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Mutations

Chapitre 1

Divers
Je me suis inscrit il y a bientôt une année sur ce site, dans trop savoir ce que j’allais y raconter. Ma vécu? Mes expériences sexuelles? mes souffrances? Je vais commencer par le commencement. J’ai eu 29 ans en 2013. Côté face, je m’appelle Stéphane, je suis développeur logiciel, consultant indépendant, je prend mon pied en passant mes journées et parfois mes nuits sur mon ordi à développer de nouvelles solutions pour mes clients. Côté pile, je m’appelle Sylvia et je suis l’esclave d’un homme beaucoup plus âgé que moi. Certains de mes clients connaissent mes deux faces et exigent un service irréprochable dans les deux domaines. Bref, ma vie n’est pas toujours simple, je vis parfois dans une sorte de monde parallèle à la réalité, ne sachant plus qui je suis vraiment. il y a trois ans, j’ai commencé une thérapie avec une sexologue clinicienne et qui commence à porter ces fruits. J’arrive à entrevoir une autre vie, plus équilibrée, où je ferais mes propres choix, où j’oserais décider de ce que je veux, ce qui est bon pour moi. Je suis le dernier d’une fratrie de 5. J’ai 4 soeurs aînées et j’ai été éduqué uniquement par des femmes: ma mère, une voisine et deux de mes tantes. Je suis le seul "homme" de la famille, en fait. Je dis "homme" entre guillemets, parce que je n’ai jamais eu l’entourage nécessaire pour pouvoir développer ma virilité. Je suis devenu un jeune adulte renfermé, passant plus de temps devant son ordi qu’avec des êtres humains. Je n’aimais pas tellement les jeux vidéos, je passais le plus clair de mon temps à bricoler de vieux ordis et à concevoir de petits programmes.Je venais d’avoir 18 ans et ma mère a décidé de louer un studio pour moi dans un autre immeuble, car elle avait enfin trouvé un mec et voulait être seule avec lui, mes soeurs étant déjà parties du nid. J’ai eu un début difficile. Je me nourissait à peine, je ne faisais ni lessive ni ménage. Finalement, mon voisin a sonné à ma porte. C’était un homme dans la cinquantaine, fonctionnaire des impôts, un homme strict et réglé comme une horloge. Il s’est plaint de la puanteur et est entré presque de force chez moi. Il m’a passé un bon savon et je me suis mis à pleurer. C’était la première fois qu’un homme criait après moi. Il m’a regardé étonné et s’est radouci, tout en restant ferme. Il m’a dit:— Jeune homme, soit tu nettoies tout ça aujourd’hui, soit j’appelle la gérance d’immeuble et je te fais virer d’ici dans la semaine. Compris?— ... heuh oui, monsieur, je suis désolé, je vais nettoyer, je vous promet. — J’espère bien! Maintenant mets-toi au travail. Je vais te prêter du matériel pour cette fois. — Je... merci Monsieur. J’ai passé la journée à nettoyer de fond en comble. Mon voisin est venu deux fois inspecter mon travail et m’a fait nettoyer jusqu’à ce que ça soit parfaitement propre. Depuis ce jour, nous avons eu de bonnes relations. Une fois par semaine, il venait inspecter mon ménage, puis il s’est mis à me dire quoi manger, quoi lire, quoi faire. Il a commencé à exercer une influence de plus en plus grande sur moi, s’immiçant dans ma vie. Cela ne me gênait pas, bien au contraire. J’étais content d’avoir pour la première fois de ma vie un père. C’est lui qui m’a incité tout d’abord à proposer mes services pour réparer les ordis des habitants du quartier. Je gagnais un peu d’argent ou bien j’échangeais des services. C’est ce qui m’a amené à rencontrer Emilio, le coiffeur retraité. Il habitait dans le même immeuble et avait aménagé une chambre en salon de coiffure, pour arrondir ses fins de mois. Monsieur Gérard - mon voisin - m’a donc emmené un après-midi chez Emilio. Je me suis assis et Emilio a demandé quelle coupe je voulais. Avant que je puisse parler, Monsieur Gérard a parlé: — J’aimerais lui faire porter les cheveux longs et j’aimerais une coupe qui mette ses traits en valeur.— Oui, tu as raison, il a un vrai visage de jeune fille. C’est une très bonne idée, a répondu Emilio. — ... Mais...? suis-je intervenu. — Tais-toi! Laisse-moi discuter avec Emilio!Monsieur Gérard ne m’avais jamais parlé si sèchement et j’ai préféré me taire, pour ne pas le mettre en colère. Je me suis donc laissé faire malgré ma gêne et je suis ressorti avec une coupe encadrant l’ovale de mon visage, quelques mèches retombant sur la droite de mon front et une ondulation tenue en place par de la laque. Dans l’ascenseur qui nous remontait au dernier étage de l’immeuble, le silence était lourd. Finalement, au moment de sortir de la cabine, Monsieur Gérard m’a plaqué contre l’une des parois et m’a collé un baiser sur la bouche, auquel j’ai répondu par réflexe. Il a saisit une de mes mains et l’a plaquée contre son entrejambe en disant: — Sens-moi ça, comme elle est dure! ça faisait longtemps que je n’avais pas eu autant la trique!Et effectivement, son pénis était dur et tendait le tissu de son pantalon. Il m’a fait le caresser, tout en m’embrassant et en me caressant les fesses avec son autre main. — Vas-y, maintenant, accroupi et suce-moi!J’ai obéi et il a sorti sa bite pour me la mettre dans la bouche. J’ai goûté un sexe d’homme chaud, large et dur pour la première fois de ma vie. On est restés ainsi un petit moment, jusqu’à ce qu’il se déverse dans ma bouche. J’ai essayé de me retirer, mais il me tenait trop bien la tête et j’ai dû finalement tout avaler. — C’est bien, ma petite salope, tu avales comme une pro! C’est ça, nettoye-la bien. Il m’a fait me relever et avec un sourire, il a dit:— Je dois aller bosser, maintenant, mais on reparlera de tout ça à mon retour. Et avec une tape sur les fesses, il m’a fait sortir de l’ascenseur et est reparti avec l’ascenseur.
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