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Mon surveillant d'internat

Chapitre 1

Gay
Bon ! Premier texte, je l’ai découpé en deux parties, étant donné que le début est du vécu, le reste... du fantasme jamais réalisé !! :’( Deux chapitres ? trop de frustration sans la deuxième partie... j’envoie tout, je réfléchirais plus tard.Bonne lecture

J’ai toujours été très attiré par les garçons et j’ai toujours réussi à éviter les soupçons, malgré les indices que je laissais derrière moi. J’ai passé mon cursus scolaire en internat, et la vue de mes camarades aux douches était un supplice quotidien que je consolais à l’abris des regards.De taille moyenne, plutôt mince, j’avais les cheveux longs, chatains et très bouclés, tellement bouclés que je ne comptais plus le nombre de femmes qui en étaient jalouses. On me chariais souvent en me disant que j’avais le corps d’une fille, et depuis tout petit on m’appellait mademoiselle. Au début çà me gênait mais au fil du temps je ne disais plus rien, jusqu’à prendre un certain plaisir à jouer le jeu.
J’étais alors en seconde, j’avais 16 ans, Le bloc douche était en fond de couloir, séparé des boxes par la chambre du surveillant, et j’était éperduement amoureux d’Esteban, qui faisait ses nuits de garde une semaine sur deux. C’était un universitaire, 26 ans, le job lui permettait de se faire un peu de sous tout en révisant ses cours, sous condition bien sur de cadrer un peu les internes. Un des rares pions compréhensifs qui venaient donner un coup de main aux étudiants quand ils bloquaient sur des exercices. D’origine espagnole, faisant un bon mètre 85, la peau bronzée, dessinnée par ses muscles. Il était vraiment super bien fait, quand j’était sûr que personne ne pouvait me surprendre je m’asseyais juste derrière le sien pour travailler et je passais mon temps d’étude à boire le moindre de ses gestes. Les cheveux bruns, courts, plaqués en arrière, avec des yeux d’un noir profond, dans lesquels je me perdait à chaque fois que je les croisait.
Séparé de mes potes à cause du bruit qu’on faisait le soir, on m’avait installé au boxe du fond, qui donnait sur la porte du surveillant.Toute les deux semaines je me suis senti poussé des ailes et allais toquer à sa porte demander un peu d’aide pour mes devoirs de maths, il acceptait sans souci. Toutes les deux semaines j’était à 20 centimètres de sa poitrine et je n’était capable ni d’allonger une phrase, ni d’additionner deux et deux. La vibration douce de sa voix me faisait battre le coeur à cent à l’heure. Lui, entrain de me débiter désespérément son charabia de chiffres, moi entrain de ronronner devant une copie chèrement payée 5/20. C’est la veille d’un examen de fin de trimestre que je me retrouve dans sa chambre, luttant pour ne pas fermer l’oeil.
Exténué par l’heure et demi qui s’était écoulée, Estaban avait choisi de me laisser seul un moment, le temps de faire une ronde rapide. Exténué par ses explications je m’étais endormi sur ma copie, sur son bureau. Je suis de nature plutôt timide, mais cette fois-ci je le voulait vraiment. Et curieux de sa réaction en me surprenant, je m’imaginais dans mes fantasmes bien torrides, tout contre lui... Je cambrais le dos en rapprochant mes genoux, histoire de cacher mon érection, et je ferma les yeux. C’est 20 minutes plus tard que je les rouvri, je m’était assoupi, malgré toute la volonté que j’y avait donné. La texture froide et métallique du bureau s’était transformée en douceur infinie, moëlleuse, d’un parfum que je connait depuis maintenant un an. J’était dans les bras d’Esteban, qui tentait de me lever pour m’accompagner à mon lit. Encore à moitié dans mon rêve, j’avais lentement mais sûrement décidé de l’étreindre, et le déplacement inattendu de mes mains le figea. Installant mes bras autour de lui, calant mes paumes contre ses omoplates, je posait doucement la tête contre ses pectoraux.Les jambes décidément fauchées par le stress et la fâtigue, je décida de jeter mon dernier joker, dans l’espoir de l’apprivoiser. "Merci pour ton aide, Esteban". Momentanément rassuré par ces paroles il se détendi, posa sa main sur mon épaule et me répondit un "Mais de rien" innocent."On peux rester un peu comme çà avant de se coucher ?" "Juste 5 minutes, alors" J’ai mon amoureux dans les bras, et il me couvre des siens. Mais lentement il commence à courber le dos afin d’éloigner mystérieusement son bassin. Je lève alors la tête, le regardant dans les yeux du haut de mes 1m72 et 53kg. Mais avant de me perdre dedans je le voit gèné, rougissant, regardant ailleurs, commenceant à entre-ouvrir la bouche pour se défausser de cette situation. Avant même qu’il prononce le moindre mot j’avancea mon ventre contre lui, le souffle coupé. Son sexe est gonflé, dur, et longe mon corps, du nombril à la base du mien. Il mit hâtivement une main contre mon bassin pour tenter de me repousser. "Ecoute, on devrais s’arrêter là, je suis désolé"N’écoutant que mes pulsions d’ado, je me leva alors sur la pointe des pieds, glissant les mains jusqu’à la base de ses épaules en serrant divinement mes coudes contre sa taille. En me hissant ainsi à lui j’était arrivé à masser lentement son sexe dans ma course, maintenant dur comme du roc contre le mien. Après quelques secondes d’hésitation, aucun d’entre nous ne semblait vouloir reculer. Mes lèvres se posèrent dans le creux de son cou. Notre temps de parole était écoulé, les décisions étaient prises.
______

Tout se passa alors très vite. "Tu l’aura voulu"Esteban m’envoyant sur son lit, fermant la porte et se jeta juste au dessus de moi pour m’embrasser. Réveil express. J’avais tenté d’amadouer l’animal, sans m’en rendre compte j’en avais récolté toute la bestialité. Après avoir rêver du prince j’avais le destrier fougueux qui me plaquait contre son matelas, et j’avais définitivement gagné au change. Me voyant tirer désespérément sur son t-shirt, Il retira sa langue qui fouillait si bien ma bouche, arracha mon t-shirt et se redressa pour contempler le petit lot qu’il avait sous les yeux, tout en enlevant le sien. Je me redressa pour lui lècher les tétons, mes mains autour de ses hanches, profitant du torse après lequel je courais depuis tout ce temps. Massant d’une main la bosse de son jean, j’entreprit de le déboutonner pour sortir sa bite. Je n’arrivais même pas à faire le tour avec ma main tellement elle était grosse, mon autre main sous-pesant ses couilles, impressionné. Heureusement ce n’était pas ma première fois, je la décalota pour savourer tout son arôme en lèchant son gland. J’était fou de son odeur, fou de son corps. Il se dressa alors, son bassin à hauteur de mon torse, présentant son gland juteux à ma bouche. Je commencea par de petites lechouilles félines, la tenant des deux mains, avant de me mettre à le sucer studieusement. Me maintenant calmement la tête, il entreprit de me baiser le fond de la gorge. Il se retira, se rassit doucement sur mes hanches, et me caressant la joue de sa main robuste il m’en fit lècher fièrement deux doigts avant de les faire disparaitre derrière lui et de les engouffrer dans mon short. La sensation irrésistible de ses doigts humides jouant sur le bord de mon petit trou me rendit dingue d’excitation, écartant les cuisses, tenant fermement ses hanches, je m’étonna en poussant un petit cri quand il décida de les faire entrer, cri qu’il étouffa très vite avec la paume de sa main. Le regardant intensivement, j’entreprit de le mordiller pendant qu’il écartait mon trou avec ses doigts, jouant au châton contre le lion qui me dominait sans même prononcer le moindre mot.
J’utilisa les quelques bases de judo qu’on m’avait enseigné pour tenter de retourner la situation, déstabilisant son point de gravité en levant une jambe et en guidant doucement sa chute avec mes mains (dieu merci il joua le jeu et se laissa faire). je me retrouvais sur lui, m’avanceant lentement sur son bassin, de sorte à chevaucher sa queue bien humide de ma salive. Relâchant mon agressivité pour plus de douceur, je me coucha sur lui, l’embrassant une fois de plus, en faisant glisser son sexe lentement en moi. Esteban rapprocha sa bouche de mon oreille en me murmurant"Maintenant je vais t’apprendre une méthode de muscu bien à moi. Tu devrais aimer. On commence par la première moitié"Il me l’enfoncea lentement jusqu’à la moitié pour me baiser juste avec le gland, je le sentait frotter chaudement contre ma prostate, quand la frustration de ne pas l’avoir au complet se fit ressentir il me redressa un peu en arrière."Maintenant, la deuxième moitié"En appuyant mon bassin contre lui, prenant soin de me la fourrer jusqu’au garot, il se mit à faire de courts va et viens, tout en s’assurant qu’elle aille bien au fond. Sa bite me traversait jusqu’à l’estomac, cambré comme j’était je pouvais voir une bosse se former à gauche de mon nombril, je le sentais jouer au plus profond de mon cul. Je bandais et était proche de venir sans même me toucher, mais quand je commencea à halleter, quand vins les spasmes électriques d’un orgasme extraordinaire il me comprima la queue et me coucha d’un coup en me levant les jambes. Il resta une dizaine secondes immobile, observant mon corps tremblant et fébrile, dans les moindres recoins, spectateur de mon intimité écartelée par son sexe, toujours au fond de moi. J’en voulais encore, et tellement plus."Et enfin, la finale. Laisse toi faire, ma belle"Il se retira, laissant honteusement mon cul aspirer de l’air dans un bruit de ventouse, puis me levant le bassin d’une poigne de fer il me l’enfourna en une fois, pour me limer au complet, d’une puissance à couper le souffle, faisant coulisser son engin du début jusqu’à la fin. J’était devenu sa femelle, il faisait de moi ce qu’il voulait, quand il voulait. Sentant sa bite s’engouffrer à chaque va et viens, son gland taper bien au fond de moi, j’explosa en une contraction incroyable. Il continua de me branler, faisant durer l’orgasme jusqu’à ce qu’il se raidissent, sa bite vibrant en moi, il m’étreigni d’un coup, tout en me remplissant de coups de jutes saccadés et bien dosés, puis m’embrassa délicieusement avec un souffle chaud et saccadé, avant de se laisser tomber sur le côté, sa queue et sa jute dégueulant de mes fesses fraîchement abattues.Trempé de sueur et de jute, je restais serré contre lui jusqu’à ce que j’arrête de trembler, que les mots recommencent à circuler sur ma langue, pour réussir enfin à formuler quelques phrases, faire quelques mouvements cohérents... un exploit surhumain après l’orgasme presque irréel que je venais de subir."On.. re.. on fait... tu veux... on refait... quand tu veux... whoa..."
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