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Myriade et la pondeuse

Chapitre 1

Zoophilie
À 22 ans, Virginie avait à son actif quelques conquêtes amoureuses seulement, et elle ne se prétendait pas experte en ce qui concerne le sexe. Elle savait s’y prendre, avait eu l’occasion de le pratiquer, mais sans plus. Cela faisait quelques mois qu’elle n’avait pas eu de rapports sexuels, et elle était loin de se douter de la nature de son prochain « accouplement ». C’était une fille de taille moyenne, pourvue de belles formes et de seins plutôt gros par rapport à la moyenne. Elle s’habillait sans trop de fantaisie, choisissant souvent l’ensemble T-shirt et Jean, avec des bottes à bout pointus le plus souvent, car elle appréciait ce genre de chaussures.En rentrant chez elle au soir, Virginie ne se doutait pas qu’elle avait été précédée. Elle déposa ses affaires à l’entrée, puis se rendit à la cuisine pour enclencher sa machine à café. Elle alla ensuite faire un tour au salon, alluma la télévision pour écouter les informations, puis retourna à la cuisine. Elle se fit prépara un café, auquel elle joignit un petit sandwich à manger, puis elle revint au salon. La télévision était éteinte. Surprise, la jeune femme s’avança doucement, puis sursauta en apercevant une autre femme, assise en travers sur un fauteuil. Elle avait posé les cuisses et le bas du dos sur les deux accoudoirs, et l’observait par-dessus son épaule. Elle se leva tranquillement et lâcha :— Salut Virginie…La jeune femme ne répondit pas, bouche bée, et recula d’un pas. L’inconnue tendit une main et protesta :— Non, reste tranquille ! On va discuter, toi et moi…— Vous êtes qui ?— Moi ? Je suis Myriade. On ne se connait pas… pas encore.Virginie prit le temps d’étudier l’inconnue, qui ne semblait pour l’instant pas menaçante. Pour la première fois, elle se rendit compte que Myriade avait la peau bleutée. Elle portait une robe noire, dont une longue fente découvrait l’une de ses cuisses nues, et elle avait aux pieds de longues bottes de cuir noir. Un long collier de perles bleues faisait plusieurs fois le tour de son cou, quelques mailles coulant en direction de ses seins tout ronds, bien mis en valeur par le corset et le décolleté de l’inconnue.— Qu’est-ce que vous faites ici ? Demanda Virginie, toujours aussi surprise.Myriade n’avançait pas, mais elle semblait s’imposer toujours plus.— Je suis là par hasard, il me fallait quelqu’un. T’as de la chance… ou pas de chance, à toi de voir. En gros, tu vas venir avec moi.— Quoi ? Comment ? Non, je ne viendrai pas, je reste ici !— Pauvre petite, arrête de paniquer. On m’appelle la serre chez moi, et crois-moi : je ne te lâcherai pas. Allez, viens. Y a du monde qui t’attend quelque part.Elle semblait entreprenante, et Virginie commençait de paniquer. Elle déposa son café et son sandwich sur une table derrière elle et chercha à s’écarter. Myriade se mit à la suivre, mais Virginie n’osait toujours pas se retourner. Était-il bon de tenter une course-poursuite avec cet être surnaturel ? Myriade interrompit ses délibérations :— Approche !Elle tendit une main, ouvrant pas une quelconque sorte de maléfice une sorte de portail qui inonda le salon de lumière bleue. Myriade s’en approcha et tendit la main, qui passa dans la porte magique sans réapparaître de l’autre côté. Elle sembla chercher quelque chose, puis baissa les yeux et accueillit une créature très étrange. Impressionnée, Virginie ne bougeait pas d’un poil, les yeux rivés sur la bestiole curieuse. C’était une sorte de chenille violette, assez grasse, pourvue de deux lignes de pointes blanches sur le dos. Myriade s’en empara et la laissa s’accrocher à son avant-bras. Elle appela encore une fois :— Approche, Virginie, on a pas toute la journée !La jeune femme n’osa pas réagir, et Myriade soupira. Elle tendit une main vers elle et cela eut pour effet d’immobiliser totalement sa victime. Elle vint ensuite la chercher et la prit par un bras. Sans que sa volonté y soit impliquée, Virginie se mit à marcher, comme un aveugle qui se laisse guider par une autre personne. Elles se dirigèrent ensemble vers le portail, puis passèrent à l’intérieur.
De l’autre côté, Virginie découvrit un monde qu’elle n’avait jamais eu l’occasion de voir. Elle se trouvait en fait dans une caverne, au milieu de laquelle dormait une sorte de lac intérieur. On pouvait marcher tout autour. Myriade et elle se trouvaient dans cet espace clos et un peu effrayant. Virginie se défit de l’étreinte de l’inconnue et explosa :— Non, ramenez-moi chez moi !— Chut ! Implora Myriade.Virginie brava son avertissement et reprit :— Non, je ne vous ai rien fait ! Laissez-moi…Elle fut interrompue par un bourdonnement étrange. Avec un sourire d’ironie, Myriade se débarrassa de la larve qui courait toujours sur son bras et lui fit un clin d’œil, avant de disparaître soudainement. Virginie se tourna vers le lac jusque-là calme, mais qui commençait a onduler à sa surface. Elle recula de quelques pas, puis sentit la larve étrange qui voulait s’accrocher à son pied. Elle la renvoya d’un bout de botte et recula jusqu’à être dos à la paroi de la caverne. Alors, dans un grondement sourd, la surface de l’eau laissa lentement apparaître une créature encore jamais vue par la jeune femme. C’était une sorte de larve violette un peu comme celle que Myriade avait présentée à Virginie, mais de taille colossale. Virginie s’éloigna en courant, puis se retourna et constata que la bête faisait bien dix mètres de long. En son milieu, elle mesurait en tous cas trois mètres d’épaisseur : des dimensions effrayantes. Sans crier gare, un tentacule gigantesque s’enroula autour du bras de Virginie et l’immobilisa. Elle cria et essaya de s’en défaire. Un autre appendice gluant s’approcha et lui attrapa une cuisse, avant que d’autres ne fondent sur la jeune femme et l’immobilisent complètement. Acculée face à l’étrange créature, Virginie ne trouva rien d’autre à faire que garder le silence et observer impuissamment le sort qui lui était réservé. Satisfaite de l’avoir attrapée, la bestiole se retourna et leva la « tête » en direction du plafond. Ses tentacules partaient de son dos, formant deux lignes comme les petites pointes blanches sur le dos de la petite larve. Celle-ci trottinait encore sur la roche, au loin ; elle s’approchait de l’eau.La larve géante tendit des tentacules vers le plafond et les attacha solidement autour de colonnes de calcaire qui reliaient le sol au plafond. Elle se hissa lentement en hauteur, se suspendant au-dessus de l’eau, et emporta Virginie avec elle. La jeune femme ne faisait toujours rien, immobilisée, et elle sentit bientôt quelques tentacules se desserrer. Elle resta suspendue au-dessus du vide, tenue par une cuisse, pendant que la larve géante se positionnait. Une fois suspendue entre les stalactites comme un filet au-dessous d’un solide échafaudage, elle se mit à manipuler la jeune femme qu’elle tenait. La première opération effraya beaucoup Virginie : la bestiole lui retirait ses bottes, puis son T-shirt, et enfin son pantalon, tâche qui fut plus difficile tant elle se débattait. Violemment, la bête déchira la culotte et le soutien-gorge de la jeune femme, les laissant tomber dans le lac intérieur, puis Virginie se fit amener vers la queue de l’animal gigantesque. Celle-ci se recourbait vers l’avant, au-dessous du corps de la larve, et Virginie aperçut un gros trou sous le ventre de la bête. Des tentacules plus fins en sortirent et l’attrapèrent, la plaquant contre le corps gluant de la créature. Immobilisée, elle ne trouva même pas la force de se débattre : elle était terrorisée. C’est alors que d’autres tentacules, encore plus fins et colorés de rouge vif, sortirent de la queue de la grande large. Elles tâtonnèrent lentement le corps de la jeune femme, l’explorant méticuleusement, puis conclurent en découvrant son sexe. D’abord, ce fut la discorde totale. Dans un grand cri de surprise, Virginie accueillit d’abord cinq tentacules dans son vagin et trois autres dans son anus, et quelques minutes après, lorsque la créature sembla comprendre comment elle fonctionnait, elle retira six appendices et les rangea. Toujours connectée à l’immense larve par deux tubes qui semblaient être des appareils génitaux, Virginie attendit. À l’intérieur, elle sentait qu’une partie des tentacules gonflait : des espèces de nœuds se gonflaient à l’entrée, pour empêcher les tentacules d’être expulsés. Ils grossirent ainsi jusqu’à la taille d’une grosse pomme : impossible de les faire sortir, désormais. La larve se calme ensuite pendant un moment, alors que Virginie attendait sagement elle-aussi, puis elle sentit soudain une contraction des tentacules qui la pénétraient. En baissant la tête, elle pouvait voir les deux tubes qui la reliaient à la queue de la bête : ils pendaient dans le vide. Dès ce moment, ces tubes se remplirent peu à peu d’on ne sait quoi, et Virginie se mit à espérer que la créature ne comptait pas les introduire dans son corps. Les tubes, très élastiques, grossirent d’abord sans expulser leur contenu, et atteignirent un diamètre de plus de quarante centimètres. Ils contenaient un volume nettement supérieur à ce qui pourrait être introduit dans la jeune femme, et elle se mit à paniquer à l’idée de voir tout cela inséré dans son organisme. Elle essaya de se secouer, de pousser les tubes hors de ses orifices, mais la machine était bien faite et il lui fut impossible de contrer le processus qui se déroulait. Après quelques minutes d’attente, comme si une valve venait de s’ouvrir, Virginie sentit quelque chose de plus entrer dans son vagin et son anus. Les tubes déversaient leur mystérieux contenu dans ses orifices et la remplissaient désormais. Dans un premier temps, rien ne se passa, puis le vagin de Virginie fut rempli le premier. Une forte pression commença de s’y installer, la faisant très vite crier de douleur, puis il y eut une sorte de relâchement, comme un éclatement : son col de l’utérus venait de s’ouvrir. Alors, le tube recommença de se vider, remplissant l’utérus de la jeune fille. Elle regardait son ventre : celui-ci gonflait. Elle se demanda si il continuerait de gonfler ainsi au point de la faire ressembler à une femme enceinte, et elle se rendit bien vite compte que c’est ce qui allait se passer. Dans son anus, le tube déversa sans difficulté son contenu pendant un petit moment, et après quelques minutes, la première résistance se fit sentir. Celle-ci fut bien plus éprouvante pour Virginie, qui se sentait étirer de l’intérieur, et cette sensation très désagréable continua pendant un moment. Elle ne pouvait pas vraiment dire où cela se situait, mais toujours est-il que le tube la remplissait par l’intestin, et que si cela continuait, le contenu étranger parviendrait bientôt à son estomac. Après quelques minutes, de plus, l’utérus de la jeune femme fut totalement rempli. Son ventre était maintenant rond comme si elle portait des jumeaux, des triplés ou plus encore, et elle sentait la pression monter. La larve géante semblait avoir envie de la remplir plus encore, mais où comptait-elle lui envoyer le supplément ? Les vergetures qui étaient apparues sur le ventre de Virginie s’élargirent encore, faisant un peu plus de place, mais finalement, la capacité trouva son maximum. La larve sembla vouloir s’arrêter avant de faire éclater la jeune femme comme un ballon, et le tube se vida en sens inverse, refoulant le surplus. Le tube resta néanmoins en place, ainsi que le nœud qui bouchait le vagin de Virginie. Dans son système digestif, un même phénomène se produisit bientôt. Virginie se mit à crier, effrayée, et après quelques minutes de surpression, elle vomit tout le contenu de son estomac, libérant un peu de place, elle eut ainsi quelques secondes de répit, mais la larve voulait en mettre encore plus. Virginie vomit encore une fois, et ce furent des dizaines de petites boules semi-transparentes qui tombèrent dans le lac intérieur : des œufs. C’était donc cela, la fonction de la larve géante : c’était une pondeuse qui avait trouvé en Virginie un abri propice à la ponte de ses œufs… Cela effraya encore la jeune fille, et elle n’arrêtait pas de déverser les œufs à travers sa gorge maintenant bien ouverte. Le flux s’arrêta bientôt, tandis qu’un troisième tentacule s’approchait pour étudier la gorge de Virginie, et finalement, un nouveau nœud vint lui obturer l’œsophage, permettant de caser encore quelques œufs dans son estomac. Virginie respirait par saccades, et la créature sembla s’en rendre compte. Le tentacule coincé dans sa gorge changea progressivement de forme, devenant très fin, et cela permit à terme à la jeune femme de respirer correctement. Désormais, elle était pleine. Il fallait maintenant attendre l’éclosion, et Virginie ne savait pas vraiment comment appréhender ce moment…
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