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Mon sosie : Lila Chatte, Star du X

Chapitre 3

Le sosie de Lila Chatte se fait humilier par la "Black Justice" sur le tournage d'un film porno.

Trash
« Une DEUXIÈME scène ?! Mais je suis crevée.
— Hey, t’es pas payée à rien foutre ma grande.
— Ouais t’es payé pour te faire foutre, haha ! rigola un des noirs.
— Mais je… je suis LILA CHATTE. Une star du porno quand même.
— Justement, si tu veux continuer à être une star, va falloir que tu prennes de la queue. Et mieux que tu viens de le faire… t’étais franchement nul, pas sexy du tout pour la première scène. Si au montage on a dix minutes d’exploitables, ce sera bien. »
C’était démentiel, j’avais eu le visage couvert de foutre, je me faisais engueuler, et en plus, il fallait encore que je me fasse baiser ?! C’était pire que du travail à la chaîne. Je me levais, m’assis sur une chaise où un maquilleur me refit un visage aussi chargé de fards qu’une pute.
Mon costume de tournage, n’avait plus de "costume" que le nom. Je n’avais plus de culotte ou de jupette, on me demanda par contre, comme si c’était une pratique banale, de m’enfoncer un long et gros plug dans le cul avec une fausse queue de chien accroché derrière. J’avais des chaussures blanches à talons hauts et sur les tétons des caches en croix avec des pompons comme pour une strip-teaseuse. Autour du cou, un collier rouge avec marqué "ESCLAVE" dessus. Et, le plus inquiétant était que j’étais menottée les mains dans le dos. Je serais à la merci de la bande de noir quand le tournage reprendrait, incapable d’offrir la moindre résistance à leurs assauts...
Les cinq noirs étaient sur le canapé, en train de manger une pizza. Suivant le script, je me présentais devant eux à genoux et quémandais :
« Votre esclave blanche peut-elle vous sucer vos splendides grosses queues noires ?
— Gobe ça salope. » Dit noir#1 en sortant son chibre de son boxer.
Je me demandais fugacement s’il aurait osé me parler comme ça s’il savait qui j’étais une femme d’affaires renommée en vrai ? Sans doute pas, il aurait été plus respectueux vis-à-vis de Madeline. Il ne se permettait ce comportement que parce qu’il pensait que j’étais cette traînée de Lila Chatte. Et c’est comme une traînée que je comportais donc, toujours à genoux, je rampais jusqu’au canapé et baissais la tête pour engloutir la verge bien dure, comme une bonne esclave.
Sans les mains c’était vraiment une tout autre paire de manches, je devais hocher la tête pour aspirer la bite, je devais utiliser toutes mes capacités pour offrir une prestation convenable de salope.
« Pute, bouffe ma bite. » m’informa noir#2 en sortant lui aussi sa verge.

Je lâchais la queue que j’avais en bouche pour me mettre à astiquer le deuxième chibre. Bientôt, je dus aussi m’attaquer aux cinq queues, leur prodiguant tous les soins de ma langue. C’était épuisant, les noirs ne m’offraient aucune aide. J’imaginais qu’au montage la séquence ne durerait pas plus de cinq minutes, mais dans la réalité je commençais à avoir mal à la mâchoire, et j’avais la gorge brûlante. L’impression que ma bouche servait de garage à bite que l’on pouvait louer à volonté.
Au bout d’un moment, l’un d’eux jeta un morceau de pizza par terre.
« Mange, salope. »
Heureusement le sol avait l’air propre. Je m’avançais jusqu’à la tranche de pizza et baissais la tête sur la bouffe. Sans les mains, j’avais l’air ridicule à essayer d’attraper des morceaux de pizza, le nez dans la sauce tomate et les champignons. Je devais avoir l’air vraiment conne. Comme j’étais trop lente au goût de l’un d’eux il me plongea le visage dans la pizza, je tentais de mâcher ce que je pouvais, mais j’avais le visage couvert de jus de tomate.
Ils commencèrent alors à se mettre en mouvement. M’agrippant la tête et faisant un va-et-vient brutal de leur bite jusqu’au fond de ma gorge. Cette fois, c’est eux qui faisaient tout le travail, je n’avais qu’à subir. Finalement, je préférais largement quand j’avais le choix du rythme.
J’avais tout d’une esclave. J’étais traité comme si je n’avais aucun droit, juste celui de servir ces noirs. Leur insulte favorite était de me traiter de chienne blanche.
Par moment l’un d’eux se mettait à juter alors que je lui astiquais le manche. Ces mecs ne semblaient jamais à court de foutre. Est-ce que c’était des mutants du sexe ? Il était plus probable qu’ils prenaient des produits dopants pour bander tout le temps comme des ânes. J’espérais que ça n’avait rien de dangereux vu la quantité de sauce blanche que je buvais.
Quand je ne me retrouvais pas à leur lécher la queue, c’est que l’un d’eux me prenant à part me chevauchait en levrette, tirant sur mes cheveux, ou sur la laisse de mon collier pendant que les autres regardaient la télé. Ils me faisaient assez mal, tirant fort et avec leurs bras musclés, je n’avais aucun moyen de ne pas suivre son mouvement. C’était comme si je n’étais rien, un trou à foutre. Leur bite me coulissait dans la chatte comme un marteau-pilon. Le caméraman se déplaçait pour me filmer en gros plan. M’encourageant à dire des cochonneries du genre :
« Oh les grosses queues noires, je ne veux plus que ça ! »
Et ce n’était rien par rapport à ce qu’ils pouvaient dire de moi « Sale pute, t’aimes ça, te faire défoncer par des nègres. Tu kiffes ? Salope de raciste, tu vas être la pute de nos frères ! »
Mon plug fut rapidement remplacé par une de leur grosse queue. Mon pauvre trou du cul... Je cachais ma douleur, Lila Chatte devait se faire sodomiser journalièrement, mais pour moi c’était une nouveauté. J’eus un instant un peu de respect pour cette pute, se faire défoncer tous les jours comme ça, c’était du sport. Évidemment, ce respect ne dura pas longtemps. Se faire sauter par tous ces connards du porno, se faire insulter, traiter de pute, il n’y n’avait rien d’admirable… Je me demandais si elle se rendait compte du mal qu’elle faisait à la cause féministe. Bien sûr, j’étais peut-être mal placée pour critiquer la façon de faire son métier d’une actrice porno, pendant que moi-même, une femme d’affaires diplômée d’une grande école, me faisais défoncer l’arrière-train en me faisant injurier de décharge à foutre pour négros.
Servir de trou à bites était déjà une épreuve en soi, mais mon attention se portait sur le goût horrible que j’avais dans la bouche, entre le foutre, la pizza et le goût de leur gland. C’était ce que je pensais être le goût de l’humiliation. Mais l’humiliation allait être encore plus sévère. Ils me demandèrent de leur lécher le cul. Je n’eus pas à feindre le dégoût ! Heureusement qu’il s’agissait plus de prouver que j’étais leur esclave sexuelle que de faire du scato. Mais avoir la langue dans le cul d’un homme, d’un noir, j’avais beau me dire que ce n’était pas vraiment moi. J’allais devoir vivre avec ça.
Pendant que les uns me défonçaient le cul ou la chatte, d’autres s’amusèrent à écrire sur moi avec un gros feutre noir. « Chienne » sur mon front « Réservé aux bites noires » au-dessus de ma chatte avec des flèches indiquant l’entrer. Et sans compter les « salopes » « truie » « Garage à bite » sur les bras, le dos. J’étais couverte d’insultes. Et ils ne se gênaient pas pour me les dire en face. Le pire est que je devais les répéter : « Je ne sucerais plus que des queues nègres », « Je suis une grosse salope », « J’adore le goût des culs noir. » « Allez-y traiter moi comme une pute, une esclave, je le mérite. »
Quand les cinq eurent fini par me décharger leur foutre que ce soit dans la chatte ou sur la gueule, je pensais que le tournage serait finit... De toute façon, je ne pensais plus être en condition de faire quoi que soi. J’étais nue, le corps couvert d’écrits me décrivant comme la pire des salopes, mon maquillage me coulait des yeux… j’avais l’air de mettre fait baiser par un troupeau, ce qui n’était pas faux. Du foutre dégoulinait de mon cul et de ma chatte, du sperme de noir… Alors J’avais beau me dire « Je suis Lila Chatte » je me sentais maintenant comme une vraie traînée, ce n’était plus de la baise « amusante » que j’avais subis. Je n’avais plus l’impression d’être une "femme invisible" qui s’éclatait impunément. J’étais la roulure que je m’étais juré de ne jamais devenir.
J’avais travaillé et étudié dur toute ma vie pour éviter un sort aussi indigne. Quoique... même dans mes pires cauchemars je ne m’étais jamais imaginée écroulée sur le sol, traitée comme une poubelle à foutre, avec du sperme qui lui sortait des trous.
Mais je restais pas longtemps seule à ruminer sur ses sombres pensées, on me tira pas les cheveux. J’essayais de me relever, mais on tirait près du sol, si bien que je dus marcher à quatre pattes en suivant le noir qui me traînait comme une serpillière. Il me jeta sans ménagement dans une douche. C’était la première bonne intention que les membres de la "Black Justice" me montraient. J’allais pouvoir me rincer de l’odeur rance de sperme, et…
ET DE LA PISSE !!
Les mecs se mettaient à me pisser dessus ! En plein sur le visage. Le caméraman derrière eux me faisait signe d’ouvrir la bouche. C’était hors de question. Je sentais leur pisse dégueulasse sur tout le corps, et alors je pris une claque.
« Souris salope ! »
Je regardais ahurie, ces mecs, ils n’étaient pas bien ?
Mais non, tout semblait normal pour eux. Je me prenais des claques pendant qu’ils me pissaient dessus. Et ils devaient penser que c’était du porno classique, c’est dire dans quel monde dépravé ils vivaient… Je sentais qu’on allait à nouveau me baffer et je préférais ouvrir la bouche, peut-être que ça les dissuaderait de me prendre pour un punching-ball.
Merde, Lila Chatte avait intérêt à faire ce que je voulais après le service que je lui rendais. Je me demandais comment elle pouvait oser sortir dans la rue après avoir accompli des actes aussi dégradants. Puis je me rappelais que tout ce qu’elle faisait, les gens pensaient que je faisais aussi. Il était urgent que tout cela s’arrête.
Mais pour l’instant je trouvais que boire la pisse de ces dégénérés était vraiment trop immonde. D’instinct je fermais les mâchoires. Les mecs apportèrent alors un gag-anneau en O ouvert, m’empêchant de fermer la bouche. Qu’est-ce qui se passait ? Est-ce que j’avais changé de dimension ? Je me faisais pisser dessus par des noirs, de gros jets de pisse me frappaient le visage, entraient dans ma bouche et j’avalais pour ne pas me noyer. Mais ça ne les empêchait pas de me claquer la gueule dès que je grimaçais.
Leur pisse me dégoulinait de partout, j’étais d’une saleté repoussante, un urinoir humain. Les cinq noirs finirent de se vider la vessie, secouant leur bite pour que les dernières gouttes d’urine me tombent sur les cheveux.
Je restais sous la douche, pleurant alors que la caméra continuait de me filmer en gros plan. Un des noirs resta à côté pour me dire :
« Alors salope, on fait moins la fière… Maintenant que t’as goûté de la pisse de noir, t’es vraiment une chienne blanche pitoyable. »
Comme je ne répondais rien, il insista :
« Qu’est-ce que tu es ?! Dit-il en me donnant une gifle. Je ne savais même pas si c’était une vraie gifle ou du cinéma.
— Je suis une chienne, une pissotière pour nègres.
— Voilà, c’est bien salope, tu connais ta place. »
Je ne sais pas combien de temps passa, pas longtemps avant qu’on me traîne dans le salon. Je fus mise à plat ventre sur une planche à repasser. Est-ce qu’ils allaient encore me sodomiser ?
« Esclave, reconnais-tu le peuple noir comme une race supérieure ?
— Oui oui, je suis une esclave blanche merdique, je suis juste bonne à vous lécher les bottes. »
Ils m’enfoncèrent alors une hampe de drapeau dans le cul. Ils le rentrèrent bien à fond et je poussais un cri strident qui eut l’air de plaire au caméraman. Sur le drapeau, il y n’avait qu’un fond blanc avec un poing noir fermé dessus, je supposais que ça signifiait que je m’étais fait fister...
« Maintenant, accepte la marque. »
Un des noirs tenait une sorte petit cylindre, avec au bout un motif en forme d’un as de pic
« Hey, c’est quoi ce truc ?! »
Le caméraman me prit à part.
« Qu’est-ce qui te prend ? Joue mieux ton rôle, on ne pourra pas refaire la scène. C’est traditionnel de la "Black Justice"... À chaque fin de tournage, ils marquent la fille d’une trace.
— Mais ça va rester ! C’est horrible, et puis ça doit faire mal.
— Tu disais déjà ça lors de tes premières scènes anales. C’est rien… T’es vraiment difficile aujourd’hui. Pourtant t’as pas tes règles…
— Mais ce truc, ils veulent me le mettre où ?
— Sur la fesse. »
Je réfléchissais, ça ne se verrait presque pas. Et ça semblait être une sorte de marque assez innocente, faite avec juste un petit ustensile... Avec ça, Lila Chatte me serait sacrément redevable. Et puis, surtout j’en avais marre de toutes ces conneries, plus vite ce serait fini, plus vite je pourrais repartir. Je décidais de jouer le jeu.
Deux des noirs me tenaient les pieds et les jambes. On me présenta le plug qu’on m’avait enfoncé dans le cul en début de scène.
« Mord dedans salope, ça fera moins mal. »
Je fis comme on me dit, un peu dégoûtée de devoir mordre sur ce qui avait été dans mon cul... puis un des noirs enfonça la tige en métal sur ma fesse gauche. C’était très chaud, mais supportable. Du moins, jusqu’à ce qu’il pousse la partie intérieure. C’était comme un allume-cigare de voiture... La face brûlante s’enfonça de plusieurs centimètres dans le gras de ma fesse. Je hurlais ! Ça faisait un mal de chien ! En plus d’avoir l’impression d’être une vache qui se fait marquer, d’être un objet. Quand il retira le fer je les entendis crier : « BLACK JUSTICE !!! »
« Maintenant pétasse, les frères sauront à qui tu appartiens. »
La douleur était encore très forte.
Finalement ils me firent une dernière scène d’adieu. Je devais dire face à la caméra : « Je suis une pute à black, si vous avez une grosse bite noire, n’hésitez pas à venir me baiser. » Puis la "Black Justice" me fourra à nouveau, me fit sucer leur zgeg, j’étais à bout de force, je me faisais baiser en mode automatique. Je les sentis juter en moi, et je ne réagis même pas.
Le caméraman annonça :
« Et coupé ! Fin… Je crois qu’on a mérité notre salaire. Surtout vous autres les gars, vous vous êtes données comme des bêtes. Bravo ! »
Et moi alors ? C’est moi qui m’étais fait baiser. Enfin je m’en fichais, je passais devant un miroir. L’appareil électrique avait laissé une marque plus grande que je pensais, on pouvait voir un as de pique sur mes fesses de cinq ou six centimètres avec un "Q" blanc au milieu.
J’interrogeais le caméraman :
« C’est quand même curieux cette marque. C’est un truc par rapport au poker ?
— Tu déconnes ?
— Ben non.
— Attends, tu sais bien ce que ça veut dire…
— Je te dis que non.
— Ben… L’as de pique, ça veut dire que t’es une salope qui se fait enfiler que par des noirs… C’est sexy non ? »
Je restais coite. Dévaster. Quelle merde, c’était truc humiliant, vaguement raciste. Et qui allait rester un bon bout de temps sur ma peau, ça n’allait pas partir avec du savon vu comme ça m’avait fait mal.
Je rentrais, j’étais au 36e dessous. Mais mon calvaire avait pris fin, me rassurais-je. Avec ce que je venais de subir, Lila Chatte n’aurait pas d’autre choix que de me rendre la pareille. D’autant que j’avais maintenant une carte en main pour la contraindre à m’obéir ; je pouvais dévoiler à tous ces contacts qu’elle n’avait pas fait la vidéo qu’elle était censée avoir faite ! Oui, elle était coincée... J’aurais voulu régler cette affaire tout de suite, mais je n’avais pas son numéro. J’envoyais un e-mail pour lui demander de me rappeler. J’attendis assez tard dans la nuit, mais elle ne répondit pas. Je devrais attendre le lendemain, j’étais trop épuisée pour veiller plus longtemps.
J’étais dans mon lit quand j’entendis le téléphone sonné. Je me réveillais aussitôt pour répondre à l’appel. C’était Lila Chatte :
« Allo Madeline, je ne te réveille pas ?
— Euh… dis-je me réveillant tout juste.
— J’ai eu Paul au téléphone, mon agent. Il m’a dit que j’avais été assez mauvaise aujourd’hui.
— Quoi ?!
— Pas vraiment convaincante. Ils vont devoir faire beaucoup de montage. Il a été assez dur avec moi, il a menacé de baisser mon salaire.
— Mais c’est n’importe quoi ! Je me suis fait farcir des pires façons imaginables ! J’ai…
— Enfin, c’est pas le problème. T’as fait ce qu’on avait dit. Alors je propose qu’on se rencontre.
— Oui… Il faut que tu arrêtes de...
— Donc disons demain à sept heures. Je t’envoie l’adresse par SMS.
Et sur ce, elle coupa la communication. Il était quatre heures du matin. J’avais dû dormir deux heures tout au plus. Je me recouchais pour une heure avant de me préparer pour le rendez-vous.
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