, la cérémonie se passera chez ses parents, devant vos familles. Tout est déjà en marche.
-    Mince, mais quand ?
-    Tu es prête ?-    Ne me laissez pas languir plus longtemps.
-    Dans une semaine ma chérie. Une couturière va venir prendre tes mesures dans la journée. Maintenant, je veux que tu te reposes.
-    Bien, puisque je suis votre, j’obéis.
Ils me laissent seule dans ce lit. Sur la table de nuit, il y avait une photo de moi nue et battue dans ce club. Je souris en posant ma tête sur ce coussin de satin et caressant cette image de moi, chienne et soumise à vie.
Une douce bouche se pose sur la mienne. Isabelle me susurre que la couturière est dans le salon. Je me lève, isabelle m’enfile mon peignoir de soie japonaise. J’ai juste le temps de prendre une douche sur le pouce. Dans le salon, une femme d’une trentaine d’année. Une tache de naissance me permit de la reconnaitre. Elle était au club. Je m’avance devant elle. Je pose ma bouche sur sa cette tache de naissance. Elle n’est même pas surprise, sa main se pose délicatement sur ma croupe.
-    Nous allons enfin pouvoir faire mieux connaissance.
-    Martine, ma belle petite soumise. Isabelle m’a raconté votre rencontre. Je peux te dire que tu as de la chance d’avoir un tel amant pour vous deux. Son ex, je ne parle pas de vous, Isabelle, elle n’était pas aussi aimante que vous l’êtes. Bon, on y va. Je vais faire de toi une princesse de conte de fée, mieux que chez Disney. Isabelle, je vais avoir besoin de vous.
-    Ne me vousoyez plus, comme ma compagne, je ne suis qu’une soumise.-    -    Pardonne-moi, une vieille habitude. Peux-tu lui retirer son peignoir. Ton amant te fait dire que tu dois te laisser faire par nous deux.
Elles me traitèrent comme une princesse. Très vite, les mesures prises, la rencontre se transforme rapidement en une petite orgie à trois. Isabelle est notre victime, jouissant de nos attouchements intimes. Ce n’est qu’en fin de journée que Martine a enfin toutes mes mensurations savamment et saphiquement relevées sur mon corps.
Deux jours après, elle revient accompagnée d’une très jeune femme. Inutile de nous faire un dessin sur son compte. Comme Isabelle et moi, elle était une soumise amoureuse de sa Maîtresse. Mais elle ne regarde pas à la dépense en m’enfilant la robe. Sa bouche, comme ses mains, prennent plaisir à me satisfaire de caresses merveilleuses. Devant trois miroirs, je me vois pour la première fois vêtue comme une princesse de conte de fée.
-    Montre-lui petite peste !
-    Bien mademoiselle. Si vous me le permettez, Mademoiselle, votre futur époux pourra vous toucher intimement en tout temps. Voici des ouvertures discrètes qui permettront à ses mains de se glisser sous la robe, il y en a six en tout, de vos seins à votre intimité, par-devant ou par-derrière.
-    Merci ma petite. Elle est bien ta soumise.
-    Cela ne fait que deux mois que je la dresse.
-    Elle apprend vite alors.
-    Elle est amoureuse, c’est un beau plus. bien, que pense-tu de ta robe.
-    Je n’ai pas les mots. C’est à mon Fred de nous dire ce qu’il en pense.
-    Ne compte pas sur lui, il refuse de te voir en robe de mariée avant d’être devant l’église. De plus, cette robe, après avoir retiré certaines parties, peut très bien devenir une robe de soirée. Tu pourras aussi la raccourcir si le cœur t’en dit. Mais elle perdrait de son charme
-    Tu rigole, je vais juste en faire une robe de soirée pour notre Maître et Seigneur. Isabelle, dis-moi que je suis horrible. -    -    Horrible…oui, peut-être, quand tu te donnes sans compter, quand tu jouis ou que notre Maître et Seigneur sévit sur ton corps. Sinon, je te dirais comme te l’a souvent dit notre Maître, tu es la plus belle chose qui pouvait m’arriver.
La semaine fut courte. La robe fut expédiée chez les parents de Fred. Le vendredi, en hélicoptère, Fred nous embarque à bord avec les enfants. Après plus d’une heure de vol, nous nous posons derrière la maison familiale. À peine le pied sur le plancher des vaches, mon Maître et Seigneur me prend par la main et me guide dans l’une des caves à vin de la maison. Là, en son centre, un homme bardé d’une écharpe au couleur italienne nous récite les lois ayant très à l’union de deux êtres. Si Isabelle est mon témoin, c’est Richard, un frère de mon Fred est son témoin. Après avoir signé les documents, le registre. Fred sort un texte de l’intérieur de son veston. Un texte qu’Isabelle et moi avons secrètement écrit, notre contrat de soumise. Il me le fait signer devant tous. Même à nos témoins sans que personne ne connaisse le texte. Au dos, il y a même le règlement que nous nous devons de respecter, Isabelle et moi, à l’avenir. C’est Isabelle qui doit le lui remettre ce vendredi matin. Quand mon Fred baise ma bouche, je suis transportée à l’autre bout de l’univers. Il me chuchote qu’il est fière de nous.
Après, c’est le repas, entouré de ma famille, mon Fred doit s’astreindre au flot continu des questions de mes parents, de mes frères et sœurs. Quant à moi, main dans la main avec Isabelle, c’est la famille de mon Maître. Après ce long repas, nous prenons congé. On nous a aménagé une chambre juste pour nous deux. Une toute petite chambre de bonne, un lit étroit, le paradis en somme. Il me déshabille lentement, amoureusement. Il embrasse chaque partie de mon corps dénudée, les lèches. Puis, sur ce lit grinçant, il me fait l’amour avec un grand A, comme il sait si bien le faire. Il me fait voyager parmi les étoiles du firmament avant qu’il ne se colle à mon dos, nous recouvre de draps, le jour se lève déjà.
Nous n’avons pas eu la chance de dormir longtemps. La porte de la chambre s’ouvre sur deux garnements. Même si nous sommes nus, les enfants posent un copieux déjeuner sur nos jambes. Derrière, tout sourire, une femme des plus charmantes et belles nous regarde donner à manger à ces deux petits monstres. S’en suivit un bain, mais sans mon Fred. C’est Isabelle et sa cousine Clélia qui me baignent. Un bain volcanique s’il en est. Clélia se montre très attentionnée avec mes anneaux. En me séchant, elle se permet de lécher mes seins, bougeant mes anneaux intimes. Elle me fait jouir sous le regard amoureux d’Isabelle. D’une chaine en or, Clélia relie mes seins l’un à l’autre. À mon sexe, elle posa un petit cadenas avec une médaille ronde : Propriété du Seigneur et Comte Frederico X. Je suis si perturbée par les attouchements que je sens à peine mon cul se faire pénétrer par un plug qu’Isabelle fixe à ma taille d’une chaine passant entre mes anneaux intimes.
Enfin le moment de mettre cette robe. C’est Martine et sa soumise qui se chargent de me l’enfiler de manière lascive, suave, saphique à souhait. Enfin, quatre femmes superbes, admirables, belles comme des cœurs m’emmènent devant l’autel de la chapelle. À ma droite, ma famille. De l’autre la famille de Fred. Je vois déjà l’un de mes frères faire de l’œil à Clélia. En m’arrêtant un court instant, je conseille, au creux de son oreille de bien veiller sur mon frère. Je la menace d’exquises punitions dans le cas contraire. Elle pose sa bouche au coin de la mienne et me le jure sur ce qu’elle a de plus cher, moi et mon frère. Bien que ce dernier ne connaisse rien du secret de ma vie de femme dévouée à celui qui m’attend devant l’autel. Quand il se retourne, il est comme paralysé. Il a la bouche de la surprise, juste entre-ouverte. Il me prend par la main après que mon père se soit levé pour la lui donner. Il est aussi ému que moi, si ce n’est plus encore. La cérémonie va se terminer. Lui, comme moi, n’attendions que ces mots : "Maintenant, vous pouvez embrasser la mariée". Quand ils sont dits, ce n’est pas qu’un simple baiser, non, c’est un merveilleux et très long baiser. Pour un peu, si nous avions été seuls, il me prenait sur l’autel. Deux charmants pages tiennent ma traine. Ils sont à croquer, mes neveux. Et oui, cette fois, je suis tantine de deux adorables garnements.
Dehors, devant la chapelle, des kilos de riz sont balancé de partout. Je retourne mon Fred dans un mouvement tournant, le penchant en arrière dans mes bras. Lentement, je me penche sur sa bouche pour la lui dévorer d’un long et puissant baiser enflammé. Dans une calèche ouverte, tirée par quatre chevaux, on nous conduit à l’emplacement du repas de noce. Il fait grand beau, la table est sublime. On nous installe, mes beaux-parents à ma droite, mon Fred à ma gauche et mes parents à la gauche de mon Seigneur et Maître. Sa main droite, guidée par la mienne, trouve vite les ouvertures de cette robe. Je la sens plongé en moi. Quand il sent la chaine qui entourait ma taille, passe entre mes nymphes, il m’emporte loin de ce repas sous les applaudissements des invités. Pour nous, le banquet était terminé.
Dans la petite chambrette, il me retire ma chaine, mon plug, mon cadenas et me baise sans me retirer ma robe de mariée. Je crois que depuis deux ans que je lui appartiens, c’est bien la toute première fois qu’il me baisait comme une salope. Là, maintenant, il m’insulte, me mordille, me pince, me fait souffrir mille petits maux avant de me faire exploser. Il m’encule, me viole, me fesse, me fait jouir et jouir et jouir encore et encore. Plus j’hurle mon bonheur, plus il est actif en moi. Quand la musique s’est arrêtée, il me prend une dernière fois, sans ne me laisser aucune chance de me venger de tous les orgasmes qu’il m’avait offerts. De toute la journée du dimanche, nous n’avons quitté notre petit lit. Isabelle, Martine et sa soumise se chargent de nous nourrir. Le dernier plateau vient de se poser sur mes cuisses, j’y découvre une enveloppe. À l’intérieur, le serment signé de ma douce Isabelle, comme témoin, je dois aussi signer ce document. Puis, une petite et jeune soubrette me remet une autre enveloppe. Plus épaisse, elle contient trois billets d’avion pour Bora-Bora. Si je sais que c’est en Polynésie française, je n’en savais rien de plus. Le départ est fixé pour le lendemain, lundi. On nous laisse seul dans notre chambrette.
Il est derrière moi, dardant, de sa langue, mon cul, léchant tout autour, la plongeant en mon anus, je vais jouir avant même qu’il ne m’encule. Lui, c’est mon sicilien, mon dieu, mon Seigneur et Maître, mais aussi, mon tendre époux depuis peu et j’en suis follement amoureuse.
Fin
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