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Myriade et la pondeuse

Chapitre 2

Zoophilie
Myriade était chez elle, dans son manoir un peu écarté du reste de son monde, et elle passait un peu de temps dans la solitude, seule avec elle-même. Sur sa peau bleutée, elle ne portait qu’une jupe noire, vaporeuse, et un soutien-gorge qui moulait avantageusement ses seins ronds et moelleux. Elle était dans son salon, face à un feu, et elle avait mis en place tout un dispositif assez inhabituel. Sur le sol, il y avait une grande bâche de plastique, attachée à des meubles pour que les bords soient relevés et puissent contenir un quelconque liquide. Mais il n’y avait rien… pour l’instant. Un peu excités déjà à l’idée de ce qu’elle allait faire, Myriade descendit lentement du premier étage, puis emprunta les escaliers qui la mèneraient à sa cave souterraine. Dès qu’elle ouvrit la porte, un bruissement se fit entendre. Souriante, la jeune femme s’avança prudemment, puis alluma la lumière. Découvrant la créature qu’elle abritait là. C’était une créature assez massive, qui devait bien peser deux tonnes. Formée à la manière des bovins, elle attendait agenouillée qu’on vienne s’occuper d’elle. Myriade contourna l’animal et souleva une botte de foin, qu’elle lui laissa devant la tête pour la nourrir. La bête se leva à moitié pour paître, et Myriade eut le plein accès à la partie arrière de son corps. La créature ne l’intéressait pas pour l’importe-quoi : c’était en fait une créature laitière que la jeune femme voulait traire. Elle s’agenouilla près d’elle et se glissa sous son ventre. Au-dessus de sa tête, elle se mit à caresser six tétines grosses comme deux de ses doigts joints ensemble, puis en approcha sa bouche. Elle commença par sucer sans résultats la première tétine, et peu à peu, la créature réagit et libéra progressivement son lait. Il y en avait beaucoup et la chaleur du liquide nourricier plaisait beaucoup à Myriade, l’excitait. Elle se mit à boire continuellement, comme si c’était un tuyau qu’elle avait dans la bouche, et elle changea bientôt de tétine, pour puiser la même quantité dans chaque pis. Il y avait six tétines, et bien plus de lait qu’elle ne pouvait en boire. Lentement, Myriade buvait le liquide maternel et s’en délectait avec un plaisir grandissant. De ses mains libres, elle caressait tour à tour ses seins et son sexe, mais au bout d’un moment, après avoir bu au moins deux litres de lait, elle sentit son ventre résister. Elle se força à continuer, très excitée, et avala encore une gorgée après l’autre. Son estomac était plein à craquer. Après en avoir ingurgité un demi-litre de plus, la jeune femme se sentit très contractée, et elle finit par recracher un bon bol de lait, qui coula sur sa gorge et son visage. Elle s’ébroua vivement pour se débarrasser de ce lait, puis recommença. La tétée dura ainsi plus d’une heure, et Myriade fit passer plus de vingt litres de lait dans sa gorge, mais pas toujours dans le même sens. Trempée de ce nectar, elle se releva difficilement lorsque la créature n’eut plus rien à lui offrir. En s’observant dans un miroir situé au fond de la pièce, elle se rendit compte qu’elle avait bien dû avaler quatre ou cinq litres de lait, car son ventre était bombé et tendu. Impressionnée par sa propre performance, elle entreprit de remonter à l’étage pour retrouver le salon qu’elle avait préparé. Trop serrée dans ses habits, elle se débarrassa en route de sa jupe et de son soutien-gorge. Avant d’arriver, elle refoula un retour de lait, l’avalant à grande peine après en avoir eu la bouche remplie, puis elle arriva enfin sur la bâche qu’elle avait tendue. Elle s’agenouilla dessus, calmement, puis se mit à caresser son ventre. Depuis tout à l’heure, des marques étaient apparues sous sa peau, ressemblant un peu à des hématomes. Il y en avait une vingtaine, sous la peau de son dos, de son ventre et de sa poitrine : c’étaient des bosses sombres d’environ dix centimètres de long. Myriade caressa une à une chacune de ces marques, puis caressa doucement ses seins, avant de se décider à passer à l’action. Elle recula un peu, se pencha, puis introduisit les doigts dans sa bouche. Elle insista jusqu’à se faire vomir, et expulsa litre par litre tout le lait qu’elle avait avalé, ainsi qu’un peu de bol digestif. Loin d’être dégoûtée et au contraire très excitée par tout ce qu’elle avait sous les yeux, la jeune femme se dressa sur ses genoux et recommença de caresser les petites bosses noires qu’elle avait sur la peau. Elle gémissait bruyamment, et d’autres marques apparaissaient sur tout son corps : sur ses cuisses, ses mollets, ses bras. Myriade haletait, excitée et très éprouvée par ce qu’elle vivait, et au bout d’un moment, elle se mit à titiller l’une des bosses plus que les autres. Celle-ci se trouvait à la gauche de son nombril, dans le sens de la hauteur. Myriade malaxa vigoureusement la bosse, la poussant d’avant en arrière. La bosse gonfla peu à peu, prenant du volume, et au bout d’un moment, arrachant un cri de plaisir à la jeune femme, la peau de la bosse noire se perça. Le trou, d’abord tout petit, laissa échapper un liquide visqueux violet foncé, constellé de petits grumeaux plus épais. Le liquide collant s’écoula sur le bas du ventre et la cuisse de la jeune femme, allant se mélanger au lait qui se trouvait au-dessous. Le trou fraîchement percé s’élargit ensuite progressivement, puis laissa passer la tête d’une petite créature noire, une larve qui s’extirpa doucement en remuant. Elle sortit lentement, montrant ses vingt centimètres de longueur, puis tomba dans le lait, qu’elle se mit à boire immédiatement. Myriade avait vécu cette éclosion avec une intensité rare, et elle savait d’avance que cela se produirait encore une trentaine de fois aujourd’hui. Elle choisit une autre boule, puis la frotta du bout des doigts. Le même processus se déroula, faisant naître une deuxième larve parasite. Myriade se mit à crier en sentant que sur son dos, deux trous s’ouvraient. L’épais liquide violet, puis des larves, commencèrent d’en sortir. Ensuite, ce fut au tour d’une des cuisses de la jeune femme de laisser échapper une créature. Une nouvelle bestiole sortit lentement d’une de ses fesses, et le ventre de Myriade laissa échapper deux bêtes supplémentaires. Crevée de partout, la jeune femme tenait à peine debout, gémissant profondément en se délectant des sensations extraordinaires qui parcouraient ses nerfs. Elle respirait vite, osait à peine se caresser. Au bout d’un petit moment, un de ses seins s’ouvrit de deux trous, très proches l’un de l’autre. L’habituel liquide violet s’en échappa, puis les bestioles à naître forcèrent la sortie. Elles appuyèrent doucement mais fort, si fort que la peau entre les deux trous se fendit, ouvrant un plus gros orifice. Les vers géants s’en extirpèrent facilement, laissant une ouverture béante dans le sein de Myriade. Elle y introduisit ses doigts tremblants, allant y chercher le liquide violet, et le goûta ensuite. C’était sucré et épais, comparable à une sorte de purée de fruits. Elle lécha ses doigts, puis les réintroduisit dans son sein, caressant sa chair par l’intérieur. Les poches qui avaient servi d’incubateur aux bestioles n’étaient pas comme des plaies brutes creusées dans la chair de la jeune femme. Une petite paroi de peau s’y était formé, la protégeant des infections et surtout de toute douleur. Myriade se caressa ainsi pendant un comment, mettant sa main entière dans la double poche crevée. Son autre main était plaquée entre ses cuisses, elle se caressait vigoureusement le clitoris, s’arrachant des gémissements supplémentaires. Peu à peu, la plupart des vers sortit, et ils se mirent tous à boire le lait que leur « mère » leur avait apporté. Myriade les observa pendant un petit moment, les laissant boire tranquillement, et elle succomba elle-aussi à l’envie d’y boire quelques gorgées. Le goût du lait mélangé au vomi et au liquide amniotique violet était indescriptible, mais elle le trouva surtout excitant. Elle ramassa alors une à une les créatures, près de trente en tout, et les accrocha à sa peau. Comme des sangsues, elles s’attachaient à elle et la suçant violemment. Myriade se releva et quitta le salon. Elle redescendit rapidement à la cave, où la grande créature laitière se reposait, et se mit à lui tourner autour. La jeune femme s’empara de nombreuses chaînes prévues à cet effet, et attacha solidement la grande bête au fond de la cave. Celle-ci ne protesta pas, habituée à être enchainée. Ce qu’elle ne savait pas, c’est le sort que Myriade lui réservait ensuite. La jeune femme s’agenouilla près de son ventre, les tétines à portée de main, et prit un des asticots dont elle avait « accouché ». Elle l’approcha doucement d’une des tétines de la grande bête, et le ver sentit tout de suite l’odeur du lait encore chaud, il s’agita. Myriade déposa la tête du ver près de la tétine et celui-ci se mit à se tortiller violemment, à la recherche de l’orifice où il pourrait aller puiser le nectar nourrissant. Une fois qu’il fut placé au bon endroit, le ver s’enroule autour de la tétine de la bête et se mit à remuer régulièrement. Myriade prit cinq autres parasites et les mit ainsi sur les autres tétines de la grande bête. En y regardant de plus près, elle se rendit compte que, comme prévu, le premier ver commençait de s’immiscer dans la tétine de la bête. Celle-ci remuait nerveusement, mais sans pouvoir combattre ses lourdes entraves. Myriade continua d’observer le premier asticot, qui entra bientôt totalement dans le pis de la créature. Elle en prit un autre, mais avant de l’introduire, osa enfiler un doigt dans la tétine toute écartée. Elle y entrait aisément, c’était fascinant et encore plus excitant. La jeune femme déposa un nouveau ver, puis fit de même pour les autres tétines une fois que les premiers vers furent entrés. Ainsi, cinq à six vers entrèrent dans chaque tétine, et lorsque le lait se mit à couler à travers les tétines écartelées, un ver au moins vint mettre sa queue dans l’orifice, empêchant toute exclusion supplémentaire. Myriade était terriblement excitée en observant la scène et en imaginant ce qui se passait à l’intérieur. Elle se remit et caresser son clitoris. Elle avait cru que l’éclosion avait touché à son terme, mais eut soudain la surprise se sentir quelque chose de plus en elle : la région de son clitoris gonflait. En posant les yeux dessus, elle s’aperçut que cette région de son sexe était devenue noire : un retardataire allait faire son apparition. Elle s’allongea, jambes écartées, et observa le spectacle comme elle le pouvait, déjà haletante d’excitation. La tête de la créature avançait directement dans le gland de son clitoris, l’écartant de l’intérieur comme un ballon, et la sensation était absolument incomparable. Myriade se mit à crier de plaisir, elle avait du mal à respirer. Finalement, la peau de son clitoris se brisa et une giclé de jus violet éclaboussa la grosse bête laitière, qui se trouvait en face. Myriade s’empara du ver qui s’extirpait et se mit à le lécher. De sa main libre, elle introduisait les doigts dans l’orifice creusé à travers son clitoris : c’était d’une sensibilité incroyable et cela lui procurait un plaisir inouï. Finalement, Myriade avala le ver nouveau-né, dans le but de savoir ce qui allait se passer ainsi, et elle jouit brutalement, secouée de toutes parts par un orgasme d’une violence incommensurable…
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