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Monsieur

Chapitre 1

Gay
J’ai connu Ivan quand il a voulu changer les fenêtres d’une grande maison qu’il venait d’acheter.J’étais alors tout jeune représentant en matériaux de construction, et notre première rencontre fut très professionnelle.
Ivan est un homme grand et bien enveloppé, chauve, la cinquantaine, yeux bleus, très élégant ; ses costumes attestent de sa condition sociale.Ivan est un aristocrate !
Après notre premier rendez-vous il me téléphona pour que l’on se revoie.Il me fit une offre que mon patron ne pourrait accepter ; je la déclinai fermement.
Il me dit alors :– N’en parlons plus. Mais puisque vous êtes ici, nous allons quand même prendre l’apéritif.
J’acceptai bien volontiers. Il nous servit deux whiskies bien tassés que nous sirotions dans son salon tout en discutant.Il était de très bonne compagnie ; il connaissait des anecdotes à foison.Je me détendais de plus en plus en sa compagnie. De plus, je sentais l’ivresse monter en moi.Ivan semblait s’en amuser. À ce moment-là, je n’aurais su dire si Ivan était homo ou pas ; ce qui semblait être une certitude pour moi, c’est que je ne l’étais pas.Il me servit un second verre, et ce qui devait arriver arriva, J’ai eu le cœur retourné et une irrépressible envie de vomir.Il me dirigea vers les toilettes, mais je ne pus tout retenir et je m’en mis partout.
Lorsque que j’allai un peu mieux, Ivan retira mes vêtements et me fit prendre une douche ; il me frottait énergiquement.Je pense avoir eu un début d’érection, mais il n’en dit pas mot.Puis il m’a indiqué la chambre d’amis où je me suis endormi comme une masse.Quand je me réveillai, nu, au milieu de la nuit, je récupérai mes affaires sales et partis en catimini.J’étais très honteux et m’en voulais d’avoir été aussi idiot.
Une semaine après, je pensais encore à Ivan et à la douche qu’il m’avait fait prendre ; je commençais à avoir de pensées perverses.Des fantasmes où il abusait de moi.À vrai dire, dès que je pensais à lui, j’avais une érection immédiate.Je me masturbais deux à trois fois par jour en pensant désormais à lui comme un dominant qui allait me dresser pour son plaisir.
Je décidai de le rappeler.
– Bonjour, Ivan ; c’est Romain. Comment allez-vous ?– Bien. Et toi ? Je pensais te voir, mais tu t’es enfui comme un voleur. Il t’a fallu une semaine pour appeler… Que veux-tu ?
J’étais déstabilisé, alors je commençai à m’enterrer dans de vagues explications qui se voulaient être des excuses.
Il me coupa et me demanda si j’avais quelque chose d’autre à lui dire.
Sachant qu’il allait raccrocher, je lui déballai tout ce qui traversait mon esprit depuis notre dernière rencontre.
Il écoutait, silencieux, puis il me dit de venir le lendemain matin le rejoindre à une adresse du centre ville.
La nuit fut agitée ; jusqu’au dernier moment, je me demandais s’il ne valait pas mieux oublier tout ça.Mais à l’heure dite, je sonnai à l’interphone de l’adresse indiquée.
– Quatrième à gauche. Je t’ouvre.
J’entrai dans ce petit appartement qui semblait lui servir de garçonnière.
– Tiens… Bonjour, tu es à l’heure. Entre. Installe-toi ; mets-toi à l’aise. Je t’ai servi ton whisky.– Mais, il est tout juste dix heures… Je n’en ai pas très envie.– Bien. Je vois qu’il faut mettre les choses au point, avec toi. Tu m’as appelé ; tu m’as expliqué que tu étais un pervers, et tu es là, devant moi, comme la dernière des putes. Alors, sache que dorénavant je ne veux plus de réponses négatives. Quand je te dis de faire quelque chose, tu réponds seulement : OUI, MONSIEUR !
Je répondis en baissant les yeux : « Oui, Monsieur » et je bus une gorgée de mon verre.
– Tu vois : ça commence à rentrer. Mais je t’ai dit de te mettre à l’aise ; alors, à poil ! De toute façon, tu sais bien que je sais déjà à quoi tu ressembles…
Je me déshabillai devant lui ; quand j’enlevai mon slip, je découvris mon érection.
– Eh bien, ça à l’air de t’exciter, tout ça ?– …– Tu as envie d’être ma petite pute ?– …– Réponds !– Oui, Monsieur ; je veux être votre pute.– Tu as plutôt un beau corps ; mais trop de poils. Tu vas aller m’enlever tout ça : tu trouveras tout ce qu’il faut dans la salle de bain. Allez, dépêche-toi ! Quand tu auras fini, viens me rejoindre dans le bureau.
N’étant pas non plus très poilu, l’opération rasage me prit une petite demi-heure pour être lisse comme un ver.Je me rendis dans le bureau ; Ivan travaillait derrière un ordinateur.
Il me regarda et me demanda de tourner sur moi-même.
– C’est bien. Tu es presque excitant ; en tout cas, tu es presque féminine : ton corps est presque androgyne. Ça ouvre des perspectives ! Passe sous le bureau et occupe-toi de moi ; j’espère que tu vaux la peine...
Je rampai sous le bureau ; le sexe de Monsieur était déjà sorti du pantalon et pendouillait. Même au repos, son sexe me semblait gros.
Je le pris doucement en bouche ; je bavais dessus et sentis le gland grossir entre mes lèvres. Je le tétai, le décalottai, mais je n’arrivais à avaler que les deux tiers de son gland.
Alors je me mis à le branler, à lui caresser ses grosses couilles, puis à les lui lécher généreusement. Je l’entendais grogner et gémir, puis il s’est saisi de ma tête pour me pistonner la bouche à son gré. À présent, il râlait. Puis il lâcha :– Prends-ça, salope !
Je reçus son foutre abondant directement dans la gorge ; je crus étouffer, mais il ne desserrait pas l’emprise, tant et si bien que j’avalai tout jusqu’à la dernière goutte.
Il me regarda d’un air supérieur.– Mouais... Bon, nettoie-la mieux que ça !
J’essayai de m’appliquer pour cet homme qui ne cessait de me déstabiliser.
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