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le motel

Chapitre 1

Trash
Il est des héritages bizarres. Ce fut mon cas quand je devins propriétaire d’un motel en bordure d’une nationale, juste à la sortie de l’autoroute. Mon grand père y gagnait bien sa vie. Je rêvais d’en faire autant. Au début de mon installation tout va bien, les choses déclinent petit à petit. J’apprends que mon brave grand père employait des serveuses, des femmes de chambre spéciales. Ainsi il menait sa barque avec les prostituées. Je ne pouvais me résoudre aux mêmes procédés. Un soir, vers 22 heures je reçois un coup de fil d’un des chalets. Si je me souviens bien je l’ai loué à un homme d’une cinquantaine d’années. Qu’est ce qui se passe. Je fais voir ce brave homme qui sort de la douche enveloppé dans une serviette.— La vidange fuit, il faut y faire quelques choses, mais je vous ai dérangé pour autre chose plus importante. Je vois de quoi il s’agit quand il s’assoit sur le lit : une belle bosse déforme la serviette. Je regarde sa déformation en pensant que je n’ai pas baisé depuis plusieurs mois. Il me donne envie. Je me penche à peine, je prends sa queue dans la main, je la sort de la serviette. Sa nudité m’excite pas mal. Il est mignon, bien fichu. Je le regarde dans les yeux quand je commence à le branler. Ma main reprend vite le rythme que je connaissais de la masturbation.Je sens que mon string se mouille. Je sais que s’il me fait une proposition indécente, je risque de succomber. Il ne dit rien, il prend ma main, m’approche de lui. Il me donne ses lèvres. Je me laisse aller à un baiser profond. Il me caresse les seins, le ventre ; passe une main sous la robe. Il monte vers ma chatte. Je ne veux pas qu’il me fasse l’amour….. Je me laisse aller quand il me caresse la corolle. Le clitoris me fait jouir une fois. Après tout, pour une fois, à cette heure tardive, personne ne viendra plus, je me laisse aller. Je me déshabille devant un inconnu. Il vient sur moi m’impose sa queue dans le vagin : il me fait vite jouir. J’étais en manque. Il bande toujours le salaud. Il me met sur le ventre. Je le sens sur mes fesses. Il laboure la raie. Il m’excite encore. Sa queue se faufile jusqu’à mon petit trou qui n’a pas servi pour ce qu’il cherche depuis longtemps. Je vais me laisser faire pour renouer avec mes anciens orgasmes anaux. Il est très doux quand il pose sa queue sur le cul. Je me touche la chatte, prête à me branler pendant qu’il m’encule. Il ne fait que pose le gland sur l’anus. Il reste un bon long moment avant de bouger. Je vais m’impatienter quand enfin il commence à entrer. Je n’ai jamais étais prise de cette façon, il entre comme dans le vagin, je ne sens pas de début de douleurs comme j’aurais du. Je sens bien le gland passer, le reste de la queue envahir mes boyaux. Je ne me caresse pas, il me donne de plaisir non évident. Je jouis du cul comme avant. Je ne voudrais pas qu’il sorte de moi. Hélas je sens son perme dans mon cul. Il sort encore triomphant : il est quand même vaincu. Il me donne sa queue pour l’embrasser : je le prends en entier dans la bouche. Je lui fais sortir un filet de semence. Il faut que le lendemain matin je sois à ma place, à la caisse. Il passe payer le chambre, me sourit et laisse une enveloppe. J’attends son départ pour savoir que contient l’enveloppe : 1.000 €. Je me suis prostituée sans le savoir. Mais j’ai eu ma dose de plaisir. Finalement on ne peut pas dire que je suis devenue une pute comme ça, sur un coup de baguette magique. La routine encore plusieurs semaines. Les affaires commencent à marcher bien mieux sans être sensationnelles.Une nuit une femme me fait venir pour une sombre histoire. Je vais au chalet en me demandant quoi faire. C’est une merveille de femme dans un déshabillé transparent. Je ne peux lui parler, elle est contre moi, m’embrasse sur la bouche. Je peux me libérer quand elle demande— Ne me dites pas que vous détestez les filles, je en vous croirais pas.— Nous, mais c’est si vieux : j’étais encore étudiante et encore je n’ai pas été jusqu’au bout.— Tu me diras merci après.J’abandonne ma résistance. Elle plonge sa langue dans la bouche : elle embrasse bien mieux que beaucoup d’hommes. Elle fait tomber le peu qu’elle porte : je vois bien ses seins presque pointus. Elle me les donne pour les embrasser. C’est vrai, ils sont doux, exquis, délicieux. Je me suis fait avoir avec sa poitrine.— Déshabilles toi.— Toute nue alors ?— Comment veux-tu baiser habillée.Elle a raison, et pourtant je n’ai pas dit oui. C’est je ne sais quoi qui me pousse à lui céder. Elle m’embrasse encore longuement en me caressant des épaules aux fesses. Je ne peux que faire pareil. Elle passe la bouche sur les pointes de tétons, descend là où je l’espère, trop lentement. Sa bouche se colle à ma chatte. Elle me bouffe en entier. Il me semble que sa langue est partout. Elle réussit le cunnilingus bien mieux que n’importe quel homme de ma connaissance. Je tends le ventre devant le plaisir qu’elle me donne dans compter. J’éjacule dans sa bouche pour la première fois de ma vie. Elle continue son jeu de langue en le completant pas une profonde caresse entre les fesses. Je ne sais où elle va. Je le divine trop vite quand elle frôle l’anus, le dépasse pour aller dans le vagin. Là elle me doigte sans cesses jusqu’à mon prochain orgasme encore violent. — A moi maintenant, lèches moi !— Je ne sais pas le faire.— Je te guiderais, lèches moi.Elle est couchée, les jambes ouvertes. Je regarde son calice, merveille des merveilles. Il y a très longtemps que je n’en ai vu un. Je l’embrasse sur ses lèvres du bas Je fouille un peu avec mes doigts s’ouvre ses lèvres pour bien voir son petit clitoris qui bande doucement. Puis je pose les lèvres. Je déguste sa cyprine délicieuse, plus que la mienne que je trouve quelconque. Je fais ouvrir en entier le sexe. Je mordille le clitoris avec les lèvres, je l’aspirai dans la bouche. Je lui fais ce que je voudrais qu’une fille me fasse. Elle me la fait, et alors je peux bien inventer moi aussi. Je fouille partout, elle gémit pour manifester contentement et son orgasme que je sens contre mon visage. — EncoreJe continue le cunnilingus. Je vais essayer d’aller plus bas, encore plus bas. Je trouve bien son petit trou. Alors je vais m’exercer à le lécher, le pénétrer. La faire jouir de ce coté là. Je ne pensai jamais lui donner tant de plaisir, elle me tient la tête pour que je ne me dégage pas de ses jambes. — Viens sur moi.Je me tourne pour lui donner mes avantages d’entre cuisses. Que cette position d’abandon de deux femmes est bonne. Nous nous léchons nous tournons, recommençons je ne sais combien de fois. Nous sommes épuisées. Je regard l’heure : nous avons baisé entre filles plus de trois heures. Impensable.Elle repart le lendemain, fraiche comme une fleur à peine cueillie. Elle me laisse une enveloppe. Elle me fait un légères bise en murmurant un « à bientôt nous deux » L’enveloppe contient 1/500€ et un petit mot : il m’avait parle de toi. Je ne pensais pas que tu baise si bien à ma prochaine. Elle revient presque tous le mois à un jour près. Entre temps j’ai mes clients fidèles qui baisent tous comme des dieux. J’ai des nuits agitées.Depuis j’ai deux ou trois fois par semaines des dames bien mises que je rejoins pour la nuit. Je joins l’argent et le plaisir partagé. Mon affaire fonctionne bien mieux aussi, jamais mieux que depuis le début.. J’ai il fait le dire des clients ou clientes réguliers que je reçois avec plaisir comme ils me reçoivent dans leur chambre avec leurs queues ou leur langues.
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