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Monsieur

Chapitre 5

Gay
Le lendemain matin j’étais cloué au lit avec un fièvre de cowboy , j’étais complètement dans les vapes et monsieur , qui ne devait pas avoir la conscience tranquille , après ce qu’il m’avait fait enduré la veille appelât sa sœur aîné , Esther qui était médecin généraliste . Je ne la connaissais pas ou seulement par de rares anecdotes que monsieur me confiait au sujet de sa famille .
Quand je l’ai vue , avec la fièvre , je pensais que c’était monsieur avec des cheveux .Elle lui ressemblait de façon surprenante, le même visage carré, le même port de corps , une corpulence similaire , si ce n’était cette poitrine proéminente qui surplombait son corps. Les cheveux grisonnants coupés courts lui donnés un air sévère .Elle lui ressemblait d’autant plus qu’elle ne portait aucun maquillage, seul un rang de perles et deux boucles d’oreilles associés soulignés sa féminité. Je voyais qu’elle était plus que surprise de se trouver dans cette chambre avec un travesti même pas démaquillé.Elle entreprit de me faire asseoir et se rendit compte que tout mon corps était marqué par les coups de ceinture.Elle reculât, sortit de la chambre et j’entendis dans les limbes de ma fièvre une vive dispute.
Et puis sans comprendre pourquoi, je me rappelle être monté dans une voiture et je me retrouve dans une chambre et une maison que je ne connais pas.Il faisait nuit, j’entrepris de me lever mais je cognais contre la table de nuit et je fis tomber un bibelot qui en tombant fit un bruit pas possible.La porte de la chambre s’est ouverte, Esther se tenait devant moi,elle en chemise de nuit et moi dans un shorty blanc en soie.Elle me poussât fermement vers le lit, je n’opposais aucune résistance, elle me passât un chiffon humide et rafraîchissant sur le front et puis délicatement sur mes bleus qui recouvraient mon corps, elle me fit mettre sur le ventre pour s’occuper de mon dos meurtri.Durant cette toilette, elle m’expliquât plus clairement qu’elle m’avait sorti par la force de chez son pervers de frère.Elle le savait sexuellement dérangé mais elle ne pensait pas qu’il pourrait aller jusqu’où il a été avec moi.En plus je lui avais soit disant détaillé par le menu toutes mes frasques sexuelles avec son frère. Je me retrouvais à nouveau sur le dos, elle me parlait gentiment mais sa chemise de nuit laissait apparaître nettement la forme de ses gros tétons et j’étais captivé par cette énorme paire de seins. Pendant son monologue, nonchalamment elle a laissé sa main sur mon ventre, je suis convaincu que son geste était des plus innocents. Je me suis mis à bander, je l’ai senti, j’ai essayé de combattre cette érection mais rien n’y faisait. Ce n’était pas le petit shorty ridicule que je portais qui pouvait cacher quoi que ce soit.Elle a retiré sa main d’un geste sec, elle semblait en colère ." Non mais c’est pas vrai je croyais que tu aimais les hommes, toi ?""Alors t’es à voile et à vapeur, t’es vraiment pervers toi aussi et puis je pourrais être ta grand mère, tu n’as aucune décence?""J’essaye d’être gentille avec toi et voila comment tu te comportes, espèce de vicieux.""Dors je verrai ce que je ferai de toi demain."La porte s’est refermée et je me suis retrouvé tout bête dans le noir.
Encore une fois j’avais vraiment honte, je me posais beaucoup de questions.Le lendemain j’étais toujours dans la même tenue et pour cause Esther m’ayant expliqué que c’était le seul bout de tissu qui recouvrait à peu près mes parties génitales qu’elle avait trouvé.L’ambiance était glaciale mais je me rendis compte que Esther s’était légèrement maquillé et que son chemisier était largement ouvert.J’essayais toutefois de rester de marbre je ne voulais pas revivre la scène de la veille au soir.Esther m’a demandé de bien vouloir venir dans la salle de bain pour qu’elle puisse me faire mes soins.Elle me positionnât devant l’évier et fit glisser le shorty vers le sol, elle m’enduit le dos et les fesses de pommade.Ses mains parcourent mon corps, je n’ai plus du tout mal et seule une sensation de bien être envahit mon corps.Et bien sur je bande, grâce à la glace, devant nous, elle s’en aperçoit et même si elle me traite de cochon vicieux de petit pervers, elle continue à me masser, elle se colle à moi je sens ses seins contre mon dos et elle saisit mon sexe.Elle me branle énergiquement tout en me disant que ce n’était pas bien que j’étais un obsédé détraqué.De son autre main elle saisit mes couilles et les griffe délicieusement, elle sait vraiment y faire, je gicle dans un hurlement, contre le miroir au dessus de l’évier.Je m’agrippe à l’évier, j’ai les jambes coupées .En sortant, Esther me lance: "Tu nettoieras tes cochonneries avant de sortir".Je l’ai rejoins dans le salon, je ne savais pas vraiment quoi dire, c’est elle qui a brisé la glace."Bien, j’espère au moins que tu es détendu maintenant, cette après midi je ne travaille pas alors si tu veux on se fait un séance de bronzette autour de la piscine.Tu es blanc comme un linge, ça ne peut que te faire du bien".Nous avons passé l’après midi à discuter, c’était un très bon moment.J’appris qu’elle avait été marié, un mariage sans passion et sans enfants, et deux amants.J’étais assez surpris, ça allait à l’encontre de l’idée que je me faisais d’ Esther, prude et coincé sur les choses du sexe.Mais non Esther avait elle aussi des envies et des besoins à satisfaire.Elle me dit que lorsque je lui avait raconté mes péripéties sexuelles, elle avait certes était choqué mais certaines fois cela l’avait un petit peu émoustillée, comme elle disait.J’ai voulu avoir des détails mais elle s’est fermée et m’a invité à aller prendre une douche.Elle voulait que nous dînions et cette fois, tenue correcte exigée. Elle allait me chercher des vêtements dans ceux de son défunt mari.En sortant de la douche je trouvais un costume et une chemise qui devait avoir au moins vingt ans.J’enfilais le tout et me rendis comte que son ex mari mesurait dix centimètres de plus que moi et au moins quinze kilos de plus.Je serrais la ceinture au maximum je me suis fait des ourlets rudimentaires mais rien n’y faisait je ressemblais à un petit garçon qui a essayé de mettre le costume trop grand de son papa. Je me présentais donc dans ce costume bouffant devant Esther, elle pouffât de rire."Je suis ridicule, je ressemble à un petit garçon.""au moins tu ressembles à un garçon et pas à une fille, c’est déjà mieux tout de même", me répondit elle.Elle s’était fait belle, elle avait appuyé son maquillage et avait une robe qui mettait vraiment ses seins en valeur.Elle saisit mon regard et me dit :" Ce soir j’ai garni le balcon, tu sembles les apprécier, tu vas pouvoir en profiter."Nous avons mangés, beaucoup bu, c’était vraiment tés détendu, Esther avait un humour cinglant qui me plaisait beaucoup.C’était une maîtresse femme en toute chose, elle aimait dirigé prendre les décisions et ça je l’ai compris tout de suite.Et ma nature de soumis n’était pas insensible à ce côté de sa personnalité.A la fin du repas elle a voulut danser, coller l’un contre l’autre nous bougions doucement au milieu du salon, je sentais ses seins contre ma poitrine, ses ongles caressaient ma nuque sensuellement.Mes mains au dessus de ses fesses descendaient ostensiblement, je bandais ferme et ne m’en cachait plus bien au contraire je recherchais le plus possible le contact de son bas ventre.Elle était de plus en plus lascive, puis elle a tiré légèrement ma tête vers l’arrière et l’a ramené vers elle pour m’embrasser fougueusement.Elle m’a emmenée dans sa chambre, m’a demandé de l’aider a baisser la fermeture éclair de sa robe. Elle s’est retournée, elle ne portait rien sous sa robe, je contemplais enfin ses seins sans aucun apparat qui les cachait. En moins de deux, mon costume trop grand était par terre. Elle s’assit sur le bord du lit et naturellement je me suis positionné comme un bébé qui vient prendre la tétée.Dans cette position elle avait facilement accès à mon sexe, elle le caressait doucement." c’est bien, mon tout beau, têtes moi bien, oui comme ça tu aimes ça, tu as de la chance, regardes comme tu es excité mon petit homme!"Elle me griffait les couilles, ce qui m’excitait encore d’avantage."Allez changes de sein, l’autre est jaloux, voila comme ça oui bébé tu fais du bien à maman!"Puis elle s’est allongée sur le dos et a guidé ma tête vers son sexe touffu, l’odeur était forte mais assez agréable, ses lèvres étaient gonflées et luisantes de désir. Son sexe était trempé et j’ai commencé par de timides coups de langue. Ce qui ne semblait pas être à son goût elle me dirigeât:"Allez n’aies pas peur, bouffes moi la chatte, enfonces ta langue, bébé, récoltes mon nectar de femme, voila lèches bien partout!"" Maintenant regardes là, c’est mon clitoris viens jouer avec, il est bien gros tu peux presque le téter, oh oui comme ça, très bien, continues, continues comme ça!"Elle mouillait vraiment beaucoup j’en avais plein le visage et puis pendant que je m’occupais de son clito elle s’est mise a uriner. J’ai continué à lécher, j’ai bu son jus puis elle s’est mise a hurler, elle jouissait dans ma bouche.J’appris par la suite que c’était un énorme complexe pour elle car souvent quand elle faisait l’amour elle ne pouvait se retenir de faire pipi.Et lorsque je lui avais raconté comment Jacques m’avait pissé dans la bouche en même temps qu’il me faisait jouir elle avait tout de suite pensé à elle.Elle m’a attiré vers son visage, m’a embrassé tendrement puis m’a dit:"Oh dis moi que tu aimes, mon petit chéri, dis moi que tu aimes me lécher, bébé.""Oui Esther j’adore te lécher, j’adore ton jus, tout ton jus.""Oh mon petit cochon tu m’excites tellement, viens mets ta jolie queue dans ma chatte, têtes moi en même temps!"J’allais et venais entre ses grosses cuisses, ses ongles écartaient mes fesses tandis qu’elle ramenait mon bassin vers elle à sa guise.J’avais oublié la douceur d’un vagin, je prenais mon pied.Puis elle m’a donné quelques claques sur les fesses, tout en me criant:C’est un bon garçon, ça , allez fais jouir maman maintenant, vas y mon beau prends moi bien, oui je te sens bien, allez viens en moi bébé, voila c’est bien comme ça!"Je jouissais dans sa chatte et la sensation était merveilleuse, je suis resté en elle de longues minutes."Et bien , tu vois je me demande si t’as jamais été homo, toi. En tout cas tu me plais vraiment beaucoup je vais m’occuper de toi. ""Tu as envie que je m’occupe de toi, n’est ce pas?"J’avais déjà entendu ça et ma réponse fût la même.
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