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Monstre ou déesse ?

Chapitre 3

Divers
Après ma toilette, je pris pleinement conscience que je n’avais plus aucun problème avec l’image que me renvoyait la glace de la salle de bain. Au contraire, le reflet que j’y voyais me plaisait et me valorisait. J’étais en train de prendre mon petit déjeuner quand on sonna à la porte. C’était Roger notre voisin et il demeura pétrifié sur le pas de la porte.
— C’est toi Morgan ? finit-il par demander d’une voix mal assurée.
— Mais bien sur que c’est moi Morgane… ta chérie si tu te souviens bien…. Rentre donc, je pense que je vais bientôt avoir besoin de toi.
Roger entra un peu hésitant et je le forçai à s’installer devant un café avec moi.
— C’est complètement dingue le changement ! fit-il enfin. T’es trop canon ma chérie. Si j’m’écoute, j’te baise tout de suite sur la table…
— Ttt Roger. C’est moi qui décide. Quand et comme je veux, souviens-toi…
— Putain merde... C’est quoi ce délire ? Et tu vas me faire mariner longtemps ?
Le temps que je voudrais. Le désir des hommes à mon égard, c’est moi qui le déclenchais et c’était donc à moi de le contrôler et de réduire ces hommes pleins du désir de moi à ma merci. C’était aussi simple que ça. Et en plus, un homme rempli de désir mais contraint d’attendre mon bon vouloir ne pouvait qu’en être meilleur, j’en étais certaine.
Mes seins commençaient à être engorgés mais j’attendais encore. Je prenais tout mon temps, parlant de choses et d’autres, passant devant Roger et le frôlant pour aller chercher une petite cuillère dans le tiroir, une tranche de brioche dans le placard… Je voyais bien que Roger n’en pouvait plus. Il se tordait sur sa chaise et son sexe devait lui faire mal à force de bander car il le pressait fortement avec sa main et grimaçait par moment.
Je m’assis sur le bord de la table en remontant ma jupe. Roger comprit immédiatement et se rua sur moi. Je dégrafai mon chemisier et abaissai mon soutien-gorge. L’homme se précipita sur mes mamelons et les téta avidement en dégrafant sa braguette. Je me laissai aller en arrière, offerte. Roger me pompait toujours alors qu’il me pénétrait et je gémis de plaisir.

Quant à lui, il râlait en pressant mes seins pour recevoir des giclées de lait dans la gorge pendant que sa bite allait et venait au fond de moi. Cela me causait un plaisir immense de nourrir l’homme qui était en train de me remplir le ventre de son corps d’homme et allait ensuite me remplir de sa semence abondante, épaisse et laiteuse. Mes mamelles venaient de lui donner leurs dernière gouttes quand l’homme rugit en me donnant un ultime coup de reins et en se vidant les couilles dans mon ventre. 
Mais je réalisai brusquement que j’avais bien plus de lait à donner à un homme que celui-ci n’avait de semence à me donner. Quand devrais-je donc demander à Roger de me téter à nouveau ? D’ici quelques heures peut-être… et moins si j’étais excitée, ce qui provoquait une montée de lait à chaque fois. Mais lui n’aurait probablement plus rien à me donner à ce moment-là. Il me fallait donc plusieurs hommes pour satisfaire mes besoins. Un homme qui me remplissait le ventre avec son corps et son sperme pendant qu’il me tétait, c’était vraiment trop bon… Il me fallait plusieurs hommes…
— Roger, veux-tu venir avec moi pour m’acheter des fringues ? Mon père ne veut pas que je continue à m’habiller avec les affaires de ma mère et moi non plus… ça me gêne.
L’homme semblait hésitant.
— Roger j’ai besoin d’un avis… j’ai pas l’habitude tu comprends ? Et puis je pense que j’aurai besoin de toi si ça dure trop longtemps.
— D’accord. Mais moi non plus j’ai pas l’habitude. Et j’aime pas faire les magasins mais bon… c’est d’accord.

Je prenais des tonnes de vêtements dans les rayons et les essayais dans une cabine. J’appelais à chaque fois Roger pour lui demander ce qu’il en pensait mais à part : « Wouah t’es vraiment trop bonne avec ça… », « Putain c’que t’es canon ! », rien de bien utile comme conseils…
Un vendeur avait remarqué mon manège : « C’est toute votre garde-robes que vous changez mademoiselle ? » me fit-il avec un grand sourire alors que j’allais rechercher des vêtements dans les rayons.
— Oui on peut dire ça, je n’ai plus rien à me mettre. Au fait, accepteriez-vous de me dire ce que vous en pensez ? Mon ami n’est pas fichu de me donner de bons conseils, pour lui tout me va… Vous acceptez ?
— Mais bien sur mademoiselle, avec grand plaisir…
Il devait avoir 35 ans. Il était vraiment très beau, à croire qu’on l’avait embauché sur son physique avantageux. Grand, brun, une barbe courte et sculptée et un visage de dieu grec. Un corps svelte mais solide, c’était vraiment un superbe mec !
— Mademoiselle, avez-vous essayé ce genre de vêtements ?
Il me montrait des leggings noirs dont certains étaient agrémentés de bandes de dentelle ou carrément troués.
— Euh… non j’ai pas essayé. C’est très moulant, j’ai vraiment pas l’habitude… et puis c’est assez provoquant non ?
— Essayez, croyez-moi. Vous avez un corps fait pour porter ce genre de choses. Les leggings ne vont pas à tout le monde loin de là. Certaines femmes devraient s’abstenir mais pas vous ! Essayez mademoiselle… je vous dirai franchement ce que j’en pense. Au fait votre ami… c’est votre petit ami ? Il parait beaucoup plus âgé que vous…
— C’est un ami c’est tout. Je croyais pouvoir lui faire confiance pour me donner son avis mais j’ai eu tort…
— D’accord, fit le jeune homme avec un large sourire. Laissez-moi porter tout ça…Un legging noir avec des sneakers et un pull oversize me renvoya un look jeune qui me plut aussitôt. C’était ni trop ni pas assez…
— Pouvez-vous venir voir ? demandai-je au vendeur en écartant légèrement le rideau de la cabine.
— Xavier… appelez-moi Xavier… Oh putain !
Le jeune homme regardait mes longues jambes moulées de noir et n’arrivait pas à en détacher son regard.
— Moi c’est Morgane… mais qu’y a t-il donc ?
— Morgane… quel merveilleux prénom… vos jambes ! J’ai jamais vu des jambes aussi longues et aussi parfaites. Je savais que ce genre de vêtement vous irait trop bien. Et avec ce pull, on devine que vous avez un corps de rêve sans que vous ne le montriez trop. C’est magnifique… vous êtes magnifique !
Xavier ne pouvait pas cacher qu’il bandait. Et moi j’éprouvai instantanément un vide douloureux dans le ventre et dans le creux des reins. Et en plus, mes seins commençaient à me faire sérieusement souffrir…
— Tenez Xavier, vous allez m’aider à ôter tout ça et à passer ce slim… c’est épuisant… ça doit faire la quinzième tenue que j’essaye…
Le jeune homme se racla la gorge, rougit et bafouilla : « Je… vous croyez ? Et votre ami… il va rien dire ? »
— Roger ? Bien sur que non, je vous ai dit que ce n’était qu’un ami. Il pourrait être mon père voyons !
Je me retournai et Xavier fit passer mon pull par-dessus ma tête. J’en profitais pour prendre une de ses mains et l’appliquer sur un de mes seins.
— Oh putain… gémit le jeune homme.
Il pressait maintenant son corps contre le mien. Je sentais parfaitement sa bite bandée à fond contre mes fesses.
— As-tu envie de moi Xavier ? demandai-je doucement.
— Oh si tu savais… j’en crève d’envie oui…
— Je vais t’offrir mon corps mais avant… tu vas me rendre un service…
— Tout ce que tu veux… dis-moi…
Je fis face au jeune homme. Mes seins étaient gonflés à bloc et du lait commençait à s’écouler des mamelons terriblement douloureux.
— Mais tu… allaites ? Tu as un enfant ? demanda Xavier ébahi.
— Je n’ai pas d’enfant, non. Je suis faite comme ça, j’ai toujours du lait et ça fait vraiment mal crois-moi.
J’attirai la tête du jeune homme vers ma poitrine mais je n’eus même pas à insister car Xavier se jeta littéralement sur moi et se mit à me téter comme un fou. Il aspirait et pompait si fort qu’il m’en faisait terriblement mal. D’un autre côté, je n’avais pas encore ressenti un tel creux dans le ventre et c’est des spasmes et des contractions douloureuses qui me tordaient les boyaux. Quel dommage que cet homme ne puisse pas me prendre pendant qu’il s’abreuvait de mon lait mais c’était impossible dans cette cabine.
Et Xavier gémissait et geignait en avalant mon lait chaud à grosses gorgées, passant d’un téton à l’autre et me pétrissant les seins comme il l’aurait fait avec de la pâte à modeler.
Je gémissais autant que lui et il fallait maintenant qu’il comble ce creux dans mon ventre, c’était un véritable supplice que ces contractions douloureuses…
Je repoussai violemment le jeune homme, me retournai et cambrai les hanches. Xavier baissa prestement mon legging et je l’entendis défaire à la hâte sa braguette en respirant de plus en plus bruyamment. Il se plaqua contre moi et je sentis sa grosse bite dure et humide s’introduire dans ma raie. Je me cambrai encore plus, complètement ouverte et offerte. Dans un râle, le jeune homme s’enfonça en moi d’un vigoureux coup de reins qui me projeta en avant. Il me lima comme un malade en s’accrochant à mes seins. Il les pressait si fort dans ses paumes que des giclées de lait jaillissaient et s’écrasaient sur le miroir qui me faisait face. Xavier me remplissait tellement le corps avec une bite qui semblait avoir de sacrées dimensions que je me sentais toute pleine de lui et que mon corps s’apaisait. Je le laissai m’envahir et me posséder autant qu’il le voulait. Il me prenait avec toute la rage et la fougue dont il était capable. Ni Roger ni mon père ne m’avaient donné cette sensation d’être aussi pleine d’un homme, d’être aussi remplie de lui… Xavier déchargeât tout son sperme au fond de moi dans un ultime rugissement. J’étais certaine qu’on l’entendait hors de la cabine…
Et en effet, le rideau s’écarta brusquement et Roger entra dans la cabine, rouge de fureur…
— T’es vraiment une sacrée salope, hurla t-il. Tu me fais venir pour te faire enfiler par le premier venu et moi tu me laisses en rade, t’en as plus rien à foutre de moi…
Xavier se retira précipitamment de mon corps et remballa un énorme sexe englué de sperme. Il était tout rouge…
— Ça suffit Roger, fis-je sèchement. N’oublie pas le marché qu’on a conclu. Tu es à moi mais moi je ne suis pas à toi. Aurais-tu déjà oublié ?
— J’ai pas oublié non… fit l’homme en se renfrognant. Mais… ça fait mal… j’aurais tellement voulu t’avoir pour moi…
— Si ça peut vous rassurer… intervint Xavier. N’importe quel homme voudrait avoir Morgane pour lui… je ne pensais même pas qu’une telle fille pouvait exister… je voudrais aussi l’avoir à moi et rien qu’à moi vous savez…
— Es-tu capable de me baiser… maintenant… demandai-je à Roger.
— Mais… bien sur, répondit-il décontenancé.
— Alors prends-moi et toi Xavier, pendant ce temps-là tète-moi tout mon lait qui est en train de s’accumuler…
Alors-là, je peux dire que j’ai pris un sacré pied ! Roger me remplissait le ventre avec sa grosse bite qui faisait un étrange bruit de clapotis dans le sperme que Xavier avait déjà déchargé dans mon corps. Pendant que le jeune homme me tétait avidement les mamelles en avalant de grosses giclées de lait tout en se masturbant. Sa grosse bite me faisait penser quelque part à une grosse tétine… Et le sperme d’un homme pouvait faire penser à du lait après tout… peut-être en plus épais et crémeux mais… Quant au goût, je n’en avais vraiment aucune idée ! Quel goût la semence d’un homme pouvait-elle bien avoir ?
Mon lait se tarissait enfin et Xavier continuait à se masturber en me regardant me faire limer par Roger. Je me penchai, approchant mon visage à quelques centimètres du gros gland violacé et trempé que le jeune homme malmenait en se branlant comme un malade. Roger râla derrière moi et je sentis son sperme chaud et épais gicler puissamment dans mon ventre et me remplir complètement. Au même moment, Xavier geignit et j’ouvris la bouche pour recevoir des jets de semence abondante qui me nappèrent la langue, le palais et la gorge. L’odeur et le goût du foutre étaient assez forts et n’avaient rien à voir avec du lait. Mais ça n’était pas mauvais du tout, bien au contraire. C’était onctueux et épais, légèrement salé… finalement j’avalai tout et passai même ma langue sur le gland du jeune homme pour le nettoyer du sperme qui le maculait. Une légère odeur douceâtre s’échappait par la braguette du jeune homme, une odeur d’homme et de bite que je découvrais et que je trouvais carrément excitante…
Roger s’affala sur mon dos, complètement épuisé et le souffle court. Du coup je fus projetée contre Xavier qui me retint. Le jeune homme me redressa et me regarda droit dans les yeux : « Putain de merde, j’ai jamais pris un tel pied… Est-ce qu’on va se revoir Morgane ? Je t’en prie dis-moi oui… Et même, je t’en supplie à genoux s’il le faut mais dis-moi oui… »
— Ce sera oui Xavier, mais pareil que Roger. Je ne vous appartiendrai jamais et c’est vous qui êtes à mon service et pas l’inverse. C’est à prendre ou à laisser.
— Je prends, fit le jeune homme précipitamment. Tout ce que tu veux du moment que je puisse te revoir…
— J’ai besoin de plusieurs hommes Xavier, c’est comme ça. Un seul homme ne peut pas me satisfaire tout simplement parce que j’ai beaucoup plus de lait que vous n’avez de sperme. Tu comprends ?
— Je comprends oui. On est vraiment mal foutu car je donnerais n’importe quoi au monde pour pouvoir satisfaire tous tes besoins mais on a malheureusement nos limites… je comprends…
En tout cas, cette expérience avec deux hommes en même temps avait été fabuleuse ! Deux hommes à ma disposition, c’était exactement ce qu’il me fallait à part qu’il m’en fallait plus…
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