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Monique, si tu la veux, tu la niques

Chapitre 1

Hétéro
Cet épisode de ma vie remonte à une quarantaine d’années.J’avais alors vingt-et-un ans, et étais récemment embauché dans une grande boite.C’était assez cool, et on pouvait s’offrir des pauses café. Il nous arrivait de se retrouver entre hommes, et j’entendais alors parler de Monique. A les écouter, ils ont tous eu une aventure avec elle. Un jour, il y a en même un qui m’a demandé si je me l’étais faite. Après ma réponse négative, il m’a dit que malgré son âge je devrais essayer, que c’est un super bon coup.Il m’arrive de la croiser, et c’est vrai que bien qu’ayant la quarantaine bien sonnée, l’âge de ma mère, elle est désirable. Belle plante, bien en chair sans être grosse, et toujours habillée sexy: large décolleté, mini jupe, talons hauts.
Un matin, je suis prêt à entrer, lorsqu’elle arrive, en vélo. Je maintiens la porte ouverte pour la laisser passer, elle me frôle, et sans pouvoir me contrôler je passe ma main sous sa jupette, et la plaque sur ses fesses charnues. Elle se retourne, et me sourit:— Eh, mais c’est qu’il se dévergonde ce petit jeune!— Excuse moi, je ne sais pas ce qui m’a pris.— Mais il n’y a pas de mal, au contraire. Je me demandais si tu allais te décider un jour! Tu as entendu parler de moi et de mes services, je suppose?— Oui, il y en a qui aiment s’en vanter.— Ca te plairait que je te rajoute à ma liste?— Oui, mais je ne sais pas si je serais à la hauteur.— Ne t’inquiète pas pour ça, tu me laisses faire et ça ira. Viens, on va aller aux toilettes et tu vas me montrer ce que tu as à m’offrir.
Je la suis et on s’enferme dans une cabine. Elle s’accroupit sans perdre de temps, et baisse mon pantalon et mon slip. J’ai la bite qui bande mou, elle s’en saisit, la caresse, la prend en bouche. Je bande dur, mais sens que ça vient très rapidement:— Doucement, tu vas me faire jouir.— Tu es un rapide, toi! Vas-y, laisse toi aller, tu peux éjaculer dans ma bouche.Elle me reprend, me suce en gémissant, je geins moi aussi et je décharge. Elle avale tout.Elle se recule, me regarde, et je suis tout confus:— Excuse moi, je n’ai pas pu me retenir.— Ne t’en fais pas , j’aime sucer, mais j’aime aussi les pipes éclair. Tu penses rebander d’ici une heure?— Oui, sans problème.— Parfait, je t’appelle et on remet ça, en espérant que tu sois un peu plus endurant.— Ok, ça marche.Elle s’en va, et j’attends deux minutes pour sortir à mon tour.
 Un quart d’heure plus tard, elle m’appelle et me demande de la rejoindre dans son bureau. Je suis surpris de son appel si rapide:— Je veux bien, mais tu m’avais dit dans une heure.— Je sais, mais j’aurais une réunion que j’avais oubliée. Mais je suppose qu’à ton âge il n’y a pas de souci pour jouir deux fois à la suite.— Non, effectivement. J’arrive.
Je suis dans son bureau, et elle referme la porte à clé. Elle s’accroupit, et déballe mon sexe:— Oh mon chéri, elle est trop belle ta bite. Je ne pouvais plus attendre, il me la faut.Sur ce, elle se jette dessus et me la dévore. Je réussis à tenir quelques minutes, mais succombe à sa bouche super douée. Je la préviens, et elle s’active de plus en plus, comme pour me donner le feu vert. Je décharge et elle bouffe tout. Elle me félicite, tandis que je me rhabille:— C’était parfait, la durée idéale. J’adore sucer, mais pas trop longtemps, pour vite recevoir ma récompense. Et toi, ça t’a plu?— Oh oui, tu suces super bien. Je peux revenir tout à l’heure si tu veux?— Petit coquin! J’aimerais bien, mais je n’ai pas que toi à m’occuper. Et puis on est ici pour bosser.— Je pourrais revenir quand?— Attends, je vais te le dire.Elle prend un agenda, le feuillette, et fixe la prochaine rencontre dans dix jours. Je suis déçu: — Tu ne peux pas avant?— Non. Aujourd’hui c’était exceptionnel, mais je ne fais que deux pipes par jour, et j’ai beaucoup de volontaires pour se faire pomper. — Tu m’étonnes! Tant pis, je me branlerais en pensant à toi.— C’est gentil, ça me fait plaisir. Tu feras ça au boulot?— Oui, dans les wc où on a été ce matin.— Tu me passeras un coup de fil juste avant, que je pense à toi moi aussi.— Ok.Je sors de son bureau.
Dix jours d’une longue attente, et  voici enfin notre deuxième rencontre. Elle me pompe, et je décharge très rapidement. Elle boit tout, me sourit, me dit de ne pas m’en faire si je suis trop rapide, et me donne rendez-vous dans trente minutes. Je suis à nouveau dans son bureau, et elle me suce encore. Je suis plus endurant, et elle semble satisfaite:— Hum, c’est bon comme tu bandes mon chéri, elle est trop belle ta queue. Ne bouge pas, tiens la bien.Elle se dégage, s’empare d’un centimètre, et mesure mes attributs pour tout noter sur un papier. Je m’en étonne et elle m’indique qu’elle tient un carnet secret sur lequel elle note tout de ses partenaires. En complément de ces premières données, elle m’interroge aussi sur mon année de naissance, ma taille, mon poids,…Elle pose son papier et me reprend en bouche. Quelques minutes d’une savante turlutte, et je gicle à nouveau. Elle avale encore, puis me pose une série de questions:
— C’est bon comme tu jouis, tu me rappelles des jeunes de ton âge que j’ai connus quand j’étais étudiante. Il y en a qui se vantaient de pouvoir faire l’amour dix fois à la suite. C’est pareil pour toi?— Je ne l’ai jamais fait, mais ça m’arrive de me branler aussi souvent.— Tu as une copine?— Non, je suis seul.— Tu es puceau?— Non, mais je n’ai connu que des prostituées.— Tu es libre vendredi soir?— Oui.— Ca te dit une soirée tous les deux?— Oui, si tu veux.
Elle me donne son adresse, et on fixe un rencart chez elle pour vingt-et-une heures.
A suivre…





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