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Myriade et la pondeuse

Chapitre 3

Zoophilie
Myriade avait avalé l’un des vers qui étaient sortis de sa peau, et toute la journée durant, elle l’avait senti travailler dans son estomac. Pendant deux jours, elle l’observa évoluer par l’étrange sensation qu’il lui procurait. Il avait l’air de s’être lové dans son estomac, se nourrissant de tout ce qu’elle avalait et lui donnant un appétit d’ogre. La jeune femme allait-et-venait dans sa maison, sans cesse excitée, mais rien ne se passa avec ce ver étrange. Elle n’avait encore jamais tenté l’expérience d’en avaler un, mais visiblement il était capable de subir ce traitement sans trop de difficultés. Les deux premiers jours passés, le ver s’était peu à peu calmé, et au matin du troisième jour, Myriade le sentit très agité. Il remuait beaucoup, elle sentait son estomac se contracter et gargouilles. Elle se leva pour aller manger, calmement, et observa son ventre. La bestiole ayant probablement grandi pendant cette « incubation », elle avait donné à l’abdomen de la jeune femme une forme bombée, comme si elle attendait un enfant. Très excitée par cette nouvelle morphologie, la jeune femme se mit à se masturber énergiquement, s’allongeant dans son salon pour plus de confort. Elle se faisait jouir à la chaîne, ses doigts ne quittaient pas son sexe et le malaxaient vigoureusement. Après quelques heures d’attente, le ver n’avait pas cessé de bouger, laissant Myriade dans le même état incontrôlable, et finalement, il décida d’agir. La jeune femme sentit une contraction plus violente dans son estomac, et elle cessa de se masturber, s’agenouillant alors sur le tapis de son salon. Elle ne bougeait pas, mais se mit à haleter à cause de son excitation et de l’intense sensation qui montait en elle. Bientôt, son ventre se serra et elle sentit quelque chose se faire refouler dans son œsophage. Elle ouvrit la bouche et un filet de bave épaisse, de couleur violette, s’écoula de sa bouche et macula la tapisserie. Myriade ne réagit pas, patiente et attentive, et elle sentit un nouveau reflux se profiler. Elle ouvrit la bouche en grand et éjecta un gros paquet de jus visqueux. Apparemment, la créature s’était fait un nid dans son estomac et elle le rejetait maintenant. Sans réagir outre mesure, elle continua d’attendre. Le ver dans son estomac remuait à grande vitesse, apparemment très actif. Il la fit vomir plusieurs fois encore de grandes gorgées de son mucus sucré, puis la jeune femme le sentit progresser. Doucement, il remonta lui-aussi le long de son œsophage, mais plus lentement. Myriade le sentit avancer, millimètre par millimètre, et très bientôt, elle sentit l’extrémité de la créature effleurer le fond de sa gorge. Elle sentait que la peau de son cou était très tendue : le ver avait visiblement grandi. La bestiole sembla ne plus pouvoir avancer, car elle s’immobilisa. Cela donna à Myriade plusieurs élans de vomissement, mais sans succès. Son estomac se contracta plusieurs fois sans rien éjecter de plus, et la bestiole n’avança pas davantage. Excitée par la situation, ne pouvait d’ailleurs plus respirer, Myriade se laissa tomber sur le dos et elle étira la tête en arrière, essayant d’ouvrir sa gorge pour laisser sortir la créature. Celle-ci se remit à bouger, remuant rapidement, et elle avança peu à peu. Rassurée, Myriade la laissa faire, puis la sentit toucher sa langue. Elle la lécha, sentant son goût sucré, et la laissa sortir lentement. La bestiole tomba à côté de la tête de Myriade, dans la flaque de jus violet. Elle s’immobilisa, perplexe devant le terrain inconnu. Myriade se mit sur la hanche et l’observa. La créature devait avoir un corps un peu élastique, sans quoi elle n’aurait probablement pas pu passer : elle mesurait bien quarante centimètres de long, et facilement dix de diamètre au point le plus épais. Myriade posa les doigts sur son clitoris et le caressa délicieusement, excitée. Elle attrapa la bestiole et l’approcha de sa bouche pour la lécher. La créature ne réagissait pas beaucoup, se contentant de se tortiller comme l’aurait fait n’importe quelle autre bête. Myriade l’approcha de son sexe et l’appuya contre ses lèvres, l’y frotta doucement. La texture gluante du corps de la larve la faisait frémir d’envie, et elle se demandait si la bestiole aurait envie d’entrer dans son vagin. Elle mit sa tête près de l’entrée de son tunnel, mais le ver ne sembla pas enclin à y entrer. Myriade le poussa doucement, mais n’arriva finalement pas à se pénétrer avec. Elle finit par le relâcher et s’en alla, en quête de plaisir qu’elle obtiendrait d’une autre manière. Elle descendit à la cave, où elle avait laissé sa grande bête laitière, et alluma la lumière pour observer le résultat de sa dernière expérience. Elle avait en effet introduit une trentaine de vers dans ses tétines pleines de lait, et d’un jour à l’autre, aucune créature n’était ressortie. Myriade s’approcha des pis de la grande bête, mais ne remarqua aucune anomalie. Elle suça l’une de ses tétines et y puisa du lait sans difficulté : les bestioles devaient avoir migré. Myriade contourna la grande créature pour guetter tout signe de présence, puis elle eut la surprise de trouver ce qu’elle cherchait. L’anus de la grande bête laissait échapper une sorte de mucus verdâtre qui s’étirait en fils. À ses pieds, il y avait déjà une dizaine d’orbes de vingt centimètres recouverts de cette étrange matière : des œufs. Sous les yeux de Myriade, la grande créature se remit à pousser et son anus s’ouvrit doucement sur un nouvel œuf, qui tomba parmi les autres. Myriade récolta un peu de ce mucus et le porta à son sexe, comme si elle pourrait ainsi le goûter. Elle se caressa en étalant la substance sur son sexe, puis observa un autre œuf tomber. Dès qu’il eut quitté l’anus de la bête, Myriade s’approcha de l’orifice et colla sa main dessus, sentant sa chaleur. Elle attendit un peu, puis sentit le sphincter s’ouvrir une nouvelle fois. Myriade accueillit l’œuf en posant la paume dessus et elle le repoussa à l’intérieur du rectum de la grande créature. Celle-ci, toujours enchaînée au sol, se contenta de gronder et poussa plus fort. De grosses coulées de mucus vert s’échappèrent de son orifice, mais Myriade maintenait fermement l’œuf. Elle résista encore quelques instants, puis lâcha prise. L’œuf tomba et le suivant ne se fit presque pas attendre. Myriade s’élança alors avec excitation et plongea son bras dans l’anus de la créature jusqu’à l’épaule. Elle remua un peu, puis toucha des doigts le prochain œuf, qu’elle retint de la même manière. La grande créature réagit une nouvelle fois, poussant de toutes ses forces pour expulser les œufs et le bras de Myriade, et un flot de mucus coula sur la jeune femme, qui était plaquée contre son l’arrière-train. Myriade y goûta, découvrant la texture gluante et le goût sucré de la substance, puis elle se mit à en manger. De sa main libre, elle se masturbait violemment, étirant son vagin en y mettant plusieurs doigts. Très excitée, elle laissa quelques œufs sortir, et après un petit moment, elle se rendit compte que plus rien ne se passait. Elle mit alors les deux mains dans l’anus de la grande bête et l’écarta sauvagement, pour que son contenu se déverse. Le liquide verdâtre se mit à couler comme d’une fontaine, recouvrant outrageusement le corps de la jeune femme. À ses pieds, il y avait une large flaque de cette substance, ainsi que la trentaine d’œufs que la grande bête avait pondus. Myriade abandonna finalement l’anus qui avait fini son travail et elle s’assit au milieu des œufs, se mit à les tripoter. Ils avaient une surface molle et remuaient de plus en plus : ils allaient éclore. Myriade attendit sagement, puis observa la première coquille qui se perçait. Une bestiole noire semblable à un insecte géant en sortit. C’était une bête de cinquante centimètres de long, pourvue de six pattes et d’yeux tout noirs. Elle observa la jeune femme qui se trouvait en face d’elle mais ne fit rien en particulier. D’autres œufs s’ouvrirent et les créatures se braquèrent toutes sur Myriade, qui les regardait sans rien dire. Bientôt, lorsqu’elles furent déjà quinze, elles plièrent leur abdomen vers le bas et Myriade put y observer une sorte d’aiguille blanche qui tremblait en laissant échapper un filet de liquide violet. Les bestioles avancèrent alors et montèrent toutes sur Myriade. La jeune femme se laissa faire, se mettant même sur les genoux pour que tout son corps soit accessible, et elle sentit une bête la piquer avec son aiguillon. Ce n’était pas très douloureux, en plus elle trouvait cela très excitant. Elle se laissa faire et les derniers insectes sortirent de leur œuf. Ils vinrent tous piquer Myriade en série, de vingt à quarante fois chacun, et elle se mit à jouir sous leurs assauts répétés, se manipulant vigoureusement le sexe pour se donner encore plus de plaisir. Leur tâche terminée, les bêtes se dirigèrent vers une fenêtre et elle les laissa sortir en l’ouvrant. Elle revint s’asseoir dans la flaque verte et observa son corps. Elle était recouverte de piqûres, il y en avait partout : sur ses jambes, ses bras, son ventre, son dos, ses seins, son sexe… Elle n’avait en rien été épargnée, piquée près de mille fois en tout par les bestioles étranges. Myriade se laissa choir dans la flaque et avança doucement vers les tétines de sa grande créature. Elle se mit à téter son lait, les yeux fermés, puis s’endormit.
Au réveil de la jeune femme, la nuit était tombée. En se levant, elle sentit le mucus vert qui s’était solidifié à l’air : elle en avait maintenant une croûte sur le corps. Elle décida d’aller se laver. En regardant son horloge, elle s’aperçut qu’un jour et demi s’était écoulé. En dormant, elle avait bu beaucoup de lait de sa bête laitière, pour se nourrir et nourrir les créatures qui incubaient en elle. chacune des piqûres qu’elle portait était devenu une petite tâche noire, et la jeune femme avait déjà vécu l’expérience qui allait suivre. Pas très sûre du moment où cela se déroulerait, elle monta à la salle de bain pour se laver. Sa baignoire était large, en forme d’œuf. Elle s’allongea dedans et laissa couler un peu d’eau chaude, pas plus de dix centimètres. Elle frictionna ensuite sa peau pour se débarrasser su mucus vert séché, puis ouvrit l’écoulement d’eau pour se débarrasser de l’eau et de la pellicule. Elle reboucha le fond de sa baignoire, et lorsqu’elle s’apprêtait à remettre de l’eau, elle sentit une vive piqûre dans son épaule. En baissant les yeux, elle vit une petite coulée de liquide violet : l’éclosion recommençait. La jeune femme s’allongea en souriant, posant déjà une main entre ses cuisses, et elle se fit très attentives à ce qui se passait dans son corps. Plusieurs trous se percèrent, au chronomètre, et Myriade sentit beaucoup de jus violet quitter son corps, recouvrant déjà le fond de la baignoire. Les premiers vers sortirent de leurs poches d’incubation, retombant dans leur bain initial, et Myriade se mit à les manipuler, les prenant dans ses mains pour les lécher et les frotter contre son sexe. Elle se mit à peloter sa poitrine. Cette fois-ci, elle n’avait des piqûres qu’en périphérie des mamelles, ce qui lui éviterait d’avoir une fois de plus les seins défigurés à l’issue de cette expérience.Des dizaines et des dizaines de trous s’ouvraient et déversaient leur contenu, c’était enivrant. Gémissant de plaisir, Myriade laissa ainsi échapper toutes les bestioles. Le jus violet qu’elles éjectaient en naissant remplissait la baignoire, répandant son odeur sucrée dans l’air, et les larves nageaient à l’intérieur en se tortillant. Dans ce bain visqueux et pulpeux, Myriade se masturbait comme jamais. Elle adorait sentir sa peau se briser sous l’effet des naissances qu’elle donnait, et les bestioles qui se frottaient contre elle en nageant l’excitaient également. Elle se fit jouir plusieurs fois, les doigts solidement refermés autour de ses lèvres et de son clitoris, qu’elle pinçait violemment. À la fin, la baignoire était à moitié remplie de jus violet et les vers qui y nageaient donnaient à ce bain une apparence fort excitante aux yeux de la jeune femme. Elle n’avait alors plus que les seins et les épaules hors de ce mélange, et elle prit deux larves au hasard pour les lécher. Elle en mit une entièrement dans sa bouche, mais sans l’avaler, et manipula doucement l’autre. Elle avait une idée en tête, mais se demandait si cette idée était bonne à mettre en pratique. Finalement, elle décida que oui et approcha la larve d’un de ses tétons. La larve reconnut la chair spécifique et se mit à fouiller cette région. Myriade comprit alors comment elles faisaient pour entrer : une sorte de trompe se déroula à l’avant de la tête de la bestiole, et elle la lui introduisit dans le canal lactifère. Ensuite, elle n’eut plus qu’à remuer lentement en appuyant, et peu à peu, le téton de la jeune femme s’ouvrit. Myriade recracha le ver qu’elle avait en bouche et se mit à crier en découvrant cette sensation incroyable. Elle laissa le ver entrer entièrement dans son sein, le sentit s’y loger et s’enrouler. Lorsqu’elle caressait son sein, elle le distinguait parfaitement parmi les chairs molles. Elle attrapa une autre larve et l’approcha de son deuxième téton. La bestiole entra tout aussi facilement et se logea à l’intérieur comme sa voisine. Myriade se mit à manipuler ses tétons et remarqua qu’ils restaient dilatés. Elle y mit les doigts, testant la sensation étrange, et se sentit frémir d’extase. Elle prit d’autres larves, puis les relâcha. Elle changea carrément de position, immergeant ses seins de quelques centimètres, et en très peu de temps, elle sentit d’autres larves s’approcher de ses seins. Elle décida de les laisser entrer pour voir combien elle pourrait en contenir. Les larves se bousculaient pour pouvoir entrer, et Myriade s’approchait un peu plus de l’orgasme à chaque fois qu’une nouvelle bestiole venait l’habiter. Elle les compta : deux à gauche, trois à droite… quatre à droite… cinq à gauche… cinq à droite… sept à gauche… Les sensations qu’elle éprouvait étaient tout simplement incroyables. Elle se mit à jouir violemment, sans retirer ses seins pour être habitée un maximum, et elle caressa vigoureusement son sexe. Après un quart d’heure, ses seins étaient bourrés à craquer et les vers ne pouvaient plus y entrer. Comme les autres l’avaient fait dans la grande bête de la cave, afin de ne pas perdre de lait, deux larves mirent leur queue dans les tétons dilatés de Myriade, barrant le passage dans les deux sens. Myriade essuya ses seins en se relevant et les observa. La simple vue de cette scène la fit tressaillir : elle avait des seins de la taille de ballons de basketball, et deux queues de larves qui gigotaient dans ses tétons. La jeune femme sortit du bain et s’essuya rapidement, abandonnant toutes les autres créatures dans la baignoire, et elle alla se coucher dans son lit. Mais elle avait faim. Elle se releva et descendit à la cuisine, mangeant tout ce qu’elle trouvait. Le ventre plein à craquer, elle retourna se coucher et s’endormit rapidement.
Ses seins ne dégrossirent pas pendant un jour entier, mais les bestioles qui obturaient ses tétons s’étaient lentement avancées, permettant aux orifices de se refermer. Le passage totalement bloqué, Myriade n’avait plus le choix que de garder les bestioles en elle. Elle caressait constamment ses seins, sentant la forme de chaque être qui l’habitait sous sa peau. La jeune femme mangeait aussi énormément, pour elle et pour presque trente bestioles. Elle avalait tout et n’importe quoi, s’impressionnant par ses nouveaux goûts, mais l’expérience la plus impressionnante fut le rejet des déchets. Elle s’assit en fin de journée sur les toilettes et entreprit comme d’habitude d’éjecter ses excréments. Le début parut normal, mais elle ressentit après le passage de quelques étrons le besoin d’en éjecter encore davantage. Tout ce qu’elle avait ingurgité devait ressortir, et même si les larves avaient dû en avaler la majeure partie, elles produisaient elles-aussi des déchets. Ainsi, Myriade expulsa des kilos d’excréments dans ses toilettes, les remplissant au sens propre jusqu’au bord de la cuvette. En sentant ses fesses maculées de merde, elle se releva et se retourna pour regarder. Vu l’ampleur de la situation, il ne fallait même pas espérer renvoyer tout cela avec la chasse d’eau. Il y avait un problème direct cependant : Myriade n’avait pas terminé. Elle se mit à tourner en rond dans les toilettes, à la recherche d’un récipient assez grand pour contenir ce qu’elle avait encore à offrir, mais ne trouva rien. Elle partit dans la pièce adjacente: la salle de bain. Sa baignoire contenait toujours les centaines de vers qu’elle avait expulsés la veille, et ils remuaient toujours, modérément. Myriade décida de leur offrir quelque chose à manger, alors elle s’assit sur le bord de la baignoire et poussa. Les étrons s’enchaînèrent, tombant un à un dans le liquide violet sucré. Les deux odeurs se mêlant excitèrent beaucoup la jeune femme, qui termina et observa passionnément le spectacle. Elle ne résista pas à l’envie de plonger la main dans le mélange, puis la mit devant son visage. Elle finit par lécher sa paume et ses doigts, avalant le mélange qui recouvrait sa peau, puis elle s’assit sur le bord de la baignoire une nouvelle fois, mais cette fois avec les pieds à l’intérieur. Doucement, elle se laissa glisser dans la mare de déjections et profita avec délectation de la chaleur qui y régnait. Les larves qui habitaient ce bain boueux étaient chaudes elles-aussi, et elles caressèrent doucement la peau de la jeune femme, qui n’avait pas oublié de mettre les doigts à sa chatte pour transformer son excitation en orgasme. Après une heure de bain, elle ressortit et se lava dans la cabine de douche voisine. Elle se sécha ensuite et retourna à la cuisine pour manger. Elle descendit à la cave, pour avaler quelques litres du lait de sa grande bête, puis alla se coucher une nouvelle fois. Le lendemain, les mêmes expériences se répétèrent : elle se leva, mangea outrageusement une fois de plus, déversa le contenu de son corps dans le grand bain, s’y trempa pour se caresser, et elle se mit même à boire la boue sombre dans laquelle elle se trouvait. Son comportement devint bestial. Lorsqu’elle avisa des larves mortes qui flottaient immobiles à la surface du bain, elle les attrapa et les porta à sa bouche. Ses dents les découpèrent facilement et elle les dévora avec appétit, toujours en se masturbant. Elle jouit en avalant ainsi des dizaines de bestioles, et resta dans le bain. Pour prendre du repos. Ses seins s’étaient depuis vidés des larves qui les habitaient. Celles-ci avaient migré vers le ventre de la jeune femme, où elles pouvaient se nourrir aisément. Myriade continua de manger le bain dans lequel elle se trouvait, avalant tout ce qu’elle pouvait et expulsant tout ce qui avait traversé son intestin en entier.Au troisième jour, la jeune femme sentit que son ventre avait gonflé, et en dépit de ses « vidanges » insistantes, elle ne parvint pas à expulser un étron de plus. Elle se leva donc et alla se doucher, après quoi elle se dirigea vers sa chambre, allongée sur son lit, elle se mit à attendre : c’était le jour de l’éclosion. Myriade attendit, mettant souvent des doigts dans son anus pour voir si le mucus arrivait, mais rien ne venait encore. C’est en fin de soirée qu’elle sentit les premières contractions, et un filet de mucus s’échappa de son anus sans qu’elle ait commandé quoi que ce soit. Elle écarta largement les jambes, attendit un peu, puis sentit le premier œuf. Elle le poussa rageusement, dilatant son anus au maximum, et la première pièce sortir. Elle mesurait un peu plus de douze centimètres de diamètre, ce qui était déjà énorme. Myriade haletait d’excitation, attendant déjà le suivant. Comme sa bête laitière quelques jours auparavant, la jeune femme pondit de cette manière trente-trois œufs, qu’elle laissa sur son lit en partant, après avoir pris soin de laisser la fenêtre ouverte. Malgré le plaisir intense que ces cycles de reproduction lui procuraient, elle ne tenait pas outre mesure à réitérer l’expérience.
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