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Monseigneur Ildéfonse

Chapitre 1

Hétéro
Personnages :Ildéfonse : Curé de GnancucuLouise : L’épouse de Monsieur le MaireRamon : Monsieur le Maire Josie : Fille de joie.
Gnancucu, en l’an de grâce 1950, le vieux curé Garibaldi, parent éloigné d’un célèbre camisard est parti en retraite pour finir ses jours dans le calme d’un couvent de franciscain. Ses ouailles lui ont fait une belle cérémonie d’adieu et il a eu largement le temps de présenter son successeur, L’abbé Ildéfonse, d’origine catalane.Ensemble, ils ont célébré la sainte messe. Maintenant, Monsignore Ildéfonse a la charge du troupeau des fidèles. Le vieux curé l’a bien mis en garde contre certaines paroissiennes qui sont un peu trop délurées. Les mois passant, le temps est long, surtout qu’il n’a toujours pas reçu une bonne pour tenir sa cure et il est obligé de demander à Josie dont la profession n’est pas trop recommandable de s’occuper de son intérieur. Mais c’est une fille qui a un coeur énorme et si sa situation n’avait pas été désespérée, certainement elle ne serait pas obligée de gagner sa vie en prêtant sa cuisse aux plus fortunés du canton. Le père, au courant de sa situation, ne lui en tenait pas rigueur, ni même à ceux qui consommaient, car sans cela, c’est pas avec de bonnes intentions qu’on nourrit son enfant. Parfois, il lui arrivait d’avoir la garde de l’enfant quand une grosse occasion, par exemple une foire se présentait et où Josie arrondissait ses fins de mois pénibles. Quelques-unes des paroissiennes se faisaient fortement réprimander en confesse sur leurs mœurs légères, surtout si elles faisaient un commentaire désobligeant sur la pauvre Josie.
Malgré sa foi, le célibat lui pesait fortement, les séances de catéchisme avec parfois des filles bien post-pubères dont les effluves le mettaient dans un état plus que honteux, sans parler des plus salopes de ses ouailles qui voulaient bien le soulager. Le problème tournait dans sa tête et le printemps arrivant, avec les femmes qui allègent leurs tenues, ses esquisses de seins qu’on devine sous un voile léger.
C’est alors qu’une mini catastrophe arrive dans le village, Monsieur Le Maire qui faisait oeuvre de bienfaisance payante chez Josie a eu un arrêt cardiaque en pleine action. Le scandale se profilait à l’horizon si Ildéfonse n’avait pas eu la présence d’esprit en donnant l’extrême onction de cacher l’objet du délit trop visible. Monsieur le Maire était mort dans sa tâche d’administrateur, laissant une femme éplorée de 41 ans, pratiquement sans ressource.
N’ayant pas de bonne, Ildéfonse, une fois l’enterrement fait, n’écoutant que son bon coeur, propose à Louise de venir tenir son intérieur, car elle doit rendre l’appartement de fonction qu’elle occupait avec son mari et elle rentre dans le moule prévu par le droit canonique.
— Louise, j’ai besoin d’une bonne que j’attends depuis longtemps, je sais que tu es de bonne composition, loyale et ton âge me permet de t’engager comme bonne. Je pourrai t’apporter aussi le soutien que tu mérites suite à ce décès.— Je veux bien, d’autant plus que je suis complètement déboussolée. Je prends les quelques affaires qui me restent, je n’ai pas de famille, ni fortune, ton offre est merveilleuse. — C’est le bon sens qui fait que je profite de cette occasion pour te venir en aide et en même temps enlevé un souci que j’avais avec le diocèse qui tardait à me trouver quelqu’un pour tenir ma cure, pour moi, ce sera aussi plus facile. Je n’aurai plus besoin de demander à Josie de faire le ménage, mais je continuerai à la soutenir et à l’aider, parfois, je garde son bambin. J’aimerai bien lui trouver un gentil mari, je pense qu’elle arrêterait tout de suite sa profession si elle en avait l’occasion. — On pourrait demander à Jeannot, l’employé communal, s’il ne serait pas intéressé. Je sais que c’est dur de passer après les autres, mais on pourrait lui expliquer que le principal ce n’est pas ce qu’elle a fait avant, mais ce qu’elle fera après. — Disons après la messe de dimanche, tu pourras déménager chez moi et j’aviserai le diocèse qu’ils n’ont plus besoin de me chercher une bonne. — Il faudra être tolérant au début, car c’est un emploi que je n’ai jamais fait.
— Évidement.
C’est ainsi que les deux se côtoyèrent à la cure, mais loin de diminuer les tensions d’Ildéfonse, la vue de cette charmante veuve lui travaillait d’autant plus les reins. Mais stoïque, il résistait et il prenait ceci comme pénitence des idées inavouables qui lui traversaient l’esprit. De son côté, Louise, avait un problème similaire, elle se doutait bien que son défunt mari, mort d’une crise cardiaque, au domicile de la prostituée locale, ce n’était pas pour relever les compteurs, mais malgré tout, il faisait régulièrement son devoir conjugal et cela commençait à lui manquer, surtout que si Ildéfonse côtoyait une ravissante quadragénaire, elle côtoyait un magnifique homme dans toute sa puissance de ses trente ans.
C’est lorsqu’elle faisait la lessive qu’elle souffrait le plus, l’odeur de l’homme viril, mais frustré la mettait dans tous ses états et en pensant ce qu’avait abrité les sous vêtements, elle était dans un stade pré-orgasmique. L’Été se passe, l’automne lentement se teinte de belles couleurs rousses. Jeannot a refait la provision de bois pour l’hiver, car le chauffage central n’est pas installé dans la cure, il y a un poêle à bois et à charbon, mais on essayait de privilégier ce qui ne coûte rien. Le charbon, il faut l’importer, le bois il est dans la forêt, suffit d’aller le chercher. Jeannot le fait par reconnaissance, il n’aurait jamais osé demander la main de Josie, il est timide comme pas possible et se retrouver avec une jolie fille, même si elle a eu un passé pas très catholique, le remplit de joie et de reconnaissance.
L’hiver frappant à la porte, le curé tombe malade et la température monte, il faut faire venir le docteur. Il commence à prendre le pouls, la température, prend son stéthoscope pour voir si la poitrine n’est pas atteinte, il voit que ce n’est pas très grave, mais il faut faire attention avec les froids qui viennent de ne pas tomber plus gravement malade.
— Je pense qu’il sera remis pour dimanche en 8, d’ici là, je vais demander à l’évêque de faire assurer le service pour dimanche.
Dimanche se passe sans problème, les bénédictions, les confessions, les visites aux malades sont reprises par un jeune collègue d’Ildéfonse qui fait des remplacements. Avant de repartir au Séminaire qu’il anime, il y a une grande discussion entre hommes d’Église :
— Comment se passe ton service dans ta cure ? — C’est vraiment une bénédiction ce village, mon prédécesseur m’a fait un legs très agréable. Je n’ai juste eu qu’un mini problème : L’ancien maire est mort en pleine action sur une de mes ouailles. J’ai pu sauver la situation pour que ceci ne soit pas trop évident. Du coup, sa veuve qui était déjà dans l’âge canonique m’a servi de bonne, le diocèse mettant un peu de mauvaise volonté à en fournir une. — C’est pas si facile d’en trouver une qui soit bonne. On peut toujours trouver des vieilles filles acariâtres, mais des personnes avenantes dont l’humeur déteint sur son curé, c’est rare. — C’est vrai, c’est vraiment une perle. — Mais dis-moi entre nous, cela ne te démange pas parfois de...— C’est bien la seule ombre au tableau, je suis encore jeune et de voir des belles femmes ne me laissent pas de bois, mais je pense qu’avec le temps, cela ira mieux. C’est un peu ma pénitence. — J’ai le même problème, mais je n’ai pas de bonne dans la bonne tranche d’âge, sinon, je crois que je serai moins stoïque que toi.
Cette discussion entre eux a un témoin, Louise qui laisse traîner ses oreilles, de manière pas très correcte et elle a tout entendu. Finalement, elle se dit : Et si on faisait d’une pierre deux coups, si on mettait ensemble nos tiraillements en commun, on souffrirait moins. Oui, mais comment faire pour l’attirer dans mon lit ou que j’aille dans le sien.Hourra ! J’ai trouvé, au prochain orage, je vais trembler de peur et j’irai chercher du réconfort. Je n’aurai pas besoin de me forcer trop, j’ai toujours peur quand il y a un orage.
Mais l’hiver, les orages avec tonnerres, c’est pas courant et il faut attendre, à fin novembre, avant les fêtes de Noël, Louise en a marre d’attendre et elle invente un nouveau stratagème, faire que le feu dans la chambre à coucher d’Ildéfonse s’éteigne rapidement et ne pas mettre de réserve, il sera bien obligé de venir se tenir au chaud chez Louise. Bingo, cela marche comme sur des roulettes non-russes. Au milieu de la nuit, confus Ildéfonse, vêtu de sa chasuble de nuit toque à la porte.
— Louise, pour l’amour de Dieu, ouvrez-moi, je suis transi. — Entrez donc, ce n’est pas fermé, mais refermez bien la porte, je remets un peu de bois dans mon poêle.— Oui, mais comment faire ? — Venez donc dans mon lit pour vous réchauffer, il ne faut pas que vous retombiez malade, je vais vous réchauffer. — Oui, mais ce n’est pas très catholique !— Pourquoi ? C’est très chrétien d’aider son prochain à ne pas tomber malade, vous n’allez pas m’empêcher de faire une bonne action. — Mais c’est un lit à une place ! — C’est d’autant mieux pour se réchauffer. Venez et ne faites donc pas tant de manière.
C’est ainsi qu’Ildéfonse se glissa dans le lit de Louise, au début, effectivement, elle le serra dans ses bras et il commença à se réchauffer, Il sentait contre son dos, la lourde poitrine qui s’appuyait contre ses omoplates (et non pas ses homos plats) De sentir ses bras l’entourer commençait à faire tourner ses idées dans sa tête.
— Tournez- vous maintenant que je réchauffe l’autre côté et après on dort. — Mais c’est bien comme cela !— On ne discute pas, tournez-vous !
Maugréant, il se tourne, mais il savait pourquoi il ne voulait pas se tourner, son goupillon était bien dressé et ne laissait aucune incertitude dans l’état d’esprit il était.
— Excusez-moi, mais si ma chaire est faible, l’esprit reste fort. — Laissez donc votre esprit dans votre chambre, il me semble qu’il y a là quelque chose de fort intéressant. Cela fait aussi longtemps que je jeûne et j’aimerai bien le couper. — couper quoi ? — Le jeûne, pas ce que je tiens dans la main. — Je crois qu’on va pêcher ! Oh ! Vierge Marie, pardonne-moi ma faiblesse. — Oublie là pour un moment et pense pour le moment plutôt à moi. Viens réchauffer ce trésor que je tiens dans ma main dans mon antre. Mais avant, malgré le droit canon, j’aimerai juste te mettre un petit capuchon, j’ai encore de temps en temps mes règles et je n’aimerai pas de faire un petit. Voilà c’est fait, viens me réchauffer mon intérieur.
Sur ce Ildéfonse se couche, comme un bon missionnaire qu’il est et d’un violent coup de rein pénètre dans cette grotte dont il rêvait depuis longtemps, il va jusqu’au fond et entame une sarabande endiablée, provoquant plusieurs orgasmes chez Louise qui pense, je n’ai rien perdu au change, celui-là, il est puissant. Enfin, d’une dernière pulsion, il éjacule tout ce qu’il a gardé religieusement dans ses roustons.
— Dis donc mon cochon, tu en avais autant besoin que moi. Maintenant on va pouvoir bien dormir.
C’est ainsi que pendant l’hiver, il n’y avait qu’un poêle qui fonctionnait pendant la nuit dans la cure, quand vint un grave problème, la pénurie de capotes, ils ne pouvaient pas se permettre de prendre de risques, c’est alors que le brave curé, parcourant les écritures saintes, dans les premiers chapitres de la genèse eut d’un coup la révélation. Et le trou du cul. Je ne pense pas que Dieu va nous envoyer le Feu divin pour nous punir et il est bien connu que pas mal de dignitaires de l’église non seulement fornique, mais nike fort de jeunes garçons.
— Louise, si on veut continuer, il faudra que je visite l’autre trou jusqu’au printemps que je fasse à nouveau provision de capotes au distributeur du diocèse. — Malheureux, ne les prends pas là-bas, une sur vingt a un petit trou pour assurer la natalité. — C’est pas vrai !— C’est ce qu’on m’a dit, vas plutôt en ville, habillé en civil et tu prends une pharmacie importante. Mais pour la visite par derrière, on va essayer, mais tu iras doucement. — Je n’ai pas d’expérience dans ce domaine. — Je l’avais fait une fois avec mon mari, mais ce n’était pas bon, mal fait sans préparation, je n’ai plus voulu le refaire. — Cette après-midi, passe donc à la laiterie prendre une plaque de beurre, je ne peux quand même pas prendre l’huile de messe pour cet usage. N’oublions pas de prendre un bon bain, si on veut que ce soit bon.
Le soir, les deux se retrouvent sous la couette, bien nettoyés.
— Louise, j’aimerai faire quelque chose que je n’ai jamais faite, j’aimerai lécher partout, tes seins, ton entre cuisses, tout et j’en profiterai pour assouplir l’entrée interdite. — Je n’osai pas te le demander, bien sur, j’aime beaucoup, mon mari était plutôt avare de ces moments-là mais j’aimerai aussi te rendre la pareille. J’aimerai aussi sucer ton goupillon, feu mon mari ne m’a pas autorisé à le faire, prétextant que c’était réservé aux filles de mauvaises vies.
Se mettant en position têtes-bêches, chacun s’enivre des saveurs du partenaire. Ildéfonse, parcourant la vulve de sa maîtresse dans tous les sens, se bat avec la forêt amazonienne, enfin, il déniche le petit bouton du plaisir de Louise et le prend comme une sucette, déclenchant une éruption érotique sans pareille. Un liquide conséquent coule dans la bouche affamée d’Ildéfonse.
— Tu aimes quand je suce ton petit goupillon ? — J’adore, on le refera chaque fois, mais profite aussi pour préparer le terrain.— oui, je vais utiliser l’huile que tu m’envoies quand tu as ton plaisir pour assouplir et je vais y mettre le doigt. Cela me rappelle une chanson d’école :
Il était une bergèreEt ron et ron, petit pataponIl était une bergèreQui gardait ses moutons, ron ronQui gardait ses moutons
Elle fit un fromageEt ron et ron, petit pataponElle fit un fromageDu lait de ses moutons, ron ronDu lait de ses moutons
Le chat qui la regarde,Et ron et ron, petit pataponLe chat qui la regardeD’un petit air fripon, ron ronD’un petit air fripon
Si tu y mets la patteEt ron et ron, petit pataponSi tu y mets la patteTu auras du bâton, ron ronTu auras du bâton
Il n’y mit pas la patteEt ron et ron, petit pataponIl n’y mit pas la patteIl y mit le menton, ron ronIl y mit le menton
— Mais contrairement à la chanson, si j’y ai mis le menton, c’est toi qui vas prendre mon bâton !— Oui, maintenant que c’est bien huilé, cela devrait aller et je suis impatiente de voir ce que cela donne, déjà quand ta langue se promenait sur mon derrière, je me disais que j’adore mon lèche-cul. Viens doucement.
Lentement Ildéfonse, défonce l’entrée de service, son gland a de la peine à passer, il faut vraiment qu’il défonce Ildéfonse. Enfin, le champignon est passé, on peut presser un peu sur l’accélérateur. Il fonce et défonce l’Ildéfonse.
— plus doucement mon chéri, c’est la première fois que je le fais depuis longtemps, Voila, reste un moment tranquille que je m’habitue, c’est gros comme étron. Maintenant, ça va, tu peux commencer à bouger. Oh c’est de mieux en mieux, plus vite, encore, toujours, je t’aime et j’aime quand tu me remues la turbine à caca. Je crois que c’est un nouveau sacrement pour l’humanité, la suprême onction, onction qui pour mon pauvre mari s’est terminée en extrême onction. Reste dedans jusqu’à ce que je sois sur le pot de chambre, je n’ai pas envie qu’il y ait un désastre avec tout ce que tu m’as mis. — Alors, tu as aimé les plaisirs de Sodome ? — oui, tu n’as plus besoin de te dépêcher d’aller chercher les capotes, j’aime sentir le fleuve tranquille qui jaillit dans mes intestins.
Quelques semaines plus tard, aux environs de Noêl, ils reçoivent la visite de Monseigneur l’Évêque, qui régulièrement fait la tournée de ses diocèses.
— Alors Ildéfonse, comment va ta nouvelle cure. — Très bien votre Excellence.— J’ai appris que tu n’as pas fait preuve de patience pour avoir une bonne, estampillée par la curie. — Le problème s’est présenté un peu différemment, Louise, l’épouse de l’ancien maire qui est mort victime du devoir, s’est trouvée fort démunie et comme je n’avais pas de nouvelles pour avoir une bonne, qu’elle avait l’âge canonique, j’ai pris sur moi qu’il valait mieux qu’elle s’occupe de ma cure que des bas-fonds de la ville. On a déjà réussi à récupérer une travailleuse du sexe et à lui faire intégrer un foyer qui marche super. J’en suis assez fier. — Cela m’enchante mon fils. Peux-tu m’héberger pour la nuit, au début décembre les journées sont courtes, les routes glissantes, je me vois mal rentrer sans problème. Je mettrai ma voiture dans la cours de la cure.— Oui mon seigneur, je vais vous donner mon lit et j’irai chercher un paillasse pour moi. Louise préparera tout cela pendant que nous dînerons.— Louise ! Appela Ildéfonse. — Oui, que puis-je faire dit-elle en faisant une génuflexion devant le dignitaire et patron de son amant. — Je vais faire apporter un matelas pour moi par Jeannot, il doit y en avoir de réserve du dernier cours de répétition, ensuite tu apprêteras le lit de Monseigneur et fera partir le souper. — Oui tout de suite.
Une fois partie, l’Évêque remarque : — tu as une servante bien avenante et très belle, je t’envie. — C’est vrai qu’elle est belle et avenante, c’est d’autant plus dure pour moi, c’est une pénitence permanente de refréner ses pulsions. — Et elle, ce n’est pas trop dur d’avoir un jeune curé alors qu’elle vient de rentrer dans l’âge canonique ? — Votre Excellence m’indispose, je ne suis pas son confesseur, ce serait pas correct. — Avez-vous déjà couché ensemble ? — Je confesse que nous avons déjà eu des rapports pas très catholiques.— Voilà pour pénitence, tu me la prêteras pour cette nuit, cela fait longtemps que je fais également pénitence. — Mais, je ne connais pas ses sentiments à votre égard ! Je vous laisse la convaincre et nous n’avons pas de préservatifs. — Sur ce point-là je suis prévoyant et quand j’ai appris que tu avais une super servante, j’ai pris mes précautions. — Je vois que mon copain qui est venu me visiter n’a pas su tenir sa langue. — Eh oui, nous sommes très intimes, il ne me cache rien.
suite prochainement, je fatigue
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